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19 février 2014 3 19 /02 /février /2014 12:28

 

  ZI MITRY INCINERATEUR 8122009

 

GEREP

Incinérateur de déchets dangereux Compans 

 

Etablissement autorisé à incinérer

25 000 tonnes de déchets dangereux par an

 

En 2013

cet établissement a dépassé son autorisation

de 2042 tonnes

soit 10.8 % ù

 

 

GEREP un récidiviste

en effet des dépassements avaient déjà été constatés

en 2002, 2003 et 2009

la préfecture avait pris des arrêtés de mise en demeure

à l’encontre de l’exploitant

en date du 17/6/2004 et 2/4/2010

 

Or aujourd’hui les services de l’ETAT  

nous ont confirmé

qu’aucune mise en demeure ne sera prise

 à l’encontre de l’exploitant

alors que le dépassement de 2013 est supérieur à celui de 2009.

Pourquoi ?

 

 

 

Pour tous renseignements complémentaires contactez la Préfecture.

 

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19 février 2014 3 19 /02 /février /2014 10:40

Le talon d’Achille

de l’un des plus grands aéroports d’Europe

Roissy

son réseau d’assainissement

et

 l’exutoire de ses eaux ?

 

 En effet comment « nos décideurs » ont-ils pu implanter un aéroport qu’ils voulaient international sans s’être aperçus que Roissy avait pour exutoire principal de ses eaux une si petite rivière que la Beuvronne ?

 

 

Quel aéroport international

au monde

possède un exutoire aussi petit ?

 

 Aujourd’hui alors que « les élites » qui dirigent ce pays souhaitent encore agrandir cet aéroport, ce problème est  devenu récurrent et ne semble pas trouver de solutions sans faire prendre des risques d'inondations graves aux populations des communes en aval et en particulier de Claye-Souilly.

 

Un second problème se pose c’est celui de l’assainissement des eaux de l’aéroport de Roissy notamment en période hivernale, il semblerait que là non plus ADP ne trouve pas de solution.

 

En effet une des solutions envisagées  par ADP pour réduire la pollution dans la Beuvronne semble compromise,   ADP  voudrait   prolonger   sa   canalisation   de 8 kms, afin que ses eaux ne se rejettent plus dans la Reneuse, via la Beuvronne, mais directement dans la Marne en aval de la station de pompage d’Annet sur Marne.


Mais pour ce faire ADP devra traverser Claye-Souilly et Annet sur Marne, dans cette dernière commune ADP devra obtenir l’autorisation du Conseil Général 77  pour éventrer le rue du Gl de Gaulle  et de la commune d’Annet sur Marne  pour éventrer la rue de Rigaudin qui est en cours de réfection.

Le Conseil Général 77 a-t-il donné un avis favorable : nous n’en savons rien mais Annet sur Marne dit non.(1)

 

Extrait compte-rendu du conseil municipal d'Annet sur Marne du 24/1/2014

 

ANNET CM 24.1.2014

 


En attendant l’industriel continue d'obtenir des dérogations  de l’ETAT encore et encore.


Pour remettre aux normes son réseau d’assainissement ADP a besoin d’argent, mais ce n’est pas en distribuant plus de dividendes à ses actionnaires que l’industriel va trouver la solution.


En effet l’ETAT  propriétaire de 50.6 %  des parts d’ADP  a donné  son aval en 2013 pour augmenter la part des dividendes versés aux actionnaires  d'ADP:

« En 2013, l'Assemblée Générale des actionnaires a décidé de verser, au titre de l'exercice 2012, un dividende de 2.07 euro par action. Ce dividende correspond à un taux de distribution de 60%du résultat net part du Groupe de l'exercice 2012, contre 50% précédemment. Le paiement du dividende a eu lieu le 30 mai 2013. »(2)

 


Dans ce dossier

la priorité de l’ETAT français

est-elle

la préservation de notre ressource en eau

ou bien la rémunération

de plus en plus élevée des actionnaires d’ADP ?

