Overblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
16 décembre 2013 1 16 /12 /décembre /2013 13:17

VILLEPARISIS L'AMBR2SIS 09.2012 1

Villeparisis l'Ambrésis 09.2012

 

 

 

Le 3 décembre dernier, après la commission de suivi de site de la décharge de déchets dangereux Sita Villeparisis, en présence de Monsieur Frédéric Mac-Kain

sous préfet deTorcy, un adjoint au maire de Villeparisis est intervenu pour attirer

l’attention des associations environnementales sur le cas du remblai en bordure

de la Francilienne au lieudit "l'Ambrésis" exploité par l’entreprise RTR  GROUPE ENVIRONNEMENT.

 

En effet le remblai dépasserait la hauteur autorisée de 2 m,  la commune de Villeparisis  a alerté différents services de l’ETAT sur la situation de cette exploitation, sans résultats.


Mais l’élu est également inquiet concernant le type de déchets déposés sur ce site et les risques pour la ru des Grues (affluent de la Beuvronne), rivière se trouvant à proximité du site.

 

Afin de soutenir la commune le Villeparisis dans sa démarche l’association NE 77 a demandé en date du 4/12/2013 à Monsieur le sous préfet Frédéric Mac-Kain qu’il fasse intervenir les services de l'Etat pour faire effectuer un contrôle de cette installation :

 

« - contrôle de la hauteur autorisée, si un dépassement est constaté nous vous demandons qu'il soit dressé procès-verbal et que le site soit définitivement fermé.

- concernant les risques sur les rejets de polluants dans le ru des grues : nous vous demandons de faire effectuer des prélèvements de déchets déversés sur le site et de les faire analyser(à charge pour l'exploitant de payer les frais de ces prélèvements et analyses). »


Adenca vient d’être saisi ce week-end par des habitants de Villeparisis inquiets qui se sont rendus sur site le 10 décembre dernier et auraient constatés une hauteur de remblais dépassant les 2m.

 

Adenca vient d’intervenir auprès de Monsieur le Sous-Préfet pour connaître les suites données à ce dossier.

 

 

Dernière minute

 

Il semblerait que depuis le 3/12/2013 aucuns services de l’ETAT ne soient intervenus et qu’aucuns contrôles n’aient été effectués sur le site.

 

Affaire à suivre……..

 

 

 

Articles sur le même sujet :

http://www.leparisien.fr/espace-premium/seine-et-marne-77/la-butte-de-dechets-inquiete-les-associations-30-10-2012-2276411.php 

 

http://adenca.over-blog.com/article-villeparisis-lieudit-l-ambresis-en-bordure-de-la-francilienne-une-decharge-illegale-110236639.html

 

 

 

Partager cet article
Repost0
4 décembre 2013 3 04 /12 /décembre /2013 14:32

Paru sur le blog d’Arnaud Gossement :

Déchets : les mâchefers sont soumis à TGAP même reçus sur uneICPE en post-exploitation

Par arrêt du 13 novembre 2013, la Cour de cassation vient de confirmer, d'une part que les mâchefers sont susceptibles d'être qualifiés de déchets, d'autre part qu'ils entrent dans l'assiette de la taxe générale sur les activités polluantes, et ce, même s'ils sont reçus sur une ICPE en post-exploitation.



Pour mémoire, la Cour de cassation a rendu des arrêts importants pour le régime juridique de la TGAP, ce 15 janvier 2013 et le 25 juin 2013.

Ces arrêts présentent pour intérêt commun la définition de la notion de déchets par la Cour de cassation.

____________________________________________

http://www.arnaudgossement.com/archive/2013/12/02/dechets-les-machefers-recus-sur-une-icpe-sont-soumis-a-tgap-52358

 

Partager cet article
Repost0
30 novembre 2013 6 30 /11 /novembre /2013 10:44

 

 

Une bonne initiative  

du syndicat des hôteliers et restaurateurs parisiens

mais

à condition que la ville de Paris

implante des unités

de méthanisation-compostage de déchets fermentescibles.

