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2 décembre 2013 1 02 /12 /décembre /2013 13:10

 

 

Pour permettre d’améliorer la qualité de l’air

 les industriels de Seine et Marne

doivent verser

leur TGAP

Taxe sur les activités polluantes

à AIRPARIF

 

 

 

En effet la TGAP (Taxe sur les activités polluantes) peut être versée jusqu’à 171 000 € par an et par installation à Airparif, ceci permet à cette association de pouvoir financer des contrôles et des études de la qualité de l’air.

http://www.douane.gouv.fr/data/dab/pdf/00-233.pdf

 

http://www.airaq.asso.fr/fileadmin/user_upload/fichiers/COLLECTIVITE/Adhérer%20à%20AIRAQ.pdf

 

La Seine et Marne, une fois de plus lanterne rouge

en effet, nous constatons qu’en 2012

seulement 4 industriels de ce département

ont versé la TGAP à Airparif :

 

                                                       GPN grande paroisse usine de Grandpuits

                                         TOTAL Grandpuits

                                         KNAUF  Saint Soupplets

                                         SITA NOVERGIE St Thibault des Vignes

 

Alors que dans les Yvelines et les Hauts de Seine ils étaient plus de 12.

 

 

Dans ce département qu’on surnomme « Le dépotoir de l’Ile de France » un seul exploitant  d’entreprise traitant les déchets verse la TGAP à AIRPARIF c’est SITA St Thibault.

 

Citons quelques  industriels du déchet  qui  ne versent pas cette contribution à AIRPARIF, il s’agit de :

 

Capoulade décharge Isles les Meldeuses

 

Gerep incinérateur de déchets dangereux de Compans.


   

Groupe Veolia

- Generis incinérateur Vaux le Pénil

- Somoval incinérateur de Monthyon

- Sytradem incinérateur de Montereau-Fault-Yonne

- décharge de Claye-Souilly

- décharge Veolia Fouju

- décharge Veolia Monthyon

 

 

 

Airparif au début de ce mois  a contacté un  certain nombre de ces industriels  qui à ce jour n’ont toujours pas donné suite.

 

 

Pour mémoire les incinérateurs de Vaux le Pénil, Monthyon et Montereau Fault Yonne sont la propriété de collectivités territoriales.

Pour préserver la santé des populations de Seine et Marne les élus de ces collectivités doivent imposer à leur sous-traitant de verser cette TGAP à AIRPARIF afin que cette association puisse réaliser plus d’études et de contrôles de la qualité de l’air en Seine et Marne

 

 

 

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1 décembre 2013 7 01 /12 /décembre /2013 17:00

 

 

La rubrique d’Alain : 

 

 

 

Du plâtre, des trous et l'intérêt général de qui ?

  

 

Que ce soit le long de la Dhuys ou aux abords de Claye Souilly, à Montgé en Goële ou encore à Cormeilles en Parisis, partout où il y a du gypse, il y aura des drames écologiques.

·         C'est la même situation que pour le gaz de schiste.

·         C'est la même situation pour toutes les ressources naturelles non renouvelables.

·         Nous sommes "accros" et avec la mondialisation, on a généralisé les modes de  vie…   les industriels en font leurs choux gras.

·         Donc oui la Dhuys est vouée à devenir un chemin piétonnier au milieu de carrières à ciel ouvert.

·         Oui la forêt régionale de Montgé en Goële sera probablement sacrifiée…..

·         L'exploitation à ciel ouvert est inéludable, je cite "francebtp.com":

Cependant l’extraction actuelle, située au lieu-dit Bois-le-Comte prendra fin vers 2018 et Placoplatre envisage une extension de son périmètre à l’est de la carrière actuelle, sur les lieux-dits "Le bois de Gratuel" et "Les Mazarins" sur la commune de Villevaudé (77). "Il s’agirait d’exploitations à ciel ouvert qui permettent de valoriser 100% du gisement contre 20 à 35% en souterrain", explique Gilles Bouchet, responsable développement carrières Placoplatre. "Nous avons là une réserve de 15 ans, avec un rythme d’exploitation de 600.000 t/an." 

 

Mais non ce n'est pas comme le dit le journal "La Marne" :

"D’un côté, le calme et la verdure de la forêt régionale. Et de l’autre, le besoin d’extraire du gypse pour faire travailler des salariés. "

Les industriels n'extraient pas le gypse pour faire travailler des salariés (s'ils pouvaient le faire sans salariés ils le feraient).

On extrait le gypse pour plusieurs raisons:

·         On en exporte

·         On en consomme un peu partout dans la construction

·         On ne le recycle pas ou si peu.

·         La croissance de sa consommation est constante.

 

Le vrai visage de la croissance:

placoplatre villeparisis 22.6.2013 5

 

En rêvant un peu on peut penser à quelques solutions:

·         Protectionnisme au niveau des matières premières

·         Recycler le plâtre puisque comme le verre il est recyclable à l'infini.

