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12 novembre 2013 2 12 /11 /novembre /2013 10:21

 

 

 

 

Captage d’eau d’Annet sur Marne :

pourquoi  l’arrêté préfectoral ne prévoit pas

de protection éloignée de ce captage

alors que plusieurs décharges se trouvent à proximité ?


 

 

On peut lire sur le site EauFrance :

« Le périmètre de protection éloignée : facultatif, ce périmètre est créé si certaines activités sont susceptibles d’être à l’origine de pollutions importantes. Ce secteur correspond généralement à la zone

d’alimentation du point de captage, voire à l’ensemble du bassin

versant. » 

 

Afin de protéger les 500 000 habitants qui boivent l’eau du robinet issue du plus important captage de Seine et Marne, les élus des communes desservis par ce captage doivent demander la révision de la Déclaration d’Utilité Publique afin qu’un périmètre de protection éloignée de ce captage soit mis

en place.

 

 

Pour faire avancer ce dossier, contactez vos élus.

 

 

 

Paru sur le site EauFrance :

 

Protection des captages

Les périmètres de protection de captage sont établis autour des sites de captages d’eau destinée à la consommation humaine, en vue d’assurer la préservation de la ressource. L’objectif est donc de réduire les risques de pollutions ponctuelles et accidentelles de la ressource sur ces points précis.

Les périmètres de protection de captage sont définis dans le code de la santé publique (article L-1321-2). Ils ont été rendus obligatoires pour tous les ouvrages de prélèvement d’eau d’alimentation depuis laloi sur l’eau du 03 janvier 1992. Des guides techniques d’aide à la définition de ces périmètres ont été réalisés, notamment par le BRGM.

Cette protection mise en oeuvre par les ARS comporte trois niveaux établis à partir d’études réalisées par des hydrogéologues agréés en matière d’hygiène publique :

- Le périmètre de protection immédiate : site de captage clôturé (sauf dérogation) appartenant à une collectivité publique, dans la majorité des cas. Toutes les activités y sont interdites hormis celles relatives à l’exploitation et à l’entretien de l’ouvrage de prélèvement de l’eau et au périmètre lui-même. Son objectif est d’empêcher la détérioration des ouvrages et d’éviter le déversement de substances polluantes à proximité immédiate du captage.

- Le périmètre de protection rapprochée : secteur plus vaste (en général quelques hectares) pour lequel toute activité susceptible de provoquer une pollution y est interdite ou est soumise à prescription particulière (construction, dépôts, rejets …). Son objectif est de prévenir la migration des polluants vers l’ouvrage de captage.

-  Le périmètre de protection éloignée : facultatif, ce périmètre est créé si certaines activités sont susceptibles d’être à l’origine de pollutions importantes. Ce secteur correspond généralement à la zone d’alimentation du point de captage, voire à l’ensemble du bassin versant.

L’arrêté préfectoral d’autorisation de prélèvement et d’institution des périmètres de protection fixe les servitudes de protection opposables au tiers par déclaration d’utilité publique (DUP).

Par ailleurs, l’engagement n°101 du grenelle de l’environnement prévoit d’achever la mise en place des périmètres de protection de tous les points d’alimentation en eau potable et de protéger l’aire d’alimentation des 500 captages les plus menacés d’ici 2012. La loi grenelle 1 localise ces 500 captages. La carte est disponible ici.

http://www.eaufrance.fr/agir-et-participer/prevenir-les-risques/protection-des-captages

 

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11 novembre 2013 1 11 /11 /novembre /2013 18:57

 

 

Le droit de savoir

 

Alors qu’on nous parle d’empreinte écologique, de préserver la ressource naturelle, de préserver l’eau, de favoriser l’agriculture bio., nous voulons connaître la position du Conseil Régional Ile de France dans les deux projets de carrières de gypse à ciel ouvert de Villevaudé et Montgé en Goële. 

 

 

 

Nous voulons savoir si la Région Ile de France est favorable ou défavorable à ces deux projets qui devraient détruire des hectares d’espaces agricoles et de forêt et par delà détruire des emplois ?

