CLAYE-SOUILLY
la Beuvronne sous la neige
20/1/2013
ADENCA
Association de Défense de l'ENvironnement de Claye-Souilly et ses Alentours
"Le monde ne sera pas détruit par ceux qui font le
mal,
mais par ceux qui les regardent agir et qui refusent d'intervenir."
Albert Einstein
CLAYE-SOUILLY
la Beuvronne sous la neige
20/1/2013
En effet nous constatons qu’une campagne de mesures de bruit a eu lieu une nouvelle fois dans le département des Yvelines à Saint Cyr l’Ecole
Une autre campagne avait déjà été réalisée dans ce même département à Toussus le Noble. http://www.bruitparif.fr/sites/default/files/CP_Bruitparif_Toussus_0.pdf
Et la Seine et Marne l’a-t-on oublié une nouvelle fois ?
Bilan des mesures (été 2012) réalisées à Fontenay-le-Fleury à proximité de l'aérodrome de Saint-Cyr-L'école (78)
La campagne de mesures s'est tenue sur deux mois, du 5 juin 2012 au 6 août 2012, et a permis de documenter l'impact du trafic de l'aérodrome sur l'environnement sonore des riverains alentours.
Qualité de l’eau de la Basse Beuvronnne ?
Ru des Cerceaux qui reçoit les eaux de la ZI Mitry-Compans
Reneuse qui reçoit les eaux d’Aéroport de Roissy
Ne vous faites pas de soucis
On n’a pas de données pour :
Groupes paramètres déclassants état chimique
Substance chimique la plus déclassante
Qualité Biologique 2009/2010
Quand on ne cherche rien, on ne trouve rien
Site du Conseil Général 77 :
Qualité des cours d’eau en Seine-et-Marne 2011
http://eau.seine-et-marne.fr/library/Observatoire-2011---Qualite-cours-d-eau
Pour toutes informations complémentaires contactez le syndicat Basse Beuvronne SIAERBB en Mairie de Claye-Souilly, président Monsieur Yves Albarello.
[28/01/2013]
La Ville de Paris et Réseau Ferré de France lancent une concertation sur le devenir de la petite ceinture ferroviaire. Les Parisiens, les habitants des communes limitrophes et tous les acteurs concernés sont invités à s'exprimer sur ce projet en ligne, mais également lors de réunions publiques.
Restés à l’abandon depuis 1993, les 23 kms de rails de la petite ceinture font l’objet d’une très sérieuse étude de l’APUR qui en esquisse un avenir réjouissant, entre balades au vert, transports en commun et vocation ferroviaire.
Pour en savoir plus: Le projet petite ceinture
Avant l’élaboration de tout projet précis, Réseau Ferré de France et la Ville de Paris sollicitent l’avis des habitants de Paris et de la métropole mais aussi de tous les acteurs concernés ou intéressés pour imaginer quels pourraient être les usages futurs de la Petite Ceinture et de ses emprises.
La concertation, comment ça marche?
Un site participatif, "lapetiteceinture.jenparle.net/ ", permet de contribuer aux débats en ligne. Pour devenir acteur et participer à l'avenir de la petite ceinture il suffit de vous y inscrire. Des informations complètes seront mises à votre disposition. On y trouvera notamment les différentes études existantes concernant le devenir de la petite ceinture, notamment celle commanditée à l’Atelier parisien d’urbanisme par la Ville de Paris et RFF.
Régulièrement, des questions seront soumises aux participants. Ceci permettra de dialoguer avec d’autres personnes sur la perception de la petite ceinture et ses évolutions.
>> Participez à la concertation en ligne
Des réunions-ateliers thématiques sont organisées à partir de janvier 2013 dans les arrondissements qui le souhaitent pour s’informer et approfondir les usages envisageables pour la petite ceinture: services écologiques, transports, déplacements, usages de loisirs et culturels, patrimoine, aménagements urbains…
>> Découvrez toutes les dates des réunions publiques
Des visites sont également organisées par RFF dans les 12e, 19e et 20e arrondissements. Elles sont ouvertes au public sur inscription via le site internet, dans la limite des places disponibles.