 

 


 

Apres les mégas décharges la Seine et Marne ne doit pas laisser s’implanter sur son territoire des mégas unités de méthanisation-compostage de déchets fermentescibles pour traiter les déchets

des autres.

 

Chacun doit comprendre

que cette période d’envoyer ses ordures chez les autres

est révolue.

 

Ceux qui ne veulent pas supporter leurs ordures,

qu’ils n’en fassent pas

 


 

 

Paru sur le site de l’Hôtellerie et de la Restauration :

Le Synhorcat lance un programme pilote de valorisation des bio-déchets dans la profession

 

lundi 18 novembre 2013 12:34

 

Réagissez

Réagissez

Partager

Partager  

Imprimer

Imprimer  

Agrandir taille de caractères  

Réduire taille de caractères


75 - Paris A l'occasion de son XIème congrès, le Synhorcat a présenté un programme pilote de valorisation des déchets qui va être mis en place dans trois arrondissements de la capitale.

 

De g à d : Alain Fontaine, président de la commission des Maîtres Restaurateurs au Synhorcat et qui participe au programme, Roger Beaufort (Moulinot Compost et Biogaz) et Stéphan Martinez.

Le développement durable a fait l'objet d'une plénière, jeudi 14 novembre, avec l'annonce notamment de la mise en place d'une opération pilote de collecte de bio-déchets par le Synhorcat, avec la collaboration de Moulinot Compost et Biogaz, une entreprise lancée par des restaurateurs. En 2015, un établissement qui atteindra 20 tonnes de bio-déchets par an sera considéré comme un gros producteur, le chiffre passe à 10 tonnes en 2016. « Cela correspond à un restaurant qui fait entre 100 et 300 couverts par jour » explique Stephan Martinez, fondateur de la société et co-patron de deux restaurants dans la capitale. « Dans ce projet, ce qui est essentiel, c'est de comprendre que c'est une solution qui émane de la profession. Vis-à-vis des pouvoirs publics, c'est nous qui amenons quelque chose et qui installons un cycle vertueux. Un restaurateur travaille de bons produits, des produits bruts, dont les déchets vont être valorisés par la méthanisation et le compostage. » Le programme va porter sur 80 établissements situés principalement dans trois arrondissements de la capitale ! 1er, 2ème et 8ème.  En juillet dernier, un premier test a été effectué. « Très vite, les équipes se sont emparées du projet. Le commis ici à de nouvelles responsabilités et on met les gens dans une situation qui est favorable à la planète, qui les concerne tous ». La société met à disposition des sacs en plastique recyclable transparents « ce qui permet aussi de voir ce que l'on jette, de s'apercevoir peut-être que les pluches sont trop épaisses ou que certains produits dans l'assiette ne sont pas consommés et n'auraient pas lieu d'être… » explique Stephan Martinez. Autre aspect pratique : les poubelles utilisées sont à fond rond, parfaitement nettoyables. Le syndicat s'est fixé six mois pour tenter l'aventure et voir sa viabilité à plus long terme mais le président du Synhorcat, Didier Chenet, est confiant et convaincu. Ce programme, initié avec la complicité de la commission développement durable du Synhorcat, présidé par Bruno Basy, va permettre aussi « de lutter contre le gaspillage alimentaire, de donner une image positive de  la profession auprès de la clientèle et va éviter de payer de nouvelles taxes... » estime Didier Chenet. Début du programme le 16 décembre.

Sylvie Soubes 

 


http://www.lhotellerie-restauration.fr/journal/salon-concours-syndicat-association/2013-11/Le-Synhorcat-lance-un-programme-pilote-de-valorisation-des-bio-dechets-dans-la-profession.htm

 

Partager cet article
Repost0
7 novembre 2013 4 07 /11 /novembre /2013 09:13

 

 

 

 

Article paru dans le journal

liaison d’Octobre 2013 (n° 155)

édité par la fédération d’associations environnementales d’Ile de France

IDFE

 http://www.idfe.eu/

 

 

 

idfe 10.2013...

