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8 novembre 2013 5 08 /11 /novembre /2013 14:49
Pourquoi
le Plan de Prévention des Risques Technologiques
n’est pas encore mis en place
dans la
Zone industrielle de Mitry-Compans
La plus importante zone industrielle de l’est parisien ? 
 pour tous renseignements complémentaires contactez les services de l'Etat:

- DRIEE Savigny le Temple

- Préfecture de Seine et Marne

 


Paru dans le journal de l’environnement :
PPRT: une nouvelle approche du risque sur le terrain

Le 05 novembre 2013 par Stéphanie Senet

>  , , , ,

La prévention des risques technologiques n'est plus la seule affaire de l'Etat

Retards au démarrage, obstacles financiers, mais aussi prévention accrue et nouvelle culture du risque… Un bilan de la loi Bachelot a été dressé ce 5 novembre lors du colloque organisé par l’association Amaris, qui regroupe des collectivités couvertes par un plan de prévention des risques technologiques. 

La catastrophe AZF du 21 septembre 2001 a conduit à revoir la politique française de prévention du risque industriel. Deux ans plus tard, le Parlement adopte la loi Bachelot du 30 juillet 2003 sur la prévention des risques technologiques et naturels, avec pour ambition de modifier, sur le terrain, l’appréciation du risque. Dix ans plus tard, sommes-nous passés du verbe aux actes?

 

La conséquence la plus visible de la loi Bachelot est le lancement des plans de prévention des risques technologiques (PPRT), véritables stratégies locales de protection des riverains des sites industriels à hauts risques. Pour autant, l’objectif premier de la loi Bachelot n’est pas atteint. 407 PPRT devaient être validés au 31 juillet 2008. Nous en sommes encore loin. «Environ 60% d’entre eux sont désormais en place mais l’accident de l’usine Lubrizol, en janvier dernier à Rouen, nous a poussés à préciser de nouveaux objectifs, soit 75% des PPRT atteints fin 2013 et 95% fin 2014», avance le ministre de l’écologie Philippe Martin. Au rythme actuel, il est peu probable que les délais soient tenus malgré l’annonce, au printemps dernier, de 12 nouvelles mesures.

 

8 sites-pilotes 

 

D’autant que le PPRT n’est que la première étape d’un long processus. Après son adoption, il faut encore l’appliquer, réaliser des travaux, prendre des mesures de délaissement ou d’expropriation. Une expérimentation a été lancée sur 8 sites-pilotes afin de se frotter aux difficultés opérationnelles et d’imaginer des solutions concrètes et réplicables.

 

Quatre de ces programmes d’accompagnement aux risques industriels (PARI) sont bouclés, avec l’acceptation des offres de travaux (à Lanester dans le Morbihan, Marseille dans les Bouches-du-Rhône ainsi que Roussillon et Jarrie dans l’Isère). «Dans les autres cas, les offres ont été considérées comme inadaptées, trop coûteuses, ou irréalisables», affirme Fabrice Arki, du Centre d’études techniques de l’équipement (CETE) de l’Est, chargé de leur évaluation pour la Direction générale de la prévention des risques.

 

Les industriels devancent l’appel

 

Derrière ces initiatives, dont on peut déplorer le retard de déploiement, plusieurs évolutions importantes sont perceptibles. A commencer par le changement de comportement des industriels. «Si l’on se place du côté du nombre de PPRT conclus, on enregistre un sérieux retard, mais si l’on regarde ses objectifs, les résultats sont plus satisfaisants», estime Emmanuel Martinais, chargé de recherches au laboratoire ESV-RIVES de l’Ecole nationale des travaux publics de l’Etat (ENTPE). Selon lui, les entreprises ont amélioré la sécurité, en amont, pour réduire le coût des travaux prescrits par le PPRT, en aval. «Avant même l’adoption du plan, leurs investissements se sont élevés au total à 100 millions d’euros par an. Une fois le PPRT adopté, la facture s’est stabilisée entre 200 et 300 M€ par an. Sans les travaux préalables, le montant annuel de la facture aurait probablement dépassé les 500 millions.», précise-t-il.

