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9 août 2020 7 09 /08 /août /2020 14:24
Venez vous abriter sous les arbres plus que centenaires de la forêt de Montgé en Goële
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30 mai 2020 6 30 /05 /mai /2020 11:27
cabanes

cabanes

iris sauvage

iris sauvage

buisson de rododendron

buisson de rododendron

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25 mai 2020 1 25 /05 /mai /2020 19:20
24.5.2020 Rodéo dans la forêt régionale de Montgé en Goële

24.5.2020 Rodéo dans la forêt régionale de Montgé en Goële

 

 

Dans les allées de la forêt de Montgé en Goële, quad et motos s’en donnaient à cœur joie toute l’après-midi ce dimanche 24 mai, sans être aucunement inquiétés par les forces de police.

Les forces de l’ordre devaient être occupées ailleurs, peut-être dans la forêt de Fontainebleau où un nombre impressionnant de policiers avait été concentrées ces derniers jours.

Mais qu’en est-il de la sécurité des nombreuses familles avec enfants en bas âge qui se promenaient dans ces mêmes allées  où certains venaient faire du rodéo ?

Le préfet Thierry Coudert avait pourtant annoncé dans un communiqué du 22/5/2020 concernant les rodéos, pour extrait :

"Le nord du département est par ailleurs touché par la présence de contrevenants originaires du 93 et du 94. Plusieurs opérations sont prévues dans ces prochains jours par la police nationale, visant particulièrement ces secteurs." (1)

Monsieur le Préfet a, semble-t-il oublié d'envoyer des forces de l'ordre dans cette forêt de 960 hectares située à la pointe nord de la Seine et Marne et nous le regrettons.

 

A la pointe nord-ouest 77 nous n’attendons pas des annonces du Ministre ou du Préfet contre les rodéos sauvages, mais des actes, nous en avons assez d’être « les oubliés de la République ».

 

(1) http://www.seine-et-marne.gouv.fr/content/download/43161/323101/file/20200522%20-%20CP%20Rodeo.pdf

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19 mai 2020 2 19 /05 /mai /2020 14:33
Dessin humoristique de l'un de nos adhérents

Dessin humoristique de l'un de nos adhérents

Cette période de confinement nous a montré combien nous avions besoin d'espaces naturels pour pouvoir nous détendre.

 

Depuis des dizaines d'années l'ETAT autorise les industriels à détruire nos forêts.

La forêt régionale de Montgé en Goële en est l'illustration.

 

C'est une forêt qui a été acquise en grande partie avec l'argent de nos impôts par le Conseil Régional d'IDF pour permettre, semble-t-il, aux populations de venir s'y ressourcer, mais le but caché n'était-il pas en fait de protéger le gypse contenu dans ses entrailles pour  concéder ces ressources aux industriels du plâtre ? 

 

 

C'est ainsi que par délibération du 26/6/2003 la Région IDF a permis à l’industriel allemand Knauf de détruire 35 hectares de forêt  au lieudit «Le Bois des Sables » sur les communes de St Soupplets et Cuisy, en lui cédant ses droits de fortage, sans restrictions, pour lui permettre d'ouvrir une carrière de gypse à ciel ouvert, remblayée par des déchets "dits inertes".

carrière Knauf forêt régionale de Montgé en Goële

carrière Knauf forêt régionale de Montgé en Goële

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13 septembre 2019 5 13 /09 /septembre /2019 18:27

Paru dans le journal de l'environnement :

La compensation, maigre cache-misère

Le 05 septembre 2019 par Romain Loury

 

 

Une perte de biodiversité peu compensée

Une perte de biodiversité peu compensée

Les mesures compensatoires pour la biodiversité, mises en place dans le cadre des projets d’aménagement, sont très loin de compenser réellement les impacts engendrés, révèle une étude du Muséum national d’histoire naturelle (MNHN) publiée dans la revue Biological Conservation.

 

Pour les projets d’aménagement les plus importants, tels que des routes de plus de 10 km ou des quartiers d’habitation supérieurs à 4 hectares, le maître d’ouvrage est tenu de produire des études d’impact environnemental, notamment sur la biodiversité.

 

Mise en place lors du Grenelle de l’environnement de 2007, puis renforcée par la loi biodiversité d’août 2016, il est même dans l’obligation d’appliquer la séquence Eviter-Réduire-Compenser (ERC). Par le dernier de ces trois termes, il s’agit de parvenir à zéro perte nette de biodiversité, voire à un gain, comme le prévoit la loi d’août 2016.

 

Pour cela, le maître d’ouvrage doit identifier des zones, si possible situées à proximité de celle impactée par le projet, sur lequel il s’engage à obtenir un gain de biodiversité, égal ou supérieur aux pertes engendrées sur le site du projet.