 

A vous de juger

 

(1)http://www.annetsurmarne.com/image_files/pdf/cr-2014-01-24.pdf

(2)http://www.aeroportsdeparis.fr/ADP/fr-FR/Groupe/Finance/ActionAeroportsdeParis/Actionnariat/

pour aller plus loin :   http://adenca.over-blog.com/article-si-on-parlait-du-plus-important-captage-d-eau-de-seine-et-marne-annet-sur-marne-121123002.html

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18 février 2014 2 18 /02 /février /2014 22:05
La « Gerboise bleue » cela vous dit quelque chose ? 
Mais si rappelez-vous  c’est sur  le fort de Vaujours qu’a été développé le détonateur de la première bombe atomique française : la gerboise bleue.
Le Ministère de la Défense a déclassifié plus de 200 documents concernant l’explosion de cette bombe en Algérie dans les années 60.
Et concernant les essais sur le fort de Vaujours
va-t-on déclassifié
 les documents Secret-Défense ? 
Circulez, y’a rien à voir 
§§§
Paru dans le  Parisien :
Le document choc sur la bombe A au Sahara remue Alger

Publié le 18.02.2014, 15h26 | Mise à jour : 15h54

 

 

Le 13 février 1960, Gerboise bleue, la première bombe atomique française, explose dans le Sahara. Ce document détaille les retombées nucléaires radioactives dans les jours suivants.

Zoom

 «Mensonge d’État et vérité historique» pour le très proche du pouvoir et historique journal algérien El-Moudjahid, «document choc» selon le quotidien indépendant Liberté, «une carte qui fait froid dans le dos» pour l'autre grand quotidien francophone El-Watan... 

Ces réactions, qui suscitent encore des remous, intervien
nent après la publication, vendredi dans nos éditions, d'une carte de l'armée française de 1960 prouvant que les retombées radioactives du premier essai nucléaire français dans le Sahara algérien ont été beaucoup plus importantes que celles admises à l'époque. 

Selon ce document déclassifié en 2013 et publié en exclusivité par Le Parisien, elles s'étendaient à toute l'Afrique l'ouest et au sud de l'Europe,

Alger réclame la révision de la loi d'indemnisation

Cette carte montre que, jusqu'au treizième jour suivant l'explosion aérien
ne, le 13 février 1960, de Gerboise Bleue, la première bombe française, les retombées radioactives se sont étendues à toute l'Afrique de l'Ouest et au sud-est jusqu'à la Centrafrique. On constate aussi que 13 jours après le tir ... des retombées radioactives atteignent les côtes espagnoles et recouvrent la moitié de la Sicile.

Resté silencieux un premier temps, le pouvoir algérien a fini par réagir. Le ministre des Combattants, Mohamed Cherif Abbes, a d'abord affirmé dimanche que le règlement de ce dossier des essais nucléaires et leurs conséquences, ainsi que la récupération des archives de la période coloniale, restent un «thème à débat jusqu'à obtention par l'Algérie de tous ses droits». Le ministre algérien a également évoqué la possibilité de «coordon
ner» les actions avec les pays voisins touchés, à l'époque, par ces essais.

L'ambassadeur de
 France à Alger souligne la «volonté de transparence» de Paris

Dans le même temps, le président de la Commission nationale consultative de promotion et de protection des droits de l'Homme, Me Farouk Ksentini, a appelé le Parlement français à «la révision de l'ancien
ne loi pour indemniser les victimes». Selon lui, «ces documents prouvent que les dangers de radioactivité sont toujours là».

Lundi, l’ambassadeur de France en Algérie, André Parant, qui se trouvait en déplacement a Oran, a voulu apaiser la situation. «La carte sur laquelle est fondé l’article du Parisien fait partie d’un groupe de 158 documents qui ont été déclassifiés par décision du ministre de la Défense, a indiqué le diplomate français. Il y avait déjà u
ne cinquantaine de documents qui avaient été déclassifiés auparavant. Tout ceci témoigne, de la part des autorités françaises, d’une volonté de transparence sur ce dossier».

LeParisien.fr

http://www.leparisien.fr/international/le-document-choc-sur-la-bombe-a-au-sahara-remue-alger-18-02-2014-3602389.php

 

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18 février 2014 2 18 /02 /février /2014 20:05
Paru sur le site de l’Institut pour la protection de la santé naturelle :
En prison pour avoir refusé de polluer !

Chère amie, cher ami,

Emmanuel Giboulot, viticulteur bio dans le département de la Côte-d’Or, exploite depuis plus de quarante ans 10 hectares de vignes en agriculture biologique.

Le 24 février 2014, il passera devant le tribunal correctionnel pour avoir refusé de déverser un dangereux pesticide sur sa vigne. Il encourt jusqu’à 6 mois d’emprisonnement et 30 000 euros d’amende.

Par solidarité avec lui, je vous demande de signer la déclaration de soutien située en bas de ce message. 