 

Prévenir les risques dans leur globalité, c’est aussi entrer de plain-pied dans la complexité. «L’usine Arkema de Pierre-Bénite, dans la banlieue de Lyon, a déjà proposé trois scénarios différents. Ce fabricant de produits dérivés du fluor a présenté successivement plusieurs dispositifs jusqu’à ce que la carte d’aléas validée par l’Etat ne présente plus de mesures d’expropriation ou de délaissement, très lourdes pour l’entreprise», explique le chercheur. Les PPRT impliquent de la patience.

 

Une approche probabiliste

 

Autre évolution: la culture du risque s’est affinée. «La loi Bachelot a changé l’approche du risque technologique, jusque-là déterministe, puisqu’on évaluait surtout l’accident le plus grave. Désormais, l’on suit une approche probabiliste avec une estimation plus complète selon la gravité, la probabilité, et l’intensité des événements. Les études de danger comportent maintenant jusqu’à 1.000 scénarios différents contre une dizaine auparavant», observe-t-il. Ce qui n’est pas pour accélérer le processus.

 

Collectivités associées

 

Enfin, les territoires sont désormais impliqués dans la prévention des risques technologiques. «L’Etat a compris que ces collectivités disposaient de nombreuses informations facilitant la mise en place des PPRT. Les communautés de communes, par exemple, président désormais les comités d’engagement assurant le suivi du financement.» Elles participent d’ailleurs au financement des travaux à hauteur de 25%, soit autant que les entreprises. «On peut imaginer qu’à l’avenir, elles soient mieux sensibilisées aux risques technologiques lors de l’élaboration de leurs plans d’urbanisme», conclut Emmanuel Martinais.

 

http://www.journaldelenvironnement.net/article/pprt-une-nouvelle-approche-du-risque-sur-le-terrain,38717?xtor=EPR-9

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7 novembre 2013 4 07 /11 /novembre /2013 09:13

 

 

 

 

Article paru dans le journal

liaison d’Octobre 2013 (n° 155)

édité par la fédération d’associations environnementales d’Ile de France

IDFE

 http://www.idfe.eu/

 

 

 

idfe 10.2013...

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6 novembre 2013 3 06 /11 /novembre /2013 18:31

 

 

 

Claye-Souilly environnement :

enlèvement des ordures ménagères et fiscalité 

 

 

Notre article du 28 octobre 2013  a attiré l’attention de certains contribuables de Claye-Souilly (article concernant l’augmentation de 22 % de la taxe d’enlèvement des ordures ménagères)

http://adenca.over-blog.com/article-claye-souily-l-envers-du-decor-augmentation-de-l-impot-foncier-en-2013-la-note-est-salee-120800822.html

 

Les habitants des quartiers de Souilly, Grand Champ et Bois Fleuri nous signalent, que depuis plusieurs années,  les ordures ménagères (bac gris et bac jaune) sont relevés 2 fois moins dans leurs quartiers que dans les autres quartiers de la commune mais qu’ils paient la même taxe d’enlèvement d’ordures ménagères.

 

En effet 3 bacs sont relevés toutes les 2 semaines dans les quartiers de Souilly, Grand Champ et Bois Fleuri, alors que dans les autres quartiers ce sont 6 bacs qui sont relevés toutes les  2 semaines.


 

Une injustice fiscale ?

A vous de juger 

 

 

Pour tous renseignements complémentaires sur ce dossier, nous vous conseillons de vous rapprocher de vos élus municipaux.

 

 

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6 novembre 2013 3 06 /11 /novembre /2013 15:38

 

 

Afin de préserver le captage d’Annet sur Marne, le PLU de Claye-Souilly doit interdire l’implantation de décharges

 

 

 

CLAYE-SOUILLY

Plan local d’urbanisme en cours de révision 

 

Notre communes est cernée de décharges : Annet sur Marne, Claye-Souilly, Villevaudé

_6597.jpg
  Décharge ECT Annet sur Marne

 

 



Afin de protéger la ressource en eau du plus important captage de Seine et Marne situé à Annet sur Marne et qui fournit près de 500 000 habitants en eau potable  Adenca demande que le futur Plan Local d’Urbanisme de Claye-Souilly interdise les décharges, les exhaussements et affouillements du sol, comme à Fontainebleau, sur toute la surface de notre commune.

