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4 mai 2015 1 04 /05 /mai /2015 09:24
Vous aviez rêvé qu’il devienne ingénieur ou médecin….. il sera peut-être employé dans une casse automobiles car le département accueille un nombre impressionnant de « casse automobiles » et il faut trouver du personnel, alors l’ETAT a choisi d’implanter une filière d’apprentissage au nord-ouest 77, vous savez là où on envoie les ordures de l’Ile de France.

 

 

Après avoir implanté encore et encore des installations de traitements de déchets, il faut trouver de la main d’œuvre pour travailler dans ces installations, l’université de Marne la Vallée semble vouloir se diriger vers ce type d’apprentissage de proximité pour l’avenir de vos enfants.

 

Une université qui semble se spécialiser dans le déchets, puisqu’une autre filière a été créée, la 1ère en France : " incinération avec récupération d'énergie" et une option " Méthanisation et compostage des déchets" (1)
Pourquoi ne pas implanter cette filière à l’ouest parisien ?
Vous n’y pensez pas
les enfants des secteurs « huppés »
ne vont tout de même pas
aller travailler
dans des casse automobiles.

 

 

 

 

 

Nord seine et marnais :  Si votre enfant travaillait dans une casse automobiles ?
Paru dans le Parisien 77 :
L’université Paris-Est Marne-la-Vallée crée une licence Recyclage des véhicules à Champs-sur-Marne

Gilles Cordillot | 03 Mai 2015, 17h36 | MAJ : 03 Mai 2015, 17h36

 

L’existence des casses automobiles date du Grand Siècle. C’est Louis XIV, qui, en 1648, promulgua un édit pour débarrasser les coches encombrant les rues de Paris ! Depuis, l’activité a évidemment bien changé. A tel point que l’université Paris-Est Marne-la-Vallée (Upem), à Champs-sur-Marne, ouvrira dès la rentrée de septembre une licence professionnelle en alternance « organisation et management des services de l’automobile (Omsa) », option recyclage et valorisation des véhicules.

Olivier Calvet est responsable formation en licence pro Omsa à l’université. « A l’origine, il s’agit d’une demande de la branche professionnelleautomobile et plus spécialement du Conseil national des professions de l’automobile (CNPA), explique ce dernier. Petit à petit, de nouvelles structures, les centres de véhicules hors d’usage (VHU) remplacent les anciennes casses automobiles. Ces derniers sont assujettis à une réglementation très stricte, qui nécessite de former les futurs encadrants de ces nouvelles structures. » Ces textes précisent que les véhicules en fin de vie doivent être revalorisés à 95 %. Autant de pièces à démonter, trier et revendre.

 

Pour Patrick Poincelet, président de la branche des recycleurs automobiles et vice-président du CNPA, les nouveaux centres VHU tendront vers trois axes : la collecte des véhicules par les seuls centres agréés pour détruire un véhicule, leur traitement, comprenant la dépollution, et la valorisation des produits. » Il rappelle « que les Français sont les premiers exportateurs européens de pièces détachées. » Il était devenu indispensable de créer un diplôme constituant une véritable reconnaissance de cette qualification par l’Etat.

La profession estime que dans les années à venir, ce sont environ 1 500 postes qui seront à pourvoir.

Actuellement, une dizaine d’entreprises franciliennes ont émis le souhait d’accueillir un jeune en formation chez elles. La première promotion de septembre 2015 de la fac de Marne-la-Vallée comptera, quant à elle, une dizaine d’étudiants.

http://www.leparisien.fr/acheres-la-foret-77760/l-universite-paris-est-marne-la-vallee-cree-une-licence-recyclage-des-vehicules-a-champs-sur-marne-03-05-2015-4742141.php

 

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