 

 


 

Paru sur le site de la Région Ile de France :
Agir pour l'environnement

 

30 mai 2013

Pilier de l’Éco-Région francilienne, la politique de l’environnement vise à réduire l’empreinte écologique de l’Île-de-France, qui abrite 20% de la population sur 2% du territoire national.

La politique régionale de l’environnement, l’agriculture et l’énergie traduit l’engagement de la Région pour la conversion écologique et sociale de l’Île-de-France. Ses objectifs sont de réduire l’empreinte écologique de l’Île-de-France et de préserver et reconquérir la qualité des milieux franciliens.

Préserver la ressource naturelle

Le précieux « capital nature » francilien est menacé. En effet, dans une région qui concentre près de 20% de la population française sur 2% seulement du territoire national, où l’espace est fragmenté du fait de l’étalement urbain et du développement concomitant des infrastructures de transport, les pressions sur les milieux et les écosystèmes sont particulièrement fortes. La Région préserve, restaure et met en valeur la ressource naturelle, condition de la qualité de la vie des Franciliens.

Préserver

La nouvelle politique de l’eau, adoptée mi-2012, entrera en vigueur en 2013. Elle comprend désormais un volet important sur la gestion publique de l’eau, et l'espace public régional de l’eau créé par cette délibération sera mis en place. Un principe majeur de la politique régionale de l’eau est de promouvoir les démarches globales qui associent la mise en valeur du milieu naturel au traitement de la pollution. Elle privilégie la prévention des pollutions à la source, par des techniques les plus écologiques et  économiques possibles, l’amélioration de la qualité écologique et patrimoniales des eaux souterraines, des cours d’eau et des milieux naturels qui leur sont associés, la préservation des continuités écologiques, la renaturation des berges et la mise en valeur des zones humides, enfin la restauration des champs d’expansion des crues. L’action de la Région passe par un soutien financier aux collectivités locales. Elle s’appuie sur des contrats de bassin et de nappes.

…….

Accompagner

La Région s’engage en faveur d’une agriculture plus respectueuse de la ressource naturelle, et plus proche des consommateurs. Elle aide les producteurs à faire évoluer leurs pratiques et accompagne ceux qui ont sauté le pas. Le développement de l’agriculture biologique est fortement soutenu. Un programme régional agri-environnemental a été adopté en 2007. La Région met également en œuvre une politique ambitieuse pour favoriser le développement de l’agriculture biologique, qui passe notamment par un plan d’action régional concerté (ParcBio) avec les organismes de développement agricole et les principaux acteurs de la bio en Île-de-France, notamment le Groupement des agriculteurs biologiques d’Île-de-France (Gabif).

L’agriculture périurbaine contribue de façon irremplaçable à la sauvegarde des ceintures et des « poumons » verts aux portes des villes. La Région s’engage dans une politique de maintien d’une agriculture périurbaine de proximité et de maîtrise des fronts urbains. C’est l’une des orientations du projet de Schéma directeur de la région Île-de-France (Sdrif) adopté à l'automne 2012. Elle œuvre aussi pour restaurer la Trame verte et bleue qui assurera une continuité entre les espaces naturels et agricoles.

http://www.iledefrance.fr/action-quotidienne/agir-environnement

 

 

Pour connaître la position du Conseil Régional dans ce dossier nous vous conseillons de vous rapprocher de

vos conseillers régionausx de Seine et Marne :

Pour tous renseignements complémentaires, nous vous conseillons de vous rapprocher de vos élus régionaux dont la liste suit :

Mme Chantal Brunel (UMP)

M. Gilles Battail (UMP)

Mme Claudine Thomas (UMP-PR)

M. Frédéric Valletoux (UMP)

Mme Marie-Pierre Badré (UMP)

M. Gérard Ruffin (Nouveau Centre)  

M. Jean-Marc Brulé (Europe Écologie)

Mme Marie Richard (PS et app.)

M. Jean-Paul Planchou (PS et app.)

Mme Geneviève Wortham (PS et app.)

M. Jean-François Pellissier (FG)

Mme Liliane Pays (Europe Écologie)

M. Pascal Marotte (Europe Ecologie)

Mme Brigitte Eude (PS et app.)

