Overblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
17 février 2014 1 17 /02 /février /2014 18:35

 

Seine et Marne 

  cancer du poumon chez les femmes

 Pourquoi

 une surmortalité de 9 %

par rapport à la moyenne nationale ? 

http://www.ors-idf.org/dmdocuments/EpidemiologieDesCancers2011.pdf   

 

 

Circulez y’a rien à voir 

 


  Ne dérangez pas vos élus, ils sont occupés ailleurs

 peut-être en réunions avec les industriels?

 

 

 

Paru sur le site Réseau Santé Environ ne ment :

 

Communiqué de presse (5 fév 2014) – Plan cancer : on ne change pas une politique qui perd…

François Hollande a annoncé hier les mesures du 3ème plan cancer. Comme ses prédécesseurs, celui-ci identifie surtout les inégalités et le tabac comme principale cause ; laissant une place marginale à l’environnement. Pourtant, les chiffres sont là pour mettre en évidence le rôle majeur de l’environnement dans la progression de l’épidémie en France et dans le Monde.

En effet, les derniers chiffres publiés en décembre 2013 par le Centre international de recherche sur le cancer (CIRC) [1] montrent une progression du cancer dans le monde entier : +8% sur les 4 dernières années. Plus particulièrement, les cancers hormono-dépendants comme le cancer du sein sont en hausse de 14% identifiant ainsi un véritable marqueur du mode de vie occidentale qui se répand sur la planète.

La France devrait mener une politique particulièrement active car elle affiche parmi les taux les plus élevés au monde [2] en matière de : 

- cancer de la prostate : La France métropolitaine est le 2ème pays au monde derrière la Norvège… mais la Martinique a un taux plus élevé encore que la métropole.

- cancer du sein : La France métropolitaine est le 3ème pays au monde derrière la Belgique et le Danemark.

A l’intérieur de la France, la Réunion affiche des taux inférieurs de moitié à ceux de la France métropolitaine pour le cancer de la prostate et du sein. Pourquoi cette réalité n’est-elle pas mentionnée dans le plan cancer ? L’accent mis sur les inégalités sociales est justifié, mais pourquoi la dimension géographique n’est-elle pas plus mise en lumière ?

Comme l’illustre ces chiffres, l’analyse des facteurs de risque actuelle mettant l’accent sur le tabac est obsolète. Il est impossible aujourd’hui d’expliquer la croissance du cancer par un facteur de risque comme le tabac alors même que celui-ci est en diminution et qu’il n’est pas lié aux cancers hormono-dépendants. Les connaissances scientifiques actuelles montrent le rôle majeur joué par les perturbateurs endocriniens. 

L’ANSES a notamment rappelé dans son rapport d’avril 2013 que le bisphénol A est impliqué dans le cancer du sein par un effet transgénérationnel. C’est-à-dire que l’exposition maternelle induit des cancers du sein chez la fille. D’autres perturbateurs endocriniens sont également identifiés comme induisant des cancers, on peut citer les organochlorés (la dioxine ou le chlordécone, par exemple), les phtalates, les perfluorés ou les polybromés, qui contaminent toute la population. « L’enjeu majeur des perturbateurs endocriniens n’est pas identifié par le plan cancer et c’est une erreur grave vis-à-vis des générations futures », estime André Cicolella, président du RES.

En plus des multiples données expérimentales chez l’animal, la preuve chez l’humain de l’impact des perturbateurs endocriniens a été apportée par le distilbène, puisque les filles exposées à ce médicament pendant la grossesse ont 80 % de cancer du sein en plus.

Il est nécessaire que la question cancer environnement soit traitée dans le futur Plan National Santé Environnement. 

Il est urgent que la Stratégie Nationale Perturbateurs Endocriniens soit adoptée par le gouvernement.

Il est regrettable que la question santé environnement ait été exclue de la dernière conférence environnementale et le RES demande l’organisation d’une Conférence Nationale Santé Environnement pour définir une politique à la hauteur des enjeux.

