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5 mai 2013 7 05 /05 /mai /2013 19:11
Protection des salariés
 travaillant
dans les déchetteries ou
installations de traitement de déchets
et manipulant de l’amiante 
Paru sur le site INRS :
Exposition à l'amiante lors du traitement des déchets

Guide de prévention

Ce document est destiné à informer et à fournir des conseils pratiques de prévention à tous les professionnels qui, travaillant dans les déchèteries ou les installations de stockage des déchets, peuvent être amenés à manipuler et à intervenir sur des déchets contenant de l'amiante.
Il ne concerne pas, en revanche, les salariés des entreprises qui effectuent des travaux de retrait et de confinement de matériaux contenant de l'amiante, d'une part, ou des travaux d'entretien et de maintenance, d'autre part.
Pour ces professions, des règles particulières de travail ont été fixées dans des guides spécifiques :
- Exposition à l'amiante dans les travaux d'entretien et de maintenance (ED 809)
- Situations de travail exposant à l'amiante (ED 6005)
- Travaux de retrait ou d'encapsulage de matériaux contenant de l'amiante (ED 6091)
Cependant, les chapitres concernant la réglementation et le traitement de déchets pourront utilement être consultés par ces entreprises.

 

 

http://www.inrs.fr/accueil/produits/mediatheque/doc/publications.html?refINRS=ED%206028

 

 

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4 mai 2013 6 04 /05 /mai /2013 14:39

pommeuse 6.1.2013 1

POMMEUSE 6/1/2013

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3 mai 2013 5 03 /05 /mai /2013 09:58

Une écologie humaine

CEA - DHUIS : le conseil de municipal de Courtry approuve la destruction du fort de Vaujours.

Le 04 avril 2013, le conseil municipal de la ville de Courtry a voté à l'unanimité uneprescription de révision de son Plan Local d'Urbanisme permettant la mise en œuvre « du projet d’exploitation de la ressource en gypse par la société Placoplâtre sur le site du Fort de vaujours ainsi que que le projet de reconversion et de réhabilitation du solde des emprises par la Communauté d'Agglomération Marne et Chantereine ».

 

²

La communede Courtry désire donc céder aux sollicitations des carriers par anticipation. Ainsi, sans attendre le dépôt officiel d'unedemande officielle d'exploitation et le résultat de l'enquête publique qui doit en découler, le conseil municipal à l'unanimité a émis le souhait de déclasser le fort ainsi que des terres aux abords de la Dhuis situées en contrebas .

Voir le compte rendu du Conseil Municipal de Courtry en date du 4 avril 2013 : CR_Sommaire_CM_du_4_avril_2013.pdf

Le conseil municipal de Courtry précise qu'une « concertation associera pendant toute la durée de la révision du PLU les habitants, les associations locales et les autres personnes concernées ».

Il précise également les modalités de celle-ci :

  • « voie d’informations (bulletins municipaux, site internet de la Ville…) »
  • « la mise à disposition d’un cahier d’expression à l’accueil principal de l’Hôtel de Ville »
Le collectif "Sauvons la Dhuis" en plus de condammer ce vote au conseil de municipal de Courtry considére cette concertation comme insuffisante au regard des risques encourus par les populations locales.

Lors d'un précédent communiqué, le collectif "Sauvons la Dhuis" avait pris le soin d'informer et de sensibiliser sur les risques sanitaires majeurs liés à l'exploitation du fort de Vaujours.

 

Pour rappel, depuis plus de 10ans, le fort de Vaujours d'une surface de 45 hectares est suspecté de contamination résiduelle en matières uranifères (Uranium 238 entre autres). Cette contamination a été confirmée en 2001 par la CRIIRAD (Commission de Recherche et d'Information Indépendante sur la Radioactivité) et par le CEA lui-même qui a reconnu que certains ouvrages contaminés avaient été noyés dans le béton compte tenu de l’impossibilité de les décontaminer.

Courant 2001/2002, à cause de coûts très élevés de dé-pollution, le site n'a été que très partiellement décontaminé. Ainsi sur un total de 45 hectares, seulement 1000m2 ont été traités suite aux explorations de la CRIIRAD.

Une mesure de radioactivité 33 fois supérieure au bruit de fond a été relevée dans l'enceinte du fort de Vaujours en Mai 2011 à l'aide d'un RADEX 1503. Cette mesure a été certifiée par la CRIIRAD en 2012. La CRIIRAD précise également qu'un bloc d'uranium de 100g sous 10cm de terre est difficilement détectable en surface à l'aide de compteur de ce type.