Partager cet article
Repost0
30 octobre 2013 3 30 /10 /octobre /2013 07:57

SITA VILLEPARISIS PHOTO ABBESSES GAGNY CHELLES 17 5 2013

 

                   Sita Villeparisis 17/5/2013 photo Abbesses Gagny Chelles

 

 

 

Villeparisis :    

les riverains de la décharge

 Seveso à hauts risques  

inquiets

 

A Villeparisis comme ailleurs

la loi doit être appliquée 

 

Pourquoi Madame la Préfète de Seine et Marne

n’a toujours pas réuni la Commission de Suivi de Site

de la décharge Sita de Villeparisis ?

Depuis le grave accident de février 2013 les riverains n’ont toujours pas les résultats des analyses,

pourquoi ?

 

 

Que cache t-on aux populations riveraines ?

 

Paru sur le site ARIA :

 n°43438

17/2/2013

France 77 VILLEPARISIS

E38.22 Traitement et élimination de déchets dangereux
Vers 8h30, le gardien d'un centre d'enfouissement de déchets dangereux classé Seveso est alerté par une société voisine d'un dégagement de fumée dans un casier extérieur de déchets. Il répercute l'alerte vers l'opérateur d'astreinte. Le casier de 2500 m², partiellement recouvert, contient environ 200 t de déchets contenant de l'amiante, ainsi que 44 fûts de 200 l (60 t) de poussières contenant de l'arsenic déposés 3 jours plus tôt. L'astreinte arrive sur site à 8h45 : constatant des flammes de 3-4 m, il décide de contacter le cadre d'astreinte puis le SDIS, le sinistre n'étant pas maîtrisable en interne. Les pompiers interviennent avec 56 hommes et plusieurs engins sur un foyer d'environ 500 m². Le brasier est attaqué avec de la mousse puis progressivement recouvert par de la terre au moyen d'engins de chantier (plus efficace dans le temps que la mousse). Une épaisse fumée grise et malodorante se dégage au voisinage, mais les mesures de toxicité en As effectuées par une CMIC se révèlent négatives car les fûts n'ont pas été significativement touchés (du benzène et du toluène sont détectés dans le panache de fumées à l'intérieur du site). Les mesures de polluants dans les eaux de surface autour du site ne montrent pas de risque de pollution. Le feu est éteint à 16h30 et les pompiers quittent le site. Des enquêtes judiciaires et administratives sont lancées pour identifier les circonstances et les causes du sinistre. L'exploitant mettra en place le coffrage de l'alvéole accidentée sans toucher à la couche de terre et lancera un programme de prélèvements et d'analyses pour étudier l'impact potentiel du sinistre sur le milieu.

http://www.aria.developpement-durable.gouv.fr/barpi_site.gnc

 

 

Pour faire appliquer la loi contactez les élus membres de la CLIS :

Monsieur Yves Albarello député de la 7ème circonscription

Madame Michèle Pélabère conseillère générale du canton de Claye-Souilly

Monsieur Jean-Claude Poupet adjoint au maire de Villeparisis

Monsieur Jean-Luc Pilard maire de Courtry

Monsieur Jean-Paul Pasco-Labarre maire de Le Pin

Monsieur Henri-Philippe Congar adjoint au maire de Coubron

 

 


Partager cet article
Repost0
21 octobre 2013 1 21 /10 /octobre /2013 08:49
Si l’Ile de France avait rénové ses immeubles
 plutôt que de les détruire ? 
Combien d’emplois qualifiés créés ?
Combien de décharges et carrières remblayées par des déchets  en moins ?
CombIen de pollution évitée ?
Paru dans le journal de l’environnement :
Un Français avale 23 tonnes de matières premières par an

Le 10 octobre 2013 par Stéphanie Senet

 

Une consommation composée pour moitié de minéraux destinés à la construction

En attendant le futur rapport sur le potentiel de l’économie circulaire dans l’Hexagone, que doit rendre le gouvernement d’ici juin prochain, une étude du Commissariat général au développement durable (CGDD), publiée le 9 octobre, apporte des données sur la consommation de matières, et leur devenir. 