M. François Kalfon (PS et app.)

Mme Fatna Lazreg (Europe Écologie)

M. Philippe Sainsard (PS et app.)

Mme Julie Nouvion (Europe Écologie)

M. Philippe Camo (FG)

Mme Josette Mollet-Lidy (PRG)

M. Thibaud Guillemet (Europe Écologie)

Mme Roseline Sarkissian (PS et app)

 

 

 

 

 

 

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11 novembre 2013 1 11 /11 /novembre /2013 18:56

 

Conseil Général 77

Observatoire de l’eau

Analyses des performances

des réseaux d’eau potable en Seine et Marne 2011

http://eau.seine-et-marne.fr/library/Observatoire-2011---Performances-des-reseaux-AEP

 

 

 

Extrait page 38 :


CG77 performances eau potable 2011

 

 

CHARMENTRAY

 

Analyses des performances des réseaux d’eau potable

Rendement primaire :   moyen

ILP Indice Linéaire de pertes des réseaux : mauvais

Performance globale réseau : mauvaise

Réseau vis-à-vis des exigence loi Grenelle II : Exigences respectées

Rendement vis-à-vis des critères d’éco conditionnement des aides

du Conseil Général dans le domaine de l’eau : Eco condition non respectée 

 

Page 40

charmentray00

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10 novembre 2013 7 10 /11 /novembre /2013 20:20

 

 

Ne laissons pas disparaître

la forêt régionale de Montgé en Goële

 

http://adenca.over-blog.com/article-va-t-on-detruire-la-foret-de-montge-en-goele-120903989.html


http://adenca.over-blog.com/article-destruction-de-la-foret-regionale-de-montge-en-goele-un-desastre-annonce-120928421.html

 

 

 

 

 

 

montgé en goele 10.11.2013 6

 

 

                                                                          ses arbres centenaires

 

                       montgé en goele 10.11.2013 2

 

montge en goele 10.11.2013 3

 

                                                          sa pièce d'eau

 

                    montgé en goele 10.11.2013 4

 

                                                             ses chataignes

 


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9 novembre 2013 6 09 /11 /novembre /2013 11:18

 

Etait-il vraiment nécessaire d’investir dans des poubelles

« à puce » à 155 €

pour faire des statistiques ? 

 

N’aurait-il pas été plus sage d’investir

dans des poubelles normales

pour un coût moins élevé ?

 


 

Ces bacs ont été distribué à   900 familles de Souilly, Grand Champ et Bois Fleuri, chez lesquels depuis plus de 4 ans  les ordures ménagères (bac gris et bac jaune) sont relevés 2 fois moins que dans les autres quartiers de la commune et qui paient la même taxe d’enlèvement d’ordures ménagères.

Dans un souci de justice la commune n'aurait-elle pas  dû instituer depuis 2009 la Redevance d’Ordures Ménagères qui permettait de facturer chaque foyer  en fonction du service rendu (du nombre de passages) ? (1)

 

 

Alors que  la taxe d’enlèvement des ordures ménagères a augmenté de 22 % en 2013  la situation devient inacceptable pour ces 900 familles, dans cette période difficile les élus de Claye-Souilly ne vont-il pas revoir ce dossier et  trouver une solution pour indemniser ces 900 familles et cela rétroactivement depuis 2009 ?

 

Pour tous renseignements complémentaires contactez les élus de la majorité municipale qui ont voté l’augmentation de 22 % de la taxe d’enlèvement des ordures ménagères (2) sans la modifier en redevance ordures ménagères, modification qui aurait permis de facturer chaque foyer  en fonction du service rendu (du nombre de passages) .(1)

 

Liste des élus de la majorité municipale :


 Mesdames et Messieurs ALBARELLO Yves, SERVIERES Jean-Luc, DOUTRELEAU Gérald, JACQUIN Laurent, MIQUEL Christiane, PASQUIER Véronique, POINT Jacques, OURY René, BOUDON Jeanine, MANSUY Solange, POISSENOT Madeleine, WILMS Denise, PERY KASZA Francine, FOURNIER Marie-Claude, SAVOURET Alain, FINA Jean-Louis, BAPTISTA Denise, JOINT Patrick, HAAS Marie-Laurence, THIERRY Antoinette, FLEURY Yann (procuration à Jean Luc SERVIERES), BARBOSA Aline, BROUET-HUET Séverine , COLLONGE Sylvain, MAYNOU Corinne, BAYE Jean-Baptiste, BOUSSANGE Julien.