 

Pendant des années, le CEA a pratiqué sur le site des essais nucléaires dit sous-critique (ou tir “froid”) avec de l'uranium. Ces tirs froids ont été réalisés à l'air libre ainsi qu'en salles de tirs. Après les essais, les éclats d'uranium et autres déchets étaient évacués à grandes eaux dans des puits dit de "lavage" profonds d'une trentaine de mètres, au nombre de 14. Certains déchets étaient même incinérés dans une zone de brûlage à l'air libre ainsi que dans un incinérateur équipé de quatre fours.

A cette pollution exceptionnelle en proche banlieue, s’ajoutent des risques non moins importants liés à la présence d’explosifs en subsurface, des pollutions aux métaux lourds (Arsenic, Mercure, Amiante, Cuivre, Plomb, Tungstène, Zirconium, etc.) ainsi que des pollutions chimiques (Dioxine, PCB, etc...).

 

L'exploitation du fort de Vaujours est tout autant la destruction d'un patrimoine historique local majeur, qu'un projet à hauts risques pour les populations locales de même que pour les employés et sous traitants de Placoplâtre qui travailleront sur ce site.

Ce risque de mise en danger des salariés et sous-traitants est parfaitement assumé par Placoplâtre, qui, par un chargé de communication, a déclaré le 3 Mai 2012 : « Il ne faut pas se leurrer, le seul vrai risque, il va être pour les salariés de l'entreprise. C'est eux qui vont être au contact quand il faudra démolir et exploiter. Le seul véritable risque, c'est pour le personnel de l'entreprise. »

Le Collectif "Sauvons la Dhuis" s'oppose donc avec la plus grande fermeté à cette volonté du conseil municipal de Courtry d'autoriser la destruction du Fort de Vaujours. Nous le considérons comme irresponsable.
Dans le cadre de la révision du Plan Local d'Urbanisme de Courtry, le collectif demande la mise en place d'une véritable concertation associée à une enquête publique approfondie.
Devant l'ampleur des risques, nous demandons qu'une réelle étude d'impact sur la santé des populations locales soit réalisée par des organismes indépendants tels que la CRIIRAD (Commission de Recherche et d'Information Indépendante sur la Radioactivité).
Le collectif SAUVONS LA DHUIS - http://sauvons.dhuis.fr
  • Nature Environnement 77
  • Villevaudé... Demain
  • Les Abbesses de Gagny-Chelles
  • Environnement 93
  • ADENCA
  • Les Amis de Carnetin
  • Association de Défense de l'Environnement du Bois Fleuri (ADEBF)
  • AJT Rando
  • Marne et Gondoire à Vélo

http://sauvons.dhuis.fr/post/2013/04/30/CEA-DHUIS-%3A-le-conseil-de-municipal-de-Courtry-approuve-la-destruction-du-fort-de-Vaujours.

 

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2 mai 2013 4 02 /05 /mai /2013 09:49

 

 

N'oublions pas non plus les projets de carrières de gypse à ciel ouvert sur les communes de Villevaudé, Annet sur Marne et Claye-Souilly qui devraient voir

disparaître près de 300 hectares de terres agricoles et forêt  et la transformation

de 98 hectares de terres agricoles en décharge à Annet sur Marne suite à l'autorisation donnée en janvier dernier par Madame la Préfète de Seine et Marne, représentante de l'Etat.

 

 

 

Paru sur le blog NE77 : 

COMMUNIQUE COMMUN D'ÎLE-DE-FRANCE ENVIRONNEMENT ET DE LA FEDERATION DEPARTEMENTALE DES SYNDICATS D'EXPLOITANTS AGRICOLES D'ÎLE-DE-FRANCE 

Ile-de-France Environnement (IDFE) et les agriculteurs franciliens de la Fédération Départementale des Syndicats d'Exploitants Agricoles dénoncent la consommation excessive des meilleures terres agricoles de notre région. Les environnementalistes et les agriculteurs sont solidaires et déterminés à défendre le patrimoine nourricier de notre région. La ville ne peut plus continuer à « dévorer » indéfiniment et sans restriction ses terres « alimentaires ».

