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8 février 2013 5 08 /02 /février /2013 13:43

 

 

 

Des lois faites sur mesure pour les carriers ?

 

Si vous avez le malheur de vivre à proximité d’une réserve  stratégique de gypse ou autre, sachez que vous les populations vous n’avez semble-t-il que le droit de subir et de vous taire.

 

La France a ratifié la convention Aarhus qui devrait permettre à chacun de vivre dans un environnement propre à assurer sa santé et son bien-être...

Convention oubliée ou  inappliquée ?

 

Concernant l'exploitation de carrières on ne vous parle que de solidarité régionale ou nationale, mais qu’est-ce que cela veut dire ?

 

La solidarité dans ce type de situation c’est en quelque sorte le droit de détruire l’environnement d’une  partie de la population pour permettre aux autres de continuer à vivre mieux.

 

 

Mais qui sont ces populations qui doivent subir ?

 

Dans le cas présents ce sont les « bouseux » du nord-ouest Seine et Marne :

 

-  chez qui on a déjà déversé depuis des décennies les ordures de Paris et de la  France entière,

 

- à qui on a pris les eaux de leur rivière Beuvronne pour créer le canal de l'Ourcq, laver les trottoirs de Paris, pour alimenter les lacs des Bois de Boulogne et Vincennes …,

 

- chez qui ont a installé ces monstrueuses lignes à haute tension pour alimenter Paris en électricité,

 

- où on a implanté la plus importante zone industrielle de l’Est Parisien pour éviter les fumées des industries polluantes à la capitale,

 

-  qui subissent les nuisances d’aéroport de Roissy et du Bourget.

 

Mais comme le disent certains

« puisque chez vous tout est foutu :

 pourquoi ne pas en rajouter une couche » 

 

Cette couche supplémentaire ce sont les carrières à ciel ouvert de gypse que veut exploiter la multinationale « St Gobain », environ une cinquantaine d’hectares à Villevaudé au lieux-dits Les Mazarins/Le Bois Gratuel pour débuter, la suite programmée c’est la destruction de nos bois sur  la butte d’Aulnaye à Villevaudé, Claye-Souilly et Annet sur Marne soit près de 300 hectares qui devraient disparaître à proximité de la ZAC de 900 logements en construction «  Le Bois des Granges ». 

 

Il est vrai qu’il est plus judicieux de construire cette ZAC de 900 logements avant d’exploiter des carrières de gypse, en effet qui voudrait acquérir un logement à proximité d’une carrière ?

 

 

 

  carrieres-CS-definitive.png

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1 février 2013 5 01 /02 /février /2013 18:31

 

 

 

LAISSEZ-NOUS  NOS BOIS

LAISSEZ-NOUS NOS CHAMPS DE BLE

 

 

cs vignes 7. 8.2012

 

cs la butte d'aulnaye les vignes 7.8.2012

 

 

 

C'EST ICI QUE LA MULTINATIONALE SAINT GOBAIN

VOUDRAIT EXPLOITER UNE CARRIERE A CIEL OUVERT

 

 

 

 

Paru sur le site France Nature Environnement :

vendredi 1er février 2013

Loi Logement et Urbanisme : rendons nos villes désirables et protégeons la Nature

Vendredi 1er février devrait prendre fin la concertation du premier volet du projet de loi « Logement et Urbanisme », visant à développer l’offre de logement dans une perspective de transition écologique des territoires. Ce projet de loi doit être voté au début de l’été 2013.

Pour France Nature Environnement (FNE) et la Ligue de Protection des Oiseaux (LPO), parties prenantes de cette concertation, le projet de loi doit permettre de construire de la ville désirable et de l’urbanisme de qualité. Il est pour cela essentiel de mettre un frein à l’artificialisation des sols par l’étalement urbain et le mitage, qui creusent les inégalités sociales (augmentation du coût des déplacements dans le budget des ménages, difficulté d’accès au travail, à l’éducation et à la formation, aux services et aux aménités…), dégradent les conditions sanitaires (pollution de l’air et bruit des transports, stress, fatigue…) et les finances publiques (une faible densité est souvent défavorable au principe de mutualisat ion sur lequel repose la gestion des services urbains). Cette vision de l’aménagement du territoire passe également par la compréhension des enjeux écologiques et la protection et le développement de la nature en ville, via l’évolution des documents d’urbanisme.

Stopper l’artificialisation des sols pour protéger nos espaces naturels et agricoles

L’enjeu de lutter contre l’artificialisation des sols n’est plus à démontrer, à l’heure ou 236 hectares d’espaces agricoles et naturels disparaissent chaque jour, équivalant à la consommation d’un département français tous les sept ans. Pour les Associations de Protection de la Nature et de l’Environnement (APNE), la lutte contre l’artificialisation des sols passe par une compétence de délivrance des permis de construire aux seuls niveaux supra-communaux, en lien avec une révision du mode d’élection des élus intercommunaux. Cela passe également par un bonus malus artificialisation : la taxation de l’artificialisation, et particulièrement des changements d’affectation des terres avec en corolaire un système de bonus pour les changeme nts d’affectation des terres visant au reclassement de zones à urbaniser et zones urbanisables en zones naturelles ou agricoles.

