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19 décembre 2013 4 19 /12 /décembre /2013 16:47

COMMISSION DE SUIVI DE SITE

DE LA DECHARGE VEOLIA

Claye-Souilly

du  18/12/2013

 

Monsieur Jean-Noël HUMBERT, sous préfet de Meaux  a réuni le 18/12/2013  la Commission de Suivie de Site de la décharge Veolia Claye-Souilly.

 

Elus présents

Mme Michèle Pélabère, conseillère générale du canton de Claye-Souilly

M. Jean Lefort, maire de Fresnes sur Marne

M. Michel Lefebvre, conseiller municipal de Fresnes sur Marne

M. Edouard Proffit, conseiller municipal de Charny.

 

Elu absent

M. Yves Albarello, député-maire de Claye-Souilly (qui n’est jamais venu à aucunes commissions de suivi de cette décharge depuis sa création, ni même son suppléant Monsieur Jean Luc Servières, adjoint à l’environnement)

 

Résumé :

Les services de l’ETAT ont pour mission  d’envoyer les documents présentés par l’exploitant  aux membres de tous les collèges, au moins 14 jours avant la réunion. Or nous avons le regret de constater que les membres du collège « Riverains ou associations de protection de l’environnement » n’ont pas reçu ces documents.

Seule Mme Pélabère représentant le Conseil Général de Seine et Marne a reçu ces documents avant la réunion de la commission de suivi de site.

 

En 2012 :   plus de 71 %  des déchets provenaient d’ailleurs (hors Seine et Marne).

Les ordures ménagères ne représentent que 15.3 %, les déchets industriels représentent la majorité des déchets enterrés dans cette décharge.

 

   

 AIR

 

Pas de points de contrôles de la qualité de l’air implanté par Airparif à proximité de cette décharge.

Afin de permettre à Airparif de pouvoir faire plus de contrôle de la qualité de l’air en Ile de France les associations environnementales demandent que Veolia Claye-Souilly verse la TGAP Taxe sur les activités polluantes à cet organisme,

en effet nous avons constaté que des établissements du groupe Veolia versaient cette

taxe à Airparif dans d’autres départements d’Ile de France mais pas en Seine et Marne.

http://www.douane.gouv.fr/data/dab/pdf/00-233.pdf

 

Nous n’avons obtenu aucune réponse à ce sujet.

 

BIOGAZ

 

Le Biogaz utilisé comme carburant pour les véhicules situés sur le site Veolia et le véhicule de la mairie de Claye-Souilly est stocké dans des petites bouteilles (genre bouteille de plongée).

Le véhicule de la mairie de Claye-Souilly est alimenté suivant les possibilités de Veolia

 

Actuellement l’installation ne fonctionne pas.

 

EAU

 

Le piézomètre PZ8 (le plus proche de l’école maternelle de Fresnes sur Marne) fait ressortir  des concentrations arsenic en mg/l au dessus des normes eau resssource. 

L’arrêté préfectoral ne prescrit pas de valeur maximale de concentration de l’Arsenic dans les eaux souterraines.

 

Les piézomètres PZ5 et PZ9 font ressortir des concentration en sulfates  en mg/l au dessus des normes eaux ressource, notamment des dépassements importants  PZ5.

L’arrêté préfectoral ne prescrit pas de valeur maximale de concentration en Sulfates dans les eaux souterraines.

 

Bien que les associations environnementales le demandent depuis plusieurs années

à la DRIEE n’a imposé aucuns contrôles financés par Veolia  des métaux lourds dans 

l'eau des puits des particuliers  en aval de la décharge (commune de Fresnes sur Marne en particulier) et des forages agricoles et autres.

 

L’arrêté préfectoral n’impose pas à l’exploitant d’envoyer les résultats des analyses des

eaux à la police de l’eau.

 

 

MACHEFERS

 

L’arrêté préfectoral n’impose pas une couverture pour l’installation de mâchefers.

 

La majorité des mâchefers après maturation sont réutilisés sur le site

Un arrêté ministériel du 18/11/2011 réglemente le recyclage des mâchefers d’incinération de déchets dangereux en technique routière.

