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15 mars 2022 2 15 /03 /mars /2022 11:15

 

 

Monstrueuses

décharges illégales

Rodrigue Kokouendo (LREM)

Un député 

aux abonnés absents ?

 

La 1ère entre 2019 et 2020 à Courtry sur le site de l’ancien Fort de Vaujours où des centaines de roms s’étaient implantés laissant derrière eux une monstrueuse décharge illégale dont l’enlèvement devrait coûter près de 1.2 millions d’euros aux contribuables de la communauté d’agglomération Paris Vallée de la Marne

 

La seconde  à Compans en 2021 où des centaines de Roms avaient investis un terrain appartenant à ADP et où un monstrueux incendie s’est déclaré fin août 2021, l'extinction de l'incendie à la charge du contribuable, en effet les pompiers ayant mis près de 6 jours à le circonscrire.

 

La 3ème à Compans où les Roms ont réinvestis en novembre dernier un terrain situé en face du précédent, appartenant au ministère de l’écologie, et viennent d’être évacués ce week-end laissant derrière eux une nouvelle décharge illégale.

Ce site du ministère de l’écologie avait déjà été investi 8 ans plus tôt par les roms qui y avait laissé une décharge illégale dont l’enlèvement avait coûté des centaines de milliers d’euros aux contribuables, site qui avait été sécurisé par des barrières.

 

Associations environnementales

 inutile d’alerter

les services de l’ETAT ne vous écoutent pas !

 

Dès le mois de septembre 2021  Adenca avait attiré l’attention des services de l’ETAT, suite à l’enlèvement des barrières de sécurité par la DIRIF (Ministère de l’Ecologie), 2 mois plus tard les roms investiront de nouveau le site.

 

C’est encore le contribuable

qui va devoir payer

l’addition

pour le retrait de ces déchets.

 

 

Pour tous renseignements complémentaires

vous pouvez essayer de contacter

le député

Rodrigue Kokouendo

 ou l’un de ses 4 attachés parlementaires

 payés par vos impôts

https://www2.assemblee-nationale.fr/deputes/fiche/OMC_PA721644

 

 

Pour aller plus loin :

https://actu.fr/ile-de-france/courtry_77139/le-fort-de-vaujours-entre-secret-militaire-et-site-squatte-une-histoire-compliquee_47463003.html

https://actu.fr/ile-de-france/compans_77123/en-images-les-restes-spectaculaires-de-l-incendie-d-un-camp-de-roms-a-roissy_44806706.html

 

 

Extrait de l’article du journal « La Marne » :

IMAGES. Le bidonville rom de la N2 évacué près de Roissy-Charles de Gaulle

Les Roms ont quitté le camp entre le samedi 12 et le dimanche 13 mars 2022. Une évacuation devait être menée par les forces de l'ordre lundi 14 mars, mais n'a pas été nécessaire.

 

7ème circonscription du 77, député Rodrigue Kokouendo :                        3monstrueuses décharges illégales et un député aux abonnés absents ?

Les Roms ont quitté le bidonville de Compans entre samedi 12 et dimanche 13 mars 2022. (©DR)

Par Louis GohinPublié le 14 Mar 22 à 16:18 

De nombreux baraquements, des déchets de toutes sortes, un sol souillé… Le bidonville de Compans et Thieux (Seine-et-Marne) apparu en novembre 2021 a été évacué entre samedi 12 et dimanche 13 mars 2022.

Les Roms sont partis d’eux-mêmes, selon plusieurs sources officielles. Ils étaient 700 personnes réparties dans 168 cabanes, selon l’estimation de la police.

Les policiers les avaient prévenus qu’ils les feraient partir lundi 14 mars.

Le camp de Roms abandonné à Compans

Le maire de Compans Joël Marion réagit : « J’attends maintenant que la Direction des routes d’Île-de-France (Dirif) fasse trier, déblayer et dépolluer le sol. »

Propriétaire du terrain, la Dirif n’a pas répondu à notre appel.

Le 23 février, le tribunal administratif de Melun a émis une ordonnance pour l’évacuation du site. Un huissier s’est déplacé deux fois.