Un insecticide qui détruit les abeilles

En juin dernier, pour contrer un risque hypothétique d’épidémie de flavescence dorée, une maladie de la vigne, le préfet de Côte-d’Or a pris un arrêté radical : tous les vignerons devront traiter leur vigne contre la cicadelle, l’insecte qui répand la maladie.

Le problème est que même l’insecticide le moins polluant contre la cicadelle tue les abeilles et la faune auxiliaire.

Il détruit toutes sortes d’insectes nécessaires à la régulation de la vigne pour éviter les parasites. Or, Emmanuel Giboulot travaille justement depuis plus de 40 ans à préserver les équilibres biologiques de sa vigne.

Il décide donc, fort logiquement, de lutter contre la cicadelle en choisissant parmi les nombreux traitements naturels bien connus des agriculteurs bio.

Le 30 juillet dernier, un inspecteur de la direction régionale de l’Agriculture arrive chez lui.

Il décide aussitôt de le signaler au procureur. Emmanuel Giboulot est mis en examen, comme un délinquant.

Traîné en correctionnelle !!

Emmanuel Giboulot est convoqué le 24 décembre pour un arrangement amiable avec le procureur, mais celui-ci annule au dernier moment.

Au lieu de classer l’affaire, le procureur décide de le renvoyer devant le tribunal correctionnel, avec un procès le 24 février prochain !

Emmanuel Giboulot sera donc jugé aux côtés de délinquants sexuels et de cambrioleurs endurcis, qui forment la population habituelle des audiences correctionnelles.

Le problème est que, en dehors de quelques réactions isolées, personnene s’est exprimé publiquement pour défendre Emmanuel Giboulot.

Aucune réaction massive n’a eu lieu dans la population, jusqu’à présent.

L’IPSN avait créé une page de soutien sur Facebook pour Emmanuel Giboulot, qui a récolté plus de 35 000 soutiens. Mais, vu le contexte, la mobilisation doit aujourd’hui être infiniment plus forte et plus officielle.

Les alternatives naturelles sont efficaces !

En effet, contrairement à ce qu’affirment les autorités, il existe plusieurs moyens de protéger les vignes contre la cicadelle tout en respectant l’environnement :

  • les vignes peuvent être protégées avec des fougères et de l’argile calciné ;
  • des pièges à cicadelle existent, et ils sont efficaces (la cicadelle est attirée par la couleur orange) ;
  • on peut également poser entre les pieds de vigne de la paille d’avoine ou du papier d’aluminium, dont la forte intensité lumineuse empêche l’insecte de se poser. Des expériences ont montré que cette simple mesure est tout aussi efficace que l’insecticide ;
  • mais surtout, surtout, c’est en préservant la biodiversité qu’on lutte le mieux contre la cicadelle, car c’est un insecte apprécié par de nombreux prédateurs dans la nature. Le problème est que ces prédateurs, les araignées, la mante religieuse et certains types de punaises, ont aujourd’hui été éradiqués dans les vignes non biologiques, où la faune est ravagée par les insecticides.

Ces solutions ne devraient pas être combattues mais au contraire encouragées par les autorités.

Les agriculteurs qui les utilisent devraient être félicités et donnés en exemple, non pas soumis à la terreur d’une répression judiciaire.

C’est pourquoi je vous demande de signer la déclaration de soutien à Emmanuel Giboulot.

Signez la déclaration de soutien

Emmanuel Giboulot ne doit pas se rendre au tribunal abandonné de tous. Il doit savoir qu’il est soutenu par des centaines de milliers de personnes.

Oui, si vous signez la déclaration de soutien ci-dessous, et si vous passez ce message à tout votre carnet d’adresses, nous pouvons provoquer une vague de solidarité historique dans le pays.

Nous pouvons aussi changer l’issue de ce procès en rassemblant des centaines de milliers de signatures de soutien.

Car sans réaction massive de la population, ce viticulteur risque très probablement d’être condamné, pour l’exemple.

La plupart des agriculteurs qui verront cela se le tiendront pour dit. Ils comprendront qu’ils doivent obéir aveuglément aux injonctions des autorités, y compris si cela implique d’empoisonner leur propre terre et de décimer plus encore les abeilles et autres insectes pollinisateurs !!

Ne laissez pas se commettre une telle injustice, avec des conséquences aussi lourdes et contraires à l’intérêt de tous. Manifestons publiquement notre réprobation la plus totale contre les réglementations qui marchent à l’envers et qui nuisent autant à l’environnement qu’au bon sens.

L’Institut pour la Protection de la Santé Naturelle vous appelle donc solennellement à signer la déclaration officielle de soutien à Emmanuel Giboulot et à la faire signer par tout votre entourage.