·         Faire que  nous, les consommateurs, par notre pouvoir d'acheteur fassions que sa consommation soit réduite fortement tout du moins lorsqu'il ne s'agit pas de plâtre issu de recyclage (la consommation moyenne par habitant en France est de 100Kg)


Bien sûr ces problèmes de massacre de l'environnement sont graves, mais voyez-vous je pense qu'il y a pire. Car comme d'habitude dans notre merveilleux système, les pollueurs ou les massacreurs de l'environnement ne sont jamais les payeurs. Et là pour nous et les autres habitants des zones "plâtrières", c'est encore la peine multiple: nous devons subir ces massacres, vivre dans un environnement pollué et en plus c'est avec nos impôts que l'on va "aider" les industriels à faire ce qu'ils devraient faire de manière systématique, c’est-à-dire développer des filières de recyclage.

L'Europe apporte donc son aide au travers du programme Life+ au projet Gypsum to Gypsum qui a pour objectif de transformer le marché des déchets de gypse de démolition, ceci pour une durée de 3 ans et pour un budget total de 3.5 millions d'euros.

 

Mon petit doigt me dit que les industriels mettent le paquet pour obtenir de nouvelles autorisations d'exploitation ou des extensions à celles-ci de crainte que de telles initiatives, si elles s'étendaient, réduisent la demande de matière naturelle et donc leurs bénéfices.

Bien que les réserves en gypse, comme celles des autres ressources naturelles ne nous permettent pas d'envisager pouvoir en disposer au-delà d'une poignée de décennies, cela n'empêche pas l'ensemble des industriels de mettre tous leur moyens pour avoir le droit d'aller dépecer jusqu'à l'os notre pauvre planète qui pour le moment n'a toujours pas été déclarée "Patrimoine de l'humanité", alors que chaque année on nous enfume avec le classement de tel ou tel site et que pendant ce temps on tolère toutes les atrocités écologiques à son égard.

Certains ont le Plâtre, d'autres de l'Huile de palme, de l'or ou de l'uranium mais il s'agit du même combat, seuls les consommateurs  peuvent décider même si c'est difficile …… 

 

En attendant voilà ce qui nous attend:

 placoplatre villeparisis 22.6.2013

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30 novembre 2013 6 30 /11 /novembre /2013 19:14
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30 novembre 2013 6 30 /11 /novembre /2013 11:08

 

 

Pour extrait article de l’Institut écocitoyen(1)

« La santé environnementale : l’effet de l’environnement sur la santé publique s’observe par le biais du comptage des pathologies et par l’établissement de profils individuels d’exposition. 
Ce dernier volet permet de constater l’état de santé de la population, de caractériser les pathologies observées en fonction de leurs origi
nes environnementales probables en tentant de lier les observations sanitaires aux mesures des différentes contaminations »

 

Pourquoi en Seine et Marne,

dans le département

 où l’espérance de vie est la plus faible d’Ile de France

ne fait-on pas ce type d’études ?

 

Pas d’études santé environnementale = pas de problèmes ?

A vous de juger 

 

(1) Article  complet de l’institut écocitoyen :

Pollutions et Santé

Le territoire intercommunal de Ouest Provence abrite depuis 40 ans une zone industrielle et portuaire d’importance majeure à l’échelle européenne, composée de sites sidérurgique, chimique et pétrochimique, de centres de traitement des déchets, de terminaux méthaniers et de centrales de production d’électricité.

A ces activités industrielles s’ajoute une composante logistique engendrant de forts trafics routier et maritime. Enfin, le territoire de Ouest Provence conserve une activité agricole notable.

Il en résulte la combinaison de nombreuses sources de pollutions diversifiées touchant tous les compartiments environnementaux, soit directement en affectant la qualité de l’air et du milieu marin, soit indirectement par redéposition ou transfert de polluants.

La connaissance des pollutions consiste à mesurer l’état de contamination des milieux naturels par des substances polluantes, et à connaître les effets de ces contaminants sur l’homme et sur l’environnement. Les activités scientifiques de l’Institut Ecocitoyen se déclinent selon trois types d’approche :

L’observation de l’environnement vise à mesurer la contamination des milieux naturels par des composés polluants, afin de caractériser l’état environnemental du territoire et son évolution. Ce volet se fonde sur l’étude Aigrette, réalisée à l’initiative du SAN Ouest Provence, sur l’ensemble des compartiments. Les études conduites par l’Institut Ecocitoyen complètent et développent cette connaissance de l’état de l’environnement

L’étude de la toxicité des polluants : les conséquences des polluants sur l’environnement et sur la santé humaine sont abordées par l’étude de la toxicité des composés (effets et mode d’exposition) et par la connaissance de leur devenir (accumulation, transfert d’un compartiment à l’autre, métabolisation). 
Ce volet de la connaissance permet de traduire les taux mesurés en risques pour les milieux, d’évaluer la bioaccumulation de certains polluants et de caractériser la dangerosité des composés pris en compte.

