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12 janvier 2012 4 12 /01 /janvier /2012 21:48

 

 

 

Où stocker les déchets radioactifs ?

Personne n’en veut ! 

 

Les deux communes finalistes (sur 3 115) de l’appel à candidatures, lancée en 2008 par l’Agence nationale pour la gestion des déchets radioactifs (Andra) –

Auxon et Pars-lès-Chavanges (Aube) –

ont finalement abandonné ce cadeau empoisonné.

 

 

En Seine et Marne vous avez de la place

et puis les déchets vous êtes habitués,

au titre de la solidarité nationale,

ne pourriez-vous pas accepter ce cadeau empoisonné ? 

 

Paru sur le site Basta ! :

Défi industriel

EDF sait-elle vraiment démanteler ses centrales nucléaires ?

Par Nathanael Rouny (4 janvier 2012)

Que la France décide de maintenir ses centrales ou de sortir du nucléaire, le démantèlement des réacteurs est inéluctable une fois atteint l’âge limite. Interventions en milieu hostile, techniques complexes, pollutions radioactives, déchets encombrants, personnels irradiés, coûts exorbitants… Les premiers chantiers de déconstruction menés actuellement par EDF sont loin d’être maîtrisés.

 

L’Autorité de sûreté nucléaire (ASN) s’apprête à donner son avis sur la poursuite ou l’arrêt de l’un des réacteurs de Fessenheim, la doyenne des centrales nucléaires françaises. Mais qu’en est-il des réacteurs déjà arrêtés en France ? 68 réacteurs nucléaires, répartis dans 22 centrales, ont été érigés depuis le lancement du programme électronucléaire civil par de Gaulle dans les années 1960.

Où stocker les déchets radioactifs ?

Avec les dix chantiers de déconstruction actuels, EDF prévoit de produire plus d’un million de tonnes, dont 20 % radioactifs. Le Ciden construit actuellement une installation de conditionnement et d’entreposage de déchets activés (Iceda) [5] à Saint-Vulbas (Ain), à proximité de la centrale du Bugey. En 2014, ce site accueillera, pour une durée limitée de cinquante ans, promet EDF, 500 tonnes de déchets moyennement radioactifs à vie longue, en bordure du Rhône. « En plus d’être en zone sismique, Iceda est menacée par une rupture du barrage de Vouglans, à 30 kilomètres en amont, qui la noierait sous 9 mètres d’eau », s’inquiète Roland Desbordes. Ce barrage, le troisième de France, est d’ailleurs étroitement surveillé par EDF, car il présente des signes de faiblesse…

Pour le président de la Criirad, qui a déposé, avec six autres associations, un recours devant le Conseil d’État contre le projet, « Iceda légalise en fait une pratique illégale. À savoir, l’entreposage de déchets en vrac ou mal conditionnés issus de centrales en fonctionnement ainsi que des générateurs de vapeur ». Par ailleurs, il n’existe toujours pas de centre de stockage définitif pour les 17 100 tonnes de graphite provenant des anciens réacteurs UNGG. Les deux communes finalistes (sur 3 115) de l’appel à candidatures, lancée en 2008 par l’Agence nationale pour la gestion des déchets radioactifs (Andra) – Auxon et Pars-lès-Chavanges (Aube) – ont finalement abandonné ce cadeau empoisonné....

 

 

Nathanaël Rouny

 

En savoir plus

À voir : le film-documentaire Brennilis, la centrale qui ne voulait pas s’éteindre, de Brigitte Chevet (2008, 52 minutes).

À lire : notre dossier complet sur l’industrie nucléaire.

 

 

Lien vers l’article : http://www.bastamag.net/article2001.html

 

Pour aller plus loin le site Yonne Lautre : http://yonne.lautre.net/spip.php?article3566

 

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8 janvier 2012 7 08 /01 /janvier /2012 20:30

Aéroport de Roissy-en-France

et Pollution de la  rivière BEUVRONNE ?

 

Alors que la Norvège fait des études

sur l'usage intensif de produits dégivrants dans les aéroports

Que fait la France ?