[1]. Site globocan : http://globocan.iarc.fr/Default.aspx

[2]. Données en population standardisée mondiale, ce qui élimine les caractéristiques démographique propres à chaque pays et permet les comparaisons entre pays.

http://reseau-environnement-sante.fr/2014/02/05/dossiers-par-themes/communique-de-presse-5-fev-2014-plan-cancer-on-ne-change-pas-une-politique-qui-perd/

 

 

Partager cet article
Repost0
17 février 2014 1 17 /02 /février /2014 10:29

 

Pourquoi l’ETAT  

 a-t-il financé

 une étude de l’Ineris  pour connaître

la pollution des sols aux métaux lourds

sur l’ancien site de la Poudrerie de Sevran

mais pas sur

l’ancien site du CEA du Fort de Vaujours ?

 

 

Sur le fort de Vaujours

comme sur l’ancienne poudrerie de Sevran

 cette étude doit être réalisée

 par l’Ineris

http://www.ineris.fr/

 

 

Paru sur le site  Le Parisien :

Le centre nature fermé pour pollution

Nathalie Perrier | Publié le 03.06.2008

LE PARC national forestier de la Poudrerie, qui abrita pendant plus de cent ans

 

  une importante usine de fabrication de poudre, est-il pollué ? La question taraudait depuis longtemps les habitants de Sevran, Villepinte, Livry-Gargan et Vaujours. Les premières conclusions menées par l'Ineris (Institut national de l'environnement industriel et des risques) à la demande de l'Etat dans le cadre de la cession du site à la région sont tombées vendredi, soit vingt-huit ans après l'ouverture du site au public. 



Elles révèlent la présence de polluants sur le terrain et à l'intérieur du centre nature de Villepinte, « des traces de mercure et de plomb supérieures aux normes autorisées » selon la préfecture. Au nom du principe de précaution, ce bâtiment qui accueille de nombreux écoliers a été fermé hier. 

Les prélèvements effectués sur les autres sites déclarés sensibles - les jardins familiaux, les jardins scolaires, la colli
ne de jeux et les centres nautiques des quatre communes environnantes - sont eux en revanche négatifs. « La pollution, au stade actuel de l'étude, se limite à cette zone de 2 000 m 2 . Les autres sites à risques ne sont pas pollués. Ces résultats sont donc malgré tout rassurants », commentait hier Agnès Leroi, la directrice du parc. 

Le parc accueille plus d'un million de visiteurs par an 

Le parc, qui accueille chaque année plus de 1 million de visiteurs, reste donc ouvert au public. Le centre nature
ne devrait pas rouvrir ses portes avant la rentrée, au mieux. Des investigations complémentaires sont en effet menées depuis hier dans ce pavillon qui accueillait des laboratoires. « Il n'est pas possible, en l'état actuel des connaissances, d'affirmer qu'il existe ou non un risque pour la santé », précisait, hier, la préfecture. Les collectivités et les associations, invitées à la présentation de l'étude par l'Ineris, se voulaient rassurantes. « Selon les experts, il faudrait ingérer des quantités importantes de terre pour qu'il y ait un risque. Les enquêtes menées auprès des médecins de la région n'ont par ailleurs pas fait état de cas de contamination », ajoute Michel Glévarec, le président de l'association des Amis du parc, qui redoute « la psychose ». « La fermeture du centre relève du principe de précaution », dit la mairie de Villepinte. Les résultats des études complémentaires devraient être publiés cet été. D'autres investigations sont programmées sur l'ensemble des 120 ha du parc en 2009.

Le Parisien

http://www.leparisien.fr/seine-saint-denis/le-centre-nature-ferme-pour-pollution-03-06-2008-3298542161.php

 

 

Partager cet article
Repost0
16 février 2014 7 16 /02 /février /2014 11:57

 

L'ETAT va-t-il autoriser le carrier KNAUF à détruire la forêt de Montgé en Goële ?

 

 

 

10.11.2013 MONTGE EN GOELE

Forêt de Montgé en Goële 10/11/2013

Partager cet article
Repost0
14 février 2014 5 14 /02 /février /2014 15:26

Anciennes munitions

et perchlorate dans l'eau du robinet ?

 

Teneurs en perchlorate

dans l’eau du robinet distribuée  dans l’est parisien

en Seine et Marne et Seine St Denis

Qu’en est-il ?