 

Voir ailleurs comment les élus protègent leur commune :

 

Exemple : comme dans la 2ème circonscription de Seineet Marne

 

PLU de la ville de Fontainebleau 77

 

ZONE UA 

ARTICLE UA 1 – LES OCCUPATIONS ET UTILISATIONS DU SOL INTERDITES

Sont interdits,

 

- Les exhaussements et affouillements du sol d’une superficie supérieure à 100m² et

d’une hauteur ou d’une profondeur excédant 2,00 m, qui ne seraient pas liés à la

réalisation de travaux publics ou de constructions.

 

Lien vers  PLU Fontainebleau zone UA

http://www.fontainebleau.fr/IMG/pdf/reglement_PLU_approuve_le_24_novembre_2010_zone_UA_mode_eco.pdf

 

 

ZoneUX

ARTICLE UX 1 – LES OCCUPATIONS ET UTILISATIONS DU SOL INTERDITES

Sont interdits,

- les installations et travaux divers dont les affouillements et exhaussements du sol,

supérieure à 100m² et d’une hauteur ou d’une profondeur excédant 2,00 m, qui ne

seraient pas liés à la réalisation de travaux publics ou de constructions.

 

Lien vers  PLU Fontainebleau zone UX

http://www.fontainebleau.fr/IMG/pdf/reglement_Zone_UX.pdf

 

Un autre exemple : comme dans les Yvelines

PLU de  St Rémy les Chevreuse 

 ZONE UA

La zone UA comprend un sous secteur : UAa qui bénéficie de dispositions particulières à l'article 10

SECTION 1 – NATURE DE L'OCCUPATION DU SOL

ARTICLE UA 1 OCCUPATIONS ET UTILISATIONS DU SOL INTERDITES

Sont interdits :

· les exhaussements et affouillements du sol

· les carrières et décharges

http://www.ville-st-remy-chevreuse.fr/fileadmin/media/images/cadre_de_vie/Reglement_07_04_2010.pdf

 

ZONE A

SECTION 1 – NATURE DE L'OCCUPATION DU SOL

 

ARTICLE A 1 OCCUPATIONS ET UTILISATIONS DU SOL INTERDITES

Sont interdits :

 

· les décharges et dépôts de toute nature

 

http://www.ville-st-remy-chevreuse.fr/fileadmin/media/images/cadre_de_vie/Reglement_07_04_2010.pdf

 

 

 

 

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6 novembre 2013 3 06 /11 /novembre /2013 09:46

 

Conseil Général 77

Observatoire de l’eau

Analyses des performances

des réseaux d’eau potable en Seine et Marne 2011

http://eau.seine-et-marne.fr/library/Observatoire-2011---Performances-des-reseaux-AEP

 

 

 

Extrait page 38 :

 

CG77 performances eau potable 2011

 

 

 

PRECY SUR MARNE

Analyses des performances des réseaux d’eau potable 

 

Rendement primaire :   moyen

ILP Indice Linéaire de pertes des réseaux : mauvais

Performance globale réseau : mauvaise

Réseau vis-à-vis des exigence loi Grenelle II : Exigences respectées

Rendement vis-à-vis des critères d’éco conditionnement des aides

du Conseil Général dans le domaine de l’eau : Eco condition non respectée

 


 

Page 46

précy sur marne 00

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5 novembre 2013 2 05 /11 /novembre /2013 14:21

 

Le droit de savoir

 

Alors qu’on nous dit que la Seine et Marne

est le poumon vert de l’Ile de France,

forêts, espaces agricoles, espaces protégés…


nous voulons connaître la position

du Conseil Général 77

dans les deux projets de carrières de gypse à ciel ouvert

de Villevaudé et Montgé en Goële. 

 

  Nous voulons savoir si le Conseil Général de Seine et Marne  

est favorable ou défavorable à ces deux projets

qui devraient détruire des hectares

d’espaces agricoles et de forêt

et par delà détruire également  des emplois ?