La nature en ville pour protéger et améliorer notre cadre de vie

Un cadre de vie sain et désirable passe également par la préservation et le développement de la nature en ville. Ainsi, les APNE demandent l’intégration dans les documents d’urbanisme d’un diagnostic des enjeux de biodiversité, basé sur la réalisation d'inventaires naturalistes ainsi que la création d'un nouvel outil qui pourrait prendre le nom d’"Espaces de continuité écologique" visant à préserver les espaces identifiés au titre de la trame verte et bleue (TVB). Enfin, les APNE demandent que soit rendu obligatoire la couverture des communes littorales par des SCOT intégrant un volet maritime. 80% des pressions sur la mer viennent de la terre. Les documents d’urbanisme doivent donc impérativement intégrer les enjeux littoraux et marins.

Le gouvernement s’est engagé, lors de la conférence environnementale, à aller vers l’arrêt de l’artificialisation des sols et de la consommation d’espaces agricoles et naturels. Les APNE attendent du gouvernement qu’il tienne son engagement en introduisant dans ce projet de loi une échéance pour parvenir à l’arrêt de l’artificialisation du territoire.

 http://www.fne.asso.fr/fr/loi-logement-et-urbanisme-rendons-nos-villes-desirables-et-protegeons-la-nature.html?cmp_id=33&news_id=13108&vID=897

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8 janvier 2013 2 08 /01 /janvier /2013 18:10

dhuis villevaudé 2 15.10.2011

 

SAUVONS ENSEMBLE  L’AQUEDUC DE LA DHUIS

 

Signez la pétition : http://www.petitionpublique.fr/PeticaoListaSignatarios.aspx?pi=dhuis2

 

 

 

Pétition Non à la destruction de la Dhuis, Non au saccage du bois Gratuel

Pour:Préfets de Seine et Marne et de Seine-Saint-Denis

Non à la destruction de la Dhuis, Non au saccage du bois Gratuel.

Pétition à l’attention des préfets de Seine et Marne et de Seine-Saint-Denis.

Courant Décembre 2012, Placoplâtre a présenté un projet d’exploitation d’une nouvelle carrière à ciel ouvert sur la commune de Villevaudé au lieu dit du Bois Gratuel.

Ce bois traversé par l’Aqueduc et la promenade de la Dhuis fait parti intégrante du corridor écologique ou trame verte qui relie la Seine Saint-Denis (93) et la Seine et Marne (77).

Ce bois de Villevaudé, comme tous les milieux naturels traversé par la Dhuis, est essentiel aux échanges biologiques de l'Est Francilien.N’ayant pu devenir propriétaire de la Dhuis grâce aux actions du Collectif « Sauvons la Dhuis » et à la force de la mobilisation citoyenne, Placoplâtre a décidé de présenter un projet d’exploitation à ciel ouvert qui viendrait à anéantir la majeure partie du bois en venant buter contre la promenade de la Dhuis.

Nos précédentes actions n’ont donc pas été vaines mais le site et la trame verte n’en demeurent pas moins gravement menacés.Le bois Gratuel, parcouru par la Dhuis, est un élément charnière de la trame verte de l’Est Francilien.

Le bois Gratuel est une chênaie frênaie calcicole avec une nombre important d'espèces patrimoniales. Il héberge des orchidées sauvages typiques de ce type de milieu (Orchis Pourpre, Néottie Nid d'oiseau, Ophrys Mouche, Céphalanthère de Damas, Platanthère à deux feuilles, etc.) ainsi qu'un milieu forestier diversifié (Cornouiller mâle, Camérisier, Néflier etc.).

Le bois Gratuel possède un réseau important de mares naturelles permettant la reproduction d'amphibiens et de batraciens protégés au niveau national (Triton vulgaire, Triton palmé, Triton Crêté, Crapaud Commun, Grenouille agile, Couleuvre à collier, ect.).

Ce projet s’oppose également aux normes sanitaires liées au périmètre de protection de la Dhuis. En effet, ce bien d’utilité publique doit posséder des bandes de protection sanitaire de 40 mètres de large de part et d'autre de son emprise.

Nous nous opposons donc avec la plus grande fermeté à la destruction du bois Gratuel et de tous les milieux naturels du massif de l’Aulnoye aussi bien en Seine-Saint-Denis (93) qu’en Seine-et-Marne (77).

S'il doit y avoir une exploitation du gypse, nous demandons que celle-ci soit réalisée de façon souterraine comme toutes les nouvelles exploitations de ce type dans l’Ouest Francilien et notamment celles du Val d’Oise (95).