Nous n’en savons rien 

 

Dans le Nord Pas de Calais

L’Agence Régionale de Santé a fait une étude

 mais pas à notre connaissance  

en Ile de France

 

Concernant les munitions : ce qu’en dit Robin des Bois :

Les champs de bataille du nord et de l’est de la France

Chaque année, sur le territoire français, 500 à 800 tonnes de munitions anciennes, abandonnées, dégradées, imprévisibles et plus dangereuses encore qu’au moment de leur fabrication sont découvertes, collectées, regroupées, neutralisées ou entreposées dans l’attente de leur élimination finale. La grosse part de la collecte se fait dans le nord et l’est.

En lisant ce dossier, faites attention où vous mettez les pieds. Vous entrez dans les champs de bataille de trois guerres modernes, 1870, 1914-1918, 1939-1945. Les combattants ont utilisé des quantités incalculables de munitions innovantes, performantes, perforantes, insidieuses et polluantes. Le Nord-Pas-de-Calais, la Lorraine, la Champagne-Ardenne, l’Ile-de-France, la Picardie, l’Alsace et la Franche-Comté sont des terroirs de guerre superposées. Dans le nord et l’est de la France, un milliard d’obus de tous calibres équivalant à 15 millions de tonnes de métaux ont été tirés entre 1914 et 1918. Un quart de ces obus n’ont pas explosé et 6% contenaient des gaz de combat. Pendant la Seconde Guerre mondiale, 1.700 communes françaises ont été bombardées. 14% des bombes anglaises et 16% des bombes allemandes n’ont pas explosé et ont pénétré pour la majorité d’entre elles jusqu’à 4 mètres de profondeur, pour 20% jusqu’à 6 mètres, pour 10% jusqu’à 7 mètres et 1% au-delà de 9 mètres de profondeur. L’Ile-de-France porte encore des stigmates du siège de Paris en 1870 – voir à ce sujet Créteil dans l’inventaire Ile-de-France, 2008.

Les sols, les sous-sols, les eaux souterraines, les cours d’eau, les lacs, les canaux, sont des réservoirs de risques et de polluants militaires.

Dans les 7 régions du nord et de l’est de la France, 25 millions de personnes vivent et travaillent sur un sol truffé de munitions non explosées ou cachées et morphologiquement déformé par les cratères, les boyaux, les sapes, les tranchées, les trous de bombe, les cratères, les entonnoirs de mines. Les sucreries récoltent chaque année au bout des trieuses à betteraves des centaines d’engins de guerre, douilles, grenades, obus - voir à ce sujet Roye, inventaire de la Picardie, novembre 2010.

http://www.robindesbois.org/dossiers/dechets-de-guerre/2012/Inventaire-des-dechets-de-guerre-2008-2011.html

 

Partager cet article
Repost0
14 février 2014 5 14 /02 /février /2014 13:29
Perchlorate dans l'eau du robine
et anciennes munitions? 
Quels risquent   actuels et futurs pour les habitants de l’Est Parisien 
qui boivent l’eau du robinet 
en  provenance des usines de Neuilly sur Marne et  d’Annet sur Marne (1)
 soit au total près de 2 100 000 habitants ?
Le perchlorate est-il contrôlé à la sortie de ces 2 usines ?

 

Projet d’exploitation de la carrière de gypse sur l’ancien site du CEA  Vaujours :
La manipulation d’anciennes munitions restées sur le site
ne risque-t-elle pas de renvoyer du perchlorate  dans les eaux ?
A toutes ces questions nous n’avons pas de réponses.
Pour plus d’informations rapprochez-vous du responsable de la qualité de l’eau de votre commune.
Pour Claye-Souilly : Monsieur Jean-Luc Servières

(1)Les usines de Neuilly sur Marne et Annet sur Marnefaisant un échange d’eau.

 

 

Paru sur France info :
Nord-Pas-de-Calais : des sels de perchlorate dans l'eau du robinet
LE MARDI 16 OCTOBRE 2012 À 12:49
Par Ludovic Pauchan

Des taux de perchlorate supérieurs aux recommandations de l'Agence nationale de sécurité sanitaire ont été découverts dans des circuits d'eau potable. Les préfets du Nord et du Pas-de-Calais devraient prendre des arrêtés de restriction sur la consommation d'eau pour les nourrissons et les femmes enceintes.