>> Inscrivez-vous pour les visites
Enfin, un séminaire d’échanges et de concertation sur l’avenir de la Petite Ceinture sera organisé le 14 février 2013.
Comment les multinationales transforment l’eau en argent
Comment les multinationales transforment l’eau en argent
Les groupes français Veolia et Suez sont les leaders incontestés du marché mondial de l’eau privatisée. Dès qu’une commune cherche à remanier sa gestion de l’eau, les deux plus importants groupes mondiaux se disputent le marché. Ils sont présents sur tous les continents et constituent un oligopole qui pèse sur toute la surface du globe. En France, ils approvisionnent près de 80 % de la population en eau.
Extrait 1 : François Carlier parle du coût de l'eau
Water makes Money retrace le processus qui a conduit à l’abandon des régies publiques, encouragé par « le droit d’entrée » : une pratique consistant, pour les opérateurs privés, à mettre à disposition des communes une confortable somme d’argent afin de s’assurer la conversion au modèle du partenariat public-privé (PPP). Ces mariages d’intérêt ne sont pas restés sans conséquences pour les usagers : factures en constante augmentation, canalisations non entretenues... La longue liste de doléances a incité certaines municipalités, à l’instar de Paris et Grenoble, à choisir la « recommunalisation » pour protéger la ressource en amont et offrir aux habitants un service de qualité.
Extrait 2 : Gérard Chaussetparle de la nécessité d'économiserde l'eau
En France, mais aussi en Allemagne, au Kenya ou au Guatemala, par la voix d’experts tels que Maude Barlow, lauréate du prix Nobel alternatif, d’élus locaux dont Anne Le Strat, adjointe au maire de Paris chargée de l’eau, et de représentants d’associations de consommateurs, Water makes Money alerte sur les dangers liés à l’hégémonie de Veolia et Suez, qui se traduit par une présence grandissante des multinationales dans les médias, les partis politiques, les ONG et les universités… En éclaircissant les pratiques obscures des grands groupes privés et en montrant l’importance des décisions publiques, le documentaire Water makes Money cherche à alimenter le nécessaire débat sur la gestion de l’eau, ressource vitale universelle et objet des prochains troubles mondiaux…
Documentaire de Leslie Franke et Herdolor Lorenz
Coproduction : Kernfilm, La Mare aux Canards, Achille du Genestoux, ZDF/ARTE
Water makes money
mardi, 12 février 2013 à 22:35
Rediffusion jeudi 21 février à 13H55
(Allemagne, 2010, 75mn)
ZDF
http://www.arte.tv/fr/water-makes-money/3760772.html
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« L’urgence d’un audit indépendant de l’ensemble du dispositif français de production de données publiques sur l’eau.
Avant même la publication le 12 février prochain du Rapport de la Cour des comptes consacré au scandale de l’Onema, l’enquête titrée « la politique de l’eau dans la tempête», publiée par le quotidien français Le Monde dans son édition du samedi 2 février 2013 (datée dimanche-lundi 3 et 4 février), confirme que les dévoiements mis à jour menacent toute la politique de l’eau en France.
Concernant le CNE, les informations déjà rendues publiques, et sous réserve des nouvelles révélations à venir dans le cadre de différentes plaintes qui vont être instruites par la justice pénale, attestent que le Comité des usagers du Système d’information sur l’eau (SIEau) a totalement failli à sa mission, puisqu’il était censé informer les membres du CNE de l’état d’avancement du SIEau.
Or de nombreuses informations confirment déjà ce que redoutaient certains experts : l’ensemble du système français de production de données publiques sur la qualité de l’eau a failli et est totalement inopérant, comme le confirme la circulaire « Hydrobiologie » signée par M. Laurent Roy, nouveau directeur de l’eau, le 31 décembre 2012.
La France est désormais menacée de poursuites et pourrait être condamnée par la CJCE à une amende évaluée à plus d’un milliard et demi d’euros par les autorités communautaires, qui vont constater que les données transmises à Bruxelles, notamment dans le cadre du rapportage communautaire de la DCE sont falsifiées !
Or, et c’est ici que la responsabilité du CNE et de ses membres est majeure : si une telle condamnation est prononcée, c’est à nouveau l’usager de l’eau qui sera sanctionné !