La santé environnementale : l’effet de l’environnement sur la santé publique s’observe par le biais du comptage des pathologies et par l’établissement de profils individuels d’exposition. 
Ce dernier volet permet de constater l’état de santé de la population, de caractériser les pathologies observées en fonction de leurs origi
nes environnementales probables en tentant de lier les observations sanitaires aux mesures des différentes contaminations.

http://www.institut-ecocitoyen.fr/spip.php?rubrique3 

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30 novembre 2013 6 30 /11 /novembre /2013 10:44

 

 

Une bonne initiative  

du syndicat des hôteliers et restaurateurs parisiens

mais

à condition que la ville de Paris

implante des unités

de méthanisation-compostage de déchets fermentescibles.

 

 


 

Apres les mégas décharges la Seine et Marne ne doit pas laisser s’implanter sur son territoire des mégas unités de méthanisation-compostage de déchets fermentescibles pour traiter les déchets

des autres.

 

Chacun doit comprendre

que cette période d’envoyer ses ordures chez les autres

est révolue.

 

Ceux qui ne veulent pas supporter leurs ordures,

qu’ils n’en fassent pas

 


 

 

Paru sur le site de l’Hôtellerie et de la Restauration :

Le Synhorcat lance un programme pilote de valorisation des bio-déchets dans la profession

 

lundi 18 novembre 2013 12:34

 

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75 - Paris A l'occasion de son XIème congrès, le Synhorcat a présenté un programme pilote de valorisation des déchets qui va être mis en place dans trois arrondissements de la capitale.

 

De g à d : Alain Fontaine, président de la commission des Maîtres Restaurateurs au Synhorcat et qui participe au programme, Roger Beaufort (Moulinot Compost et Biogaz) et Stéphan Martinez.

Le développement durable a fait l'objet d'une plénière, jeudi 14 novembre, avec l'annonce notamment de la mise en place d'une opération pilote de collecte de bio-déchets par le Synhorcat, avec la collaboration de Moulinot Compost et Biogaz, une entreprise lancée par des restaurateurs. En 2015, un établissement qui atteindra 20 tonnes de bio-déchets par an sera considéré comme un gros producteur, le chiffre passe à 10 tonnes en 2016. « Cela correspond à un restaurant qui fait entre 100 et 300 couverts par jour » explique Stephan Martinez, fondateur de la société et co-patron de deux restaurants dans la capitale. « Dans ce projet, ce qui est essentiel, c'est de comprendre que c'est une solution qui émane de la profession. Vis-à-vis des pouvoirs publics, c'est nous qui amenons quelque chose et qui installons un cycle vertueux. Un restaurateur travaille de bons produits, des produits bruts, dont les déchets vont être valorisés par la méthanisation et le compostage. » Le programme va porter sur 80 établissements situés principalement dans trois arrondissements de la capitale ! 1er, 2ème et 8ème.  En juillet dernier, un premier test a été effectué. « Très vite, les équipes se sont emparées du projet. Le commis ici à de nouvelles responsabilités et on met les gens dans une situation qui est favorable à la planète, qui les concerne tous ». La société met à disposition des sacs en plastique recyclable transparents « ce qui permet aussi de voir ce que l'on jette, de s'apercevoir peut-être que les pluches sont trop épaisses ou que certains produits dans l'assiette ne sont pas consommés et n'auraient pas lieu d'être… » explique Stephan Martinez. Autre aspect pratique : les poubelles utilisées sont à fond rond, parfaitement nettoyables. Le syndicat s'est fixé six mois pour tenter l'aventure et voir sa viabilité à plus long terme mais le président du Synhorcat, Didier Chenet, est confiant et convaincu. Ce programme, initié avec la complicité de la commission développement durable du Synhorcat, présidé par Bruno Basy, va permettre aussi « de lutter contre le gaspillage alimentaire, de donner une image positive de  la profession auprès de la clientèle et va éviter de payer de nouvelles taxes... » estime Didier Chenet. Début du programme le 16 décembre.

Sylvie Soubes 

 


http://www.lhotellerie-restauration.fr/journal/salon-concours-syndicat-association/2013-11/Le-Synhorcat-lance-un-programme-pilote-de-valorisation-des-bio-dechets-dans-la-profession.htm

 

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28 novembre 2013 4 28 /11 /novembre /2013 21:38

Turbidité dans l’eau du robinet à Claye-Souilly :

Nous avons relaté à plusieurs reprises dans nos articles
la non conformité à la référence
de qualité de l’eau du robinet distribuée
à Claye-Souilly
pour le paramètre Turbidité


Afin de connaître les risques pour les populations qui boivent cette eau du robinet nous relayons un rapport du Sénat sur le sujet :
La qualité de l'eau et l'assainissement en France (rapport)

 

C. LA QUALITE PHYSIQUE ET CHIMIQUE DE L'EAU
1. La turbidité

L'augmentation lente mais régulière de la turbidité des eaux brutes est une source de préoccupation des gestionnaires de l'eau.