Nous demandons à la DRIEE divers informations complémentaires concernant notamment la vérification du respect des conditions : valeurs limites de lixivation des lots de mâchefers utilisés.

 

MOUETTES

Madame Pélabère a fait part de son inquiétude concernant le nombre important de mouettes survolant le site et a rappelé ls problème de salmonelles découvert en juillet 2006 dans la

base de loisirs de Jablines

http://adenca.over-blog.com/article-28447167.html

 

ODEURS

 

Les élus des communes de Fresnes sur Marne et Charny ainsi que les associations environnementales ont attiré l’attention sur les odeurs que doivent supporter les habitants

de Fresnes sur Marne, Charny et Claye-Souilly et ne constatent aucune amélioration

depuis toutes ces années.

Des produits sont diffusés dans l’air pour atténuer les odeurs dont nous n’avons pas pu connaître la composition.

Un numéro vert est à la disposition des populations 08 00 14 99 27.

Il est demandé à toutes les communes de le répercuter sur leur site internet.

 

PROJETS  

 

Madame Pélabère a demandé où en était le projet de captage de CO2 mais n’a pas

obtenu de réponse.

 

Les associations environnementales ont demandé  des informations concernant le méga projet de méthanisation, elles n’ont pu obtenir aucunes informations ni de l’exploitant, ni des services de la DRIEE qui ont simplement indiqué que  le dossier était  en cours d’instruction.

 http://adenca.over-blog.com/article-la-decharge-veolia-de-claye-souilly-fresnes-sur-marne-charny-va-t-elle-accueillir-une-des-plus-i-121312150.html

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19 décembre 2013 4 19 /12 /décembre /2013 09:28

 

 

COMMISSION DE SUIVI DE SITE

DE LA DECHARGE VEOLIA

du  18/12/2013

A CLAYE-SOUILLY

COMME AILLEURS

LA LOI

DOIT ETRE RESPECTEE 

 

 

L’arrêté préfectoral concernant la commission de suivi de site de la décharge Veolia de Claye-Souilly  N° 13 DSCE IC 094 du 30/9/2013 prévoit que : « les documents de séance sont transmis quatorze jours avant la date à laquelle se réunit la commission de suivi de site »

 

Les services de l’ETAT ont pour mission  d’envoyer ces documents aux membres de tous les collèges.

 

Or nous avons le regret de constater que les membres du collège « Riverains ou associations de protection de l’environnement » n’ont pas reçu ces documents.

Seule l’élue représentant le Conseil Général de Seine et Marne avait reçu ces documents avant la réunion de la commission de suivi de site.

Pourquoi ? 

 

 

Pour mémoire : il y a quelques mois la commission de suivi de site Veolia Fouju a été ajournée parce que ces documents n’étaient pas parvenus à plusieurs collèges.

 

 

A noter que les membres des collèges siégeant

dans les décharges

Sita Soignolles et Sita Villeparisis

ont reçu les dossiers

dans les délais impartis par l’arrêté préfectoral.

 

 

 

Pour tous renseignements complémentaires contactez les services de la sous préfecture de Meaux ou Madame la Préfète de Seine et Marne.

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18 décembre 2013 3 18 /12 /décembre /2013 20:01

VERS LA DESTRUCTION 

 

PROGRAMMEE DE 

 

LA FORET DE MONTGE 

 

EN GOELE ? 

 


montgé en goele 10.11.2013 2
 forêt de Montgé-en-Goële
Paru sur le site de l'association ADEV 77 :
DERNIERE MINUTE : 
 
      Vous pouvez lire ICI  le procès verbal de la dernière réunion du comité de pilotage du 22 octobre.
      La date du prochain comité de pilotage est  fixé au 4 février 2014, à 14h30 en sous-préfecture de Meaux.
 
      Pour préparer ce comité de pilotage, QUI CLOTURERA ET VALIDERA LE DIAGNOSTIC DE CE PLAN DE PAYSAGE, une réunion à caractère technique à laquelle nous sommes également conviés aura lieu le 10 janvier, 9h30, en Driee, 17,  Bd Morland à Paris, salle Emilie du Châtelet - n°9083, 9éme étage.
 