 


Montgé en GoÊLE 10.2011.....

Forêt régionale de Montgé en Goële

 

Paru sur le site du Conseil Général 77 :

Le poumon vert de l'Ile-de-France

 

Forêts, surfaces agricoles, espaces protégés… Le plus grand département de la région parisienne est aussi le plus vert.

Connue dans le monde entier, promue par l’Unesco réserve de biosphère, la forêt de Fontainebleau est la plus grande d’Ile-de-France. Mais avec ses 17 205 hectares, le premier site naturel le plus visité de l’hexagone représente pourtant moins de 10 % de la surface boisée totale de la Seine-et-Marne. Les forêts occupent en effet un quart du plus grand département francilien, avec 130 000 hectares. De quoi lui faire mériter son surnom de poumon vert...

Des espaces protégés

 

Outre ses forêts, la Seine-et-Marne compte bon nombre de niches écologiques que le Conseil général s’emploie à préserver et à ouvrir, progressivement, au public : ce sont les Espaces naturels sensibles (ENS). Marais, rivières, plaines, plateaux… Ces lieux privilégiés de découverte de la nature sont multiformes. Voyez le lien ci-contre pour en savoir plus.

A cheval sur l’Essonne et la Seine-et-Marne, le Parc naturel régional du Gâtinais complète un dispositif déjà riche. La place laissée à l’environnement est une tradition en Seine-et-Marne, où, malgré l’évolution du tissu économique et la diversification des secteurs d’activité, l’agriculture conserve une place importante. Les surfaces agricoles utiles frisent les 60 % (57 % précisément) de la superficie du département.

Une forêt labellisée 

 

Le 7 juin 2013, le massif forestier de Fontainebleau est devenue la première forêt domaniale française à obtenir le label national Forêt d'Exception® parmi les 18 forêts candidates.

Le label Forêt d'Exception® distingue un projet territorial rassemblant des acteurs locaux engagés dans une démarche d'excellence autour d'un patrimoine aux valeurs particulièrement affirmées.

Cette labellisation, qui a reçu l'avis favorable du comité national d'orientation du label fin 2011, est le fruit d'un travail partagé et récompense les nombreuses actions réalisées depuis 2007 :

·                                 restauration des sentiers bleus de Denecourt

·                                 création de sentiers découverte sur les Arts rupestres et sur l'exploitation du grès en forêt de Fontainebleau

·                                 réaménagement des aires de stationnement

·                                 réintroduction de la Sabline à grandes fleurs

 

 

http://www.seine-et-marne.fr/environnement-77

 

dhuis villevaudé 2 15.10.2011

 

Aqueduc de la Dhuis bordant le Bois Gratuel à Villevaudé

 

 

Pour plus d'information contactez vos conseillers généraux :

Léo AIELLO (PS)

André AUBERT (PS)  

Pierre BACQUE (PR)

Anne CHAIN-LARCHE (UMP)

Lydie AUTREUX (PS)  

Jacques BALLOT (divers droite)

Jean-Jacques BARBAUX (UMP)

Arnaud de BELENET (UMP)

Michel BENARD (PS)  

Jean-Pierre BONTOUX (Gauche républicaine et communiste)

Bertrand CAPARROY (PS)

Christian CIBIER (PS)

Bernard CORNEILLE (Gauche républicaine et communiste)

Monique DELESSARD (PS)

Jean DEY (démocratie écologie)

Vincent EBLE (PS)

Gérard EUDE (PS)

Nicolas FENART (UMP)

Christian FROT (UMP)  

Laurent GAUTIER (PS)

Jean-Pierre GUERIN (PS)

Jean-Jacques HYEST (UMP)  

Claude JAMET (démocrate écologie)

Yves JAUNAUX (UMP)

Denis JULLEMIER (UMP)

Jacky LAPLACE (DVG)

Jean-Jacques MARION (DVG)

Olivier MORIN (UMP)

Jean-Louis MOUTON (PS)  

Paule NOURY (UMP)   

Jean-François ONETO (UMP)