A cette question nous n'avons pas la réponse.

 

 

 

Alors que la directive cadre européenne 2000/60/CE impose aux acteurs de chaque bassin versant la reconquête du bon état ou bon état potentiel écologique des eaux à l’horizon 2015, un arrêté interpréfectoral de 2008  permet  à Aéroport de Paris de reverser une eau de plus mauvaise qualité vers le bassin versant Marne, via la Beuvronne, que vers le bassin versant Seine.

Pour mémoire la Beuvronne se jette dans la Marne, en amont proche de la station de pompage d’eau de l’usine de traitement Veolia d’Annet sur Marne qui fournit en eau potable près de 500 000 habitants pas seulement en Seine et Marne mais également dans le Val d’Oise (Roissy en France…..)

 

Communes de Seine et Marne alimentées par cette station :

ANNET SUR MARNE, BUSSY SAINT GEORGES, BUSSY SAINT MARTIN, CARNETIN,CHAMPS SUR MARNE, CLAYE SOUILLY, COLLEGIEN, CONCHES SUR GONDOIRE,COURTRY, CROISSY BEAUBOURG, DAMPMART, EMERAINVILLE, FERRIERES EN BRIE,FRESNES SUR MARNE, GOUVERNES, GUERMANTES, JABLINES, JOSSIGNY, LAGNY SURMARNE, LOGNES, NOISIEL, OZOIR LA FERRIERE, LE PIN, POMPONNE, PONTCARRE,ROISSY EN BRIE, SANT THIBAULT DES VIGNES, THORIGNY SUR MARNE, TORCY,VILLEVAUDE. ..

 

 

Paru sur le site bulletins electroniques. com : http://www.bulletins-electroniques.com/actualites/68244.htm

 

BE Norvège 103  >>  21/11/2011

Environnement 

 

Le dégivrage des avions et le salage des routes pourraient devenir problématiques 

 

Les changements climatiques pourraient entrainer un usage intensif de produits chimiques, pour le dégivrage dans les aéroports, ainsi que de sel sur les routes. Des chercheurs de Bioforsk (institut de recherche norvégien spécialisé, entre autres, dans la protection de l'environnement) [1], en collaboration avec des collègues américains et britanniques, se sont penchés sur le problème. Helen French, chercheuse à Bioforsk et professeur à l'UMB [2], a conduit l'étude, spécifiquement axée sur l'aéroport d'Oslo Gardermoen. Ce projet est financé par NORKLIMA (programme du Conseil Norvégien de la Recherche consacré au changement climatique) [3].

Dans les aéroports, certains produits chimiques sont utilisés pour dégivrer les avions et élimi
ner la glace des pistes. "L'aéroport de Gardermoen est construit au dessus des plus grandes nappes phréatiques de Norvège. Nous craignons que la pollution se répande jusque dans les eaux souterraines.", dit Helen French. Plusieurs facteurs influencent la diffusion de cette pollution. La quantité de produit chimique utilisée joue bien sûr un rôle important, mais la quantité d'eau transportant ces produits dans le sol détermine à la fois leur vitesse de diffusion et leur concentration.

Les chercheurs ont étudié les relations entre ces processus, via des expériences de terrain, la modélisation, et l'analyse statistique de données historiques (de 1999 à 2009). Un modèle statistique montre que, ces dernières années, plus de vent, plus de pluie et un nombre croissant de vols, combiné à de basses températures, ont entrainé u
ne utilisation accrue de produits chimiques pour le dégivrage des avions. Les expériences de terrain ont montré que ces produits peuvent être décomposés par les bactéries présentes dans le sol avant d'atteindre les nappes phréatiques, si la quantité d'eau infiltrée n'est pas trop élevée. L'hiver, l'eau (ainsi que les produits qu'elle transporte) gèle dans le sol. Le printemps, synonyme de fonte, présente donc un risque élevé qu'une grande quantité soit absorbée en un court laps de temps. Cependant, les mesures effectuées dans la neige présente le long des pistes montrent que les produits chimiques s'infiltrent dans le sol également pendant l'hiver. L'absorption et l'élimination de ces composés est donc mieux répartie que prévu et ne présente pas de risque aujourd'hui. Cependant, si la quantité de produits chimiques utilisée devait augmenter (suivant l'évolution du climat), il pourrait y avoir un risque de contamination.