Cela ne vous demandera qu’un instant, mais c’est un moyen concret d’empêcher qu’une grave injustice ne soit commise, doublée d’une grave atteinte à notre planète.

S’il vous plaît, ne fermez pas cet email pour l’envoyer aux oubliettes. Ce serait un énorme gâchis. Puisque vous avez investi du temps pour lire ce message jusqu’ici, faites un geste simple et signez la déclaration officielle de soutien à Emmanuel Giboulot.

Puis transmettez ce message à toutes vos connaissances.

Un grand merci,

Avec tout mon dévouement,

Augustin de Livois
Président de l’Institut pour la Protection de la Santé Naturelle

http://www.ipsn.eu/actualites/en-prison-pour-avoir-refuse-de-polluer/

 

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18 février 2014 2 18 /02 /février /2014 16:55

Paru sur le site de l’association

de Défense de l’environnement de Pontfaverger et de sa région :

 

Centre d'Expérimentation Atomique

Comment un site d'expérimentation nucléaire a pu être installé à Pontfaverger-Moronvilliers       (22 km de Reims) ?

 

C'est en 1957, que le Commissariat à l'énergie atomique décide de chercher un terrain en toute discrétion, dans une zonemilitaire, aux environs de 150 km de Paris, avec un profil topographique accidenté pour pouvoir faire des explosions sans casser trop de carreaux dans les villages environnants et unedensité  de population identique au Sahel. Le lieu est trouvé, ce sera le terrain militaire de Moronvilliers

On était en pleineguerre froide, pas question que l'Urss soit informée que la France effectue des recherches sur la bombe atomique et pourtant le problème majeur réside dans le début du fonctionnement de l'arme nucléaire. Il faut une"explosion" de qualité pour que tout s'enchaine.

Tous les moyens avaient été mis en œuvre : le CEA créa unesociété "fantôme" qui s'appela : société de technologie nouvelle.

Les ingénieurs et techniciens profitèrent des recherches pétrolières (sismiques) dans la vallée de la Suippe. Pour être crédibles, ils firent uneformation chez un prospecteur pétrolier : Schlumberger. Ainsi le CEA pouvait faire ses explosions en toute discrétion. Ils couchaient à l'hôtel du « grand cerf » et la voiture avec les explosifs était en sécurité dans le garage Girard , bien sûr sans que le garagiste neconnaisse les risques encourus. Les vrais prospecteurs repartirent sans trouver de pétrole et les atomiques (comme on les nommait à l'époque) s'implantèrent au milieu du terrain militaire. Le centre prit le nom de Polygoned'expérimentation de Moronvilliers; ce nom neveut rien dire et le village de Moronvillers a disparu depuis la première guerre mondiale, Il faut reconnaitre que la transparence nucléaire a toujours été opaque

 Les élus et les habitants jouxtant ce centre, ne se sont jamais beaucoup préoccupés des retombées sanitaires de ce site. Il est vrai que cela créait de l'emploi, relativement bien payé, même si le CEA n'a jamais versé un € dans les trésoreries des communes environnantes. Aucuneinformation nefiltrait, le mensonge a été bien gardé pendant presque 50 ans. Et pourtant officiellement, c’est un site ou

 une installation d'expérimentation nucléaire. 

Classé 2° au monde par ses expérimentations en détonique, il volatilise au cours de ses explosions des matériaux tels que uranium, deutérium, tritium, béryllium, plutonium, hautement cancérigènes, radioactifs, chimiques dans l'air et dans les sols.

Comment la population pourrait être rassurée en sachant que l'Autorité de la Sécurité Nucléaire, la Dréal, la loi sur la Transparence de la Sécurité Nucléaire, les élus, la Commission Locale d'Information nepeuvent nous garantir de l'innocuité de ce centre vis à vis de notre santé et de celle des générations futures? Seule uneexpertise complète faite par la CRIirad (Commission de Recherche et d'Information Indépendantes sur la Radioactivité) ou l'ACRO (Association pour le Contrôle de la Radioactivité dans l'Ouest) faite dans et autour du site pourrait lever toutesuspicion vis à vis du CEA (Commissariat à l'énergie atomique et aux énergies alternatives). 