     Préalablement à cette réunion, une observation commentée du site de la butte de Montgé nous a été proposée...
 
     Vous pouvez également consulter ICI l'édition du 27 novembre 2013 de l'hebdomadaire LA MARNE traitant de ce sujet. Ensuite, vous pourrez découvrir ICI, dans l'édition du 12 décembre la "riposte" de KNAUF...
 
    Selon le carrier, il n'y a pas lieu de s'inquiéter, Montgé en Goële ne serait concerné qu'au delà de 2100 !!! Je voudrais préciser qu'à aucun moment, dans les documents présentés ou lors des réunions du comité de pilotage cette date éloignée n'a été évoquée. En effet, il nous a toujours été indiqué que l'exploitation débuterait fin 2014-début 2015.
    
     Lors de la réunion du 22 octobre 2013, nous avons à nouveau fait part de nos fortes réserves à l'égard de ce projet qui défigurerait d'une part la forêt de Montgé en Goële durant de très nombreuses années et de plus mettrait fortement à mal le capital faunistique et floristique de ce site. Lors de cette réunion nous sommes intervenus pour évoquer le rapport d'enquête publique du SDRIF 2030 indiquant qu'il fallait prendre en compte le schéma départemental des carrières qui prescrit la limitation de l'ouverture de nouvelles carrières et la promotion de l'utilisation de matériaux bio-sourcés ou issus du recyclage. Nous avons ajouté que 50 000 tonnes de plâtre avaient été recyclés en 2012 mais que, contrairement à d'autres pays européens, les tonnages recyclés en France ne représentaient que 14 % du gisement issu des rebuts de plâtre !!!
 
     En ce qui concerne les modes de remblaiement, la société KNAUF emploie le terme de matériaux inertes. Le terme est impropre, ne sont matériaux inertes que des déchets qui ont subi une transformation suffisante pour devenir un nouveau matériau. Or force est de constater qu’en matière de recyclage les sociétés extractives de gypse ne se sont pas dotées des meilleurs outils de recyclage, et sûrement pas sur les déchets de déconstructions qui sont impropres à toutes réutilisations. Ces sociétés n’ont, jusqu’à présent, développé aucune stratégie vers une économie circulaire.
 
     La disparition par tranches extractives de la butte aura donc un fort impact sur la ressource en eau tant par son mode extractif que par les déchets inertes qui serviront au réaménagement.
 
     Nous avons assisté à la première réunion au cours de laquelle a été installé ce comité. D'ores et déjà nous avons manifesté notre totale opposition à ce projet qui défigurerait durablement (pour plusieurs dizaines d'années au minimum) le dernier massif forestier du Nord Seine et Marne. 
 
     D'ores et déjà, l'option d'exploitation de carrières en sous-sol (moins préjudiciables à l'environnement) a été écartée d'office par les Ets KNAUF, ce carrier ne retenant que la carrière à ciel ouvert. Vous pouvez consulter ICI le compte rendu de la première réunion du 5 septembre 2013 qui ne tient malheureusement pas compte de toutes nos interventions, loin s'en faut !!!
 
 
montgé en goele 10.11.2013 6
forêt de Montgé-en-Goële
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18 décembre 2013 3 18 /12 /décembre /2013 14:16

 

 

 

 

Pourquoi les  conseillers régionaux de Seine et Marne

ont-ils voté un plan qui permet la maturation de mâchefers

venant d’autres départements

dans la décharge Veolia de Claye-Souilly 

en amont proche de la plus importante station de captage d’eau de Seine et Marne 

située à Annet sur Marne ?

 

 

Pourquoi le Syctom envoie ses mâchefers chez Veolia Claye-Souilly

dans cette décharge

située en amont proche  de cette station de captage d’eau ?

 

 

Rappelons que Monsieur Dagnaud,

président du Syctom est un élu de Paris.

Paris

la ville qui prend des mesures

pour préserver ses ressources en eau potable

mais qui envoie ses mâchefers à proximité du plus important  

captage d’eau de Seine et Marne.

Rappelons que Monsieur Dagnaud n’a toujours pas répondu

à notre courrier du 16 avril 2013.