De manière générale, à Gardermoen, environ 80% des produits chimiques utilisés pour le dégivrage sont collectés et dirigés vers u
ne usine de traitement. 10% sont éparpillés sur la piste, et 10% restent sur l'avion.

Le sel utilisé sur les routes norvégien
nes est également un problème. Son utilisation a doublé en dix ans, et, selon les chercheurs, il ne fait aucun doute que cela impacte la nature. Un petit lac situé au sud de l'autoroute 35, près de l'aéroport, a été étudié. Sa concentration en sel aurait doublé depuis les dernières analyses, réalisées dans les années 70. Une concentration trop importante limiterait l'apport d'oxygène et influencerait l'écosystème du lac.

La concentration en sel dans les nappes phréatiques étudiées près de ce lac aurait augmenté également. "La concentration dans les eaux souterrai
nes est bien en deçà des limites de potabilité (250 mg Cl/L) mais, ponctuellement, et généralement au printemps, elle peut atteindre 350 mg Cl/L. Cela pourrait être un problème si l'eau potable devait être puisée près de la route.", précise Helen French. "Le sel ne reste pas de manière permanente. Il suffirait donc simplement de prendre des mesures pour réduire la consommation globale.", conclut-elle.  

spacer

Pour en savoir plus, contacts :

- [1] Bioforsk : http://www.bioforsk.no/ikbViewer/page/home
- [2] Dr. Helen K. French :
helen.french@bioforsk.no
- [3] NORKLIMA :
http://redirectix.bulletins-electroniques.com/TbjNr

Lien vers l’article :

http://www.bulletins-electroniques.com/actualites/68244.htm

 

 

Pour aller plus loin :

http://adenca.over-blog.com/article-pollution-de-la-riviere-beuvronne-par-aeroport-de-paris-la-serie-continue-85457075.html

 

http://adenca.over-blog.com/article-aeroport-de-roissy-en-france-et-de-la-beuvronne-63812788.html

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6 janvier 2012 5 06 /01 /janvier /2012 20:35

DHUIS ! LA MENACE PERSISTE

 

Malgré une mobilisation citoyenne sans précédent en faveur de la défense de l’aqueduc de la Dhuis et de son environnement :

  • Plus de 800 manifestants sur le site lors de la journée du 19 novembre 2011.
  • Plus de 4300 signataires de la pétition « sauvons la Dhuis ».
  • Malgré les nombreuses motions appuyant notre action prises à l’unanimité par les élus : Des communes de Carnetin, Chelles, Claye-Souilly, Courtry, Lognes, Thorigny-sur-Marne, Villeparisis, Villevaudé, Mitry Mory.
  • De la communauté d’agglomération de Marne-et-Gondoire.
  • Du conseil général de Seine-et-Marne.

Nous déplorons l’attitude de la Mairie de Paris : le rendez-vous souhaité par notre collectif depuis le 24 octobre 2011 est resté lettre morte jusqu’à ce jour. Cette non-réponse laisse planer une incertitude pesante quant à l’avenir de l’aqueduc.

LA DETERMINATION DU COLLECTIF « SAUVONS LA DHUIS » RESTE INTACTE
  • L’aqueduc outre sa valeur patrimoniale incontestable est un bien commun accessible à tous depuis des décennies : l’aqueduc doit passer dans son intégralité dans le domaine public.
  • L’aqueduc avec ses espaces avoisinants forme un corridor écologique entre Paris, la Seine-Saint-Denis et la Seine-et-Marne indispensable à la faune et à la flore existantes, les deux zones naturelles d’intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) présentes à proximité immédiate en constituent le réservoir nourricier : Les ZNIEFF doivent être préservées, l’espace de ce corridor écologique doit être suffisant et non pas se réduire à un simple passage; dans ce but l’exploitation souterraine du gypse doit être privilégiée excluant toutes nouvelles carrières à ciel ouvert .
  • L’aqueduc est reconnu par la région Ile-de-France comme axe principal de la trame verte de l’est Francilien. Ce poumon de respiration est agrémenté d’un lieu de circulation douce (voie piétonne empruntée par le GR14a et piste cyclable) aménagé récemment sur 27 kilomètres: L’aqueduc doit rester dans son intégralité un lieu de déplacement et de promenade agréable pour tous au milieu des espaces champêtres et boisés centenaires existants.

