ADENCA
Association de Défense de l'ENvironnement de Claye-Souilly et ses Alentours
"Le monde ne sera pas détruit par ceux qui font le
mal,
mais par ceux qui les regardent agir et qui refusent d'intervenir."
Albert Einstein
Nous avons été alertés par des habitants de Souilly qui entendent depuis le début de l’après-midi des détonations, environ toutes les minutes.
Ces bruits semblent provenir d’un champ situé au bord du canal de l’Ourcq.
La police municipale a été alertée.
Pour toutes informations complémentaires
nous vous conseillons de contacter
Bruno Monti
Adjoint à la sécurité et à l'environnement
Il est vrai que depuis quelques années Le Conseil Régional d’IDF et l’ETAT préfère déverser à la pelle des subventions à des agriculteurs pour les "aider" à financer des projets privés de méthaniseurs.
En moyenne pour un méthaniseur la subvention du conseil régional est de 500 000€ et de l’ETAT (Ademe) de 300 000 €, mais cela peut être plus.
Au nord 77 ce sont plus de 20 millions d’euros de subventions qui ont été allouées ces dernières années à des projets privés de méthaniseurs.
L’argent de nos impôts doit à l’avenir être versé, en priorité, aux collectivités pour les aider à rénover nos réseaux d’assainissement, nous protéger contre les inondations, construire des pistes cyclables….
Il est inacceptable que des projets privés de méthaniseurs soient autant subventionnés alors que les exploitants peuvent être exonérés, sous certaines conditions, d’impôts fonciers payés par la majorité d’entre nous.
Voir notre article :
Extrait de l'article paru sur le site La Marne :
Seine-et-Marne. Les impôts augmentent dans les villes de cette agglomération
Dans les villes de la communauté d'agglomération de Roissy Pays de France, la taxe foncière intercommunale va augmenter. Un coup dur pour les habitants.
Dans ces communes de Seine-et-Marne, le taux intercommunal de la taxe foncière va augmenter de 0,5%. (©Pixabay)
Par Victor Fernandez
Publié le 28 Mar 22 à 6:30
La Marne
Dans une période de crises énergétique et géopolitique, tout augmente… même les impôts ! Le 17 mars 2022, lors du conseil communautaire de Roissy Pays de France, une augmentation des impôts locaux a été votée. Le taux de la taxe foncière intercommunale passera ainsi de 3,94 % à 4,58 %, dans cette agglomération à laquelle appartiennent plusieurs communes de Seine-et-Marne.
Selon la communauté d’agglomération, cela pourrait représenter une hausse de l’ordre de 9 € pour un foyer vivant en appartement et 16 € à 17 € pour ceux qui habitent en pavillon.
Une hausse importante ?
Si la hausse du taux peut paraître modeste, elle devrait en plus s’accompagner d’une hausse de la base locative. Cette valeur qui correspond à la valeur de vos logements devrait augmenter cette année de 3,4 %, soit l’une des plus grosses hausses de ces dernières années.
Quelles communes appartiennent à Roissy Pays de France en Seine-et-Marne ?
En Seine-et-Marne, les communes appartenant à cette communauté d'agglomérations sont : Claye-Souilly, Compans, Dammartin-en-Goële, Gressy, Juilly, Le Mesnil-Amelot, Longperrier, Mauregard, Mitry-Mory, Moussy-le-Neuf, Moussy-le-Vieux, Othis, Rouvres, Saint-Mard, Thieux, Villeneuve-sous-Dammartin, Villeparisis.
« Avec l’augmentation des bases et du taux, cela représente 20 % de fiscalité supplémentaire sur la taxe foncière, souligne Hervé Touguet, élu communautaire qui est également conseiller d’opposition à Villeparisis. En pourcentage, l’augmentation me semble importante ». Selon les calculs de cet élu, une personne qui payait jusqu’à maintenant 1 000 € de taxe foncière en paiera désormais 43 € de plus. « Pour nos habitants, ça va être dur », assure l’élu.
Un manque à gagner de 4 millions d’euros
Aux origines de cette hausse, on retrouve des besoins d’investissement dans des travaux d’assainissement. Au total, il a été nécessaire de trouver 4 millions d’euros supplémentaires pour ces travaux. Une augmentation qui a poussé certains élus, à commencer par Hervé Touguet, à se demander si ce financement ne pouvait pas être assuré autrement.