Avec cette nouvelle étude sur les flux de matières en France, le CGDD ouvre des pistes de travail à tous les acteurs de l’économie circulaire.

Quels sont ces flux? Le CGDD s’est penché sur les ressources importées et extraites du territoire, sur les matières stockées dans les infrastructures et les biens, les exportations, ainsi que les rejets dans les milieux naturels (1).

Si l’on se focalise sur la consommation apparente de matières, on remarque qu’elle a légèrement baissé depuis 2008, passant de 14 tonnes par habitant et par an à environ 12 t/hab/an en 2010 dans l’Hexagone, en raison de la crise économique, note le Commissariat.

 

44 tonnes aux antipodes

Elle est proche de la moyenne de l’Union européenne (17 t/hab/an en 2008), tandis que les Australiens et les Néo-Zélandais battent le triste record de la plus forte pression sur les ressources, avec 44 t/hab/an, loin devant les Etats-Unis (23 t/hab/an).

En revanche, les Français s’avèrent plus gourmands que les Russes, les Britanniques, les Japonais et les Italiens (11t /hab/an), et dépassent largement les Indiens (4 t/hab/an).

Le panier tricolore est composé pour moitié des tonnages de minéraux utilisés dans la construction (minéraux et graviers). Une situation confirmée par l’état des poubelles, majoritairement composé de déchets du bâtiment et des travaux publics. Le solde est composé de biomasse –agriculture et pêche- (28%), et de combustibles fossiles (16% dont les deux tiers sont des produits pétroliers).

A côté de cette consommation intérieure apparente, le CGDD distingue la notion d’extraction intérieure (11 t/hab), de matières importées –en hausse de 30% depuis 1990- (5,7 t/hab), et de matières exportées –en hausse de 20%- (3 t/hab).

 

23 tonnes en France avec les flux indirects

A ces flux dits «apparents», il faut ajouter des flux «cachés» ou indirects, que sont les résidus de récoltes, les terres excavées (liées aux activités d’extraction et de construction) et les combustibles énergétiques nécessaires à la production de biens et à leur transport jusqu’à la frontière (lorsqu’ils sont exportés). En les prenant en compte, on augmente la consommation totale de matières en France à 23 t/hab (contre 28 t en 2008 et 30 t en 1990).

Autre caractéristique hexagonale, nous produisons plus de déchets que la moyenne européenne: 5,5 t/hab contre 5 t/hab dans l’UE à 27 en 2010.

Autant d’éléments à disposition des pouvoirs publics pour réaliser concrètement les économies de ressources qui s’imposent, augmenter la seconde vie des produits, réduire les déchets, mieux les recycler, sans oublier de réduire la dépendance de la France aux importations.

(1) Les ressources en eau n’ont en revanche pas été comptabilisées

http://www.statistiques.developpement-durable.gouv.fr/publications/p/2040/1161/cycle-matieres-leconomie-francaise.html

lien vers l’article :

http://www.journaldelenvironnement.net/article/un-francais-avale-23-tonnes-de-matieres-premieres-par-an,37654?xtor=EPR-9

 

 

 

Partager cet article
Repost0
15 octobre 2013 2 15 /10 /octobre /2013 19:04
paru sur le site du CNIID :
Projection de Trashed à l’Assemblée nationale : la problématique déchets sous le feu des projecteurs

 

Le 14 octobre 2013,

Le Cniid a organisé le 18 septembre une projection-débat à l’Assemblée nationale du documentaire Trashed réalisé par Candida Brady, avec le concours des députés socialistes Jean-Jacques Cottel et Christophe Bouillon, membres de la Commission du développement durable et de l’aménagement du territoire de l’Assemblée, et de son président Jean-Paul Chanteguet. Ce documentaire a été présenté lors du festival de Cannes en 2012 et a gagné le prix du meilleur documentaire au 30e Festival international du film d’environnement (FIFE). Il pointe du doigt les dégâts causés par le rythme effréné de la surconsommation et une gestion des déchets défaillante uniquement basée sur l’enfouissement et l’incinération, et offre des pistes de solutions.