 

A CET EFFET, LE COLLECTIF «SAUVONS LA DHUIS » :
  • INTERPELLE DE NOUVEAU LA MAIRIE DE PARIS, propriétaire et vendeuse des terrains afin qu’elle renonce à une cession au profit d’intérêts privés pour agir en accord avec son orientation écologiste.
  • SOUHAITE UN CONTACT AVEC LE CONSEIL RÉGIONAL D’ILE-DE- FRANCE pour qu’il réaffirme ses orientations visant à constituer autour de la capitale une ceinture verte de respiration homogène et cohérente intégrée au réseau francilien de circulation douce.
  • DEMANDE L’ INTERVENTION DES SERVICES DE L’ÉTAT EN CHARGE DE LA RÉVISION DU SCHÉMA DÉPARTEMENTAL DES CARRIÈRES DE SEINE-ET-MARNE pour qu’ils prennent des mesures conservatoires de préservation en faveur de ce site remarquable.

 

VOTRE SOUTIEN NOUS EST INDISPENSABLE POUR MENER TOUS ENSEMBLE CETTE ACTION A BIEN, AFIN D’ÉVITER CE GÂCHIS ÉCOLOGIQUE IRRÉPARABLE : l'ÉVENTRATION DE LA BUTTE DE L’AULNAY PAR DE NOUVELLES CARRIÈRES A CIEL OUVERT.
VOTRE MOBILISATION EST PLUS QUE JAMAIS NÉCESSAIRE : QUESTIONNEZ VOS ÉLUS, RAPPROCHEZ- VOUS DES ASSOCIATIONS LOCALES DE DÉFENSE DE L’ENVIRONNEMENT, DIFFUSEZ LARGEMENT L’INFORMATION, SIGNEZ OU FAITES SIGNER LA PÉTITION « SAUVONS LA DHUIS ».

 http://www.petitionpublique.fr/?pi=dhuis

Le collectif « SAUVONS LA DHUIS »
Nature Environnement 77

6 rue Plâtrière 77000 MELUN http://nature.environnement.77.over-blog.com

Villevaudé... Demain

Rue de la Grange 77410 VILLEVAUDE http://www.villevaude-demain.com

Les Abbesses de Gagny-Chelles

67 av. Paul-de-Kock 93220 GAGNY http://www.dhuis.fr

Environnement 93

16 avenue Monge 93470 COUBRON Email : environnement.93@laposte.fr

ADENCA

Association de Défense de l'ENvironnement de Claye-Souilly et ses Alentours http://adenca.over-blog.com

Les Amis de Carnetin

Mairie, rue Albert-Mattar 77400 CARNETIN

Défense de l'Environnement du Bois Fleuri (ADEBF)

33 allée des Marguerites - le Bois Fleuri 77410 CLAYE SOUILLY

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5 janvier 2012 4 05 /01 /janvier /2012 21:00

 

Pourquoi ont-ils moins de décharges dans les Yvelines ? 

Parce que là-bas les maires s’opposent

à l’implantation de décharges ? 

 

 

Après les élus qui avaient créé une association pour s’opposer à la décharge de Groslieu  http://www.accet-groslieu.com/accueil/index.html

 

Aujourd’hui c’est le maire de Triel qui s’oppose à l’implantation d’une décharge sur sa commune. http://www.triel-sur-seine.fr/images/remblais__2_.pdf

 

 

 

Paru sur le site Le Post :

Le Conseil Municipal de Triel sur Seine dit "NON" aux remblais : Triel n'est plus une poubelle

Le 11 octobre 2011, le Conseil Départemental de l’Environnement et des Risques Sanitaires et Techniques (CODERST) a approuvé la modification de l’arrêté préfectoral relatif à l’exploitation de l’ancienne décharge à l’entrée sud de Triel sur Seine.