 

Depuis 20 ans, selon le Schéma de Développement Régional de l'Ile de France ou SDRIF 2013, notre région a perdu annuellement 1900 ha de terres agricoles soit l'équivalent du département des Hauts-de-Seine en 10 ans. Si ce rythme continue, un rapport publié en 2009 par Philippe Pointerau et Frédéric Coulon (Courrier de l'environnement de l'INRA n°57, pp109-120) indique qu'en 2050 la France devra importer massivement des denrées agricoles ayant perdu son indépendance alimentaire pour les produits courants. La réduction de la consommation des terres est un objectif affiché du SDRIF 2013 qui va dans le bon sens. Cet objectif n'est ni convainquant, ni crédible, puisque l'autorité environnementale évalue à 1 800 ha/an jusqu'en 2030 la « perte » des territoires ruraux et naturels inscrite au SDRIF 2013 alors que la loi Grenelle impose de diviser par 2 le rythme de consommation des espaces agricoles d'ici à 2020.

 

Des projets innombrables dans notre grande couronne francilienne vont consommer encore cette surface agricole utile pour : l'entraînement sportif du Paris St Germain (Ferme de Poult-en-Yvelines), l'aménagement économique des 400 ha de la base aérienne de Brétigny, l'extension de l'Ecosite de Vert-le-Grand en Essonne, la création des Villages Nature d'Euro-Disney (500 ha), des installations de stockage des déchets de Claye-Souilly et des plateformes logistiques du Val Bréon en Seine-et-Marne, le golf et les centres commerciaux sur les 700 ha du Triangle de Gonesse et les terres agricoles autour de l'aéroport de Roissy dans le Val d'Oise ...mais surtout par les zones d'urbanisation privilégiée autour des gares du « Grand Paris Express » sensées limiter le bourgeonnement des lotissements de maisons individuelles autour des villages, bourgs et hameaux responsable de plus de 50 % de cette gabegie territoriale depuis 1994.

http://www.idfe.eu/home/item/774-halte-au-gaspillage-des-terres-agricoles-dile-de-france.html?pop=1&tmpl=component&print=1

 

Pour aller plus loin :

http://adenca.over-blog.com/article-le-droit-de-detruire-exploitation-de-carrieres-a-ciel-ouvert-114790324.html
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1 mai 2013 3 01 /05 /mai /2013 19:12

 

 

NORD-OUEST SEINE ET MARNE

7ème circonscription

Une circonscription qui reçoit plus

que sa propre part de pollution

et une exposition disproportionnée aux risques (3) 

 

 

La commune de Villevaudé possède depuis 1948 un  poste électrique

225 000 volts.

réseau tranport francilien-copie-1

Quelles études sanitaires autour de cette commune  et des communes avoisinantes ont été réalisées pour connaître l’impact sur la population 

de ces lignes à haute tension et notamment les enfants ?

 

A notre connaissance aucunes.

 

Suite à l’instruction du 23 avril 2013 du Ministère de l’Ecologie, Madame la Préfète de Seine et Marne va t-elle engager une étude sanitaire ?

 

Depuis plusieurs  années Adenca demande une étude sanitaire  sur ce secteur, nous avons cogné à toutes les portes sans être entendus.

 

Pourquoi réalise t-on une étude sanitaire dans les Yvelines (Val de Seine) et pas ici ? http://www.spi-vds.org/doc/copil/COPILEZ270312/CR3COPIL27031final.pdf


 

Lignes à haute tension près de l'usine ERDF de Villevaudé

 


 Paru sur le site Localtis.info :

Champs magnétiques : une instruction recommande la maîtrise de l'urbanisme autour des lignes THT

Santé / Urbanisme Publié le vendredi 26 avril 2013

Une instruction du ministère de l'Ecologie, mise en ligne le 23 avril 2013, recommande aux collectivités territoriales et aux autorités en charge de la délivrance des permis de construire "d'éviter, dans la mesure du possible", de décider ou d'autoriser l'implantation de nouveaux établissements sensibles (hôpitaux, maternités, établissements accueillant des enfants tels que crèches, maternelles, écoles primaires etc.) dans des zones exposées à un champ magnétique supérieur à 1 microTesla (μT) à proximité d'ouvrages à haute et très haute tension (HT et THT), lignes aériennes, câbles souterrains et postes de transformation ou jeux de barres. Cette valeur, appliquée en bordure de "zone de prudence", apparaît "globalement compatible avec la valeur d'exposition permanente des occupants de bâtiments sensibles de 0,4 μ T proposée par l'avis de l'Anses", indique la circulaire. Près de 350.000 personnes seraient en effet exposées à des valeurs de champ magnétique supérieures à 0,4 µT émis par des lignes de transport d'électricité. Dans un avis sur les effets sanitaires des champs électromagnétiques extrêmement basses fréquences rendu public le 6 avril 2010 (lire ci-contre), l'Agence française de sécurité sanitaire de l'environnement et du travail (Afsset devenue depuis l'Anses) avait notamment recommandé, par précaution, de ne plus installer ou aménager des bâtiments sensibles à moins de 100 mètres des lignes THT. Parallèlement, l'Agence avait recommandé que les futures implantations de lignes THT soient écartées de la même distance de ces établissements. Chargés d'examiner les suites à donner aux recommandations de l'Agence, le Conseil général de l'environnement et du développement durable (CGEDD) et le Conseil général de l'industrie, de l'énergie et des technologies (CGIET) avaient préconisé, dans un rapport publié en août 2010, de retenir la valeur de 1 µT comme limite de la zone de prudence.