Les Roms étant toujours présents, il a été demandé à la police d’intervenir. « Nous sommes venus tous les jours de la semaine du 7 au 11 mars pour signifier aux occupants que nous allions procéder à l’évacuation », confie une source policière. »

Elle ajoute : « Ils sont finalement partis d’eux-mêmes. Lundi matin, il ne restait qu’une vingtaine de personnes en train de rassembler leurs affaires. »……

7ème circonscription du 77, député Rodrigue Kokouendo :                        3monstrueuses décharges illégales et un député aux abonnés absents ?
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14 mars 2022 1 14 /03 /mars /2022 20:11

Paru sur le site ARIA 

la référence du retour d’expérience sur accidents technologiques

 

 

Incendie dans une usine de méthanisation

N° 54022 -  16/07/2019 -  FRANCE - 22 - LE MENE

E38.21 - Traitement et élimination des déchets non dangereux

 

Vers 6 h, dans une usine de méthanisation, un feu se déclare dans un atelier de 2 000 m² dédié au traitement des boues issues du process. Des fumées sont visibles à plusieurs km autour du site. Un tiers alerte les pompiers et l’exploitant. L’activité de l’usine est entièrement arrêtée et les énergies sont coupées. Le réseau biogaz est mis en sécurité. Le bâtiment contient une cuve de 10 000 l d’acide sulfurique à 78○%, qui fond sous l’effet des flammes. Un important dispositif de pompiers circonscrit l’incendie vers 7h30. Un groupe électrogène est installé pour remettre en service les principaux organes de sécurité (torchère et ventilateur du digesteur secondaire). Un pH de 2,5 (présence d’acide sulfurique) est relevé dans les eaux d’extinction contenues dans le bassin de rétention de 100 m³. Un engin mécanique déblaie les lieux. Un gardien surveille le bâtiment impliqué durant la nuit, puis les pompiers effectuent une ronde le lendemain vers 10 h.

Un arrêté de mesures d’urgence est pris. Une société de nettoyage collecte et traite les eaux contenues dans la rétention. Une petite fuite d’eaux d’extinction vers le fossé est traitée par curage.

La structure métallique du bâtiment process est endommagée et menace de s’effondrer. Les équipements présents dans le bâtiment (cuve de stockage acide, sécheur, pompes, câbles électriques…), ainsi que le biofiltre accolé, sont détruits. Les moteurs de cogénération, la torchère, les digesteurs, les cuves extérieures et le bâtiment administratif n’ont pas été touchés. L’activité du site sera arrêtée pendant plusieurs mois (chômage technique pour 5 personnes). Les différentes cuves présentes sur site (stockage matières premières, méthanisation, hygiénisation…) doivent être vidangées.

L’entreprise était en difficulté économique depuis plusieurs mois. Un incendie s’est déjà déclaré sur le site en 2015 (ARIA 53989).

https://www.aria.developpement-durable.gouv.fr/accident/54022/

 

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12 mars 2022 6 12 /03 /mars /2022 17:51
FORET REGIONALE DE MONTGE EN GOELE : la patrouille de l'AEV
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10 mars 2022 4 10 /03 /mars /2022 10:08

 

Depuis des années les associations demandent un état des lieux de l’assainissement dans la zone industrielle de Mitry-Compans mais sans résultat.

 

C’est la Communauté d’agglomération CARPF qui est en charge de ce dossier.

 

Lors de la dernière CSS du 21/1/2021  Joël Marion, maire de Compans et représentant de la CARPF indiquait :

Zone industrielle Mitry-Compans : l’assainissement un sujet qui fâche !

Les associations de défense de l’environnement et des riverains demandent une fois de plus que cette question soit mise à l’ordre du jour lors de la prochaine CSS du 1er avril prochain.

 

 

Joël Marion

va-t-il soutenir leur demande ?

 

Le sous préfet Nicolas Honoré

acceptera-t-il  de mettre ce point à l'ordre du jour ?

 

Nous n’en savons rien

 

 

Ce que nous savons c’est que depuis 27 ans les associations attirent l’attention des élus et des pouvoirs publics sur ce dossier,  l’article édifiant qui suit, daté de 1995, vous permettra de mieux comprendre la situation.