 

 

 

 

(1) http://vosdroits.service-public.fr/particuliers/F22730.xhtml#N101BA

 

(2) http://www.claye-souilly.fr/deliberations/upload/CR%2025-03-13.pdf

 

Le Parisien 77 de  2009 :
Des puces électroniques dans 1 800 poubelles

Publié le 02.03.2009

Sortir la poubelle n'a plus rien d'anodin. A Claye-Souilly, ce geste a même quelque chose de branché. A partir d'aujourd'hui, quelque 1 800 foyers de la ville passent à une nouvelle ère : celle de la collecte robotisée des ordures ménagères. Le principe, importé d'Allemagne, a déjà été adopté à Coulommiers et pourrait investir, plus tard, les rues de Provins. Au lieu de deux rippers (éboueurs), risquant régulièrement la blessure, voire pire, en ramassant les ordures, le camion-poubelle du futur est doté d'un bras articulé latéral. 


Comme les techniciens de Veolia Propreté en ont fait samedi la démonstration, devant la mairie de Claye-Souilly, ce bras de métal se déploie et soulève automatiquement les conte
neurs. A condition qu'ils aient été positionnés correctement par leurs propriétaires dans un emplacement délimité sur le trottoir à la peinture blanche. Les esprits rebelles recevront, en cas de faute lourde, un prospectus détaillant les erreurs à ne plus commettre. Et pas question de retourner sa rage, le cas échéant, sur le conteneur. Ce dernier pourrait théoriquement tout répéter aux éboueurs !

Coup d'envoi de la collecte robotisée 

En effet, les 1 800 poubelles, conçues par la société Plastic Omnium et distribuées en février à Claye-Souilly, sont toutes dotées de puces électroniques. Lesquelles
ne devraient servir, dans l'immédiat, qu'à « faire des statistiques sur la fréquence de remplissage des bacs et avoir un suivi technique de nos collectes, indique Jean-Luc Servières, l'adjoint (UMP) en charge du dossier. On pourra par exemple vérifier si les camions sont bien passés au jour prévu et enregistrer les éléments à remplacer si des bacs sont cassés ».
Ailleurs en Europe, on en demande plus aux puces. Certai
nes communes les utilisent pour enregistrer le poids de déchets produits par chaque foyer… et moduler en proportion la part d'impôts locaux à payer. « Ce système ne peut pas s'adapter pour l'instant à l'échelle d'une ville comme Claye-Souilly, où tout le monde ne dispose pas d'un grand jardin pour y fabriquer du compost », explique Jean-Luc Servières.
Qu'à cela
ne tienne, les administrés disciplinés (comme tous les autres Clayois) devraient faire indirectement quelques économies. Car la collecte robotisée, moins fréquente et moins onéreuse que l'ancienne, devrait épargner à la ville « 42 000 € par an pendant sept ans », assure Yves Albarello, le maire UMP. De quoi amortir les 280 000 € investis dans les poubelles à puces. Et peut-être, permettre « de ne pas augmenter » dans l'immédiat les taxes sur les ordures ménagères.
« Formidable, commentait samedi un riverain. Mais ce qui m'embête, c'est le chômage. Que vont devenir les deux éboueurs qu'on voyait à l'arrière du camion ? » Qu'il se rassure : selon Veolia, les deux employés ont déjà été « reclassés ».

Le Parisien

http://www.leparisien.fr/claye-souilly-77410/des-puces-electroniques-dans-1-800-poubelles-02-03-2009-427466.php

 

 

 Site de l’Ordif

   

Lancé le 2 mars, le nouveau dispositif de collecte robotisée permet une diminution des coûts de fonctionnement et une diminution des rejets de C02 grâce à la réduction de la fréquence de collecte. 
Les 1 800 nouvelles poubelles sont équipées de puces électroniques permettant de réaliser des statistiques sur la fréquence de remplissage des bacs.