Le nouvel arrêté préfectoral en date du 16 novembre 2011, autorise la société EMTA (groupe Veolia) à déverser pendant 6 ans, sur les 70 hectares concernés, 4 millions de tonnes de nouveaux déchets sur une hauteur de 4 mètres.
Initialement envisagés pour permettre l’implantation de panneaux solaires, il s’avère qu’aucune certitude n’a été acquise par le conseil municipal sur la réalisation effective de ce projet.
Accepter de nouveaux remblais sur ces terres sans engagement sur la réalisation d’un aménagement favorable à l’image de la ville, revient à replonger 20 ans en arrière les Triellois qui, par leur mobilisation, ont fait fermer la décharge et arrêter ce non-sens écologique au cœur de la boucle de Chanteloup. Accepter ces nouveaux remblais c’est accepter entre 100 et 300 camions par jour en moyenne, pendant 6 ans aux abords immédiats de la ville.
Une telle décision est inacceptable pour la population Trielloise qui a déjà versé un lourd tribut au marché des ordures ménagères en Île-de-France.
Conscient que cette fin de non recevoir hypothèque sérieusement le projet de ferme solaire, nous regrettons cette situation, mais pensons avant tout à protéger la population des nuisances qui accompagneront immanquablement la réouverture de la décharge.


Le 16 décembre 2011, le Conseil Municipal , à l'unanimité, à émis le vœu que soit officiellement abandonné tout projet de reprise des remblais sur le terrain de l’ancienne décharge à l’entrée sud de la ville.
Il interpelle le Préfet afin qu’il annule l’arrêté en date du 16 novembre 2011 autorisant le dépôt de nouveaux déchets sur les anciennes ordures ménagères.
Demande officiellement au Préfet de revenir en l’état antérieur de la réglementation sur le suivi post-exploitation du site par la société EMTA.

Nous allons solliciter les Triellois, notre député, notre sénateur .... et vous?

 

 

Lien vers l’article :

http://www.lepost.fr/article/2011/12/17/2662356_le-conseil-municipal-de-triel-sur-seine-dit-non-aux-remblais-triel-n-est-plus-une-poubelle.html

 

 

  arrêté préfectoral autorisant la décharge de Triel :

http://www.yvelines.pref.gouv.fr/sections/developpement_durabl/installations_classe/les_arretes_prefecto/les_prescriptions_co/arrete_n2011320-000/downloadFile/file/EMTA1.pdf

 

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5 janvier 2012 4 05 /01 /janvier /2012 18:38

 

 

Paru sur le site Maison de la Nature et de l'Environnement Pau :

 

Communiqué de FNE et SEPANSO :

Décidément, Total n’aime pas payer !

TOTAL ne paie pas la TGAP ! !

 

 

jeudi 5 janvier 2012, par mne-pau

Total SA est une entreprise qui génère, on le sait, des milliards de bénéfices chaque année. On sait également que grâce au système fiscal très favorable du bénéfice mondial consolidé, cette multinationale du pétrole n’a pas versé, l’an dernier, un centime à l’Etat français au titre de l’impôt sur les sociétés. Un bel exemple de redistribution et de responsabilité sociétale !
Or, par un tour de passe-passe de la loi de finances 2012, Total vient d’être de nouveau exonérée d’un autre versement : la Taxe Générale sur les Activités Polluantes


Loi de finances 2012 du 02/01/12 (art. 22) : Exonération de la Taxe Générale sur les Activités Polluantes (TGAP)

Depuis plusieurs dizaines d’années, des effluents et déchets chimiques sont injectés dans le sous-sol béarnais, dans un ancien site gazier géré par Total. Total stocke donc en sous-sol des déchets chimiques, et à ce titre, la Direction des Douanes qui prélève la TGAP avait demandé l’an dernier à Total le versement d’arriérés de la TGAP due au titre de ce stockage (plusieurs millions d’€).