Une eau turbide est une eau trouble. Cette caractéristique vient de la teneur de l'eau en particules en suspension, associées au transport de l'eau, notamment après la pluie. Au cours de ce parcours, l'eau se charge de quantités énormes de particules, qui troublent l'eau. Les matières, mêlées à l'eau, sont de natures très diverses : matières d'origine minérale (argile, limon, sable...), micro particules, micro organismes...

La turbidité se mesure par la réflexion d'un rayon lumineux dans l'eau. La turbidité est mesurée par un test optique qui détermine la capacité de réflexion de la lumière (l'unité de mesure est le « NFU » - unités néphélométriques). La turbidité maximale fixée par la réglementation française est de 0,5 ou 2 NFU selon les lieux de mesure.

La turbidité joue un rôle très important dans les traitements d'eau.

- Elle indique une probabilité plus grande de présence d'éléments pathogènes. Le ruissellement agricole remet en circulation des germes pathogènes et il existe un lien direct entre pluies et gastroentérites. Il existe deux pics de gastroentérites, à l'automne, après les premières grosses pluies qui succèdent à l'été, et en janvier.

- La turbidité perturbe la désinfection. Le traitement par ultraviolets est inefficace et le traitement par le chlore perd son efficacité.

- La matière organique associée à la turbidité favorise la formation de biofilms dans le réseau et par conséquent, le développement de bactéries insensibles au chlore notamment.

- La turbidité révèle une évolution préoccupante de l'état des sols, sur laquelle il faudra être très vigilant.

Pourquoi, parfois, l'eau du robinet
n'est-elle pas potable après la pluie ?

La turbidité de certaines eaux souterraines influencées par des eaux de surface est brutalement aggravée à l'occasion des pluies. Ce phénomène est à l'origine de nombreuses difficultés 

- la turbidité entraîne des difficultés de fonctionnement des unités de distribution. Très peu sont équipées de systèmes de traitement de la turbidité. La plupart des petites stations rurales notamment sont seulement équipées de traitement de désinfection, inopérants en l'espèce.

- la turbidité apporte des pollutions supplémentaires. Il existe une corrélation directe entre turbidité et hydrocarbures, entre turbidité et pesticides, et surtout entre turbidité et contaminations fécales. Les particules en suspension ont un pouvoir d'adsorption et constituent des supports aux bactéries. Cette contamination bactérienne ou parasitaire, peut être à l'origine de crises de gastroentérite. Ce lien a été mis en évidence par l'expérience (une surveillance épidémiologique des pharmaciens du Havre avait noté un doublement des gastroentérites après les crues de février 1995) et par l'analyse : la teneur en cryptosporidium (parasite à l'origine d'une partie des gastroentérites dues à l'eau) est directement corrélée à la turbidité. Le nombre d'unités de cryptosporidium est multiplié par cent en quelques jours après l'augmentation de la turbidité.

- la turbidité est un masque qui rend les tests de contamination microbiologiques aveugles et inopérants. Ces tests fonctionnent à partir de germes isolés de l'eau par filtration et mis au contact avec un milieu de culture. Leur développement est un indicateur de pollution. Mais avec la turbidité, les germes sont protégés et ne se développent pas.

- la turbidité réduit l'efficacité des désinfectants. Elle accroît la consommation de chlore (principal désinfectant utilisé) tout en diminuant son efficacité.

Pour toutes ces raisons, la consommation d'eau du robinet peut être déconseillée, voire interdite.

Le risque est cependant variable selon les unités de traitement. L'effet taille est très important. Les grandes unités sont mieux équipées et plus capables d'assurer des préventions. La SAGEP, société anonyme de gestion des eaux de Paris, cesse de prélever l'eau de source lorsque la turbidité dépasse 2 NTU, même s'il est possible de mélanger les eaux avec des eaux claires pour faire baisser la turbidité. Les petites unités offrent moins de garanties. Il est même arrivé que l'eau distribuée dépasse cent fois la norme...