 

http://www.ordif.com/public/articleV2.tpl?rub=8985&id=13941&t=Vers%20des%20collectes%20moins%20polluantes%20en%20Ile-de-France

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9 novembre 2013 6 09 /11 /novembre /2013 09:38
Incinérateur Monthyon
Incinérateur St Thibault de Vignes
incinerateur de dechets dangereux ZI MITRY-COMPANS
……

 

Paru sur le site du CNIID :
Journée mondiale contre l’incinération des déchets et pour le "zero waste"

 

Paris le 8 novembre 2013 – L’édition 2013 de la journée mondiale contre l’incinération des déchets est placée sous le signe de la promotion des démarches "Zero Waste" (zéro déchets, zéro gaspillage) engagées par les collectivités. Cette journée est à l’initiative du réseau international GAIA (Global Alliance for Incinerator Alternatives) et s’inscrit cette année dans le mois d’action mondial contre l’énergie sale [1].

Le Cniid se joint à cette journée d’action pour dénoncer le lobbying fait autour de l’énergie issue de l’incinération en France, qui entreprend aujourd’hui de surfer sur la vague de l’économie circulaire pour redonner une nouvelle jeunesse à cette pratique polluante et à l’efficacité énergétique limitée. Rappelons que :
• La formule qui permet aux incinérateurs de prétendre au statut de "valorisation é
nergétique" est controversée au niveau européen depuis le début des débats sur la directive cadre de 2008 ;
• de nombreux incinérateurs qui prétendent faire de la valorisation é
nergétique contribuent en réalité autant à l’effet de serre qu’une centrale à gaz ou au fuel [2] ;
• si l’é
nergie issue de l’incinération bénéficie à 50% d’un statut "renouvelable" c’est uniquement grâce à la combustion de papier et carton, recyclables, et de déchets alimentaires, composés principalement d’eau et compostables, qui ne brûlent bien qu’en raison de la présence de plastiques ou de l’ajout ponctuel de carburants fossiles (gaz, fuel) ;
• l’absence de flexibilité des incinérateurs qui doivent, pour être rentables, être alimentés à quantité constante de déchets pendant toute leur durée de vie, rentre en concurrence directe avec la réduction des déchets, le réemploi, le tri à la source des déchets organiques et le recyclage.

La récupération de l’énergie issue de la combustion des déchets ne doit en aucun cas être un argument de maintien ou d’extension de capacités d’incinération qui n’auront plus d’utilité à court ou moyen terme. En phase de transition vers une économie circulaire, la mutualisation des capacités d’incinération et de stockage, dans le respect du principe de proximité, est la seule option pour garantir la mise en œuvre de politiques ambitieuses de réduction des déchets, de réemploi, de tri à la source des déchets organiques et de recyclage.

Signer la résolution de GAIA

Contact :
Delphi
ne Lévi Alvarès
Chargée de mission "Incinération et mise en décharge"
delphine@cniid.org - 01 55 78 28 64

http://www.cniid.org/Journee-mondiale-contre-l-incineration-des,715

 

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9 novembre 2013 6 09 /11 /novembre /2013 09:38

 

 

Conseil Général 77

Observatoire de l’eau

Analyses des performances

des réseaux d’eau potable en Seine et Marne 2011

http://eau.seine-et-marne.fr/library/Observatoire-2011---Performances-des-reseaux-AEP

 

 

 

Extrait page 38 :

CG77 performances eau potable 2011

 

 

JUILLY

 

 

Analyses des performances des réseaux d’eau potable

Rendement primaire :   mauvais

ILP Indice Linéaire de pertes des réseaux : mauvais

Performance globale réseau : mauvaise

Réseau vis-à-vis des exigence loi Grenelle II : Exigences non respectées 

Rendement vis-à-vis des critères d’éco conditionnement des aides

du Conseil Général dans le domaine de l’eau : Eco condition non respectée

 

 

page 39

juilly00

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8 novembre 2013 5 08 /11 /novembre /2013 16:07

 

 

 

 

 

AGRICULTURE BIO

ET PROTECTION DE LA RESSOURCE EN EAU

 

Questions posées ce jour  par ADENCA

à la Région Ile de France :

 

1° La région a-t-elle l'intention de créer un PRIF(1) autour du captage d'Annet sur Marne afin de protéger la ressource en eau, et de pouvoir y implanter une agriculture bio ?