En effet, le budget total de la communauté d’agglomération s’élèvera, pour 2022, à plus d’un demi-milliard d’euros. Au milieu d’une telle somme, ces 4 millions d’euros peuvent donc paraître une goutte d’eau, qu’il aurait été possible de trouver autrement. Mais en réalité, Roissy Pays de France est loin de rouler sur l’or.
« Il n’est pas hors de propos qu’à l’occasion d’un budget supplémentaire, on soit amené à réduire le budget », a souligné Pascal Doll, le président de la communauté d’agglomération. En effet, l’augmentation du coût des matières premières et de l’énergie fait craindre à certains une augmentation du montant des dépenses engagées par Roissy Pays de France. L’élu a par ailleurs tenu à rappeler qu’initialement, ce budget supplémentaire alloué à l’assainissement avait été fixé à 9 millions et a, par la suite, été divisé par plus de deux, suite aux négociations des élus de Roissy Pays de France. Mais cette diminution de budget signifie aussi que les investissements vont être moins importants cette année.
Vers de nouvelles augmentations ?
La situation est donc loin d’être figée. « On discutons quasiment au jour le jour, a souligné Jean-Louis Marsac, vice-président en charge des finances. [L’année prochaine], on peut revenir en arrière et remettre un peu plus sur la TEOM [taxe d’enlèvement des ordures ménagères, N.D.L.R.] ».
La question des ordures ménagères était en effet également au cœur des discussions lors de ce conseil communautaire houleux. Alors que le financement du service de collecte des ordures ménagères coûte 37 millions d’euros, la taxe qui lui est associée n’en rapporte qu’à peine 32 millions d’euros.
Il manque donc 5 millions d’euros pour financer ce service à la mesure de son coût, somme que Roissy Pays de France prélève pour l’instant dans son budget. Si cette année, cette taxe conservera le même taux, 6,94 %, cette situation pourrait ne pas se répéter l’année prochaine. La taxe foncière sera-t-elle diminuée d’autant, en guise de compensation ? La question reste en suspens et dépendra sûrement de l’évolution du contexte économique général….
Lors d’une promenade au bord de la Dhuis des habitants de Claye-Souilly ont découvert de gros engins de BTP qui étaient entrain d’effectuer des sondages dans le bois en face de Mauperthuis.
Pour vous situer l’endroit exact c’est à quelques encablures de l’ancienne chapelle de Bois Fleuri. Si vous empruntez la Dhuis, en partant de Bois Fleuri en direction de Villevaudé, vous apercevrez le chantier sur la gauche, au niveau de la borne Dhuis 1070, un chantier situé au milieu du bois dissimulé derrière des barricades.
Ce qui inquiète les populations c’est que la forêt régionale de Claye se situe à côté et qu’en date du 1/4/2019 la région IDF (AEV) a signé un contrat juteux avec Placoplatre. L’industriel s’engageant à verser 4.3 millions d’euros à la région (AEV) contre l’autorisation d’exploiter le gypse dans le bois de Bernouille, en bordure de la Dhuis à Coubron, sur les terrains appartenant à la Région IDF.
Dans ce contrat un paragraphe en page 7 nous interpelle :
La Région IDF va-t-elle sacrifier notre patrimoine forestier contre de l’argent pour permettre à Placoplatre d’ouvrir une nouvelle carrière à ciel ouvert aux portes de Claye-Souilly ?
Pour plus d’informations contactez
Jean-Luc Servières
Maire de Claye-Souilly
Plus jamais ça
En 2003 le Région IDF avait signé un contrat juteux avec le carrier Knauf contre l'autorisation d'exploiter le gypse dans la forêt régionale de Montgé en Goële sur 35 hectares, au lieudit le Bois des Sables.
Un exemple à ne pas suivre : la destruction d’une partie de la forêt régionale de Montgé en Goële pour permettre à l’industriel Knauf d’ouvrir une carrière de gypse à ciel ouvert qui sera bientôt remblayée par des déchets « dits inertes »
Une école surdimensionnée au Bois des Granges
et
pas d’école à Souilly !
A grands renforts de médias la commune annonce l’implantation d’une école dans le nouveau lotissement des Bois des Granges pour un coût exorbitant : 6.7 millions d’euros.
Et pendant ce temps les petits écoliers de Souilly doivent prendre les transports en commun pour se rendre dans les écoles du centre ville où ils sont dispatchés au gré des places libres, ils servent en quelque sorte de « bouche trou ».