Le narrateur du documentaire, l’acteur oscarisé Jeremy Irons a fait le déplacement pour l’occasion et s’est fait un ambassadeur de choix des 3R (réduire, réutiliser, recycler) et du mouvement Zero Waste, lors de la conférence de presse qui a précédé la projection, et pendant le débat.

Volontairement programmée à deux jours de la conférence environnementale, cette journée a été l’occasion pour le Cniid de présenter les 24 propositions des associations pour une économie vraiment circulaire, coécrites avec les Amis de la Terre, la Fondation Nicolas Hulot, le Réseau Action Climat, Agir pour l’environnement et France Libertés – Fondation Danielle Mitterrand (voir notre article).

Le débat qui a suivi la projection a notamment permis à une salle bien remplie d’échanger avec les députés Jean-Jacques Cottel et Jean-Paul Chanteguet, particulièrement investis sur les questions environnementales, sur la nécessité d’agir pour des politiques plus ambitieuses et le rôle que peuvent jouer les députés sur les problématiques liées aux déchets. La question du tri mécano-biologique a particulièrement fait débat, et révélé la nécessité d’un échange constructif entre associations locales et élus de la République.

Trashed n’a pour l’instant pas de distributeur en France et sa sortie dans les salles n’est pas encore programmée, mais, si vous souhaitez organiser une projection dans votre ville, vous pouvez vous adresser au FIFE pour un prêt de DVD et au Cniid pour animer le débat.

http://cniid.fr/Projection-de-Trashed-a-l-Assemblee,700

 

Partager cet article
Repost0
14 octobre 2013 1 14 /10 /octobre /2013 21:15
Selon Denis Baupin,
« Le nucléaire fonctionne depuis 40 ans
comme un appartement sans toilettes »

 


Nous pourrions également le dire
de la capitale Paris concernant ses déchets ménagers et industriels :
Paris fonctionne depuis plusieurs siècles  
comme un appartement sans toilettes ? 
Nous souhaitons que
 Monsieur Denis Baupin
Actuel député du 10ème arrondissement de Paris 
Membre de la commission du développement durable 
Qui fut Adjoint au maire de Paris, chargé du développement durable, de l’environnement et du plan climat  (mars 2008- juillet 2012)
Se penche  également sur l’état de l’environnement  et de santé des populations du nord-ouest 77 qui doivent vivre au milieu des déchets de la capitale et  même de la France entière 
Paru sur le site de Denis Baupin :
Cigeo : vaste opération d’enfumage par le lobby nucléaire

Publié le 19 septembre 2013  dans A l'Assemblée Actualités Communiqués

Communiqué de presse du 19 septembre 2013 

 Ce 19 septembre, Denis Baupin, vice-président de l’Assemblée Nationale, s’est rendu sur le site de Bure dans le cadre d’une délégation de parlementaires invitée par l’ANDRA, afin de constater de visu l’état du laboratoire, et faire part directement de ses interrogations aux responsables de l’ANDRA. A l’issue de cette visite, il a tenu une conférence de presse avec Patricia Andriot, Vice-Présidente de la Région Champagne-Ardenne, Dominique Ronga et Fabrice Wowak, secrétaires régionaux EELV de Lorraine et de Champagne-Ardenne.

« Je n’ai pas du tout été rassuré par les réponses de l’ANDRA. Le projet de site d’enfouissement de Bure s’intègre dans une  vaste opération d’enfumage par le lobby nucléaire pour faire croire que le problème des déchets serait résolu, alors qu’au contraire il risque de l’aggraver. » , a déclaré Denis Baupin. En effet, la concentration – unique au monde – de matières hautement radioactives prévue à Bure, leur enfouissement en très grande profondeur, les risques liés aux milliers de transports de déchets, les risques d’incendie, les risques d’explosion d’hydrogène constituent des risques cumulatifs insuffisamment pris en compte aujourd’hui.