Il est essentiel que l’aqueduc de la Dhuis et les milieux naturels qui l'environnent soient préservés de toute forme de destruction. C'est grâce à ce type d'exploitation, plus respectueuse de l'environnement et « parfaitement » maîtrisé par BP Placoplâtre que le bois de Bernouille (Coubron - 93), la réserve de Chelles (Coubron / Vaujours - 93), la forêt de (Val d’Oise - 95), ainsi que la butte de Parisis (Cormeilles-en-Parisis – 95) ont pu être sauvés de la destruction.

Courant Avril 2012, au sujet de l’exploitation souterraine future de la Butte de Parisis à Cormeille-en-Parisis dans le Val d’Oise, un représentant de Placoplâtre a même déclaré dans la presse : « Nous savons exploiter en souterrain sans qu'il y ait de risque d'affaissement. Nous faisons exactement la même chose en forêt de Montmorency où, tous les jours, des gens se promènent et ramassent des champignons au-dessus des galeries sans même s'en apercevoir! ».

Ainsi, nous exigeons que les milieux naturels de l’Est Francilien soient traités avec le même respect que ceux de l’Ouest. Comment expliquer cette différence de traitement des milieux naturels d’un côté ou de l’autre de l’Ile de France ? De surcroît, une exploitation souterraine évitera l’usage d’explosif à l’air libre à moins de 300 mètres des habitations.

 

 

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7 janvier 2013 1 07 /01 /janvier /2013 10:38

 

Les carriers sont-ils les fossoyeurs

du canton de Claye-Souilly ?

 

A vous de juger

 

 

 

 

 

Ce canton qui compte 5 décharges pour 6 communes

et 2 carrières remblayées par des déchets inertes 

 

 

 

 

Ici les populations sont condamnées à vivre au milieu des ordures, venant en grande partie de Paris la capitale.

 

 

Si cela ne suffisait pas encore, c’est ici dans ce canton martyrisé

que la Ville de Paris

 projettait de vendre l’un de nos  derniers poumons verts

"l’aqueduc de la Dhuis"

 au carrier Placoplatre Groupe St Gobain.

 

Comment en est-on arrivé là ?

 

La butte d’Aulnoye située pour partie sur le canton de Claye-Souilly a le malheur de posséder  la plus importante ressource de gypse de France.

Nos anciens « des sages » qui connaissaient la valeur de la terre, exploitaient ces carrières en souterrain et laissait le sol aux populations :  terres agricoles, vignes, bois et prairies.

 

  Dans la 2ème moitié du 20ème siècle les carriers sont arrivés avec leurs énormes engins,

certaines carrières ont continué à être exploitées en souterrain mais cela ne suffisait plus,

ils voulaient tout : le sol et le sous-sol,

 

et après… pour reboucher les trous, les ordures de Paris et sa région furent les bienvenues, mais comme on avait de la place on ramena aussi les ordures d’une partie de la France comme à Villeparisis dans l’ancienne carrière Lambert (prédécesseur de Placoplatre) vendue à un exploitant de décharge qui stocke maintenant même des déchets dangereux et des déchets radioactifs (DRNR Déchets à radioactivité naturelle renforcée).

 

Et pendant toutes ces années qu’on fait les élus pour empêcher ce désastre ?

A cette question nous n’avons pas la réponse.

 

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29 décembre 2012 6 29 /12 /décembre /2012 13:30
L'État ne reversera pas aux communes concernées une partie du produit de la
 Taxe générale sur les activités polluantes (TGAP) relative aux matériaux d'extraction
L'article 139 de la loi n° 2010-1657 du 29 décembre 2010 de finances pour 2011 prévoyait d'affecter à compter du 1er janvier 2012, le tiers du produit de la taxe générale sur les activités polluantes (TGAP) relative aux matériaux d'extraction, reprise au 6 du I de l'article 266 sexies du code des douanes, aux collectivités territoriales en vue de financer des opérations destinées à la protection de l'environnement ou à l'entretien des voiries municipales menées par les communes et les établissements publics de coopération intercommunale.

L'article 35 de la loi n° 2011-1977 du 28 décembre 2011 de finances pour 2012 a supprimé l'article 139 de la loi n° 2010-1657 du 29 décembre 2010 de finances pour 2011. L'État ne reversera donc pas aux communes concernées ce prélèvement sur recettes initialement prévu par la loi n° 2010-1657 du 29 décembre 2010de finances pour 2011.

paru sur le site du Sénat
Reversement de la TGAP aux communes

Question soumise le 12 juillet 2012

Mme Cécile Cukierman attire l'attention de M. le ministre de l'économie et des finances sur la taxe générale sur les activités polluantes (TGAP) relative aux matériaux d'extraction, taxe dont le tiers devait être reversé au profit, d'une part, des communes sur le territoire desquels sont extraits les matériaux soumis à cette taxe (pour moitié au moins) et, pour le reliquat, aux communes concernées par les risques et inconvénients causés par l'extraction de ces matériaux.