Souilly, un secteur qui rapporte beaucoup d’impôts à la commune puisque c’est ici que se concentre toutes les zones commerciales, mais ce ne sont pas les habitants de ce hameau qui en bénéficient, puisque sur ce secteur il n’y a ni école, ni gymnase, ni terrain de sports public, ni salle pour les associations, ni maison médicale, le banc où les anciens se reposaient près du ru botteret a même été supprimé.
Souilly a vu disparaître son école au 19ème siècle, puis son église au 20ème siècle, Souilly a conservé un cimetière, seul vestige d’une longue lutte entre les habitants de Souilly et de Claye.
Le projet de Plan Local d’Urbanisme que vont présenter prochainement les élus avance en toute discrétion, sans semble-t-il de véritable concertation avec la population, car à Claye-Souilly les élus n‘organisent pas de réunions de quartiers comme à Villeparisis pour écouter les demandes des habitants .
Le projet des élus va être présenté aux populations lors de 3 ou 4 réunions publiques d’une durée de 2 à 3 heures et puis il y aura une enquête publique, plusieurs centaines de pages à relire dans un délai contraint d’un mois avant de faire des observations.
Les élus prendront ou pas en compte les demandes des habitants et puis il y aura le vote par les membres du conseil municipal.
Paru sur le site La Marne
À Claye-Souilly, le chantier de la nouvelle école commence
Dans l'écoquartier de Claye-Souilly, la future école devra ouvrir à la rentrée 2023. Voici à quoi ressemblera l'établissement : surface, nombre de salles de classe...
La future école ouvrira pour la rentrée 2023 à Claye-Souilly. (©La Marne)
Par Louis GohinPublié le 16 Mar 22 à 6:02
Les travaux de la future école commencent ces jours-ci, mi-mars. L’établissement ouvrira en septembre 2023 à Claye-Souilly (Seine-et-Marne), dans l’écoquartier, en face de la boulangerie le Pain des granges.
La future école sera à la fois maternelle et élémentaire. Cinq classes de maternelle seront situées au rez-de-chaussée avec les salles de restauration et d’activité physique. Huit classes d’élémentaire seront aménagées à l’étage.
L’école disposera aussi d’une salle de bibliothèque, qui pourra éventuellement se transformer en salle informatique, ainsi qu’un préau.
De la place pour les enfants
Seule une partie des salles servira dès l’ouverture. Les autres se rempliront au fur et à mesure que de nouveaux habitants s’installeront à Claye-Souilly.
« L’école répond à un besoin évident lié à la croissance de la population », explique le maire.
Les espaces intérieurs feront en tout 2 600 m². Il faut ajouter à cela 1 600 m² d’espaces extérieurs.
Il faudra donc attendre un an et demi pour pouvoir utiliser la nouvelle école. Mais si l’Éducation nationale veut déjà ouvrir de nouvelles classes en septembre 2022, c’est possible, assure le maire Jean-Luc Servières :
« Nous avons identifié deux salles disponibles en cas de besoin », dit-il.
6,7 millions d’euros
Le chantier devrait coûter 6,7 millions d’euros TTC. Il est financé par la mairie, avec des subventions d’1 million d’euros du Département et de 800 000 € de l’agglomération.
« Nous avons renégocié certains aménagements, ce qui nous a permis de faire baisser le budget total de 6,3 % », déclare le maire Jean-Luc Servières.
Il faudra aussi compter pour la mairie des dépenses en personnel, tous les ans, pour le personnel de l’école. Lorsque les 13 classes seront occupées, à terme, ces dépenses avoisineront les 440 000 € par an.
Limiter le vis-à-vis
Pour les riverains de l’école, le dérangement dû au vis-à-vis devrait être limité. C’est du moins ce qu’explique le maire :
« Aucune partie proche des maisons ne sera surélevée, déclare-t-il. Seules les parties du bâtiment qui seront éloignées des habitations voisines pourront s’élever sur deux niveaux. »
Pendant la période de chantier, qui se fera uniquement en journée, des précautions sont prises pour limiter les nuisances.
« Nous avons souhaité que le constructeur de l’école et l’aménageur de l’écoquartier se coordonnent véritablement pour que les opérations ne se télescopent. »
Des locaux bien isolés
Au départ, une toiture végétalisée était prévue sur l’école. Finalement, elle a été supprimée pour faire des économies.