 

2° Combien d'hectares de terres agricoles possédées par la région IDF sont cultivées en agriculture bio dans le bassin versant de la Beuvronne ? 

 

3° Le conseil régional  souhaite-il être porteur d'un projet  de couveuse d'activités agricoles bio autour du captage d'Annet sur Marne? http://amap-idf.org/la-couveuse_28.php 

 

(1) PRIF Plan Régional d'intervention foncière http://www.aev-iledefrance.fr/index.php?option=com_content&view=article&id=17&Itemid=26 

 

 

 

Qu’est-ce qu’un PRIF ?

C’est un plan régional d’intervention foncière, les élus du conseil régional décident de protéger un secteur en achetant les terres disponibles.

 

 

 

 

§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§

 

 

Plan de développement

de l’agriculture bio en Ile de France

Réunion de concertation du 7/11/2013

 

 

Introduction et conclusion par :

- Madame Corinne RUFET (EELV),

vice présidente du Conseil Régional Ile de France chargée de l’environnement

- Madame Marion Zalay,

directrice de la DRIAAF

 

 

 

Animation par Monsieur Burkhard Schaer, gérant du bureau d’études ECOZEPT de Montpellier http://www.ecozept.com/fr/

 

Résumé 

 

L’Ile de France est la région la plus demandeuse de France en produits bio.

L’agriculture bio, créatrice d’emplois de proximité est freinée en Ile de France par le manque de terres agricoles mise à la disposition des agriculteurs bio.

 

 

Afin de favoriser l’installation et l’accès au foncier  des agriculteurs bio, les principales actions :

 

trois couveuses d’activités agricoles ont été créés en Ile de France « Les Champs des Possibles » http://amap-idf.org/la-couveuse_28.php, elles se situent : 

 

- à Tremblaye sur Mauldre dans les Yvelines

-à Saulx les Cartreux  en Essonne

-à Toussacq (située au sud Seine et Marne près de la réserve naturelle de la Bassée)

sur 73 ha implantation d’un producteur ovin-céralier et d’un maraîcher)

 

 la mobilisation de l’épargne citoyenne,

 en faveur d’un projet de ferme pédagogique  sur 38 ha à Lumigny en Seine et Marne (près de Rozay en Brie)http://www.terredeliens-iledefrance.org/operation-lumigny/

 

7.5 ha ont bénéficié d’un portage de la SAFER :

-  à Longpont sur Orge en Essonne (installation d’un maraîcher bio en Amap)

-  à Briis sur Forge en Essonne (maraîcher bio en circuit court appuyé par la commune)

-  à Deuil la Barre dans le Val d’Oise  (jardins familiaux)

- à Champlan  dans l’Essonne

 

Surfaces agricoles détenues par la région Ile de France

 

Seulement 20% des surfaces agricoles dont la région  Ile de France est propriétaire sont loués aux agriculteurs en agriculture biologique : 12 agriculteurs bio louent 412 hectares, parmi ces acquisitions, celle de la Ferme de La Haye sur l’aire d’alimentation du captage de Flins-Auvergenville dans les Yvelines.

 

 

La Région Ile de France a apporté son soutien :

- à la création de la première légumerie bio en Ile de France Bio Val de Seine (CUMA) à Flins dans les Yvelines  http://www.flinssanscircuitf1.org/inauguration14mars12legumerieidf

- à la Bergerie Nationale située dans la forêt de Rambouillet dans les Yvelines

http://www.bergerie-nationale.educagri.fr/pole-formation/

- au CFPPA de St Germain en Laye dans les Yvelines

http://www.educagri.fr/les-formations-diplomes-et-certifications/liste-des-formations.html?detailetab=1&uaiperm_cdn=5000000001909&numreffornat=

- au CFPPA de Brie Comte Robert Seine et Marne 

http://www.educagri.fr/index.php?id=1814&num=944

 

 

Un regret

le sujet important  de la préservation de la ressource en eau

grâce à une agriculture bio

n’a pas pu être abordé.