"Il y a une suspicion d'un problème de santé publique mais on n'est pas dans une situation de crise sanitaire" : pour Christian Chocquet, le préfet délégué à la sécurité, il s'agit avant tout d'appliquer le principe de précaution. Notamment parce que le perchlorate peut s'avérer dangereux pour les nourrisons, visés avec les femmes enceintes par les arrêtés de restriction que prendront les préfets de la région dans la semaine et jusqu'à la semaine prochaine dans les 544 communes concernées.

Hyperthyroïdie, problèmes de croissance ou de développement neurologique chez le nourrisson

Solubles dans l'eau et fréquemment utilisés pour les applications militaires et aérospatiales, les perchlorates ne sont pas cancérogènes, ni mutagènes, ne s'accumulent pas dans l'organisme et leurs effets sur la santé sont réversibles. Pour autant, ils peuvent provoquer chez les nourrissons des problèmes d'hyperthyroïdie et des problèmes de croissance ou de développement neurologique.

Des taux largement dépassé sur quatre forages

Pour les bébés de moins de six mois, le taux de perchlorates fixés par l'Anses au-dessus desquels l'eau ne doit pas être consommée est de 4 microgrammes/litre. Pour les femmes enceintes ou allaitantes, il est relevé à 15 microgrammes/litre. D'après le quotidien la Voix du Nord, le seuil maximum de quatre microgrammes de perchlorate par litre d'eau a plusieurs fois été dépassé sur quatre des huit forages du champ captant de Flers-en-Escrebieux.

Pas de modification de l'incidence de l'hypothyroïdie congénitale

Les autorités ont donc annoncé le lancement de traitements à base de dilution de l'eau, ou grâce à des résines spécifiques, même si à ce jour, les études  réalisées n'auraient pas montré "de modification de l'incidence de l'hypothyroïdie congénitale" en Nord/Pas-de-Calais par rapport aux autres régions. C'est ce qu'explique Dr Sandrine Segovia-Kueny, rattachée à l'ARS. Elle poursuit, rassurante :  "La situation ne doit pas effrayer les parents. Le suivi des enfants doit rester le même, par le biais d'un pédiatre". 

Première Guerre mondiale

La présence des sels de perchlorate dans le sous-sol de la région n'est pas extraordinaire : elle pourrait s'expliquer, selon l'ARS, par les "nombreuses munitions tirées lors de la Première Guerre mondiale, en particulier sur la ligne de front qui se trouvait à la limite entre la plaine de Flandres et le plateau d'Artois."

Par Ludovic Pauchant
Partager cet article
Repost0
14 février 2014 5 14 /02 /février /2014 10:35
NORD-OUEST 77
 

Nos enfants n’auront-ils plus le choix

que de se promener sur des tas d’ordures
transformés en parc ? 


A Claye-Souilly, sur le site de l’ancienne  décharge illégale des Remblais Paysagers, l’exploitant avait déposé son bilan sans remettre en état
le site   et sans qu’à notre connaissance la commune n’ait intenté
d’actions à son encontre.
C’est l’argent du contribuable qui a servi à réhabiliter cette décharge
illégale et qui va continuer à être utilisé pour entretenir ce site
transformé en parc de la Prée, à notre connaissance peu fréquenté,
les populations lui préférant la promenade de la Dhuis ou le bord
du canal de l’Ourcq.

A Fresnes sur Marne, Veolia pouvait assurer l’entretien du site après exploitation de la décharge mais il semblerait que les élus de Fresnes

ait choisi  de faire supporter à leurs contribuables  cet entretien après exploitation de la décharge.

 

 

 

  A Fresnes sur Marne

qui  laissera ses enfants se promener

sur ce premier parc à"haute qualité environnementale"

pour y respirer les gaz

en provenance des cheminées de la décharge Veolia

et des milliers de véhicules circulant sur la RN3 ?

Le Parisien 77 :
Les enfants de Fresnes ont planté 200 arbres

Publié le 03.02.2014, 07h00

Réagir

Fresnes, samedi. L’opération Auprès de mon arbre a débuté samedi matin. Chacun des deux cents enfants de la commune a planté un arbre. Fresnes, chênes, charmes et érables sont destinés à coloniser les 35 ha du futur espace paysagé du Grand Vaurenard. Le site est actuellement exploité par Veolia comme site d’enfouissement de déchets inertes.