 

 

Devons-nous considérer cette non réponse de Monsieur Dagnaud

 comme un  message envoyé

aux populations du nord-ouest 77 du genre : 

 

« Circulez, il n’y a rien à voir » ? 

 

A vous de juger

 

syctom 001

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18 décembre 2013 3 18 /12 /décembre /2013 13:39

 

Où en est le projet

de stockage des déchets de gaz carbonique CO2 

sous la décharge Veolia Claye-Souilly ?

 

Lors de la Commission de suivie de site

de cette décharge

qui s'est réuni ce jour

nous n’avons pu obtenir aucunes informations

 de la part des représentants de Veolia.

 

Un manque de transparence ?

A vous de juger

 

 

 

 

Ce qui se passe ailleurs :

  

 

Paru sur le site Maghreb Emergent :

·                                 Rabah Saïd  

·                                 mercredi 18 décembre 2013 00:07

Doutes sur la viabilité technique et financière de la séquestration de carbone à In Salah

 Depuis 2004, la joint-venture BP, Sonatrach et Statoil qui exploite le gisement gazier d’In Salah mène une expérience d’avant-garde et très suivie en matière de séquestration de carbone.  Plus de 3 millions de tonnes de CO2 ont été séquestrés en « toute sécurité », affirme la joint-venture. Un constat qui date. Des doutes restent de mises sur la fiabilité du procédé et son coût. 

 Le carboneest séquestré dans le cadre de l’exploitation du champ gazier situé dans le bassin central de l’Ahnet-Timimoun renfermant 160 milliards de mètres cubes de gaz et devant être exploiter sur 20 ans. Le gaz contient jusqu'à à 10 % de CO2 et il doit être réduit à 0,3% avant la vente. Cela donne uneproduction d’un millions de tonnés de CO2 par an et un objectif de séquestration de 17 millions de tonnes. Le procédé est nouveau et la surveillance de l’évolution du site est un élément majeur dans la stratégie globale de gestion des risques posés par le stockage géologique. Le GIEC (Groupe Intergouvernemental pour l’Evaluation du Climat relève dans un rapport qu’il n’existe pas de « procédures ou de protocoles normalisés » et qu’ils doivent être élaborés « au fur et à mesure du perfectionnement de la technologie, en fonction des dangers présents et des règlements locaux ».  Après l’attaque terroriste du 16 janvier 2013 contre la base gazière de Tiguentourine qui a entrainé l’évacuation des personnels des entreprises étrangères a tenu à souligner que "rien ne change vraiment" en termes de projet de surveillance du CO2 à In Salah. Et de fait, la surveillance des quelques 3,8 millions de tonnes de CO2 capturés et injectés dans le site d’In Salah (réservoir de Krechba) entre 2004 et 2011 nedevait pas souffrir d’interruption au risque d’unecatastrophe. Mais les opérations de stockage ont été suspendues en 2011 en raison, selon l'Institut de Massachusetts dédié aux études sur les technologies CCS, du recueil de données préoccupantes sur l’intégrité d’un joint du dispositif de stockage. Ces soucis de sécurité sont confirmés par un rapport daté 30 mai 2013 de l’institut français Ineris (Institut national de l’environnement industriel et des risques) qui pointe des fuites et des fuites et des soulèvements de terrain dans le site de stockage de CO2 à In Salah.  A In Salah, indique-t-il, « un soulèvement progressif des terrains (surrection) et une fuite a été constatée le long d’un puits et a fait l’objet de mesures correctives ». L’Ineris publie une liste de 80 sites de stockage de CO2 ou assimilés (dans le monde) où des accidents ont été constatés (fuites, surrections, effondrements….), la plupart (près d’un cas sur deux) sont des fuites ou éruptions massives, ajoute la publication. Selon le document, ces problèmes sont dus à la non-maturité du procédé. L’étude s’interroge aussi sur les risques sismiques dans les réservoirs géologiques qui servent au stockage du carbone.