 

Articles sur le même sujet :

http://adenca.over-blog.com/article-claye-souilly-l-envers-du-decor-le-prix-et-la-qualite-de-l-eau-potable-120516180.html

http://adenca.over-blog.com/article-une-fois-de-plus-la-qualite-de-l-eau-du-robinet-distribuee-par-l-usine-d-annet-sur-marne-ne-respect-120326916.html

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28 novembre 2013 4 28 /11 /novembre /2013 21:37
Madame la Préfète de Seine et Marne
va-t-elle autoriser
l’implantation d’une nouvelle décharge de déchets  non dangereux
en Seine et Marne,
alors que le PREDMA  voté en novembre 2009 (1) l’interdit ? 
Ce plan indique page 83

"Les ISDND :La création de nouvelles capacités sera appréciée de manière à assurer un rééquilibrage territorial à l’ouest et au sud de l’Ile de France, notamment pour faire face aux fermetures de sites dès 2020 et aux incertitudes des projections en particulier sur les déchets des activités économiques. Ainsi, aucun projet d’extension ou de création de capacités ne devra être prévu dans les départements du Val d’Oise et de Seine et Marne jusqu’en 2019." 

(1) Plan Régional d’élimination des déchets ménagers et assimilés
Paru dans la République de Seine et Marne :
Fouju
Une montagne de déchets de plus

La Seine-et-Marne poubelle de l’Ile-de-France, ça continue. L’extension demandée de la décharge de Fouju concerne un accueil de deux tiers de déchets venant d’autres départements.

Dernière mise à jour : 26/11/2013 à 10:43

Le site le long de l'A5 est assez éloigné des villages

Ceux qui espéraient voir dans un avenir proche l’actuelle décharge de Fouju arasée et entièrement végétalisée devront déchanter. Car bien au contraire, l’exploitant REP filiale de Véolia va en rajouter 800.000 m3, soit environ 720.000 tonnes, à une moyenne de 350 à 400 tonnes par jour. L’extension prévue sur 15 hectares va porter la hauteur du monticule jusqu’à la cote de 110 m, soit 20 mètres au-dessus du niveau des champs environnants le long de l’A5.

L’enquête publique est en cours jusqu’au lundi 9 décembre et le dossier est consultable dans les mairies de Fouju et des villages voisins, ou sur le site www.seine-et-marne.gouv.fr, rubrique « politiques publiques, environnement et cadre de vie ». Le conseil municipal de Fouju a donné un avis favorable à cette demande d’extension, sans émettre de réserve.

« Non dangereux »

L’extension d’exploitation est demandée pour 11 ans dont 9 d’accumulation et 2 pour la réhabilitation. Les déchets sont de la catégorie « non dangereux », c’est-à-dire qu’on y trouvera des déchets industriels banals, des déchets ultimes et encombrants non incinérables, des refus de tri et des déchets inertes. Le dossier met bien sûr en avant une qualité de l’exploitation et de contrôle et une absence de nuisances, avec le respect de toutes les normes qu’on imagine. Sur ce site ouvert depuis 1971, à l’époque pour des ordures ménagères, il est en fait question de faire un tas sur le tas dans le périmètre actuel.

70 % hors du 77

Ce sont actuellement 70 % de déchets qui proviennent d’autres départements d’Ile-de-France, et on peut se demander pourquoi cela devrait changer pour cette extension. Ce qui remet en mémoire une déclaration du Conseil général de fin février dans laquelle il soulignait dans un communiqué les risques pour l’environnement de ce type de décharge et précisait : « Les élus de la majorité du Conseil général de Seine-et-Marne dénoncent le manque de solidarité régionale en matière de gestion des déchets, et demandent, au nom du rééquilibrage territorial, à ce que les nouvelles autorisations de stockage accordées en Seine-et-Marne soient limitées aux besoins du département. (.) Cela ne peut plus durer. Il est urgent que toute la région Île-de-France se coordonne d’avantage pour supporter collectivement ces coûts : c’est une question d’équité territoriale ! ».

Didier BARRY

 

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27 novembre 2013 3 27 /11 /novembre /2013 19:31

 

La rubrique d’Alain : 

 

 

Villages Nature: "Impôts Land" et imposture écologique

 

Ca y est, on y est arrivé : La nature comme un zoo: les bobos en ont rêvé et l'argent l'a fait.

 

On détruit la nature à tour de bras et on veut nous la reconstruire pour qu'elle rapporte enfin des sous….

 

Alors que la France fait l'objet d'une dizaine de contentieux pour non-respect des directives européennes en matière d'environnement (17 % des contentieux engagés contre Paris, Le monde Juin 2013).

Alors que l'Ile de France et le Nord-Ouest de la France d'une manière quasi générale ne dispose pas d'eau potable de qualité.

Alors que les villes et les industries évacuent leurs déchets dans des zones "campagnardes".

Et bien, bientôt, braves gens, vous pourrez enfin visiter la vraie nature, celle des parcs d'attraction  et des industriels du développement durable : "Les villages Nature". C'est quand même plus propre et plus joli que cette nature qui nous a permis de vivre jusqu'à maintenant.

Certes, cela va créer des emplois, certes le chômage est une catastrophe mais est ce que tout peut être justifié par l'emploi ?