Bien entendu, les juristes de Total avaient fait un recours devant le Tribunal de Grande Instance pour éviter ce paiement.

La loi de finances du 02/01/2012 exonère de taxe générale sur les activités polluantes (TGAP) les installations autorisées à injecter des effluents industriels dans la structure géologique (Crétacé 4000) de la région de Lacq (Pyrénées- Atlantiques).

Le tribunal n’aura pas eu le temps de se prononcer : le gouvernement et les députés viennent d’effacer par l’article 22 de la loi de finances cette jolie dette, qui aurait pourtant abondé de façon utile le budget de l’Etat en ces temps de crise.

4 janvier 2012
SEPANSO
FNE

JPG - 13.8 ko
Vue de l’usine Total de Lacq depuis Arthez-de-Béarn. (photo Guillaume Bonnaud)

- Le communiqué de presse (pdf) :

PDF - 69.6 ko
TOTAL ne paie pas la TGAP !


Lien vers l'article:http://mne-pau.org/spip.php?article113
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4 janvier 2012 3 04 /01 /janvier /2012 11:56

 

 

 

Le rééquilibrage territorial  en Ile de France

des ordures ménagères et déchets industriels :

un leurre ! 

 

 

La Seine et Marne 

condamnée à perpétuité

à vivre au milieu des ordures des autres ? 

 

 

Analysons la situation :

Combien de décharges d’ordures ménagères et de déchets industriels à l’horizon 2015 en Ile de France ?

 

-1 dans les Yvelines à Guitrancourt :                                                                                                   100 000  tonnes

- 2 dans le Val d’Oise Plessis-Gassot et Attainville :                                                                        1 030 000 tonnes

-Et toujours 5 en Seine et Marne

Claye-Souilly, Fouju,  Monthyon, Isles les Meldeuses, Soignolles                                              1 765 000 tonnes.

-Probablement une décharge dans les Essonnes

à Vert le Grand ( la 6ème sur cette commune)                                                                                     220 000 tonnes ?

 

 

 

 

 

Pour aller plus loin :

Ceux qui ne veulent pas de décharges :

http://accet.groslieu.pagesperso-orange.fr/invitation/lettre-ouverte-l-gislative-partielle.pdf

http://www.adse-saintescobille.com/

 

ceux qui les supportent :

http://vert-le-grand-nature-environnement-officiel.over-blog.com/

http://ioplace.pagesperso-orange.fr/agora%2023%20oct%2010_BD.pdf

http://nature.environnement.77.over-blog.com/article-seine-et-marne-le-depotoir-prefere-des-entreprises-de-btp-de-l-ile-de-france-79219227.htm

 

 

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3 janvier 2012 2 03 /01 /janvier /2012 13:51

 

 

 

 

Projet stockage des déchets gaz carbonique CO2

sous le tapis 

 

 

 

Les subventions prévues pour faire cet essai en région Lorraine :

- 30   millions d’€ région Lorraine 

-  9.3 millions d’€ de l’Ademe

- 150 millions d’€ de l’Etat

- 256 millions d’€  de l’Europe.

 

Les deniers publics doivent être utilisés

dans la recherche de solution innovante pour réduire les déchets

et non pour les enterrer. 

 

 

 

 

Pour aller plus loin :

http://mirabel.lne.free.fr/ulcos/CPULCOS_MIRABELLNE_05122011.pdf
http://mirabel.lne.free.fr/ulcos/2011-contrib_Mirabel-assoc_consult-publique-ULCOS.pdf
http://mirabel.lne.free.fr/ulcos/ulcos.htm

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1 janvier 2012 7 01 /01 /janvier /2012 20:13
Pas de projet  réseau télécentres au Nord-Ouest 77,
pourquoi ? 
Le nord-ouest 77
serait-il réservé à l’implantation
d’entreprises polluantes ? 
Extension Aéroport de Roissy,
décharges, incinérateurs, industrie chimique,
carrières à ciel ouvert…..
Paru sur le site de Parisien 77 :

Le conseil général a dévoilé hier les résultats d’une étude prouvant l’intérêt des entreprises pour le télétravail. Un réseau de télécentres va bientôt voir le jour , dont quatre en 2012.