Michèle PELABERE (PS)   

Jean-François PARIGI (UMP)

Laurence PICART (UMP)

Jean-François PIEQUET (UMP)

Valérie POTTIEZ-HUSSON (UMP)

Jean-François ROBINET (UMP)   

Marie RICHARD (PS)

Dominique  SATIAT (UMP)  

Maud TALLET (Gauche républicaine et communiste)

Didier TURBA (PS)  

Sinclair VOURIOT  (UMP)  

Lionel WALKER (DVG)

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5 novembre 2013 2 05 /11 /novembre /2013 10:11

 

 

Pourquoi le SIETREM accepte-t-il de recevoir plus de déchets qu’il ne peut en traiter ? 

 

SIETREM

Saint Thibault des Vignes

Syndicat en charge du traitement des déchets ménagers et assimilés

de 30 communes

http://www.sietrem.fr/

soit environ

283 000 habitants

 

 

Pourquoi le SIETREM accepte-t-il de recevoir 

des déchets

venant d’autres départements ?

 

 

 

déchets qui proviennent pour la plupart du Syctom-paris

http://www.syctom-paris.fr/  

et même d'une entreprise du Val d’Oise.

 

Les déchets que le Sietrem ne peut traiter sont renvoyés vers d’autres installations parfois très éloignées de St Thibault des Vignes, à savoir :

La majorité de ces déchets sont repartis en 2012 vers ces  sites :


 

 

- pour l’incinération  vers Valorele (exploité par le groupe Sita) Ouarville en Eure et Loir ( plus de 30 000 tonnes) située à plus de 100 kms de St Thibault des Vignes et vers Azalys (exploité par le groupe Sita) Carrières-sous-Poissy (plus de 4 800 tonnes) située à plus de 50 kms de  St Thibault des Vignes. 


 

 

- Pour la mise en décharge la majorité est envoyée vers l’Oise : Sita Crépy en Valois (plus de 13 000 tonnes ) et Villeneuve sur Verberie ( 3300 tonnes)

communes situées à plus de 50 kms de St Thibault des Vignes.(1) 

 

 

Alors que Le Centre international de recherche sur le cancer (CIRC), une agence de l'Organisation mondiale de la santé (OMS) a fait l'annonce jeudi 17 octobre que la pollution atmosphérique est un cancérogène avéré (2) 

 

Le Sietrem a-t-il évalué le  coût environnemental pour les populations qui doivent supporter ces camions

qui semblent faire des va-et vient inutiles :

bruit, pollution de l’air

(particules, gaz à effet de serre…)


 

  (1) rapport annuel d’exploitation Sietrem année 2012

(2) http://www.lemonde.fr/planete/article/2013/10/18/la-pollution-de-l-air-directement-impliquee-dans-les-cancers-selon-l-oms_3498211_

 

 

 

Pour tous renseignements complémentaires contactez :

 les membres du bureau du bureau syndical  :

 

Président : Michel Ricart

 

Vice présidents :

M. Geres

C.A. Mignondo

X. Lemoine

H.T. Phan

L.P. Poitevin

A. Diogo

C. Plumard

I. Rouquier

J.L. Guillaume

http://www.sietrem.fr/images/stories/sietrem/organigramme_bureau_20032012.jpg

 

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4 novembre 2013 1 04 /11 /novembre /2013 11:20

placoplatre 16.5.2009 010

Carrière Placoplatre Villeparisis

 

 

 

Carrières de gypse à ciel ouvert

et destruction d’emplois 

 

 

Pour une poignée d’emplois créés

Combien d’emplois détruits ?

 

 

Les emplois détruits un sujet qui fâche ! 

 

Détruire la forêt régionale de Montgé-en-Goële ou le Bois Gratuel situé au bord de la Forêt Régional de Claye

c’est détruire des centaines d’emplois directs  ou indirects liés aux espaces boisés 

 

Détruire des espaces agricoles à Villevaudé, puis Claye-Souilly, puis Annet sur Marne mais également à Montgé en-Goële, Marchemoret, Cuisy, St Soupplets, Juilly

c’est détruire des centaines d’emplois directs  ou indirects liés à l’agriculture,

c’est priver les jeunes  d’emplois dans leurs projets de création d’agricuture bio. 