Et puis,  à quand un grand village nature pour y transférer tous les habitants des zones que l'on pollue chaque jour un peu d'avantage. Mais non, ça, ce n'est pas pour demain et les visites de "Décharges Land" par les touristes non plus...


 

La nature avant l'invention des lapins en plastique et des lagons chauffés:

Pommeuse 21.10.2012

 

 

 

Il y aura même une Ferme pédagogique, ça aussi c'est à la mode, on laisse l'agriculture traditionnelle périr et on va montrer là encore dans un zoo ce qu'est l'agriculture… on voudrait rêver! Mais non, malheureusement, et ce n'est pas fini, une ferme bio…… fantastique.

La région devrait voter un budget de 41.2 millions d'Euros pour ce projet alors que l'investissement pour le plan bio de 2009-2013 était de 23 millions … cherchez l'erreur!

 

Moi je vous le dis, Citoyens lambda vous n'êtes plus les bienvenus sur cette terre, soyez un bon touriste qui va dépenser ses sous chez les industriels du tourisme ou des grandes surfaces et là, vous serez un citoyen de première classe. Sinon "circulez", il n'y a rien à voir.

 

Le "Grand Pari"  (excusez-moi pour le jeu de mot), Mesdames et Messieurs les faiseurs de mondes artificiels, c'est celui de penser que tout ce cinéma va pouvoir durer longtemps avant qu'une bonne partie de la population ne se radicalise très fortement, parce que les limites sont d'ores et déjà franchies et du ridicule et du supportable….

 


 


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27 novembre 2013 3 27 /11 /novembre /2013 17:45

 

Après la plus importante décharge de France de déchets ultimes de  Claye-Souilly, Fresnes sur Marne, Charny, ces communes  vont-elles voir s’implanter sur  cette décharge  l’une des  plus importantes unités de méthanisation-compostage de déchets fermentescibles  de France? 
En effet en date du 26 mai 2013 Rep Veolia a déposé une demande d’autorisation d’implantation de cette unité de méthanisation-compostage de déchets fermentescibles sans en avertir les membres des associations environnementales nommés par le préfet à la Commission Locale d’Information et de surveillance.
Les 80 000 tonnes de déchets fermentescibles
proviendront de quels départements ?
Il n’est pas concevable qu’après les décharges, on décide de concentrer les usines de méthanisation sur l’Est Parisien (Romainville, Blanc Mesnil, Claye-Souilly..)
Paris  et l’Ouest Parisien doivent prendre leur part, il n’est pas admissible que certaines communes continuent comme avant à faire autant de déchets et à les envoyer chez les autres.
 
Le Conseil Régional doit réviser le PREDMA et fixer les implantations de ces méthaniseurs au plus près des sites de production.
Il n’est plus question comme par le passé
que certains envoient leurs déchets chez les autres.
S’il ne veulent pas supporter leurs propres  déchets,
qu’ils n’en fassent pas !
D’après les dernières informations de la DRIEE, Rep Veolia Claye-Souilly aurait demandé que l’instruction de demande du dossier soit suspendue, mais pour combien de temps ?
NOUS RESTONS VIGILANTS !
Paru dans le journal de l’environnement pour extrait:
IDF: les déchets organiques en voie de méthanisation

Le 26 novembre 2013 par Stéphanie Senet

 

La collecte séparée des gros producteurs pourrait favoriser le développement du biogaz

Après avoir ciblé les déchets du bâtiment et des travaux publics, la région Ile-de-France souhaite valoriser énergétiquement les déchets organiques. Elle a annoncé, ce 26 novembre, le lancement prochain d’un plan de développement de la méthanisation. Objectif: traiter les tonnages des gros producteurs (restauration collective, grande distribution, agroalimentaire), soumis à une collecte séparée depuis le 1er janvier 2012. Sans oublier le secteur agricole.

Après la région Midi-Pyrénées, fin juillet, l’Ile-de-France est la deuxième région à lancer un plan en faveur de la méthanisation, pour développer la production de biogaz, une énergie encore boudée dans l’Hexagone. Selon l’Agence de l’environnement et de la maîtrise de l’énergie (Ademe), seules 90 installations tricolores utilisent ce biocombustible.

Le plan francilien sera officiellement présenté en février prochain, mais la vice-présidente de la région en charge de l’environnement, de l’énergie, et de l’agriculture, Corinne Rufet, en a divulgué les grandes lignes à l’occasion d’un colloque sur les biodéchets, organisé par l’Observatoire régional des déchets d’Ile-de-France (Ordif).

«La méthanisation suscite des fantasmes qui peuvent apparaître comme datés au regard de l’évolution des technologies», a-t-elle lancé, en écho à la forte opposition qui s’est mobilisée autour du projet de Romainville.