Plusieurs associations d’usagers vont intenter des actions en justice, qui pourraient voir mettre en cause la responsabilité de tous les acteurs impliqués dans ces falsifications.
Je demande donc solennellement au CNE de mettre un terme aux activités de l’actuel « Comité d’usagers du SIEAU » institué en son sein, qui a totalement failli, et camouflé ce scandale sans précédent.
Et de rendre publique sa décision de demander au ministère de l’Ecologie et à la représentation nationale, et notamment au nouveau Groupe d’étude sur la Politique de l’eau qui vient d’être créé à l’Assemblée, de diligenter dans les plus brefs délais un audit indépendant de l’ensemble du dispositif français de production des données publiques sur l’eau.
Cet audit, confié à des experts de l’Insee, du CNRS, de l’INRIA, et à des spécialistes des sciences sociales, devra impérativement répondre aux questions suivantes:
LIRE LE CAHIER DES CHARGES d’un audit indépendant du système français de production de données publiques sur l’eau «
Par Jean-Luc Touly, le 3 février 2013
Conseiller régional d’Ile-de-France
Membre du Comité de bassin Seine-Normandie
http://eau-iledefrance.fr/lettre-ouverte-de-jean-luc-touly-au-comite-national-de-leau/
La législation française n'obligeant pas les exploitants de ce type d'installation
à récupérer et traiter ces jus de décharges (lixiviats).
LA BEUVRONNE
C'est en millions de tonnes que se chiffrent les déchets dits inertes, de construction et de démolition. Mais en l'absence de contrôles précis lors de l'enfouissement, le risque de pollution est d'autant plus problématique qu'après remblai, l'agriculture peut s'installer sur ces centres de stockage.
18 janvier 2012 | Actu-Environnement.com
En France, une partie des déchets - normalement non valorisables - est encore "stockée" en centre d'enfouissement. Par exemple, les déchets de construction et de démolition, sont enfouis sur des centres dits CSDU de classe 3.
Considérés comme inertes dès lors que les ferrailles et divers déchets résiduels ont été séparés, ces déchets sont stockés sans membranes géotextiles à l'inverse des centres de stockage de déchets ménagers par exemple.
Problème, dans ces conditions les lixiviats sont susceptibles de concentrer des polluants. En effet en l'absence de contrôles réels et réguliers à l'entrée des centres d'enfouissement, des terres issues de sites potentiellement polluées peuvent être ensevelies concentrant alors sur une zone restreinte divers hydrocarbures et métaux lourds. Un risque sanitaire qui devient d'autant plus important qu'après exploitation du site, l'étallement de terre végétale sur une épaisseur de seulement quelques mètres autorise… le retour des cultures agricoles au dessus des déchets.
http://www.actu-environnement.com/ae/news/agriculture-sur-centre-stockage-dechets-inertes-14680.php4
Un écureuil dans le parc de l'ancienne poudrerie de Sevran
Nous remercions notre adhérent qui nous transmet régulièrement ces belles photos,
c'est lui aussi qui réalise toutes nos cartes.
Des lois faites sur mesure pour les carriers ?
Si vous avez le malheur de vivre à proximité d’une réserve stratégique de gypse ou autre, sachez que vous les populations vous n’avez semble-t-il que le droit de subir et de vous taire.
La France a ratifié la convention Aarhus qui devrait permettre à chacun de vivre dans un environnement propre à assurer sa santé et son bien-être...
Convention oubliée ou inappliquée ?
Concernant l'exploitation de carrières on ne vous parle que de solidarité régionale ou nationale, mais qu’est-ce que cela veut dire ?
La solidarité dans ce type de situation c’est en quelque sorte le droit de détruire l’environnement d’une partie de la population pour permettre aux autres de continuer à vivre mieux.
Mais qui sont ces populations qui doivent subir ?
Dans le cas présents ce sont les « bouseux » du nord-ouest Seine et Marne :
- chez qui on a déjà déversé depuis des décennies les ordures de Paris et de la France entière,
- à qui on a pris les eaux de leur rivière Beuvronne pour créer le canal de l'Ourcq, laver les trottoirs de Paris, pour alimenter les lacs des Bois de Boulogne et Vincennes …,
- chez qui ont a installé ces monstrueuses lignes à haute tension pour alimenter Paris en électricité,
- où on a implanté la plus importante zone industrielle de l’Est Parisien pour éviter les fumées des industries polluantes à la capitale,
- qui subissent les nuisances d’aéroport de Roissy et du Bourget.