 

DE MAIGRES GAINS

 

Or dans son étude menée sur 25 gros projets d’aménagement menés entre 2012 et 2017 en France (20 en Occitanie, 5 dans les Hauts-de-France), l’équipe de Fanny Guillet, du Centre d’écologie et des sciences de la conservation (MNHN, Paris)[i], révèle que ce processus, bien huilé sur le papier, est, dans les faits, bien mal appliqué.

 

Tout d’abord dans le choix de la zone de compensation: dans seulement 20% des cas, il s’agissait de zones qui sont réellement à restaurer, telles que des zones agricoles intensives ou des milieux très dégradés. Pour les 80% restants, il s’agissait d’une compensation a minima sur des zones naturelles ou semi-naturelles, à savoir une simple préservation de forêts, bois et prairies.

«D’un côté, on passe de 100% à 0% de biodiversité sur la zone du projet; de l’autre, il s’agit de passer, dans ces espaces déjà naturels, de 90% à 100%, en se contentant de réaliser de petites mesures de gestion», explique Fanny Guillet, contactée par le JDLE. Une sacrée entorse au principe du zéro perte nette de biodiversité.

 

DE FAIBLES SURFACES DE COMPENSATION

 

Par ailleurs, les surfaces choisies pour la compensation sont le plus souvent de taille inférieure à celles du projet. Pour l’ensemble des 25 projets, les premières étaient de 577 hectares, contre 2.451 hectares pour les secondes. Et ces surfaces de compensation sont le plus souvent morcelées entre plusieurs sites, à raison de 3,83 sites en moyenne par projet.

«Les agents administratifs chargés d’instruire les dossiers déplorent ces situations, mais s’ils n’acceptent pas, ils sont confrontés aux maîtres d’ouvrage. Ils ne sont soutenus ni par les directeurs des Dreal[ii], ni par les ministères, ni par les préfets», estime Fanny Guillet.

«Malgré tous les discours sur le zéro artificialisation nette, on demeure cantonné à une compensation assez facile», ajoute la chercheuse. Sous couvert de protection de la biodiversité, cette «compensation de papier», qui ne «protège rien du tout», a pour effet pervers de «délégitimer le débat public sur l’intérêt des projets».

 


[i] En collaboration avec le laboratoire Écologie Systématique Évolution (AgroParisTech, CNRS, Université Paris-Sud)

[ii] Direction régionale de l’environnement, de l’aménagement et du logement.

 

 

 

http://www.journaldelenvironnement.net/article/la-compensation-maigre-cache-misere,99115?xtor=EPR-9#email=aleflo@club-internet.fr

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26 août 2019 1 26 /08 /août /2019 10:48

 

Quand on veut tuer son chien on l’accuse de la rage ?

 

 

Des arbres centenaires pour certains ont été abattus dans la forêt de Montgé en Goële au bord  de la départementale D41 menant de Montgé en Goële à St Mard.

DEFORESTATION OU DEBOISEMENT MONTGE EN GOELE au bord de la D41 : Valérie Pécresse doit s’expliquer !
DEFORESTATION OU DEBOISEMENT MONTGE EN GOELE au bord de la D41 : Valérie Pécresse doit s’expliquer !

L’article du journal la Marne indique qu'l s'agit pour la plupart de frênes  qui sont détruits atteints d’une maladie qui serait incurable : la chalarose.

 

Ironie du sort au regard du dossier d’aménagement forestier (1) de la forêt de Montgé en Goële (p9 et 39) on s’aperçoit que les parcelles1,13,16,28,31 concernées par cette maladie ne se trouvent pas en bordure de cette départementale  D 41 où l’on déforeste ou déboise.

carte AEV sur laquelle nous avons tracé en marron la D41 pour plus de compréhension

carte AEV sur laquelle nous avons tracé en marron la D41 pour plus de compréhension

 

En parcourant le dossier on constate que le conseil régional a besoin dans ce secteur de créer des chemins forestiers pour favoriser la déforestation de cette zone où se concentre des chênes très anciens.

 

Pour mémoire brûler un arbre vieux de 100 ans libère dans l’atmosphère tout le carbone co2 qu’il a absorbé, il faudrait environ 100 ans pour qu’un autre arbre absorbe la même quantité de carbone.

 

 

 

 

 

Article journal la Marne :

Seine-et-Marne : des arbres seront coupés sur la route D41

Des arbres de la forêt de Montgé-en-Goële vont être coupés le long de la D41 entre Montgé-en-Goële et Saint-Mard. Ils présentent des risques de chute.