 

 


 

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8 novembre 2013 5 08 /11 /novembre /2013 15:24
La plus importante décharge de France
 se trouve a claye-souilly
EN AMONT PROCHE
 DU PLUS IMPORTANT CAPTAGE D’EAU
DE seine et marne
situe a annet sur marnE
et qui fournit en eau potable pres
de 500 000 habitants
Pourquoi aucune étude sanitaire de zone
n’est effectuée Sur ce secteur ? 
que font nos elus ?  

Paru sur le site du CNIID :

 

LUTTER CONTRE LES MÉGA-DÉCHARGES

En matière d’enfouissement, la tendance aujourd’hui en France est à la diminution du nombre de décharges et à l’augmentation de leur superficie.

Les déchets parcourent donc des distances de plus en plus longues pour rejoindre leur site d’enfouissement, accroissement le trafic routier les émissions polluantes qu’ils génère.

Outre les problèmes liés à une pression grandissante sur le foncier, le développement de ces immenses sites d’enfouissement entraîne une gestion plus complexe et plus mécanisée des décharges. Les pollutions générées par l’enfouissement des déchets se retrouvent fortement concentrées dans une même zone, mettant à rude épreuve la capacité de résilience de l’environnement.

Le Cniid informe et soutient les associations locales engagées dans un combat contre la construction ou l’extension d’une méga-décharge. Le Cniid réaffirme la nécessité d’interdire formellement la mise en décharge de tous les déchets recyclables ou compostables, ainsi que des produits réutilisables et réparables. Dans un second temps, le Cniid plaide en faveur de décharges de proximité de taille modeste n’accueillant plus que les déchets réellement "ultimes" en attendant que ceux-ci n’existent plus grâce à la victoire de l’éco-conception.

http://www.cniid.org/Lutter-contre-les-mega-decharges,30

 

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8 novembre 2013 5 08 /11 /novembre /2013 14:49
Pourquoi
le Plan de Prévention des Risques Technologiques
n’est pas encore mis en place
dans la
Zone industrielle de Mitry-Compans
La plus importante zone industrielle de l’est parisien ? 
 pour tous renseignements complémentaires contactez les services de l'Etat:

- DRIEE Savigny le Temple

- Préfecture de Seine et Marne

 


Paru dans le journal de l’environnement :
PPRT: une nouvelle approche du risque sur le terrain

Le 05 novembre 2013 par Stéphanie Senet

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La prévention des risques technologiques n'est plus la seule affaire de l'Etat

Retards au démarrage, obstacles financiers, mais aussi prévention accrue et nouvelle culture du risque… Un bilan de la loi Bachelot a été dressé ce 5 novembre lors du colloque organisé par l’association Amaris, qui regroupe des collectivités couvertes par un plan de prévention des risques technologiques. 

La catastrophe AZF du 21 septembre 2001 a conduit à revoir la politique française de prévention du risque industriel. Deux ans plus tard, le Parlement adopte la loi Bachelot du 30 juillet 2003 sur la prévention des risques technologiques et naturels, avec pour ambition de modifier, sur le terrain, l’appréciation du risque. Dix ans plus tard, sommes-nous passés du verbe aux actes?

 

La conséquence la plus visible de la loi Bachelot est le lancement des plans de prévention des risques technologiques (PPRT), véritables stratégies locales de protection des riverains des sites industriels à hauts risques. Pour autant, l’objectif premier de la loi Bachelot n’est pas atteint. 407 PPRT devaient être validés au 31 juillet 2008. Nous en sommes encore loin. «Environ 60% d’entre eux sont désormais en place mais l’accident de l’usine Lubrizol, en janvier dernier à Rouen, nous a poussés à préciser de nouveaux objectifs, soit 75% des PPRT atteints fin 2013 et 95% fin 2014», avance le ministre de l’écologie Philippe Martin. Au rythme actuel, il est peu probable que les délais soient tenus malgré l’annonce, au printemps dernier, de 12 nouvelles mesures.