Mais l’école aura des qualités du point de vue du respect de l’environnement. « La performance énergétique de l’école sera supérieure au minimum légal, la réglementation thermique 2012 », promet le maire.
Il reste à espérer que les entreprises du bâtiment ne rencontreront pas de difficulté d’approvisionnement en matières premières. Jean-Luc Servières, lui, se montre confiant : « Les entreprises ont les délais pour faire le projet dans les temps », affirme-t-il.
Dans le bulletin municipal d’avril 2021 un article d’une page était consacré au sauvetage de 300 Grenouilles et Crapauds qui ont été déplacés des alentours de Roissy vers Souilly.
Mais hélas la mare a disparu aujourd'hui sous des branchages
comme vous pouvez le constater
au vu de la photo ci-dessous.
Que fait la communauté d'agglo
CARPF
qui est en charge de l'entretien de ce site ?
Pour le savoir, nous vous conseillons de contacter
Jean-Luc Servières
vice président de la CARPF
Les petits écoliers de Souilly sont classés en secteur indéfini, c’est-à-dire qu’on les dispache au gré des places disponibles dans les écoles du centre ville, ils servent, en quelque sorte, de bouche trou.
Cette méthode provoque une augmentation de la pollution de l’air près de nos écoles du centre ville puisque les petits écoliers de Souilly, qui n'ont pas d'école sur le hameau, sont acheminés dans les écoles du centre ville soit par cars scolaires, soit par les véhicules de leurs parents.
D’après une étude récente de l’association « Respire » un air mauvais est constaté aux abords de 69 % des écoles de la commune, un air pollué aux particules fines PM 2.5.
Particules fines PM 2.5
Les particules fines pénètrent en profondeur dans les poumons. Elles peuvent être à l’origine d’inflammations, et de l’aggravation de l’état de santé des personnes atteintes de maladies cardiaques et pulmonaires. De plus, elles peuvent transporter des composés cancérigènes absorbés sur leur surface jusque dans les poumons.
La solution pour réduire la pollution de l’air
près de nos écoles
Implanter une école à Souilly
Le futur Plan Local d’Urbanisme qui est à l’étude pourrait être l’occasion de programmer cette école et de réserver un emplacement à cet effet.
Paru sur le site de l’association Respire :
Pollution de l’air : la grande majorité des écoles d’Île-de-France au dessus des recommandations de l’OMS
D’après une nouvelle étude de l’association RESPIRE, une grande majorité des 12 000 établissements scolaires de la Région Île-de-France dépassent les recommandations de l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS) sur les particules fines (PM2,5) et le dioxyde d’azote (NO2). RESPIRE appelle les élu.es à l’action pour répondre à cette urgence sanitaire…..
Retrouvez l’étude complète ici : https://www.respire-asso.org/wp-content/uploads/2022/02/Analyse-RESPIRE-Carte-IDF-2013-2019.pdf
CLAYE-SOUILLY
DEMOLIR PLUTOT QUE RENOVER !
Comme vous pouvez le constater au vu de l’image l’immeuble servant de logement aux gendarmes n’est pas délabré, alors pourquoi va-t-on le démolir ?
Historique :
Cette gendarmerie ainsi qu’un important immeuble permettant d’y loger les gendarmes ont été construits vers 1966 sur un terrain de 1446 m2 cédé gratuitement au conseil départemental par la commune de Claye-Souilly.
Le site a fermé lorsque la brigade territoriale de gendarmerie de Claye-Souilly a été dissoute le 1/9/2011 (arrêté ministériel août 2011) (1).
Les élus du conseil départemental 77 ont laissé le terrain et les bâtiments sans affectation depuis cette dissolution puis les ont revendus à la communauté de communes CARPF.
DEMOLIR PLUTOT QUE RENOVER !
La mairie de Claye-Souilly a autorisé en avril 2021 la démolition de la totalité des bâtiments.
En effet la CARPF devrait implanter dans les années à venir une crèche de 40 places et un relais assistante maternelle.
En général ce type d’activité utilise environ 500 m2 de surface, mais l’ancienne gendarmerie dispose d’un terrain de 1446 m2.
La CARPF, va-t-elle construire sur le reste du terrain un autre bâtiment pour la collectivité ou céder les centaines de mètres carrés de terrain restant à un promoteur ?
La CARPF est bien discrète sur le sujet, pourtant c’est l’argent de vos impôts qui va être utilisé pour ce projet.