A partir de 2016-2017, il sera rendu à la commune. Le député (UMP) Yves Albarello, a expliqué « que ce premier parc de haute qualité environnementale » sera divisé en trois parties : une pour la promenade et le sport, une autre réservée aux prairies et une autre encore plus sauvage. Une gestion qui permettra à la biodiversité de se l’approprier. Quentin, 11 ans, trépigne d’impatience à l’idée d’aller planter son arbre. « Plus tard, on pourra dire à nos enfants : c’est mon arbre, c’est moi qui l’ai planté! » Chaque année, une vingtaine de variétés seront plantées.

Le Parisien

http://www.leparisien.fr/espace-premium/seine-et-marne-77/les-enfants-de-fresnes-ont-plante-200-arbres-03-02-2014-3553069.php

 

Partager cet article
Repost0
13 février 2014 4 13 /02 /février /2014 14:14

 

 

Plus de 10 jours après la demande d’ADENCA auprès des services de l’ETAT les comptes-rendus des 3/10/2011 et 4/12/2012 des Commissions Locale de Concertation et Surveillance de la carrière de gypse exploitée par la Sté Placoplatre  sur les territoires des communes de Courtry, le Pin, Vaujours et Villeparisis sont enfin mis en ligne sur le site de la préfecture.

 

Dans un souci de transparence il serait souhaitable que ces comptes-rendus soient mis en ligne  dans un délai correct et pas plus de 2 ans après les réunions.

 

Vous pouvez donc  les consulter en suivant le lien :

http://www.seine-et-marne.gouv.fr/Politiques-publiques/Environnement-et-cadre-de-vie/Divers/Fort-de-Vaujours

 

 

Nous constatons également que les documents concernant le Coderst (1)77 ne sont pas mis en ligne en Seine et Marne :

http://www.seine-et-marne.gouv.fr/Politiques-publiques/Environnement-et-cadre-de-vie/ICPE-carrieres/Presentation-au-CODERST

 

 

Alors que dans les départements du Gard, du Rhône, de l’Isère… les sites sont  alimentés :

 

http://www.gard.gouv.fr/content/search?SearchText=coderst&SearchButton.x=11&SearchButton.y=11

http://www.rhone.gouv.fr/content/search?SearchText=coderst&SearchButton.x=0&SearchButton.y=0

http://www.isere.gouv.fr/content/search?SearchText=coderst&SearchButton.x=0&SearchButton.y=0

 

 

Dans un souci de transparence

il serait souhaitable que le site Coderst soit alimenté

en Seine et Marne comme ailleurs en France.

 

 

(1) http://www.cpepesc.org/Le-CoDERST-Conseil-de-l.html

 

 

Partager cet article
Repost0
13 février 2014 4 13 /02 /février /2014 13:22

 

 

Les services de la DRIEE secteur Nord-Ouest 77 sont en sous effectifs depuis de nombreuses

années, des élus et associations le signalaient déjà en 2001

http://www.leparisien.fr/seine-et-marne/mobilisation-pour-multiplier-les-controles-dans-la-zone-de-mitry-02-10-2001-2002479817.php

 

 

4 personnes auraient dûs être affectés à ce secteur mais à notre connaissance les effectifs étaient depuis plus d’une décennie inférieurs à 3.

 

Monsieur Guillaume BAILLY responsable de la DRIEE 77  a annoncé hier lors de la CSS de Mitry-Compans :

- un renforcement des effectifs de ses services sur le nord-ouest 77 par l’arrivée dans les prochains mois de 2 personnes dont 1 ingénieur qui devra être formé pendant 1 an

- l’arrivée d’une stagiaire, présente à la CSS, qui va être affectée au recollement des données sur le nord-ouest 77 (santé et autres).

 

Depuis de nombreuses années Adenca avait attiré l’attention  des services de l’ETAT et des collectivités territoriales  sur le manque d’effectifs  de la DRIEE dans ce  secteur.

 

En effet il est anormal que dans cette zone où l’on a accumulé autant de sites polluants que l’ETAT n’ait  pas donné les moyens nécessaires à ses services pour assurer normalement leur mission.

 

 

Ces nouveaux effectifs devraient arriver à partir d’avril, attendons donc ….