 

8 sites-pilotes 

 

D’autant que le PPRT n’est que la première étape d’un long processus. Après son adoption, il faut encore l’appliquer, réaliser des travaux, prendre des mesures de délaissement ou d’expropriation. Une expérimentation a été lancée sur 8 sites-pilotes afin de se frotter aux difficultés opérationnelles et d’imaginer des solutions concrètes et réplicables.

 

Quatre de ces programmes d’accompagnement aux risques industriels (PARI) sont bouclés, avec l’acceptation des offres de travaux (à Lanester dans le Morbihan, Marseille dans les Bouches-du-Rhône ainsi que Roussillon et Jarrie dans l’Isère). «Dans les autres cas, les offres ont été considérées comme inadaptées, trop coûteuses, ou irréalisables», affirme Fabrice Arki, du Centre d’études techniques de l’équipement (CETE) de l’Est, chargé de leur évaluation pour la Direction générale de la prévention des risques.

 

Les industriels devancent l’appel

 

Derrière ces initiatives, dont on peut déplorer le retard de déploiement, plusieurs évolutions importantes sont perceptibles. A commencer par le changement de comportement des industriels. «Si l’on se place du côté du nombre de PPRT conclus, on enregistre un sérieux retard, mais si l’on regarde ses objectifs, les résultats sont plus satisfaisants», estime Emmanuel Martinais, chargé de recherches au laboratoire ESV-RIVES de l’Ecole nationale des travaux publics de l’Etat (ENTPE). Selon lui, les entreprises ont amélioré la sécurité, en amont, pour réduire le coût des travaux prescrits par le PPRT, en aval. «Avant même l’adoption du plan, leurs investissements se sont élevés au total à 100 millions d’euros par an. Une fois le PPRT adopté, la facture s’est stabilisée entre 200 et 300 M€ par an. Sans les travaux préalables, le montant annuel de la facture aurait probablement dépassé les 500 millions.», précise-t-il.

 

Prévenir les risques dans leur globalité, c’est aussi entrer de plain-pied dans la complexité. «L’usine Arkema de Pierre-Bénite, dans la banlieue de Lyon, a déjà proposé trois scénarios différents. Ce fabricant de produits dérivés du fluor a présenté successivement plusieurs dispositifs jusqu’à ce que la carte d’aléas validée par l’Etat ne présente plus de mesures d’expropriation ou de délaissement, très lourdes pour l’entreprise», explique le chercheur. Les PPRT impliquent de la patience.

 

Une approche probabiliste

 

Autre évolution: la culture du risque s’est affinée. «La loi Bachelot a changé l’approche du risque technologique, jusque-là déterministe, puisqu’on évaluait surtout l’accident le plus grave. Désormais, l’on suit une approche probabiliste avec une estimation plus complète selon la gravité, la probabilité, et l’intensité des événements. Les études de danger comportent maintenant jusqu’à 1.000 scénarios différents contre une dizaine auparavant», observe-t-il. Ce qui n’est pas pour accélérer le processus.

 

Collectivités associées

 

Enfin, les territoires sont désormais impliqués dans la prévention des risques technologiques. «L’Etat a compris que ces collectivités disposaient de nombreuses informations facilitant la mise en place des PPRT. Les communautés de communes, par exemple, président désormais les comités d’engagement assurant le suivi du financement.» Elles participent d’ailleurs au financement des travaux à hauteur de 25%, soit autant que les entreprises. «On peut imaginer qu’à l’avenir, elles soient mieux sensibilisées aux risques technologiques lors de l’élaboration de leurs plans d’urbanisme», conclut Emmanuel Martinais.

 

http://www.journaldelenvironnement.net/article/pprt-une-nouvelle-approche-du-risque-sur-le-terrain,38717?xtor=EPR-9

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