Effets cancérogènes

Des études épidémiologiques ont montré des corrélations statistiques entre l'exposition aux champs magnétiques de très basses fréquences et les leucémies de l'enfant en particulier. Cependant, aucun lien de cause à effet n'a pu être établi, rappelle l'instruction. Ces incertitudes ont toutefois amené le Centre international de recherche sur le cancer (CIRC) à classer en 2002 les champs magnétiques de très basses fréquences (50-60 Hz) dans le groupe 2B : "peut être cancérogène pour l'homme". Des illustrations de niveaux de champs magnétiques d'extrêmement basse fréquence (50Hz) générés par des lignes aériennes THT et HT ainsi que par des câbles souterrains sont fournies en annexe de la présente instruction. Ces valeurs moyennes doivent toutefois "être examinées avec circonspection", les champs magnétiques variant "dans de grandes proportions avec l'intensité du courant transporté, la nature des pylônes, la compacité des lignes, l'existence d'autres circuits sur la même ligne de pylônes, la température....", précise l'instruction.

Philie Marcangelo-Leos / Victoires-Editions

Référence : instruction du 15 avril 2013 relative à l'urbanisme à proximité des lignes de transport d'électricité, Bulletin officiel du ministère de l'Ecologie, n° 8 du 10 mai 2013.

http://www.localtis.info/cs/ContentServer?pagename=Localtis/LOCActu/ArticleActualite&jid=1250265156469&cid=1250265152147&np=ex3403989

 

Lien vers la circulaire :

 

http://circulaire.legifrance.gouv.fr/pdf/2013/04/cir_36823.pdf

 

Pour aller plus loin :

 http://adenca.over-blog.com/article-que-serait-paris-la-ville-lumiere-sans-la-seine-et-marne-comment-pourrait-elle-acheminer-son-112786944.html

 

http://adenca.over-blog.com/article-nord-ouest-seine-et-marne-pourquoi-a-t-on-implante-des-ecoles-pres-de-sites-seveso-ou-de-decharges-117445399.html


  ANNET 8.12.2009

Annet sur Marne lignes à haute tension

 

 

VEOLIA CLAYE 8.12.2009

Entre Charny et Claye-Souilly lignes à haute tension près de la décharge Veolia

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30 avril 2013 2 30 /04 /avril /2013 18:14

 

NORD-OUEST SEINE ET MARNE

7ème circonscription

Une circonscription qui reçoit plus

que sa propre part de pollution

et une exposition disproportionnée aux risques (2) 

 

 

Quel avenir pour nos enfants ?

Des emplois sous qualifiés ?

 

En effet nous ne pouvons que constater que cette circonscription ne compte pas de grandes écoles.

 

Un handicap certain pour nos enfants.

 

Nos enfants devront-ils se contenter d’emplois sous qualifiés

faute de moyens pour pouvoir rejoindre ces écoles ?

 

Ici on accumule les sites Seveso, les décharges et les carrières remblayées par des déchets « dits inertes ». 

 

 

Ailleurs comme au sud du département on accumule les grandes écoles, pour exemple Fontainebleau :

 

Classes préparatoires du lycée François 1er

Le seul établissement du département à proposer une offre complète de classes préparatoires scientifiques aux grandes écoles.

http://www.fontainebleau.fr/?classes-preparatoires

Lycée Couperin

BTS MUC et classe préparatoire économique et commerciale.

http://www.fontainebleau.fr/?lycee-couperin

I.U.T. Fontainebleau

Il accueille aujourd’hui plus de 500 étudiants par an et compte 2 départements et 3 licences professionnelles.

http://www.fontainebleau.fr/?i-u-t-de-fontainebleau-deux

INSEAD

Fondé en 1957, l’I.N.S.E.A.D. est l’une des plus prestigieuses écoles de management mondiales.

http://www.fontainebleau.fr/?insead

Ecole des Mines

Une antenne à Fontainebleau.