Pour toutes informations nous vous conseillons de contacter :
Jean-Luc Servières
Vice-président de la CARPF
et Maire de Claye-Souilly
Paru sur le site "La Marne"
Seine-et-Marne. La maison des cérémonies de Villenoy bientôt dédiée aux artistes
La maison des Cérémonies de Villenoy, laissée à l'abandon depuis plusieurs années va bientôt faire peau neuve. Le maire veut en faire un lieu de culture : la maison des artistes.
Par Laura Bourven Publié le 31 Jan 21 à 12:02 mis à jour le 1 Fév 21 à 1:01
Le domicile des dirigeants de l’ancienne sucrerie de Villenoy, actuellement en très mauvais état, pourrait changer de destination. Anciennement, Maison des cérémonies, il pourrait être transformé en Maison des artistes.
Le bâtiment était devenu la Maison des cérémonies de Villenoy
En septembre 2009, l’ancienne municipalité avait en tête de faire de la demeure un lieu de célébrations, notamment pour les mariages.
« L’ancienne salle des mariages, trop petite, n’était plus adaptée à sa fonction » justifiait le maire à l’origine de ce projet, Roger Paoletti (2001-2014), lors de son inauguration.
Faute d’entretien, la Maison des cérémonies est en très mauvais état
Depuis, la Maison des cérémonies a perdu sa fonction initiale et s’est dégradée avec le temps.
Quand je suis arrivé à la tête de la mairie, le bâtiment était et est toujours en très mauvais état. Rien n’a été entretenu pendant des années.
Emmanuel Hude Maire de Villenoy
La démolition du bâtiment était prévue par son prédécesseur Michel Venries. Pour le maire actuel, elle n’est pas envisageable.
Ce bâtiment fait partie de notre patrimoine.
Emmanuel Hude
A Villenoy, la Maison des cérémonies devient la Maison des artistes
Après mure réflexion, Emmanuel Hude a décidé d’en faire une Maison des artistes. Une fois restaurée, une salle d’exposition sera aménagée au rez-de-chaussée.
Nous pourrons également utiliser le jardin pour organiser des expositions temporaires en extérieur, au printemps et en été.
Emmanuel Hude
Au premier étage, trois artistes pourront y installer leur atelier. Un quatrième atelier avec hébergement sera aussi proposé à la location pour un artiste de façon permanente.
« Nous souhaitons principalement accueillir des artistes tels que des peintres ou bien des sculpteurs, mais nous sommes ouverts à tout type d’art » poursuit Emmanuel Hude.
« C’est un projet valorisant »
Le maire sélectionne avec les élus les meilleurs projets afin de décider qui pourrait bénéficier des locaux mis à disposition par la municipalité de Villenoy.
Déjà plusieurs artistes ont eu vent de l’initiative de la commune et ont manifesté leur intérêt.
Derrière ce projet, la municipalité voulait trouver une fonction qui puisse mettre en avant la Maison des artistes.
On a constaté qu’il y a un manque de culture dans notre commune. Accueillir des artistes est un moyen pour nous d’avoir un projet valorisant, au-delà des frontières de Villenoy.
Emmanuel Hude
La mairie voit plus loin et espère, grâce à cette nouvelle Maison des artistes, pouvoir créer des échanges et des programmes intergénérationnels avec des ateliers pour les enfants et les personnes âgées.
Inauguration en 2021
Les travaux de rénovation du bâtiment attenant à l’ancienne sucrerie devraient bientôt commencer.
La mairie aimerait inaugurer le site avant la fin de l’année 2021 avec les premières expositions.
Paru sur le site Claye-Souilly Découverte
DROUET Victor
Né le 24.4.1823 et décédé le 22.10.1902 à Souilly.
Fils de Drouet Louis Philippe (l’un des derniers conseillers municipaux de Souilly) et de Véronique Virginie Thorigny.
Il épouse le 20.1.1847 à Claye-Souilly Louise, Catherine Eléonore Charpentier, originaire de Souilly.
Il aura 3 filles
- Louise, née 13.3.1848 et décédée 26.8.1848 à Claye-Souilly.
- Louise, Augustine, née 29.9.1849 Claye-Souilly.
- Sophie, née le 6.12.1853 à Claye-Souilly.
Cultivateur et Conseiller municipal de Claye-Souilly pendant près de 50 ans.