 

 

Que les carriers nous laissent le sol

et exploitent le sous-sol

et là il n’y aura pas de destruction d’emplois.

 

Dans cette période difficile les élus de Seine et Marne doivent préserver l’emploi et non encourager des

projets destructeurs d’emplois 

 


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4 novembre 2013 1 04 /11 /novembre /2013 10:16

 

Article paru dans le

 journal liaison d’Octobre 2013 (n° 155)

édité par la fédération d’associations environnementales d’Ile de France

IDFE

 http://www.idfe.eu/

 

 

 

 

idfe 10.2013

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3 novembre 2013 7 03 /11 /novembre /2013 13:17

 

 

Destruction de la

Forêt régionale de Montgé-en Goële :

un désastre annoncé ? 

 

Dans un article daté de vendredi dernier nous vous indiquions les craintes de l’association de défense de l’environnement ADEV 77

concernant le futur projet d’exploitation de gypse par la Sté Knauf sur la Butte de Montgé-en-Goële

http://www.adev77.org/crbst_17.html

 

 

 

Les élus de la  Région Ile de France aurait-il déjà engagé des négociations avec l’industriel Knauf 

pour favoriser

l’exploitation d’une carrière

à ciel ouvert ? 

 

 

Toujours est-il que les engins de travaux publics ont envahi la forêt régionale de Montgé en Goële, mais pour quoi faire ?


montgé-en-goêle 1.11.2013 6

 

Les panneaux portant le sigle du Conseil Régional Ile de France indiquent :

«  des travaux d’abattage sont en cours »

«  Aménagement de la route forestière de  Goële à Montgé »

                              

                                 MONTGE EN GOELE 1.11.2013 2    

 

mONTG2 EN GOELE 1.11.2013


Oui vous avez bien lu, la région Ile de France est entrain de transformer un petit chemin en route forestière recouverte de grave(1) pour favoriser la circulation de gros engins, la région Ile de France est entrain  de détruire des arbres et par delà les habitats de divers espèces.


               MONTG2 EN GOELE 1.11.2013 3


Construire une route forestière n’est jamais anodin,

la région Ile de France a des projets.

Mais lesquels ? 

 

- Abattre les hêtres, les châtaigniers et les chênes centenaires ?

- Favoriser l’exploitation minière de carrières de gypse à ciel ouvert 

qui seraient ensuite remblayées par des déchets « dits inertes » ?

……

A toutes ces questions nous n’avons pas de réponse. 

 

Pour tous renseignements complémentaires, nous vous conseillons de vous rapprocher de vos élus régionaux dont la liste suit :

Mme Chantal Brunel (UMP)

M. Gilles Battail (UMP)

Mme Claudine Thomas (UMP-PR)

M. Frédéric Valletoux (UMP)

Mme Marie-Pierre Badré (UMP)

M. Gérard Ruffin (Nouveau Centre)  

M. Jean-Marc Brulé (Europe Écologie)

Mme Marie Richard (PS et app.)

M. Jean-Paul Planchou (PS et app.)

Mme Geneviève Wortham (PS et app.)

M. Jean-François Pellissier (FG)

Mme Liliane Pays (Europe Écologie)

M. Pascal Marotte (Europe Ecologie)

Mme Brigitte Eude (PS et app.)

M. François Kalfon (PS et app.)

Mme Fatna Lazreg (Europe Écologie)

M. Philippe Sainsard (PS et app.)

Mme Julie Nouvion (Europe Écologie)

M. Philippe Camo (FG)

Mme Josette Mollet-Lidy (PRG)

M. Thibaud Guillemet (Europe Écologie)

Mme Roseline Sarkissian (PS et app.)

 

 

 

 (1) http://documents.irevues.inist.fr/bitstream/handle/2042/20299/RFF_1969_6_571.pdf?s..

 

Pour aller plus loin :

http://adenca.over-blog.com/article-va-t-on-detruire-la-foret-de-montge-en-goele-120903989.html

 

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