Or, il semblerait que le Gouvernement n'ait plus l'intention de reverser les sommes perçues aux communes concernées, ce qui aurait de graves conséquences sur leurs finances déjà bien mises à mal.

Dans ces conditions, elle lui demande quelles mesures elle compte prendre pour que le tiers de cette taxe soit effectivement reversé à ces communes, comme le prévoyait la loi n° 2010-1657 du 29 décembre 2010 de finances pour 2011.

Réponse émise le 22 novembre 2012

L'article 139 de la loi n° 2010-1657 du 29 décembre 2010 de finances pour 2011 prévoyait d'affecter à compter du 1er janvier 2012, le tiers du produit de la taxe générale sur les activités polluantes (TGAP) relative aux matériaux d'extraction, reprise au 6 du I de l'article 266 sexies du code des douanes, aux collectivités territoriales en vue de financer des opérations destinées à la protection de l'environnement ou à l'entretien des voiries municipales menées par les communes et les établissements publics de coopération intercommunale. Cette taxe s'est révélée beaucoup trop complexe à mettre en œuvre pour un enjeu financier modeste, de l'ordre de quelques millions d'euros. L'article 35 de la loi n° 2011-1977 du 28 décembre 2011 de finances pour 2012 a supprimé l'article 139 de la loi n° 2010-1657 du 29 décembre 2010 de finances pour 2011. L'État ne reversera donc pas aux communes concernées ce prélèvement sur recettes initialement prévu par la loi n° 2010-1657 du 29 décembre 2010 de finances pour 2011.

 

http://www.nossenateurs.fr/question/14/00551

 

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26 décembre 2012 3 26 /12 /décembre /2012 16:10

 

 

 

placoplatre 16.5.2009 010

Carrière à ciel ouvert Placoplâtre Villeparisis 26.5.2009

 

 

Ce que Placoplâtre  (groupe St Gobain)

veut nous faire au bord de la Dhuis

La multinationale a peut-être des droits mais elle a aussi  un devoir :

celui de respecter l’environnement des habitants du canton de Claye-Souilly 

 

 

 

Paru sur le site du collectif « Sauvons la Dhuis » :

DHUIS : Les carrières à ciel ouvert ou l'Avenir des milieux naturels le long de la Dhuis

Le collectif Sauvons la Dhuis, lutte pour la préservation des milieux naturels qui longent la Dhuis.

En effet, le Bois Gratuel (Villevaudé), le Bois de Montjay et de Grivet (Villevaudé), l'anciennecarrière Letellier ou les Fosses Maloré (Claye-Souilly, Annet-sur-Marne) sont menacés par les industriels du Plâtre (Placoplâtre - Saint-Gobain, ETEX anciennement Lafarge Plâtre).

Le Bois Gratuel est aujourd'hui directement menacé comme nous vous l'avions annoncé lors du dernier communiqué du collectif

Au delà des mots, ils convient de comprendre les désastres écologiques qu'engendrent les carrières de gypse (plâtre) à ciel ouvert.

Pour cela, nous allons vous montrer des photos récentes de 2 carrières à ciel ouvert qui ont déjà anéantis les abords direct de la Dhuis. A savoir, la carrière de Bois le Comte (Villeparisis) et la carrière de Villevaude - Le Pin……

Voyez les photos sur le lien qui suit :

 

http://sauvons.dhuis.fr/post/2012/12/23/DHUIS-%3A-Les-carri%C3%A8res-%C3%A0-ciel-ouvert-ou-l-Avenir-des-milieux-naturels-le-long-de-la-Dhuis

 

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7 décembre 2012 5 07 /12 /décembre /2012 10:54

manifestation novembre 2011

Paru sur le site du collectif "Sauvons la Dhuis" :

DHUIS : Reprise des hostilités avec Placoplâtre

Dhuis : Reprise des hostilités avec Placoplâtre

PLACOPLATRE PERSISTE A DETRUIRE NOTRE CADRE DE VIE
Communiqué officiel du collectif SAUVONS LA DHUIS - http://sauvons.dhuis.fr :

Ce Mardi 04 Décembre 2012, le collectif « Sauvons la Dhuis » a assisté à uneCommission Locale de Concertation et de Surveillance (CLCS) des carrières de Gypse de l’Est franciien exploitées par la société Placoplâtre (BPB Placo, filiale du groupe Saint-Gobain). Cette CLCS a été orchestrée par les sous-préfets du 93 et du 77 en présence des élus et des services de l’Etat.

Le collectif « Sauvons la Dhuis » a donc pris connaissance des nouvelles menaces sévères qui pèsent sur la Dhuis.
Villevaudé : Projet de Destruction du Bois de Gratuel :

Placoplâtre a présenté un projet d’exploitation d’unenouvelle carrière à ciel ouvert sur la communede Villevaudé au lieu dit du Bois de Gratuel.

Ce bois traversé par l’Aqueduc et la promenade de la Dhuis fait parti intégrante du corridor écologique ou trame verte qui relie la SeineSaint-Denis (93) et la Seine et Marne (77).