Une technologie au stade de l’expérimentation 

In Salah est l'un des projets pionniers dans le monde dont on attend un retour d’expérience dans la surveillance du CO2 géologiquement stocké. Il devrait, à ce titre, aider à l’élaboration de protocoles de surveillance et de vérification du stockage du CO2 dans le sous-sol. Outre cet aspect de sécurité industrielle, la question du coût est posée.  Le cout du stockage dans des formations salines et des gisements de pétrole et de gaz naturel épuisés (comme In Salah) peut atteindre 8 dollars/tCO2 injectée. Il faut y faut ajouter entre 0,1 à 0,3 dollar /tCO2 pour la surveillance du site. Dans le cas de la capture de CO2 dans des installations industrielles les couts sont démultipliés. Dans une centrale de production d’électricité l’opération de captage du carbone nécessite, selon la technologie, de 10 et 35% de la production totale de l’installation. Conséquence en termes de coût : il faudra construire plus de centrales pour compenser la perte d’énergie utilisée pour piéger les fumées. Selon le ministre américain de l’énergie, cela entrainerait une hausse des prix de l’électricité pouvant aller de 21 à 91%. L’Agence française de l’environnement et de maitrise de l’énergie (Ademe) parle de « coûts élevés et des perspectives de baisse incertaines ». L’Union Européennequi a lancé en mars 2013 une communication consultative sur l'avenir du captage et du stockage du carbone en Europe table sur 2035 pour voir le CCS commencer « à contribuer dans une plus large mesure à la réduction des émissions de CO2 des installations industrielles de l’UE ».

Des sources de réduction plus économiques existent

Une utilisation massive des technologies CCS dans le court et le moyen terme parait donc problématique. Sans compter qu’il n’existe pas de mécanisme permettant de monétiser la réduction des émissions de CO2 à l’aide de la technologie CCS. Le site de démonstration d’In Salah est entrepris sur une base unilatérale, l’Algérie n’ayant pas sollicité des financements internationaux qui sont tout à fait possibles. Un mauvais choix selon un spécialiste : « Pour une entreprise vendant un produit de base (par exemple électricité, énergie, pétrole, gaz, produits raffinés, ciment ou acier), entreprendre une CCS sur une base unilatérale est un non-sens commercial. Tant que le CO2 stocké n'aura aucune valeur commerciale, il y a peu de chance que ceci change ». D’autres experts soulignent qu’il existe des sources de réduction de CO2 plus économiques que ces techniques de transition (curatives) encore au stade expérimental.

http://www.maghrebemergent.info/energie/hydrocarbures/item/32850-doutes-sur-la-viabilite-technique-et-financiere-de-la-sequestration-de-carbone-a-in-salah.html

 

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17 décembre 2013 2 17 /12 /décembre /2013 16:53

 

 

 

 

Si on parlait de la responsabilité élargie du producteur :

le principe du pollueur-payeur

 

Pourquoi les déchets de plâtre ne sont-ils pas concernés ? 

 

Une législation à revoir.

 

La mise en place de la responsabilité élargie du producteur dans le secteur du gypse permettrait de préserver cette ressource et ne pas détruire nos terres agricoles et nos forêts par l’exploitation de cette ressource avec des carrières à ciel ouvert.

 

Nous attendons que nos députés et sénateurs de Seine et Marne déposent une proposition de loi en ce sens.

placoplatre 16.5.2009 010

Carrière Placoplatre Villeparisis

 

 

 

Site du Ministère de l’Ecologie :

Le principe de la responsabilité élargie du producteur 

10 décembre 2009 (mis à jour le 29 juin 2012) 



Afin de développer le recyclage de certains déchets, il est nécessaire de les collecter sélectivement. Les politiques de collecte sélective et de recyclage des déchets des ménages s’appuient pour partie sur les filières dites de responsabilité élargie des producteurs. Le principe, qui découle de celui du pollueur-payeur, en est le suivant :
les fabricants nationaux, les importateurs de produits et les distributeurs pour les produits de leurs propres marques doivent prendre en charge, notamment financièrement, la collecte sélective puis le recyclage ou le traitement des déchets issus de ces produits. Ils peuvent assumer leur responsabilité de manière individuelle ou collective, dans le cadre d’un éco-organisme. Dans ce dernier cas, ils adhérent à u
ne société souvent agréée par les pouvoirs publics, à laquelle ils versent une contribution financière. En pratique, la plupart des producteurs choisissent cette solution. Leurs contributions, qui s’élèvent aujourd’hui globalement à près de 800 millions d’euros par an, viennent en soutien à la collecte, au recyclage et au traitement des flux de déchets concernés. Elles sont essentiellement reversées aux collectivités locales ou aux prestataires de collecte et de traitement des déchets concernés. La montée en puissance de ces filières, depuis le milieu des années 1990, a permis des progrès très significatifs en matière de recyclage des déchets.