Thomas Poupeau | Publié le 23.12.2011, 04h31

 

Cisco Systems (NDLR : entreprise américaine d’informatique) sont d’ores et déjà intéressés par un télécentre. »

 

Travailler près de son domicile : un rêve pour tous les Seine-et-Marnais qui font chaque jour des dizaines de kilomètres pour se rendre dans leur entreprise. Il deviendra bientôt réalité, puisque Seine-et-Marne Développement — l’agence économique du conseil général — vient d’annoncer qu’une douzaine de télécentres sont en projet.

Six d’entre eux ont déjà été prédéfinis, parmi lesquels « trois ou quatre devraient être concrètement lancés en 2012 », assure François-Xavier Deflou, directeur général de Seine-et-Marne Développement. Cette décision a été confortée par les résultats d’une étude, pour laquelle 27 grandes entreprises franciliennes et cent cinquante PME-TPE et indépendants de Seine-et-Marne ont été interrogées.

« 47% des indépendants seraient intéressés par des places en télécentres, détaille-t-on à Seine-et-Marne Développement. Par ailleurs, 24% des TPE et PME veulent un télécentre. » Les chiffres sont encore plus éloquents pour les grandes entreprises, car « 89% se disent intéressées à long terme » par un tel projet. Leur intérêt reste toutefois conditionné à d’autres facteurs. Parmi les critères : « une réduction des coûts immobiliers et des garanties sur la confidentialité ».

Ces centres, qui auront une capacité d’accueil de cinquante ou cent personnes, seront implantés en milieu urbain comme rural. Parmi les sites choisis : la cité Descartes, à Champs-sur-Marne. « C’est un secteur dynamique grâce à la présence de l’université et la proximité du Val-d’Europe », poursuit François-Xavier Deflou. Autre cible : « Melun et le quartier de la gare, qui va bientôt être réaménagé. » Toujours dans le sud du département, Fontainebleau et « sa pépinière d’entreprises de la rue Royale, qui va devoir s’étendre ». D’autres projets doivent être affinés, notamment à Coulommiers, Lizy-sur-Ourcq et Trilport.

« Si l’on veut que ces télécentres fonctionnent, il faut qu’ils soient organisés en réseau, pour bénéficier d’une communication et de services communs », estime François-Xavier Deflou. C’est pourquoi le conseil général est en train de mettre au point une structure d’accompagnement, qui regroupera les territoires et les sociétés avec un projet de télécentre. Et selon Seine-et-Marne Développement, il y a déjà des clients : « La RATP et Cisco Systems (NDLR : entreprise américaine d’informatique) sont d’ores et déjà intéressés par un télécentre. »

 

Le Parisien

http://www.leparisien.fr/seine-et-marne-77/le-travail-a-distance-va-s-etendre-des-2012-23-12-2011-1781022.php

 

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30 décembre 2011 5 30 /12 /décembre /2011 20:12
Les risques sur la commune de Claye-Souilly (77)
Site Prim.net

Inondation

Mouvement de terrain

Séisme Zone de Sismicité ; 1

 

Type de catastrophe                                                      Début le                       Fin le                           Arrêté du                    JO du

Inondations et coulées de boue

08/12/1982

31/12/1982

11/01/1983

13/01/1983

 

Inondations et coulées de boue

08/04/1983

10/04/1983

16/05/1983

18/05/1983

 

Inondations et coulées de boue

16/08/1983

17/08/1983

05/10/1983

08/10/1983

 

Mouvements de terrain consécutifs à la sécheresse

01/05/1989

31/12/1990

04/12/1991

27/12/1991

 

Mouvements de terrain consécutifs à la sécheresse

01/01/1991

31/10/1993

27/05/1994

10/06/1994

 

Mouvements de terrain différentiels consécutifs à la sécheresse et à la réhydratation des sols

01/11/1993

30/11/1996

08/07/1997

19/07/1997

 