 

Partager cet article
Repost0
13 février 2014 4 13 /02 /février /2014 10:59
Paru dans le journal de l’environnement :
La stratégie nationale de santé ignore la santé environnementale

Le 18 juillet 2013 par Marine Jobert

Marisol Touraine l’aurait qualifié de «mauvais», mais sans que l’on sache encore pourquoi. Il est certain que si la ministre de la santé cherche dans le rapport consacré à la stratégie nationale de santé –qui lui a été rendu discrètement le 21 juin dernier par 7 «hautes personnalités du monde de la santé et de la recherche»- la moindre proposition relative à la santé environnementale, elle risque de s’abîmer les yeux. C’est ce que dénonce le réseau Environement-Santé. «On cherche en vain dans le constat une indication sur la situation sanitaire de la France. Aucune référence n’est faite à l’épidémie de maladies chroniques si ce n’est au travers de la prise en charge par un parcours de soins coordonnés», s’étonne André Cicolella, son président, qui dénonce des rédacteurs qui «vivent en vase clos».

 

En effet, pas une ligne n’est consacrée à la qualité de l’air, ou à la qualité de l’eau potable. Une seule référence lapidaire aux nanotechnologies. Rien sur les radiofréquences. Quant aux perturbateurs endocriniens, ils sont totalement inconnus au bataillon. «N’ont-ils jamais entendu parler de la déclaration de New York votée à l’unanimité par l’Assemblée générale de l’ONU en septembre 2011 [JDLE], qui affirmait : 'Le fardeau et la menace que les maladies non transmissibles représentent à l’échelle mondiale constituent l’un des principaux défis pour le développement au XXIe siècle'?», demande le chercheur de l’Inserm. «Ont-ils suivi l’actualité autour de l’interdiction du bisphénol A et de la Stratégie nationale sur les perturbateurs endocriniens?»

 

Les maladies chroniques représentent deux tiers de la dépense de santé (et 3% du PIB), écrivent les Sages, qui vont jusqu’à redouter un «tsunami» de ces maladies. Le vieillissement de la population leur semble être un facteur essentiel dans la survenance des maladies des 10 prochaines années. «Il est peu de dire que la société française n’a pas encore pris la bonne mesure de son vieillissement, qui impactera non seulement les besoins mais tout autant les modes d’action et la culture collective, et dont les conséquences en termes de poly-pathologies, de pertes d’autonomie et de chronicité sont plus qu’un défi, un mur!».Si l’âge est une donnée sur laquelle on ne peut rien, quelle marge de manœuvre comportementale aurions-nous? L’action doit passer par «le tabac, l’alcool, la manière de se nourrir», au même titre que «les conditions sociétales, économiques et physiques», énumèrent les auteurs.

 

Une vision dépassée selon André Cicolella, qui met en avant la déclaration de Paris de mai 2012 issue du colloque international Programmation prénatale et toxicité: «Beaucoup des grandes maladies -et des atteintes fonctionnelles- dont la prévalence a augmenté substantiellement au cours des 40 dernières années apparaissent liées pour partie à des facteurs de développement consécutifs à des déséquilibres nutritionnels ou des expositions environnementales aux substances chimiques: obésité, diabète, hypertension, maladies cardio-vasculaires, asthme et allergies, maladies immunes et auto-immunes, maladies neuro-développementales et neuro-dégénératives, puberté précoce et infertilité, certains types de cancer, ostéoporose, dépression, schizophrénie et sarcopénie».

 

Trois semaines après avoir été rendu, le rapport n’a pas été dévoilé publiquement. Pas sûr que cette attaque en règle contribue à le rendre plus populaire.

http://www.journaldelenvironnement.net/article/la-strategie-nationale-de-sante-ignore-la-sante-environnementale,35710

 

Partager cet article
Repost0
12 février 2014 3 12 /02 /février /2014 17:20

 

 

Ile de France

 

Pourquoi les décès par Lymphomes malins non hogkiniens

 chez les femmes

sont dans des fourchettes parmi les plus hautes

 sur les cantons de Claye-Souilly et de Montfermeil

  où se trouvent le fort de Vaujours ?

 

 

 

Circulez y’a rien à voir 

  Ne dérangez pas vos élus, ils sont occupés ailleurs

 

P 112 

http://urbamet.documentation.developpement-durable.gouv.fr/documents/Urbamet/0306/Urbamet-0306494/IA51679_OUV00009134.pdf

Partager cet article
Repost0

Recherche