Les flux de déchets concernés par la R.E.P. sont les :

Les déchets d’emballages ménagers
Les déchets d’équipements électriques et électroniques (DEEE)
Les véhicules hors d’usage (V.H.U.)
Les pneumatiques usagés
Les piles et accumulateurs usagés
Les textiles usagés
Les déchets de papiers graphiques
Les médicaments non utilisés (MNU)

Une autre filière, encadrée réglementaire en vue de favoriser la valorisation de déchets, concerne les huiles moteurs usagées.

Une autre filière, reposant sur le volontariat des metteurs sur le marché, concerne les déchets issus de produits de l’agrofourniture.

 

 

http://www.developpement-durable.gouv.fr/Le-principe-de-la-responsabilite,12046.html

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17 décembre 2013 2 17 /12 /décembre /2013 08:59

 

 

Depuis plusieurs mois au bord d'un chemin un tas d'ordures s'est constitué en face du lotissement de Mauperthuis, tas d'ordures qui ne cesse de s'étendre.

CS 16.11.2013 PRES MAUPERTHUIS

 

CS 16.11.2013 PRS MAUPERTHUIS

 

CS 16.11.2013 PRES MAUPERTHUIS 2

 

Lien vers un document édité par le ministère de l'écologie :
pour extrait
"De plus en plus de dépôts sauvages de déchets inertes déguisés en aménagements urbains ou agricoles apparaissent dans les paysages français.

La Commission européenne a alerté le ministère du Développement durable sur l’urgence de réagir à ce problème. Lors de la Conférence environnementale de septembre 2013, l’État a confirmé sa volonté d’accentuer la lutte contre les dépôts sauvages. Dans la majorité des cas,  c’est au maire que revient le pouvoir de police pour ces infractions au code de l’environnement........"

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16 décembre 2013 1 16 /12 /décembre /2013 13:17

VILLEPARISIS L'AMBR2SIS 09.2012 1

Villeparisis l'Ambrésis 09.2012

 

 

 

Le 3 décembre dernier, après la commission de suivi de site de la décharge de déchets dangereux Sita Villeparisis, en présence de Monsieur Frédéric Mac-Kain

sous préfet deTorcy, un adjoint au maire de Villeparisis est intervenu pour attirer

l’attention des associations environnementales sur le cas du remblai en bordure

de la Francilienne au lieudit "l'Ambrésis" exploité par l’entreprise RTR  GROUPE ENVIRONNEMENT.

 

En effet le remblai dépasserait la hauteur autorisée de 2 m,  la commune de Villeparisis  a alerté différents services de l’ETAT sur la situation de cette exploitation, sans résultats.


Mais l’élu est également inquiet concernant le type de déchets déposés sur ce site et les risques pour la ru des Grues (affluent de la Beuvronne), rivière se trouvant à proximité du site.

 

Afin de soutenir la commune le Villeparisis dans sa démarche l’association NE 77 a demandé en date du 4/12/2013 à Monsieur le sous préfet Frédéric Mac-Kain qu’il fasse intervenir les services de l'Etat pour faire effectuer un contrôle de cette installation :

 

« - contrôle de la hauteur autorisée, si un dépassement est constaté nous vous demandons qu'il soit dressé procès-verbal et que le site soit définitivement fermé.

- concernant les risques sur les rejets de polluants dans le ru des grues : nous vous demandons de faire effectuer des prélèvements de déchets déversés sur le site et de les faire analyser(à charge pour l'exploitant de payer les frais de ces prélèvements et analyses). »


Adenca vient d’être saisi ce week-end par des habitants de Villeparisis inquiets qui se sont rendus sur site le 10 décembre dernier et auraient constatés une hauteur de remblais dépassant les 2m.