 

La coulée verte de la Dhuis

N’ayant pu devenir propriétaire de la Dhuis grâce aux actions du Collectif et à la force de la mobilisation citoyenne, Placoplâtre a décidé de présenter un projet d’exploitation à ciel ouvert qui viendrait à anéantir la majeure partie du bois en venant buter contre la promenade de la Dhuis.

Élément charnière de la trame verte de l’Est Francilien, le bois de Gratuel parcouru par la Dhuis, sur la commune de Villevaudé, possède un réseau important de mares naturelles abritant un nombre non négligeable d’espèces protégées au niveau national.

Ce projet s’oppose aux normes sanitaires liées au périmètre de protection de la Dhuis. En effet, ce bien d’utilité publique doit posséder des bandes de protection sanitaires de 40 mètres de large de part et d'autre de son emprise

 

Exemple de carrière à ciel ouvert.

Le succès de nos actions de préservation de la Dhuis a permis de préserver les milieux naturels du bois de Gratuel situés au nord de la Dhuis. Nos précédentes actions n’ont donc pas été vaines mais le site et la trame verte n’en demeurent pas moins gravement menacés.

 

Manifestation pour la sauvegarde la Dhuis en date du 19 Novembre 2011 avec plus de 900 personnes.
Le collectif « Sauvons la Dhuis » s’oppose donc avec la plus grande fermeté à la destruction du bois de Gratuel. Nous demandons donc que l’exploitation du gypse soit réalisée en cavages afin que l’aqueduc de la Dhuis et les milieux naturels qui l'environnent soient préservées de toute forme de destruction. C'est grâce à ce type d'exploitation, plus respectueuse de l'environnement, que le Bois de Bernouille sur Coubron a pu être sauvegardé.
Courtry : Projet de Destruction du Fort de Vaujours :

Sur les communes de Courtry, Vaujours et Coubron surplombe le Fort de Vaujours. Bordée par la Dhuis et de sa promenade, cette anciennefortification chargée d'histoire a été utilisée de 1955 à 1997 par le Commissariat à l’Energie Atomique (CEA). Le glas de ce patrimoinehistorique semble avoir sonné.

 

Entrée du Fort de Vaujours en 2010.

C’est sur ce site qu’a été développé le détonateur de la première bombe atomique française : la gerboise bleue.

Ce site de 45 hectares présente des risques très importants de contamination résiduelle en matières radioactives (Uranium 238, voire autres).

Cette contamination radiologique a été confirmée en 2001 par la CRIIRAD (Commission de Recherche et d'Information Indépendantes sur la Radioactivité) et par le CEA lui-même qui a reconnu que certains ouvrages contaminés avaient été noyés dans le béton compte tenu de l’impossibilité de les décontaminer.

 

Mesure de radioactivité à 33 fois la norme prise dans l'enceinte du fort de Vaujours en Mai 2011 avec un RADEX 1503 certifié par la CRIIRAD.

A cette pollution exceptionnelle en proche banlieue s’ajoutent des risques non moins importants liés à la présence d’explosifs puissants en subsurface, des pollutions en métaux lourds (Arsenic, Cuivre, Plomb, Tungstène, Zirconium, ect.) s’écrit etc) et des pollutions chimiques (Dioxine, PCB, ect.).

Placoplâtre projette d'exploiter ce site à ciel ouvert pour y extraire le gypse.

Après la destruction et démantèlement de la fortification, afin de découvrir le gypse, Placoplâtre propose le retrait 3 à 4 millions de m3 de terres (Unemontagne !!!) et leur transfert dans unecarrière abandonnée située à cheval des communes de Coubron et Vaujours .

La méthode d’exploitation proposée est donc illégale au regard des servitudes imposées. Que penser du déplacement de telles quantités de terre potentiellement polluées et contaminées ?

Dans ce contexte, où les risques sont mal connus donc non maîtrisés, quelles garanties Placoplâtre peut apporter à la sureté des habitants des communes environnantes, à la sécurité des salariés et sous-traitants qui interviendront sur ce site, à la sécurité des riverains et des usagers de la Dhuys ?

 

Dans les entrailles du fort de Vaujours

Comment Placoplâtre peut elle garantir que les 3 à 4 millions de m3 des terres de découvertes seront correctement traités et décontaminés ?

Comment Placoplâtre peut elle raisonnablement garantir la non contamination des sols, de l’air et des eaux compte tenu de la multitude des risques et des millions de m3 de terre à traiter ?

Existe t'il dans un milieu si urbanisé un autre chantier de dépollution de cet ampleur présentant autant de risques radiologiques ?

Comment Placoplâtre peut elle garantir que les matériaux de construction issus de l’exploitation seront exempts de contamination ?

A la lumière de ces très fortes interrogations, le collectif « Sauvons la Dhuis » émet donc les plus grandes réserves à cet autre projet d’exploitation de carrière à ciel ouvert et souligne son caractère parfaitement périlleux et hasardeux.