 

 

http://pontfaverger-environnement.jimdo.com/centre-d-exp%C3%A9rimentation-atomique/

 

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18 février 2014 2 18 /02 /février /2014 14:58
Fort de Courtry/Vaujours 
Qui va réaliser les analyses « complémentaires » de radioactivité :
L’ASN
Autorité sureté nucléaire 
Une autorité administrative indépendante  ?
A vous de juger


Elle est dirigée par un collège de cinq commissaires qui définit la politique générale de l'ASN en matière de sûreté nucléaire et de radioprotection.
Les règles générales relatives à l’organisation et au fonctionnement de l’ASN sont fixées par le règlement intérieur adopté par le collège et homologué par les ministres chargés de la sûreté nucléaire et de la radioprotection.
Le collège est composé de cinq commissaires, dont le président de l’ASN. Ils sont nommés pour six ans, trois par le président de la République et un par le président de chaque assemblée parlementaire. Ces commissaires sont irrévocables 
Les moyens financiers

Au total, en 2012, le budget de l’Etat consacré à la transparence et au contrôle de la sûreté nucléaire et de la radioprotection en France s’est élevée à 170,5 M€ répartis comme suit :

·                         - 75,6 M€ pour le budget de l’ASN

·                         - 84 M€ pour l’appui technique de l’IRSN à l’ASN

·                         - 10,6 M€ pour d’autres missions de l’IRSN

·                         - 0,15 M€ pour le fonctionnement du HCTISN.

Paru dans le Parisien 77 :
Fort de Vaujours : l’Autorité de sûreté nucléaire va mener des analyses

Grégory Plesse | Publié le 06.02.2014, 18h26 | Mise à jour : 21h25

Des analyses complémentaires de radioactivité seront réalisées « très rapidement, peut-être d’ici la fin du mois » par l’Autorité de sûreté nucléaire (ASN) au fort de Vaujours.

Des associations locales craignent en effet pour la santé des riverains, alors que Placoplâtre envisage d’ouvrir une carrière de gypse à ciel ouvert dans le secteur, à cheval entre la Seine-et-Marne (Courtry) et la Seine-Saint-Denis.

 
Le fort de Vaujours a été utilisé par le Commissariat à l’énergie atomique (CEA) jusqu’en 1997. C'est ici qu'ont été réalisées pendant quarante ans des expériences en détonique nucléaire, confiait ce jeudi matin Nicole Klein, la préfète de Seine-et-Marne, à la sortie d’une réunion destinée aux élus locaux, organisée par la société Placoplâtre et le CEA.

Nicole Klein a également indiqué que la prochaine Commission locale de concertation et de suivi (CLICS) préalable indispensable pour que Placoplâtre puisse déposer une demande d’autorisation d’exploiter aux services de l’Etat, se tiendrait en avril. Cette commission se compose de représentants de l’Etat, des collectivités territoriales, des riverains, des associations, des exploitants et des salariés.

LeParisien.fr

http://www.leparisien.fr/seine-et-marne-77/fort-de-vaujours-l-autorite-de-surete-nucleaire-menera-des-analyses-complementaires-06-02-2014-3566493.php

 

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17 février 2014 1 17 /02 /février /2014 18:35

 

Seine et Marne 

  cancer du poumon chez les femmes

 Pourquoi

 une surmortalité de 9 %

par rapport à la moyenne nationale ? 

http://www.ors-idf.org/dmdocuments/EpidemiologieDesCancers2011.pdf   

 

 

Circulez y’a rien à voir 

 


  Ne dérangez pas vos élus, ils sont occupés ailleurs

 peut-être en réunions avec les industriels?

 

 

 

Paru sur le site Réseau Santé Environ ne ment :

 

Communiqué de presse (5 fév 2014) – Plan cancer : on ne change pas une politique qui perd…

François Hollande a annoncé hier les mesures du 3ème plan cancer. Comme ses prédécesseurs, celui-ci identifie surtout les inégalités et le tabac comme principale cause ; laissant une place marginale à l’environnement. Pourtant, les chiffres sont là pour mettre en évidence le rôle majeur de l’environnement dans la progression de l’épidémie en France et dans le Monde.

En effet, les derniers chiffres publiés en décembre 2013 par le Centre international de recherche sur le cancer (CIRC) [1] montrent une progression du cancer dans le monde entier : +8% sur les 4 dernières années. Plus particulièrement, les cancers hormono-dépendants comme le cancer du sein sont en hausse de 14% identifiant ainsi un véritable marqueur du mode de vie occidentale qui se répand sur la planète.

La France devrait mener une politique particulièrement active car elle affiche parmi les taux les plus élevés au monde [2] en matière de : 

- cancer de la prostate : La France métropolitaine est le 2ème pays au monde derrière la Norvège… mais la Martinique a un taux plus élevé encore que la métropole.