 

Adenca vient d’intervenir auprès de Monsieur le Sous-Préfet pour connaître les suites données à ce dossier.

 

 

Dernière minute

 

Il semblerait que depuis le 3/12/2013 aucuns services de l’ETAT ne soient intervenus et qu’aucuns contrôles n’aient été effectués sur le site.

 

Affaire à suivre……..

 

 

 

Articles sur le même sujet :

http://www.leparisien.fr/espace-premium/seine-et-marne-77/la-butte-de-dechets-inquiete-les-associations-30-10-2012-2276411.php 

 

http://adenca.over-blog.com/article-villeparisis-lieudit-l-ambresis-en-bordure-de-la-francilienne-une-decharge-illegale-110236639.html

 

 

 

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16 décembre 2013 1 16 /12 /décembre /2013 10:50

 

 

 

ST THIBAULT DES VIGNES 

commune qui est bordée par la Francilienne

et qui compte deux incinérateurs

 

L’exploitant de l’un de ces incinérateurs dépasse depuis plusieurs années les tonnages autorisés par l’arrêté préfectoral  sans que les services de l’ETAT ne dressent procès-verbal

voir notre article

http://adenca.over-blog.com/article-incinerateur-de-st-thibault-des-vignes-non-respect-de-l-arrete-prefectoral-120783193.html

 

 

 

Nous relayons aujourd’hui

le communiqué de presse du collectif  « C’est dans l’air »

qui attire l’attention des services de l’ETAT sur un autre dossier :

les émissions de perchloroéthylène dans l’air 

 

 

COMMUNIQUE DE PRESSE

 

Nous collectif « C’est dans l’air » comprenant des habitant(e)s de Marne et Gondoire portons à la connaissance de la population les faits suivants, incontestables, concernant l’entreprise industrielle de pressing Thimeau, située dans la Zone Industrielle de Saint Thibault des Vignes, fournisseur en grande partie de la société Eurodisney. Le 18 avril 2013, Madame La Préfète a pris un arrêté  concernant  les émissions de perchloroéthylène dans l’air de la part de la société Thimeau (Magic Rambo) et a ordonné à cette entreprise de réaliser une étude technico-économique sur ses rejets de pollution.

En effet La SNC Thimeau a rejeté 50 tonnes de perchloroéthylène dans l’air pour la seule année 2012 (49 700 kg en 2011, 46 200 kg en 2010, 52 500 kg en 2009, 61 000  en 2008 et en 2007 65 000 kg.) Un deuxième arrêté préfectoral a été publié  le 14 mai 2013 concernant la pollution de l’eau.

 

Depuis plusieurs années ‘Réseau Environnement Santé’, ‘l’Association des Victimes des Emanations de Perchloroéthylène dans les Pressings’ et autres associations environnementalistes ont alerté les Pouvoirs Publics sur la dangerosité du ‘perchlo’ dans les pressings et réclament son interdiction sans délai au vu des risques graves pour la santé.

 

« Aujourd’hui la question des causes environnementales du cancer n’est pas prise au sérieux par les pouvoirs publics dans notre pays. Le cas du perchloroéthylène en est le triste exemple. Solvant toxique encore utilisé dans plus de 90% des pressings (cancérigène, mais aussi neurotoxique, hépatotoxique et néphrotoxique), il intoxique les travailleurs et les riverains. Les preuves de sa dangerosité ne sont désormais plus à démontrer, au vu des données épidémiologiques chez les travailleurs et les riverains, données cohérentes avec les très nombreuses données expérimentales sur le sujet. » (Source : RES). Le Centre International de Recherche contre le Cancer (CIRC) a classé au niveau 3 le perchlo cancérigène probable chez l’homme. 

 

Nous nous interrogeons fortement sur la qualité de l’air que nous respirons sur le bassin environnant d’une population à forte densité. Ceci doit être pris en compte également au vu de l’aspect multifactoriel des causes de pollution sur ce site précis. Nous nous interrogeons donc légitimement sur les graves conséquences que ces émissions peuvent et ont pu avoir pour la santé des employé(e)s de cette entreprise, de nos enfants, des femmes enceintes et personnes âgées, fragiles ou malades, pour notre santé à tous.