Mouvements de terrain différentiels consécutifs à la sécheresse et à la réhydratation des sols

01/12/1996

31/12/1997

21/07/1999

24/08/1999

 

Inondations, coulées de boue et mouvements de terrain

25/12/1999

29/12/1999

29/12/1999

30/12/1999

 

Mouvements de terrain différentiels consécutifs à la sécheresse et à la réhydratation des sols

01/07/2003

30/09/2003

25/08/2004

26/08/2004

 

Mouvements de terrain différentiels consécutifs à la sécheresse et à la réhydratation des sols

01/01/2005

31/03/2005

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22/05/2008

 

Mouvements de terrain différentiels consécutifs à la sécheresse et à la réhydratation des sols

01/07/2005

30/09/2005

15/05/2008

22/05/2008

 

Mouvements de terrain différentiels consécutifs à la sécheresse et à la réhydratation des sols

01/01/2006

31/03/2006

15/05/2008

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Mouvements de terrain différentiels consécutifs à la sécheresse et à la réhydratation des sols

01/01/2009

30/11/2009

13/12/2010

13/01/2011

 

Mise à jour : 18/01/2011

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26 décembre 2011 1 26 /12 /décembre /2011 10:46

 

 

Paru sur le site :

VERT-LE-GRAND NATURE ENVIRONNEMENT

SITE OFFICIEL DE L'ASSOCIATION

déclarée en Préfecture de l'Essonne sous le N° W 91 2001 367

 

Pétition : Dites NON à une 6ème décharge à VLG !

Voici le Texte de cette pétition :  que vous pouvez imprimer et nous remettre.

 

 

3 décembre 2011 - 40ème anniversaire de la création de notre association le 3 décembre 1971

 

                         Dites NON !

 

    à une 6ème décharge à Vert-le-Grand.

 

 

- Depuis 50 ans, les habitants de Vert-Le-Grand s'y sont régulièrement opposés, et ont même manifesté en 2004 sur l'écosite et devant la Préfecture à EVRY.

 

- Le 3 décembre 1971, il y a 40 ans, notre association s'est créée pour cette raison.

 

- Dans les années 90, les pouvoirs publics (dont notre Maire) ont promis la fin des décharges en contrepartie de l'ouverture de l'usine d'incinération en Juin 1999.

 

- Le Maire de Vert-le-Grand a toujours fait croire qu'il s'opposait aux décharges.

 

- Le 7 octobre 2011, le Conseil Municipal a validé à l'unanimité une proposition du Maire de VLG (aussi Vice-Président du SIREDOM) d'un projet de 6ème décharge sur "le canton de Mont-Mâle" en 2014 ! (site de plus en plus proche). 

(publié sur le compte-rendu du Conseil Municipal de VLG du 7 octobre 2011 / questions diverses / page 9 )

 

Quand .... ces extensions imposées des décharges sur VLG ...  s'arrêteront-elles ?

 

Vous a-t-on demandé votre avis ?

 

Si vous êtes opposé à une6ème décharge, signez la pétition :

 

        NOM                             Prénom                                         adresse                                                   signature

 

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pétition à remettre exclusivement aux membres du Bureau de Vert-le-Grand Nature Environnement

 

- Jean-Yves POUTIERS (Président) 39 rue des Noues                    - Maurice LEDOUR (Pdt d'Honneur) 5 rue St Pierre

- Roland DUBOSQ (Vice-Président)  2 rue Montgravé                      - Serge BARRAUD (Trésorier) 8 ter rue Montgravé

- Nathalie CLEMENT (trésorière-adjointe) 3 rue des Sablons        - Corine FERGANT (Secrétaire) 15 rue Pasteur

- Laure JANVIER (Secrétaire-Adjointe) 2 rue des Petits-Douzains - Bernard DUMAS (Membre) 48 rue de la Poste

 

V.L.G.N.E. Ass. loi de 1901 déclarée en Préfecture sous le n° W 91 2001 367 - Siège : Mairie 91810 VERT-LE-GRAND

http://vert-le-grand-nature-environnement-officiel.over-blog.com/

 

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