Selon sa définition, la méthanisation assure la fermentation contrôlée des déchets organiques en vue de produire un biogaz composé à 60% de méthane (valorisable en production de chaleur, d’électricité ou de gaz) et un amendement organique stabilisé, ou digestat.

«Il faut au contraire s’inspirer du modèle allemand, qui démontre que des projets sont acceptés par les citoyens lorsqu’ils sont vertueux et de petite taille, afin d’éviter les transports inutiles», a-t-elle poursuivi.

35 projets potentiels ont d’ores et déjà été identifiés dans la région, qui vise la création de 205 unités d’ici 2050. Aujourd’hui, la région compte seulement deux méthaniseurs agricoles, dans les fermes de la Tremblaye (Yvelines) et d’Arcy (Seine-et-Marne).

Un appel à projets sélectif

La région et l’Ademe lanceront un premier appel à projets dès le mois de mars. Il s’appuiera sur trois critères: ancrage territorial, qualité minimale des intrants et de la valorisation organique. «L’ancrage local pourra se mesurer au regard de l’ampleur de la concertation», estime Corinne Rufet. Par ailleurs, l’agriculture devra rester la première activité de l’installation, pour éviter les écueils de la production des agrocarburants. Pour favoriser la production d’un digestat de qualité, les pratiques agricoles à l’origine des déchets ne devront pas recourir aux engrais minéraux ni aux fertilisants. Enfin, un plan de valorisation devra être mis au point pour privilégier les filières locales.

 La région a par ailleurs tiré un trait définitif sur les déchets organiques issus du tri mécano-biologique (TMB). «Nous exclurons d’emblée ces types de déchet», assure la vice-présidente de la région.

 Une précision de taille, qui devrait satisfaire les associations protectrices de l’environnement, comme la fédération France Nature Environnement (FNE), qui défendent des projets de petite taille et de qualité, pour éviter les dérives d’une méthanisation intensive. Leurs inquiétudes s’étaient exprimées en mars dernier à l’occasion de la présentation, par le ministre de l’agriculture Stéphane Le Foll, du plan Energie méthanisation autonomie azote qui vise la création de 1.000 installations en France d’ici 2020.

 2.000 GWh d’énergie renouvelable en 2025

 Cette nouvelle stratégie doit permettre à la région d’atteindre son objectif de production de biogaz -2.000 gigawattheures en 2020 contre 300 GWh en 2009- arrêté en décembre 2012 dans son Schéma régional du climat, de l’air et de l’énergie (SRCAE).

 Plusieurs scénarios ont été étudiés à la loupe. Ils montrent que seule une action volontariste peut y conduire. «La tendance actuelle ne nous permettra pas de produire plus de 1.500 GWh d’énergie finale en 2025. Pour obtenir 2.000 GWh à cette échéance, nous devons mobiliser 5 millions de tonnes de déchets organiques par an», estime Anne-Sophie de Kerangal, responsable du service prévention et gestion des déchets au conseil régional. Pour un taux de valorisation organique de 60%.

 Priorité aux déchets des gros producteurs

 Souvent mélangés aux ordures ménagères, les déchets organiques des ménages n’ont pas vocation à intégrer ce dispositif. Seuls les résidus des gros producteurs (+120 tonnes par an) sont visés, en raison de leur participation à la collecte séparée depuis le 1er janvier 2012. Sont concernés: les hypermarchés et leurs invendus, les industriels de l’agroalimentaire et leurs rebuts de fabrication, les très grands restaurants collectifs et leurs restes (50.000 repas par jour pendant 220 jours), ainsi que les marchés alimentaires les plus importants.

 Mais c’est surtout en 2014 que la collecte séparée prendra son essor, avec une obligation visant toute production annuelle de 40 t (puis 10 t en 2016). «Cela se rapprochera de la production de déchets des commerces de proximité», estime Sophie Gillier de l’association technique du commerce et de la distribution Perifem.

 Seul bémol: certains producteurs rechignent à passer à l’action. «Nous avons effectué nos premiers contrôles en 2013 auprès de l’industrie agroalimentaire, des commerces alimentaires, de la restauration collective et des entreprises d’entretien des espaces verts. Or, force est de constater qu’il y a clairement un défaut d’appropriation de la réglementation», conclut Benoît Jourjon, chef du pôle Risques à la Direction régionale et interdépartementale de l’environnement et de l’énergie (Driee) d’Ile-de-France. En cause: de nombreuses absences de traçabilité des déchets, une méconnaissance des filières de traitement et un manque d’installations de méthanisation.

 Selon le scénario du conseil régional, les déchets des gros producteurs ne représentent toutefois qu’environ 25% du gisement (en tonnages). Il faut donc y ajouter 40% de déchets organiques issus du secteur agricole (effluents d’élevage et résidus de culture) et 35% de boues issues des stations d’épuration.