 

Vu les risques encourus, nous souhaitons donc connaître les impacts des émissions de perchlo sur les habitant(e)s et avons demandé à tous les pouvoirs publics concernés un contrôle de la contamination par un organisme indépendant. Une étude sanitaire s’impose et des décisions devront être prises rapidement, il n’est plus possible d’attendre davantage !

Nous venons d’apprendre que l’entreprise CIPEL, à Lagny sur Marne (en cessation d’activité depuis 2011) a également émis des tonnes de perchlo dans l’air:

55 000 kg en 2005, 49 200 kg en 2006,  17 200 kg en 2008, 12 500 kg en 2009 et 6 360 en 2010.

 

Collectif « C’est dans l’air »

5 Avenue des Joncs 77400 ,

Saint Thibault des Vignes

 

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15 décembre 2013 7 15 /12 /décembre /2013 16:50

 

Seine et Marnais

Circulez il n’y a rien à voir 

 

 

Si vous cherchez sur le site de la préfecture :

- les compte-rendus ou rapport du Coderst (1) vous découvrirez

un dossier vide

- les compte-rendus des Commissions de suivi de site : décharges, incinérateurs, installations classées Seveso.... : vous ne trouverez rien.

 

 

Pas d’informations : pas de problèmes ?

A vous de juger 

 

(1) http://www.cpepesc.org/Le-CoDERST-Conseil-de-l.html

http://www.seine-et-marne.gouv.fr/Politiques-publiques/Environnement-et-cadre-de-vie/ICPE-carrieres/Presentation-au-CODERST

 

 

 

 

 

Ce qui se fait

dans les autres départements français 

 

 

Compte-rendus commission de suivi de site

AIN http://www.ain.gouv.fr/IMG/pdf/CR_nternet.pdf

 

GARD http://www.gard.gouv.fr/Politiques-publiques/Environnement/Commission-de-suivi-de-site-CSS

 

ESSONNE

http://www.essonne.pref.gouv.fr/Actions-de-l-Etat/Prevention-des-risques-Securite-civile/Risques-majeurs/Risques-technologiques/Commission-de-Suivi-de-Site-de-site-SFDM-et-SEA-CSS

 

LOIR ET CHER http://www.loir-et-cher.gouv.fr/IMG/pdf/CR_CSS_du_22-03-2012_cle723444.pdf

 

LOIRE ATLANTIQUE

https://www.loire-atlantique.gouv.fr/Media/Fichiers/pref/Amenagement-du-territoire/Compte-rendu-CSS

 

MAYENNE

http://www.mayenne.gouv.fr/Media/Stockage-pieces-jointes/Environnement-eau-biodiversite/Installations-classees/Installations-classees-industrielles-carrieres/Compte-rendu-de-la-CSS-du-9-septembre-2013/(language)/fre-FR

 

 

 

CODERST

Rapport

 

DORDOGNE http://www.dordogne.gouv.fr/Media/Files/rapport-au-CODERST

 

 

LOIRE ATLANTIQUE

http://www.loire-atlantique.gouv.fr/Media/Fichiers/pref/Amenagement-du-territoire/Rapport-du-CODERST-seance-d-avril-2012

 

LOIRET

http://www.loiret.gouv.fr/Media/Files/0004-DDPP/ICPE/Rapport-inspecteur-pour-presentation-CODERST

 

MORBIHAN

http://www.morbihan.gouv.fr/Media/Files/Rapport-de-presentation-au-coderst-de-l-inspecteur-des-installations-classees2

 

VAL D’OISE

http://www.val-doise.gouv.fr/Media/Files/DDT/Rapport-au-CODERST

  

Compte-rendus

 

LOIRE http://www.loire.gouv.fr/le-coderst-conseil-departemental-a3449.html

 

SEINE ST DENIS

http://www.seine-saint-denis.gouv.fr/Politiques-publiques/Environnement-paysage-risques-naturels-et-technologiques-bruit-nuisances-publicite/CODERST

 

TARN http://www.tarn.gouv.fr/compte-rendu-du-coderst-du-21-a1624.html 

 

 

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