Cordialement,

Le collectif SAUVONS LA DHUIS - http://sauvons.dhuis.fr
  • Nature Environnement 77
  • Villevaudé... Demain
  • Les Abbesses de Gagny-Chelles
  • Environnement 93
  • ADENCA
  • Les Amis de Carnetin
  • Association de Défense de l'Environnement du Bois Fleuri (ADEBF)
  • AJT Rando
  • Marne et Gondoire à Vélo

 lien vers l'article avec photos :

http://sauvons.dhuis.fr/post/2012/12/06/DHUIS-:-Reprise-des-hostilités-avec-Placoplâtre

 

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23 juillet 2012 1 23 /07 /juillet /2012 16:17

 

 

 

 

dhuis villevaudé 2 15.10.2011

aQUEDUC DE LA

 

 

Paru sur le site du Collectif « Sauvons la Dhuis » :

Aqueduc de la Dhuis : Abandon officiel de la Mairie de PARIS et poursuite des opérations du Collectif

Communiqué - Aqueduc de la Dhuis : Abandon officiel de la Mairie de PARIS et poursuite des opérations du Collectif

 

L'aqueduc de la Dhuis ou l'axe fondamental de la trame verte de l'Est Francilien.
Petit historique :

Le 21 Septembre 2011 l’hallali sonne sur une fin annoncée de l’aqueduc de la Dhuis.

  • Début octobre 2011 voit naitre un nouveau collectif « Sauvons la Dhuis » composée d’associations de défense de l’environnement, de cyclotouriste, de randonneurs et de fédérations d’associations environnementales départementales du 77 et du 93.
  • Une pétition en ligne est lancée… les attentes sont largement dépassées le compteur des signataires s’emballe dès la première semaine 5000 signatures au final.

http://www.petitionpublique.fr/?pi=dhuis

  • Mi octobre alors que le projet de cession de l’aqueduc de la Dhuis doit être débattu en Conseil de Paris le projet est retiré de l’ordre du jour grâce à différentes actions croisées.
  • Début Novembre le collectif demande à être reçu par la Société BP PLACOPLATRE.
  • Mi novembre sous un soleil d’été indien 900 personnes se joignent à pied ou à vélo au collectif sur un tronçon de la Dhuis avec à leurs côtés des membres d’associations du 77 du 93 du 94, des élus locaux maires des communes environnantes, des représentants de tous les partis politiques, des représentants du Conseil Régional, du Conseil Général, le descendant de Monsieur Hausmann.

 

  • En décembre les communes environnantes votent en leurs conseils des motions de soutien et de demande de retrait du projet à la mairie de Paris.
  • Début février le collectif obtient un rendez-vous avec le Conseil Régional du 77 qui lui propose de participer au « Schéma régional de cohérence écologique » (ou SRCE) d'Ile de France. Le collectif va participer à 3 réunions de travail autour de l'élaboration du SRCE entre mars et avril.
  • Début mars le collectif est reçu par Monsieur Mansat le porteur du projet auprès de la Mairie de Paris qui en fin d’entretien confirme son intention de retirer définitivement ce projet de cession des débats du Conseil de Paris.
  • Mi mai le collectif reçoit la confirmation officiel de l’abandon du projet.

 

9 MOIS d’efforts et d’investissements personnels importants pour une première étape.
Remerciements :

Les membres du Collectif « Sauvons la Dhuis » tenait à adresser ses remerciements aux différents soutiens qui lui ont permis depuis le 21 septembre de continuer avec pugnacité son combat pour la préservation de l'aqueduc de la Dhuis.

Nous renouvelons nos remerciements aux communes qui ont fait voter des motions et différentes personnalités politiques présentes lors de la manifestation du 19 novembre, aux élus qui ont acceptés de nous recevoir et de nous entendre, et à Mr Mansat et à la Mairie de Paris pour avoir entendu nos demandes.

Et maintenant :

Après avoir paré à l'urgence en réussissant à faire entendre la voix des habitants du 93 et du 77, le collectif « Sauvons la Dhuis » veut commencer un travail de longue haleine afin de sauvegarder durablement l'aqueduc de la Dhuis comme corridor écologique du Raincy à Dampmart et cela sans discontinuité.

En effet, rien ne protège véritablement l'Aqueduc de la Dhuis en Seine-et-Marne, aucun statut de protection ne le préserve lui et les milieux naturels exceptionnels qu’il alimente.

Ce corridor écologique est majeur pour le vivant de la région Ile de France et l'Est Francilien.

Au-delà de la participation du collectif « Sauvons la Dhuis » au sein du « Schéma régional de cohérence écologique » (ou SRCE) d'Ile de France nous attendons que les acteurs locaux intègre les nouveaux outils issus du Grenelle Environnement de manière volontariste dans leurs documents d’urbanismes.

En effet il est important de signaler que le SRCE est un état des lieux global Ile de France qui ne protège pas les sites naturels mais renvoie aux caractéristiques et protections des sites locaux déjà inscrits comme sites protégés.