L’École des Mines a été fondée en 1783, à l’époque où l’exploitation des mines était l’industrie de haute technologie par excellence. C’est l’une des plus anciennes, célèbres et prestigieuses écoles d’ingénieurs françaises.

Installée depuis 1816 au cœur du quartier Latin, dans l’ancien hôtel de Vendôme, l’École des Mines s’est étendue en 1967 à Fontainebleau. L’école de Fontainebleau compte 249 permanents dont 82 enseignants chercheurs

http://www.fontainebleau.fr/?ecole-des-mines

 

 

 

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30 avril 2013 2 30 /04 /avril /2013 11:12

 

 

NORD-OUEST SEINE ET MARNE

7ème circonscription

Une circonscription qui reçoit plus

que sa propre part de pollution

et une exposition disproportionnée aux risques (1) 

 


 

MITRY ZI 

Zone industrielle Mitry-Compans (à proximité du Lycée Honoré de Balzac)

vu sur l'incinérateur de déchets dangereux Gerep, Seveso à hauts risques,

survolé par un avion atterissant à Roissy en France

 

 

Si on parlait de nos enfants 

 

Pourquoi le Lycée Honoré de Balzac de Mitry-Mory qui compte près de 1200 élèves a été construit au bord  de la plus importante zone industrielle de l’Est Parisien Mitry-Compans qui compte 7 sites Seveso dont 3 à hauts risques ?

 

Pourquoi l’Ecole Maternelle de Fresnes sur Marne a-t-elle été construite à proximité de deux décharges dont la plus importante décharge de déchets ultimes de France  REP Veolia ?

 

Pourquoi l’une des plus importantes décharges de déchets dangereux de France Sita, aujourd’hui classée Seveso à hauts risques, a-t-elle été implantée à Villeparisis dans une commune qui compte aujourd’hui plus de 4000 enfants scolarisés ?

 

 

Pourquoi les enfants de St Thibault des Vignes et ses environs doivent supporter la proximité de deux incinérateurs ?

 

Pourquoi projette-t-on d’implanter une école à Claye-Souilly (secteur Bois des Granges) à proximité d’une future carrière de gypse qui devrait être exploitée à ciel ouvert et remblayée par des déchets « dits inertes » ?

 

 

 

 

Ce qui se passe ailleurs au sud de la Seine et Marne :

 

Une école en bordure de la Forêt de Fontainebleau

http://www.fontainebleau.fr/?insead

 

Une autre école en plein cœur de la forêt de Fontainebleau

http://www.fontainebleau.fr/?i-u-t-de-fontainebleau-deux

 

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29 avril 2013 1 29 /04 /avril /2013 11:04
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28 avril 2013 7 28 /04 /avril /2013 16:06

 

 

 

 

Quand un élu de la république,

de surcroît Sénateur

refuse un courrier adressé

par une association de défense de l’environnement !

C’est le cas de

Monsieur Jean-Jacques HYEST 

 

Sénateur de Seine et Marne

Maire de La Madeleine-sur-Loing

Conseiller général du canton de Château-Landon

Président de la communauté de communes Gâtinais-Val de Loing

 

Un élu qui a été président de la commission des lois au Sénat (2004-2011)

Un élu qui a été député de Seine et Marne de 1986 à 1995

Un élu qui a été président du Conseil Général en 2004.

 

M. HYEST

Pli refusé par le destinataire

 

 

 

Copie du courrier auquel Monsieur Jean Jacques HYEST ne pourra pas répondre puisqu’il l’a refusé, nous le regrettons d’autant plus, car la Seine et Marne a bien besoin du soutien de ses élus pour ne pas permettre de stocker des déchets radioactifs (DRNR) dans les décharges d’ordures ménagères, en effet ce courrier l'alertait sur un projet d'arrêté ministériel qui devrait autoriser le stockage de tels déchets.

 

 

Ci-dessous lettre que Monsieur Jean Jacques HYEST ne lira pas :

 


 

HYEST

 

HYEST 001

 

Son activité au Sénat

http://www.nossenateurs.fr/jean-jacques-hyest

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28 avril 2013 7 28 /04 /avril /2013 15:51

Ste Colombe 13.4.2013 la Voulzie

Ste Colombe 13/4/2013

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