Mais comme le disent certains
« puisque chez vous tout est foutu :
pourquoi ne pas en rajouter une couche »
Cette couche supplémentaire ce sont les carrières à ciel ouvert de gypse que veut exploiter la multinationale « St Gobain », environ une cinquantaine d’hectares à Villevaudé au lieux-dits Les Mazarins/Le Bois Gratuel pour débuter, la suite programmée c’est la destruction de nos bois sur la butte d’Aulnaye à Villevaudé, Claye-Souilly et Annet sur Marne soit près de 300 hectares qui devraient disparaître à proximité de la ZAC de 900 logements en construction « Le Bois des Granges ».
Il est vrai qu’il est plus judicieux de construire cette ZAC de 900 logements avant d’exploiter des carrières de gypse, en effet qui voudrait acquérir un logement à proximité d’une carrière ?
Dans ce département où l’espérance de vie
est la plus faible d’Ile de France,
le conseil municipal de Claye-Souilly du 3/12/2012 donne un avis favorable pour l’extension d’une enième industrie polluante :
une décharge à Annet sur Marne
sur 98 hectares de terres agricoles
Commune qui compte déjà 2 décharges
et qui est riveraine de 2 autres décharges
Veolia Claye-Souilly et Terralia Villevaudé
Les eaux en provenance de l’installation se rejetant dans le périmètre de protection rapproché du captage d’eau potable d’Annet sur Marne (source : arrêté préfectoral d’autorisation du 29/1/2013 article 6)
Listes des conseillers municipaux
qui on donné un avis favorable à l’extension de cette décharge :
Messieurs et Mesdames ALBARELLO Yves, SERVIERES Jean-Luc, DOUTRELEAU Gérald, JACQUIN Laurent, MIQUEL Christiane, PASQUIER Véronique, POINT Jacques, OURY René, BOUDON Jeanine, MANSUY Solange, POISSENOT Madeleine, WILMS Denise, PERY KASZA Francine, FOURNIER Marie-Claude, SAVOURET Alain, FINA Jean-Louis, BAPTISTA Denise, JOINT Patrick, HAAS Marie-Laurence, THIERRY Antoinette, FLEURY Yann (procuration à Jean Luc SERVIERES), BARBOSA Aline, BROUET-HUET Séverine , COLLONGE Sylvain, MAYNOU Corinne, BAYE Jean-Baptiste, BOUSSANGE Julien.
Qui ont donné un avis défavorable à l’extension de cette décharge :
DURAND Yves, PROUST LEAL Alexandrine, HART Claude
Pour extrait :
Par arrêté préfectoral n°08 MEDAD 02 du 1er février 2008, la société ECT a été autorisée à exploiter un centre de stockage de déchets inertes sur la commune d’Annet sur Marne.
Conformément aux articles L.541-30-1 et R541-65 à R541-75 du Code de l’Environnement et à l’arrêté du 28 octobre 2010 relatif aux installations de stockage de déchets inertes, la société ECT sollicite, auprès de Madame la Préfète de Seine-et-Marne, l’autorisation de modification de l’exploitation par une extension de son activité sur un site agricole. La modification consiste à prolonger la butte acoustique/paysagère située le long de la ligne TGV entre les communes d’Annet sur Marne et de Claye-Souilly, avec notamment le remblaiement de parcelles contiguës.
Le Conseil Municipal doit formuler son avis sur la demande d’autorisation.
Il est proposé au Conseil Municipal :
D’EMETTRE un avis favorable sur la demande présentée par la société ECT.
APPROUVE A LA MAJORITE (3 contre) des membres présents et représentés du Conseil Municipal.
http://www.claye-souilly.fr/del-conseil-2012.php
Lien vers l’arrêté préfectoral d’autorisation :
http://www.seine-et-marne.equipement.gouv.fr/IMG/pdf/AP_autorisation_ext_ISDI_ECT_Annet.pdf