Nous tenions à souligner que la société Ecosphère (société d'expertise écologique et environnementale) qui assiste à l'élaboration du SRCE d'Ile de France est également un fournisseur de services des sociétés extractrices de gypse Lafarge et société BP Placoplâtre.

Afin d'éviter toute forme possible de collusion, nous demandons qu'un autre prestataire soit consulté afin d'étudier les secteurs traversés par l'aqueduc de la Dhuis dans l'Est Francilien.

La Dhuis doit prendre ses lettres de noblesse en tant que corridor écologique dans un cadre règlementaire et pérenne. Nous demandons donc officiellement aux élus d’élargir leurs réflexions vers une notion régionale de l’est Parisien et les invitons à inscrire ce corridor écologique et les espaces naturels qu’il alimente en Espaces Naturels Sensibles et Natura 2000.

Cordialement,

Le collectif SAUVONS LA DHUIS - http://sauvons.dhuis.fr
  • Nature Environnement 77
  • Villevaudé... Demain
  • Les Abbesses de Gagny-Chelles
  • Environnement 93
  • ADENCA
  • Les Amis de Carnetin
  • Association de Défense de l'Environnement du Bois Fleuri (ADEBF)
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http://sauvons.dhuis.fr/post/2012/07/04/Aqueduc-de-la-Dhuis-%3A-Abandon-officiel-de-la-Mairie-de-PARIS-et-poursuite-des-op%C3%A9rations-du-Collectif

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5 juin 2012 2 05 /06 /juin /2012 21:05

 

 

 

Claye-Souilly
Ne laissez pas disparaître l’un des plus beaux sites naturalistes du nord-ouest 77
l’ancienne carrière Letellier

 

 

 

 

Letellier 23052011 Libellule a Quatre-Taches m

 

Carrière Letellier Libellule à quatre tâches (photo23/5/2011 Les Abbesses Gagny-Chelles)

 

 

 

 

Consultez les articles parus sur le blog des Abbesses de Gagny-Chelles :

http://blog.gagny-abbesses.info/post/2011/06/16/Autour-de-l-%C3%A9tang-magique-de-la-carri%C3%A8re-Letellier

http://blog.gagny-abbesses.info/post/2011/05/26/Un-petit-d%C3%A9tour-dans-la-carri%C3%A8re-Letellier

http://blog.gagny-abbesses.info/post/2011/03/22/Le-mois-de-mars-2011-dans-le-plus-beau-site-naturaliste-du-nord-Seine-et-Marne

http://blog.gagny-abbesses.info/post/2010/06/17/Les-odonates-de-la-carri%C3%A8re-oubli%C3%A9e

 

 

En effet les terrains de cette ancienne carrière ont été acquis par

la multinationale St Gobain ( à travers  sa filiale Placoplâtre) qui

projette d’y exploiter une carrière de gypse à ciel ouvert.

 

 

Voir à ce sujet notre article :

http://adenca.over-blog.com/article-claye-souilly-exploitation-de-carrieres-de-gypse-et-risques-de-sismicite-105855519.html

 

 

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27 mai 2012 7 27 /05 /mai /2012 13:46

Claye-Souilly
Implantation de près de  900 logements
à proximité d’une ancienne carrière de gypse
qui devrait être de nouveau exploitée dans les années à venir
par la multinationale St Gobain (à travers sa filiale Placoplâtre).
                               Claye-Souilly 26/5/2011 à proximité du lotissement de Maupertuis
C’est en effet derrière ce rideau d’arbres qu’une filiale de la multinationale St Gobain
achète depuis des années toutes les parcelles de terrain dans le but d’exploiter une carrière à ciel ouvert comme elle le fait déjà à proximité sur les communes de Villeparisis et Villevaudé.
Un arrêté préfectoral du 2 mai 2012 nous apprend que Claye-Souilly est concernée
par une zone de sismicité, c’est pourquoi nous sommes inquiets quand aux risques encourus par la population si des carrières devaient être exploitées sur cette commune.
En effet afin d’exploiter le gypse les carriers utilisent des explosifs, ces mêmes explosifs pourraient semble-t-il produire des mini-séismes donc ajouter un risque à cette zone concernée par la sismicité.
Afin de vous informer sur le sujet nous mettons en lien un article paru dans la revue Science et Vie de 2009.
Extrait article paru sur le site  Balades naturalistes Sorties dans la nature en Franche-Comté et ailleurs :

 

Séismes provoqués par les activités humaines

 

par Boris Bellanger (Science & Vie 2009)

 

L'Homme responsable de séismes ? Barrages, mines, forages, géothermie agressent la croûte terrestre engendrant parfois des réactions dévastatrices. Toutes ces installations peuvent déclencher des tremblements de terre. À Bâle (Suisse) en décembre 2006 une mine de charbon dans l'Utah (États-Unis) en août 2007, et un autre dans la région de Sarrebruck (Allemagne) en février 2008 ont enfanté une série de séismes. Sans oublier le dévastateur tremblement de terre survenu au Sichuan en Chine le 12 mai 2008, que certains scientifiques audacieux relient aujourd'hui à la présence du barrage voisin de Zipingpu.