Certes, l’ANDRA tente de montrer qu’elle appréhende l’ensemble de ces risques. Mais entre le laboratoire existant à Bure et l’immense centre d’enfouissement CIGEO (de 15 à 25 km2) destiné à accueillir 200 000 colis hautement radioactifs, il y a toute la différence entre la théorie expérimentale supposée parfaite et une installation industrielle soumise à tous les aléas techniques et pourtant destinée à fonctionner non-stop sans défaut pendant un siècle.

Selon Denis Baupin, « Le nucléaire fonctionne depuis 40 ans comme un appartement sans toilettes : il est durablement constipé. La seule « solution » imaginée par le lobby est de creuser un grand trou et de tout enfouir. Nous estimons au contraire que la priorité est d’abord de faire le choix de la transition énergétique, et seulement une fois ce choix fait, de décider de la meilleure façon de traiter les déchets. »

http://denisbaupin.fr/cigeo-vaste-operation-denfumage-par-le-lobby-nucleaire/

Partager cet article
Repost0
30 septembre 2013 1 30 /09 /septembre /2013 09:40
PARIS
La ville qui n’assume pas ses ordures
et les envoie chez les autres
Pourquoi PARIS
        N’implante pas d’installations de tri et recyclage de déchets sur la petite ceinture ?
Les ordures ça sent mauvais et ça pollue
mieux vaut les envoyer en Seine et Marne
et faire promener les enfants de ce département sur d’anciennes décharges comme à Claye-Souilly
Paru sur le site France 3 :
Paris : le projet de la Petite Ceinture, le bilan de la concertation

Les Parisiens ont été invités à s'exprimer sur l'avenir de la petite ceinture en contribuant au débat en ligne, en participant à 10 réunions-ateliers thématiques dans 9 arrondissements et des visites sur le terrain. Aujourd'hui il est possible de connaître le bilan de la concertation.

·                                 France3 Paris

·                                 Publié le 22/08/2013 | 11:20, mis à jour le 22/08/2013 | 11:20

 

© Isabelle Audin/ France3 Paris

Les Parisiens ont été invités à s'exprimer sur l'avenir de la petite ceinture en contribuant au débat en ligne, en participant à 10 réunions-ateliers thématiques dans 9 arrondissements et des visites sur le terrain. La restitution publique de cette concertation a été rendue et fait l'objet d'un bilan consultable en ligne.

Construite il y a 150 ans, la Petite Ceinture, propriété de Réseau Ferré de France, constitue un lieu exception
nel de par ses paysages inédits, ses qualités écologiques, la respiration qu’elle apporte au coeur d’une des villes les plus denses au monde, mais aussi par l’espace de liberté qu’elle représente en matière d’usages (territoire de graffiti, ateliers d’artistes, jardins partagés…) et d’innovation urbaine.

Un protocole a été signé en 2006 entre la Ville de Paris et RFF pour permettre l’ouverture au public de certains tronçons, proposer des usages diversifiés et développer u
ne mise en valeur concertée


Le 7 février 2013 les contributions ont été comptabilisées et analysées puis présentées le 14 février au cours de la réunion publique de synthèse qui a eu lieu à la mairie du IVème. 2435 contributions ont été recensées. Parmi elles il y les partisans d'un espace de nature, couloir vert rendu à la biodiversité avec balades et, pourquoi pas, de l'agriculture de proximité; Ceux qui proposent u
ne nouvelle voie de déplacements en mode doux, non polluant; Certains préféreraient rendre au lieu sa vocation ferroviaire; Enfin d'autres proposent d'en faire un lieu de convivialité et de rencontre, festif, avec arts de la rue, buvettes... Les débats ont été passionnés et l'imaginaire collectif a bien fonctionné.