Le 28.9.1907 à la suite du don à la commune de Claye-Souilly, par sa fille Louise Augustine, d’une pompe alimentée par un puits en maçonnerie situé sur la petite place de Souilly, le conseil municipal décide de dénommer la rue où il est né « rue Victor Drouet » (à la place de rue des Bienvenues).
Sources :
Cercle Généalogique de la Brie : BMS 1845.1885?
A.D.: Recensements 1856, 1866,,1876,1896,
Extrait délibération conseil municipal Claye-Souilly 28.9.1907.
http://claye-souilly-decouverte.over-blog.com/article-7191010.html
Le centre ville de Claye-Souilly meurt à petit feu, depuis quelques années 2 boulangeries sur 3 ont fermé, sans oublier la maison de la presse, 2 restaurants, une supérette, un coiffeur, une blanchisserie et aujourd’hui un magasin de chaussures.
Un exemple à suivre
Les élus de la modeste commune rurale de Juilly de 2000 âmes ont décidé d’investir 700 000 €, avec l’aide de subventions, pour permettre à une boulangerie de voir le jour.
Jean-Luc Servières dit vouloir réimplanter des commerces en centre-ville mais pour ce faire la mairie devrait peut-être aider financièrement de nouveaux commerçants à s’implanter comme elle l’a fait pour les médecins en créant la maison médicale subventionnée par la commune.
Il est vrai que la mairie investit beaucoup dans le secteur du Bois des Granges en y construisant bientôt une école alors que les petits écoliers de Souilly sont contraints d’utiliser les transports en commun pour se rendre dans les écoles du centre-ville où ils sont répartis au gré des places disponibles.
Paru dans le journal « La Marne » :
La commune de Juilly accueille sa première boulangerie
La commune de Juilly (Seine-et-Marne) possède désormais une boulangerie. Pour la municipalité, il s'agit du dernier "maillon manquant" de la zone commerciale.
Alexandre et Carine Zito vont ouvrir leur boulangerie le 6 janvier 2022 à Juilly. (©La Marne)
Par Victor Fernandez
Publié le 6 Jan 22 à 6:32
La Marne
Une supérette, un cabinet médical, un bureau de Poste, il ne manquait plus qu’une seule chose à Juilly (Seine-et-Marne) pour pouvoir satisfaire tous les besoins quotidiens de ses habitants : une boulangerie.
Depuis jeudi 6 janvier 2022, c’est désormais chose faite. Alexandre et Carine Zito ont saisi l’opportunité proposée par la municipalité, pour y installer leur nouvelle boulangerie, « Le Fournil de la Source ».
Les pâtisseries à l’honneur
Le monde de la boulangerie, Alexandre Zito ne l’a pas découvert à Juilly. Il était déjà pâtissier, à la boulangerie de Mauperthuis, à Claye-Souilly. « C’est mon ancien patron qui a été contacté par Daniel Haquin [le maire de Juilly, N.D.L.R.] et qui m’a proposé d’y aller », explique Alexandre Zito. La pâtisserie sera donc mise à l’honneur au Fournil des Sources.
On pourra ainsi y retrouver un biscuit aux amandes, dénommé « Tendresse » ou des éclairs géants pour 6 personnes, déjà caractéristiques de son ancienne boulangerie clayoise. Côté pain, ce seront uniquement des farines label rouge qui seront utilisées.
Une vingtaine de places assises ou debout seront par ailleurs proposées aux personnes qui souhaiteraient s’arrêter pour manger sur place. « On pense voir tant les ouvriers des chantiers alentour, que des commerciaux de passage, des élèves du collège privé, ou bien sûr des gens de Juilly », indique Carine Zito.
Une boulangerie attendue
Ce projet de boulangerie avait été annoncé par la municipalité en 2018. Depuis, il suscitait l’impatience des habitants. « Nous avons décidé de construire le maillon manquant de cette zone commerciale appelée la Source », souligne la municipalité.
La construction de cette boulangerie a coûté plus de 700 000 € à la commune, qui a heureusement pu bénéficier de subventions. 30 % de cette somme provenait ainsi de la communauté d’agglomérations Roissy-Pays-de-France et 20 % de la Région Ile-de-France. Le département de Seine-et-Marne et l’État ont également participé pour 20 % de la somme, à eux deux.
4, rue de la Source à Juilly. De 7 h à 13 h 30 et de 15 h à 19 h 45 les lundis, mardis, jeudis, vendredis et samedis. De 7 h à 14 h le dimanche. Fermé le mercredi. Téléphone : 01 64 35 29 61.