 Au-delà de ces obstacles, la méthanisation intéresse spécialement la région francilienne, particulièrement dense, car les unités nécessitent trois moins de surface foncière que les unités de compostage. Pas question pour autant de tout miser sur ce seul mode de traitement. «Il faut bien sûr compléter la méthanisation par une politique forte de prévention et de lutte contre le gaspillage alimentaire, par des actions de compostage de proximité –en plein essor aujourd’hui, y compris dans les grandes agglomérations- et par le recours aux plates-formes de compostage», conclut Anne-Sophie de Kerangal.

http://www.journaldelenvironnement.net/article/idf-les-dechets-organiques-en-voie-de-methanisation,39703?xtor=EPR-9

 

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27 novembre 2013 3 27 /11 /novembre /2013 09:52

 

Question orale à l’assemblée nationale de M. le député Lionnel Luca

qui s’inquiète pour la préservation de la ressource en eau

des habitants de Villeneuve Loubet et environs.

http://www.youtube.com/watch?v=HkV4gAo0vv0

 

 

 

Monsieur Philippe Martin, ministre de l’écologie indique, pour extrait :

« Je veillerai à ce que le contrôle sur la nature des déchets entrants en décharge soit performant, en multipliant les opérations de contrôles inopinés par les services des inspections des installations classés, je continuerai à préserver les effectifs des installations classées »

 

Il semblerait que Monsieur le Ministre ne connaisse pas bien la situation au nord-ouest 77, là même où on a concentré le plus important nombre de décharges de France.

 

En effet sur ce secteur les services des installations classées sont depuis de nombreuses années en sous effectifs, comment ces services peuvent-ils faire des contrôles répétitifs dans ces conditions ?

 

Madame Nicole Bricq, précédente ministre de l’écologie, le signalait déjà en 2001 alors qu’elle était  députée de Seine et Marne.

Paru dans le Parisien 2001 :
Mobilisation pour multiplier les contrôles dans la zone  de Mitry

V.R. | Publié le 02.10.2001

APRÈS L'OPPOSITION municipale de Mitry, à droite, c'est au tour de la députée Nicole Bricq (PS) et de l'association Mitry écologie de mettre la pression sur la préfecture, au sujet de la zone industrielle. Tous réclament que la Clis (Commission locale d'information et de surveillance) se réunisse plus d'une fois par an, comme c'est le cas depuis 1994. Cette commission répertorie les problèmes de la zone, veille à une transparence d'information. 

La catastrophe de Toulouse a mis en exergue les dangers de la zone de Mitry, où deux entreprises sont classées Seveso et où des dizaines d'entrepôts flamberaient à la moindre étincelle. Mitry écologie a adressé hier un courrier au préfet, demandant une réunion urgente de la Clis, dont la dernière remonte au 8 décembre. 
Les inspecteurs en sous-effectifs 
« Le plan particulier d'intervention de Gazéchim, l'entreprise la plus dangereuse de la zo
ne, est-il réaliste ? En cas d'accident, a-t-on pris en compte l'effet domino ? », interroge Benoît Penez, de Mitry écologie. L'association attend la liste des incidents connus au cours de deux dernières années, souhaite aussi revoir le règlement qui restreint l'urbanisation dans un périmètre de 300 mètres autour des Raffineries du Midi. Opposition comme majorité municipale réclament une antenne de la Drire (Direction de la recherche et de l'environnement) à Mitry-Mory. Si cette direction chargée de contrôler les entreprises et verbaliser leurs infractions a obtenu un poste supplémentaire l'an dernier, « le nombre d'inspecteurs des installations classées reste en sous-effectif », regrette la députée Nicole Bricq, qui siège comme Mitry écologie à la Clis. Elle avait alerté la ministre de l'Environnement au printemps 2000 sur les faibles moyens de la Drire en Seine-et-Marne. « Dans l'immédiat, la sécurité des riverains doit être renforcée. La Clis doit se réunir plus souvent et il faut organiser des exercices à grande échelle tenant compte des évacuations », ajoute l'élue.

Le Parisien

http://www.leparisien.fr/seine-et-marne/mobilisation-pour-multiplier-les-controles-dans-la-zone-de-mitry-02-10-2001-2002479817.php

 

 

(1) http://www.supertrashlefilm.com/ 

 

Pour aller plus loin :

http://www.nicematin.com/cagnes-sur-mer/veolia-super-trash-nest-pas-laudit-dune-decharge.1321013.html 

http://cote-d-azur.france3.fr/2013/11/19/decharge-de-la-glaciere-une-victoire-pour-les-defenseurs-de-l-environnement-361063.html.

 

http://www.nicematin.com/cagnes-sur-mer/letat-lance-une-enquete-sur-la-decharge-de-villeneuve-loubet.1518453.html

 

 

rep-01.2008.jpg

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