 

 

Article du journal Libération :

La zone industrielle de Mitry-Compans sous haute surveillance

par Cécile PLET

publié le 7 février 1995 à 1h23

 

Suite à la commission locale d'information qui se tenait jeudi au sujet de la zone industrielle de Mitry-Compans, le sous-préfet, Jacques Gerault, le maire de Mitry-Mory, Jean-Pierre Bontoux (PCF), et la Drire (Direction régionale de l'industrie, de la recherche et de l'environnement) ont pris des engagements afin d'améliorer la sécurité (lire Libéra- tion du 2 février).

 

Au cours de cette réunion, l'eau s'est révélée être le problème majeur: «Il est ressorti clairement que personne ne maîtrise le plan des réseaux d'assainissement sur la zone», déclare Christine Gilloire, membre du comité départemental d'hygiène et de l'ASMSN (association seine-et-marnaise de sauvegarde de la nature). «On ne sait pas où vont les eaux usées, ni les eaux pluviales, qui dépassent des normes de pollution.» Aussi, une étude approfondie du plan d'assainissement doit être effectuée cette année et un programme de 100 millions de francs est lancé pour le retraitement des eaux de ruissellement et le raccordement des entreprises au réseau d'assainissement. La qualité de l'air était également à l'ordre du jour, suite à la pollution du 2 janvier dans l'entreprise de matériels informatiques Inmac. Le sous-préfet compte faciliter et multiplier les contrôles de l'air inopinés sur l'ensemble de la zone industrielle. D'autre part, un PIG (plan d'intérêt général) des Raffineries du Midi a été annoncé pour le mois de juin prochain. Ce plan rendrait inconstructibles les terrains vacants dans un périmètre encore indéterminé autour de l'entre- prise. Pour Christine Gilloire, le mal est déjà fait puisque des entreprises sont déjà installées près des raffineries. Quant à l'absence d'information destinée à la population sur les mesures à prendre en cas de pollution, la mairie et les entreprises vont mettre au point des actions et les Raffineries du midi doivent, d'ici la fin du mois, publier une plaquette d'information sur ses activités et ses dangers.

 

«Cette rencontre a été satisfaisante, conclut Christine Gilloire, on sent une honnêteté dans la reconnaissance des problèmes. J'espère simplement qu'elle n'est pas de surface.» La commission se réunira à nouveau au cours du second semestre 95.

Cécile PLET

https://www.liberation.fr/libe-3-metro/1995/02/07/la-zone-industrielle-de-mitry-compans-sous-haute-surveillance_124279/

 

 

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7 mars 2022 1 07 /03 /mars /2022 16:19

Paru sur le site ARIA 

la référence du retour d’expérience sur accidents technologiques

 

Arrachage de la bâche d’un méthaniseur

N° 56356 -  29/03/2020 -  FRANCE - 29 - QUIMPER

D35.11 - Production d'électricité

 

Des vents de secteur Nord/Nord-Est endommagent la bâche de protection d’une cuve de stockage contenant 5 292 m³ de digestat liquide d’une unité de méthanisation. Les contraintes mécaniques exercées sur cette bâche et ses dispositifs d’ancrage provoquent l’arrachement du mât de soutènement central et l’effondrement de la bâche qui recouvre moins de 50 % de la surface du digestat stocké dans cette cuve. Le prestataire pour la réparation de la bâche signale qu’il ne peut intervenir car il a suspendu les opérations de ses équipes en raison des mesures de confinement liées à l’épidémie de Covid-19. L’exploitant met en place une protection provisoire, prenant en compte le risque d’accumulation de biogaz, sur la cuve pour prévenir l’introduction d’eaux pluviales. Ce dispositif, équipé d’une collecte raccordé aux traitements de biogaz présents sur le site, est maintenu en place au moins jusqu’à la vidange complète de la cuve.

Selon l’exploitant, les coups de vent successifs de l’hiver auraient fragilisé le mât central en métal qui repose sur un pilier en béton placé au centre de la cuve.

Un mois et demi plus tôt, la bâche de la cuve de stockage avait été arrachée lors de la tempête Dennis (ARIA 55332).

https://www.aria.developpement-durable.gouv.fr/accident/56356/

 

N° 55332 -  16/02/2020 -  FRANCE - 29 - QUIMPER

D35.11 - Production d'électricité

Lors d’un vent de Nord-Est particulièrement fort suite au passage de la tempête Dennis, la bâche d’un méthaniseur contenant 5 292 m³ de digestat est rabattue sur le bord de la cuve. Le digestat liquide est découvert.