Un bilan de la concertation a été réalisé. Il prend en compte tous les échanges qui ont lieu au cours de cette concertation.

http://paris-ile-de-france.france3.fr/2013/08/22/paris-le-projet-de-la-petite-ceinture-le-bilan-de-la-concertation-305469.html

 

Partager cet article
Repost0
20 septembre 2013 5 20 /09 /septembre /2013 18:32

 

 

 

1 GVTP cOUPVRAY 6.9.2011

 

 

Dans l’optique de la conférence environnementale, M. Jean-Paul CHANTEGUET, président de la Commission du Développement durable et de l’aménagement du territoire de l’Assemblée nationale, a accueilli ce mercredi l’équipe du film Trashed pour une conférence de presse et une projection de ce  film sur les déchets, avec la présence exceptionnelle de Jeremy Irons. La projection a été suivie d’un débat sur le thème des déchets et de l’économie circulaire.

 

Etaient présents à ce débat

 

les députés suivants  :

- Monsieur Jean-Paul CHANTEGUET

- Monsieur Jacques COTTEL

- Monsieur François Michel LAMBERT

aucuns députés de Seine et Marne n’étaient présents.

 

des associations environnementales :

Le CNIID, FNE, les Amis de la Terre, ARIVEM, ADENCA….

 

Un courrier d’ADENCA a été remis en mains propres à Messieurs Chanteguet et Cottel concernant une demande d’étude sanitaire au nord-ouest 77.

 

Nous avons croisé avant la projection du film  notre député  Yves Albarello, nous regrettons qu’il n’ait assisté ni à la projection du film, ni au débat.

Nous vous rappelons que c’est le député de la 7ème circonscription de Seine et Marne, circonscription qui compte les 2 plus importantes décharges de France, l’une de déchets  ultimes, l’autre de déchets dangereux.

Une copie du courrier remis à Messieurs Chanteguet et Cottel lui a été déposée en mairie de Claye-Souilly afin qu’il soutienne notre demande.

 

 

 

Bande-annonce du documentaire Trashed

http://www.dailymotion.com/video/xy18wq_jeremy-irons-fait-la-guerre-aux-dechets-plastiques_news

 

Paru sur le site Assemblée National : dépêche AFP :

 

 

Assemblée Nationale

 

 

 

 

Jeremy Irons vient à l'Assemblée défendre son combat contre les déchets

PARIS, 18 sept 2013 (AFP) - 18h52 heure de Paris - L'acteur britannique Jeremy Irons est venu présenter mercredi son documentaire Trashed ("saccagée") à l'Assemblée, un film qui dénonce les dégâts causés par la surconsommation et une gestion des déchets basée sur l'enfouissement et l'incinération.

Jeremy Irons, qui était invité par des ONG et des membres de la commission développement durable de l'Assemblée, est à la fois le producteur et l'acteur de ce documentaire, présenté lors du festival de Cannes en 2012.

"Nous restons trop souvent soumis à ceux qui fabriquent des objets et ont façonné une société du prêt-à-jeter alors qu'on vit dans un monde fini avec des ressources limitées", a-t-il déclaré, en défendant le principe de "l'économie circulaire", lors d'une conférence de presse avant la projection du film.

L'économie circulaire, qui vise à sortir du triptyque "produire, consommer, jeter", sera au menu de l'une des tables rondes de la conférence environnementale des 21-22 septembre.

Inspirée des écosystèmes naturels, elle est basée sur la valorisation des déchets (qu'elle soit énergétique ou pour de la nouvelle matière première) mais aussi sur l'éco-conception, des systèmes de production moins gourmands et une réutilisation des objets.

"Beaucoup trop de collectivités enfouissent encore des déchets ou les incinèrent", a affirmé aux côtés de l'acteur le député socialiste Jean-Jacques Cottel, co-rapporteur de la mission d'information parlementaire sur la gestion des déchets.

En 2010, plus de 90 millions de tonnes de déchets ont été produites en France: 24 millions de tonnes sont enfouies, 7 millions de tonnes sont incinérées sans valorisation thermique, 13,3 millions de tonnes font l'objet d'une valorisation énergétique (incinération, méthanisation, etc.). Restent 46 millions de tonnes, dont près de 40 millions sont recyclées, 5,5 sont compostées et 0,8 tonne fait l'objet d'épandage.

 

http://hosting.afp.com/clients/assembleenationale/francais/assnat/130918165239.s4q9rn4y.html

 

Partager cet article
Repost0

Recherche