Publié le 7 Juil 19 à 8:04

 

Les abords de la route départementale 41 (entre Montgé-en-Goële et Saint-Mard) vont être sécurisés, sur 1,4 kilomètre environ.

Ces travaux sont programmés par l’Agence des espaces verts de la Région Île-de-France, aménageur et gestionnaire de la forêt régionale de Montgé-en-Goële.

Des arbres atteints de Chalarose 

Ils vont consister à retirer, le long de la route, sur une largeur de quatre mètres, les arbres présentant des risques de chute. Il s’agit pour la plupart de frênes, atteints de la Chalarose

Cette maladie concerne uniquement les frênes et n’est pas contagieuse. Aucun traitement n’existe à ce jour.

Le chantier devrait débuter à la mi-juillet pour durer, selon les conditions météorologiques, deux semaines environ. La circulation sera alternée pendant toute la durée des travaux.

 

 https://actu.fr/ile-de-france/saint-mard_77420/seine-marne-arbres-seront-coupes-long-d41_25627446.html

 

 

 

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4 août 2019 7 04 /08 /août /2019 15:39
FORET REGIONALE DE MONTGE EN GOELE : les agents de l'AEV veillent sur vous
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13 juillet 2019 6 13 /07 /juillet /2019 10:05
29.4.2019 Forêt Régionale de Montgé une cabane

29.4.2019 Forêt Régionale de Montgé une cabane

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7 juin 2019 5 07 /06 /juin /2019 15:23
Un week-end prolongé pour découvrir la forêt régionale de Montgé en Goële
Un week-end prolongé pour découvrir la forêt régionale de Montgé en Goële
Paru sur le site de l'AEV :
Montgé

A 35 kilomètres au Nord-Est de Paris, la forêt régionale de Montgé se déploie sur une vaste butte culminant à 200 mètres. Dominant la plaine, elle constitue un élément naturel important de la grande couronne rurale entourant l’agglomération parisienne.

 

Une forêt sur les buttes de Seine-et-Marne

La forêt Régionale de Montgé est située au nord du département de Seine-et-Marne, à la limite de la Picardie, sur les buttes du pays de Goële. À Dammartin, l’une d’entre elles montre son flanc et découvre, par endroits, le calcaire de Beauce, les sables de Fontainebleau, les gypses et les argiles vertes. A Montgé, sur l’autre butte gypseuse de cet alignement, de vieilles maisons briardes s’accrochent au flanc du coteau. Le village est l'une des principales portes d'entrée de la forêt de Montgé.

 

Une châtaigneraie émaillée de fleurs

Le châtaignier règne en maître sur la forêt. On y trouve aussi le frêne, le chêne, l’érable et quelques merisiers. 
Au printemps, le sol se parsème de jacinthes et de luzules des bois, une plante aux feuilles plates et velues qui est un hôte protégé de la forêt de Montgé. 
Sur les berges de l'étang du domaine, des cyprès chauves, des jonquilles, des narcisses et des iris pigmentent la terre humide. Ce cortège de fleurs se poursuit sur la belle allée qui longe la rivière pour aboutir sur une butte couverte de rhododendrons.

 

Un paradis pour les promeneurs et les enfants

En remontant le versant Nord depuis le village de Montgé on rejoint le site de l’ancien château de Saint-Thibault et son verger. Le domaine de Saint-Thibault accueille un centre équestre ainsi qu'une vaste clairière aménagée pour les libres jeux des enfants. A l’Ouest, des conifères, disposés en bouquets, délimitent des petits espaces de détente et laissent apercevoir le coteau boisé et de belles échappées vers la plaine de France. 
La promenade du domaine de Saint-Thibault se prolonge jusqu’à l’étang et se poursuit le long d’un cours d’eau.

 

http://www.aev-iledefrance.fr/l-aev/le-patrimoine-nature-regional/le-patrimoine-nature-regional/prif-montge


 

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12 mai 2019 7 12 /05 /mai /2019 10:28
Forêt Régionale de Montgé en Goële : venez découvrir la tour du télégraphe

 

C'est à 200 m d'altitude, au point culminant de la forêt de Montgé en Goële que l'ETAT avait fait construire, au début du 20ème siècle, cette tour, haute de 16,5 m.

 

Elle sera utilisée par le service géographique de l'armée afin d'effectuer des levées de précision de la topographie pour réaliser des cartes d'Etat Major.

 

Ce service géographique de l'armée, créé le 25/10/1881, sera dissous en 1940 et remplacé par l'IGN, Institut National Géographique.

 

Durant la 2ème guerre mondiale, cette tour, surmontée d'une plateforme en bois, servira de poste d'observation.

 

 

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