L’inspection des installations classées constate que le système d’attache de la bâche semblerait être réalisé par des sangles et non par des boudins comme prévu.

La réparation de la bâche est effectuée 3 jours plus tard grâce à un colmatage des brèches et un renforcement de leurs ancrages à la structure béton des cuves. Les renforcements sont réalisés à l’aide de sangles additionnelles. Une deuxième intervention était prévue par l’exploitant mais n’a pas pu être réalisée par le prestataire en raison des mesures liées à la lutte contre la Covid-19. Un mois et demi plus tard, des vents endommagent à nouveau la bâche de la cuve de stockage (ARIA 56356).

https://www.aria.developpement-durable.gouv.fr/accident/55332/

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6 mars 2022 7 06 /03 /mars /2022 19:22
LE LAVOIR DE BOULEURS
LE LAVOIR DE BOULEURS
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3 mars 2022 4 03 /03 /mars /2022 17:07

 

Dans le bulletin municipal d’avril 2021 un article d’une page était consacré au sauvetage de 300 Grenouilles et Crapauds qui ont été déplacés des alentours de Roissy vers Souilly.

 

Souilly : des arbres se sont effondrés sur la mare qui devait « accueillir » les amphibiens !

 

Mais hélas la mare a disparu aujourd'hui sous des branchages

 comme vous pouvez le constater

 au vu de la photo ci-dessous.

Souilly : des arbres se sont effondrés sur la mare qui devait « accueillir » les amphibiens !

 

 

Que fait la communauté d'agglo

CARPF

qui est en charge de l'entretien de ce site ?

 

 

 

 

Pour le savoir, nous vous conseillons de contacter

Jean-Luc Servières

vice président de la CARPF

 

 

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1 mars 2022 2 01 /03 /mars /2022 14:54

 

Paru sur le site Reporterre :

Victoire pour les opposants d’une usine à bitume

Victoire pour les opposants d’une usine à bitume

Victoire pour les opposants à la centrale d’enrobage à chaud de la Ville-sous-la-Ferté (Aube). Le 24 février, le tribunal administratif de Châlons-en-Champagne (Marne) a annulé l’autorisation d’exploiter délivrée en octobre 2019 par le préfet de l’Aube à la SARL Jean Poirier, qui porte ce projet d’installation de production d’enrobé bitumineux routier. Il avait été saisi en mars 2020 par les associations Les Amis de la Terre et Préservons la vallée de Clairvaux.

Présenté lors d’une réunion publique en avril 2019 aux habitants de la commune, ce projet d’une capacité de production de 49 500 tonnes d’enrobé par an, à 600 mètres des premières habitations, avait immédiatement inquiété une partie de la population. Le jugement, que Reporterre a pu consulter, évoque ainsi « des émanations odorantes de goudron » dont l’intensité et le périmètre « n’ont pas été précisément évaluées » et un risque de pollution des eaux aux hydrocarbures.

« Après maintes recherches et une étude très approfondie de l’ensemble du dossier du pétitionnaire et de l’arrêté préfectoral, en première instance, sans contestation possible ni une seule ligne désapprouvant notre action, le président du tribunal administratif de Châlons-en-Champagne a débouté de sa demande d’exploitation la SARL Poirier et a annulé purement et simplement l’arrêté préfectoral du 11 octobre 2019, s’est réjoui dans un communiqué Patrick Lorne, de Préservons la vallée de Clairvaux. Nous souhaitons partager avec vous tous la joie que nous ressentons ! Mais aussi apporter à chacun l’espoir que tout est possible quand tout est tenté et que rien n’est négligé... ni le courage pour la masse de travail à produire pour se défendre, ni la hargne à ne pas se laisser enfumer ! »

 

 

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https://reporterre.net/Victoire-dans-l-Aube-une-usine-a-asphalte-routier-annulee

 

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28 février 2022 1 28 /02 /février /2022 18:55
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27 février 2022 7 27 /02 /février /2022 11:17
base de loisirs de Jablines
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