Depuis des décennies, plusieurs observations ont interpellé les scientifiques qui sont à l'écoute des soubresauts de notre planète. "Le soupçon d'influence naît lorsqu'il y a coïncidence dans le temps et dans l'espace entre le tremblement de terre et la mise en activité d'une installation, par exemple lors de la mise en eau d'un barrage, explique Jean-Robert Grasso, du Laboratoire de géophysique interne et tectonophysique de l'université Joseph-Fourier (Grenoble), un des rares Français à se pencher sur ce sujet. "Si l'on observe un événement sismique, on s'interroge, mais lorsque c'est unesérie d'événements qui se produit à un endroit précis, notre certitude augmente."

Pour pouvoir incriminer une ingérence humaine dans la tectonique de la planète, il est nécessaire de connaître précisément l'activité sismique de la région avant la mise en service des installations incriminées. En France, l'historique des secousses ressenties par la population est parfaitement documenté sur les cinq derniers siècles. Ce qui a permis notamment à Jean-Robert Grasso de démontrer de manière flagrante, dès les années 1980, que les séismes enregistrés dans la région de Pau, dont certains de magnitude 4, étaient dus à l'exploitation de l'immense gisement de gaz naturel de Lacq par Elf Aquitaine. Le bassin sédimentaire aquitain était en effet connu jusque-là pour être le plus calme de France au niveau sismique. "Les tremblements de terre apparus dix ans après les premiers pompages à Lacq, en 1969, et qui perdurent depuis, ont donc été facilement repérés", explique Pascal Bernard, sismologue à l'Institut de physique du globe de Paris.

Un autre exemple ? Dans le nord-est des États-Unis, l'exploitation de mines profondes, de vastes carrières à ciel ouvert et de puits d'injection de fluide en profondeur est, d'après les chercheurs, directement à l'origine d'un séisme sur trois enregistrés depuis les années 1980 dans cette région normalement peu active d'un point de vue géologique ! Et ce n'est pas une particularité locale, comme le démontrent les travaux de Christian Kiose, géologue à l'Observatoire de la Terre Lamont-Doherty de l'université Columbia (New York).

Dans une tentative de recensement publiée en août 2007, ce scientifique a dénombré plus de 200 endroits dans le monde pour lesquels l'action humaine a été reconnue comme responsable du déclenchement de séismes. Sa conclusion ? "Si l'on regarde la distribution des séismes déclenchés par l'Homme à l'échelle du globe, il apparaît que la majorité d'entre eux est située dans les régions continentales stables, pour lesquelles le niveau de sismicité naturelle est historiquement bas."

………. 

 

UNE PETITE PERTURBATION SUFFIT À DÉCLENCHER UN SÉISME

Ce qui ressort de l'analyse des nombreux cas recensés est très étonnant : l'Homme n'a pas besoin de perturber fortement le système naturel pour réactiver une faille. "Si la faille est sur le point de rompre, il peut suffire d'un changement de contrainte en profondeur, au niveau de la faille, d'un dixième de bar (c'est-à-dire équivalent à un dixième de la pression atmosphé- rique) pour déclencher la rupture", explique Pascal Bernard. L'homme peut ainsi précipiter l'apparition d'un séisme de la même façon qu'une mouche se posant sur un château de carte en équilibre précaire sera à même, malgré sa légèreté, de le faire s'écrouler. C'est ainsi qu'il aurait déclenché un tremblement de terre à Newcastle, en Australie, en 1989…… 

"Des failles en milieu de cycle peuvent donc très bien être déclenchées par l'Homme, pour peu qu'elles soient très proches du lieu de l'installation", précise Pascal Bernard. Si l'Homme n'a qu'une pichenette à donner pour réveiller une faille endormie, il est donc à même de rivaliser avec les forces mises en œuvre par notre planète...

 

Pour en savoir plus :

Bellanger B. (2009). – Quand l'homme fait trembler la terre Science & Vie avril 2009, n° 1099, pp. 44-59

Lien vers l’article :

http://baladesnaturalistes.hautetfort.com/archive/2012/03/22/seismes-provoques-par-les-activites-humaines.html

 

Pour aller plus loin :

http://www.questmachine.org/article/les_tremblements_de_terre

http://valberange.free.fr/CSDU/tir-de-mine-et-seisme-1928.pdf

http://troglos.free.fr/dossiers_paris_ile_de_france/dossier_carrieres_paris/dossier_gypse_3.html

http://www.leparisien.fr/val-d-oise/plongee-dans-les-entrailles-des-carrieres-de-gypse-14-04-2005-2005864535.php

http://www.datacombes.com/index.php/presse/2001-2/voyage-au-pays-de-l-or-beige.html

 

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