- cancer du sein : La France métropolitaine est le 3ème pays au monde derrière la Belgique et le Danemark.

A l’intérieur de la France, la Réunion affiche des taux inférieurs de moitié à ceux de la France métropolitaine pour le cancer de la prostate et du sein. Pourquoi cette réalité n’est-elle pas mentionnée dans le plan cancer ? L’accent mis sur les inégalités sociales est justifié, mais pourquoi la dimension géographique n’est-elle pas plus mise en lumière ?

Comme l’illustre ces chiffres, l’analyse des facteurs de risque actuelle mettant l’accent sur le tabac est obsolète. Il est impossible aujourd’hui d’expliquer la croissance du cancer par un facteur de risque comme le tabac alors même que celui-ci est en diminution et qu’il n’est pas lié aux cancers hormono-dépendants. Les connaissances scientifiques actuelles montrent le rôle majeur joué par les perturbateurs endocriniens. 

L’ANSES a notamment rappelé dans son rapport d’avril 2013 que le bisphénol A est impliqué dans le cancer du sein par un effet transgénérationnel. C’est-à-dire que l’exposition maternelle induit des cancers du sein chez la fille. D’autres perturbateurs endocriniens sont également identifiés comme induisant des cancers, on peut citer les organochlorés (la dioxine ou le chlordécone, par exemple), les phtalates, les perfluorés ou les polybromés, qui contaminent toute la population. « L’enjeu majeur des perturbateurs endocriniens n’est pas identifié par le plan cancer et c’est une erreur grave vis-à-vis des générations futures », estime André Cicolella, président du RES.

En plus des multiples données expérimentales chez l’animal, la preuve chez l’humain de l’impact des perturbateurs endocriniens a été apportée par le distilbène, puisque les filles exposées à ce médicament pendant la grossesse ont 80 % de cancer du sein en plus.

Il est nécessaire que la question cancer environnement soit traitée dans le futur Plan National Santé Environnement. 

Il est urgent que la Stratégie Nationale Perturbateurs Endocriniens soit adoptée par le gouvernement.

Il est regrettable que la question santé environnement ait été exclue de la dernière conférence environnementale et le RES demande l’organisation d’une Conférence Nationale Santé Environnement pour définir une politique à la hauteur des enjeux.

[1]. Site globocan : http://globocan.iarc.fr/Default.aspx

[2]. Données en population standardisée mondiale, ce qui élimine les caractéristiques démographique propres à chaque pays et permet les comparaisons entre pays.

http://reseau-environnement-sante.fr/2014/02/05/dossiers-par-themes/communique-de-presse-5-fev-2014-plan-cancer-on-ne-change-pas-une-politique-qui-perd/

 

 

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17 février 2014 1 17 /02 /février /2014 10:29

 

Pourquoi l’ETAT  

 a-t-il financé

 une étude de l’Ineris  pour connaître

la pollution des sols aux métaux lourds

sur l’ancien site de la Poudrerie de Sevran

mais pas sur

l’ancien site du CEA du Fort de Vaujours ?

 

 

Sur le fort de Vaujours

comme sur l’ancienne poudrerie de Sevran

 cette étude doit être réalisée

 par l’Ineris

http://www.ineris.fr/

 

 

Paru sur le site  Le Parisien :

Le centre nature fermé pour pollution

Nathalie Perrier | Publié le 03.06.2008

LE PARC national forestier de la Poudrerie, qui abrita pendant plus de cent ans

 

  une importante usine de fabrication de poudre, est-il pollué ? La question taraudait depuis longtemps les habitants de Sevran, Villepinte, Livry-Gargan et Vaujours. Les premières conclusions menées par l'Ineris (Institut national de l'environnement industriel et des risques) à la demande de l'Etat dans le cadre de la cession du site à la région sont tombées vendredi, soit vingt-huit ans après l'ouverture du site au public. 



Elles révèlent la présence de polluants sur le terrain et à l'intérieur du centre nature de Villepinte, « des traces de mercure et de plomb supérieures aux normes autorisées » selon la préfecture. Au nom du principe de précaution, ce bâtiment qui accueille de nombreux écoliers a été fermé hier. 

Les prélèvements effectués sur les autres sites déclarés sensibles - les jardins familiaux, les jardins scolaires, la colli
ne de jeux et les centres nautiques des quatre communes environnantes - sont eux en revanche négatifs. « La pollution, au stade actuel de l'étude, se limite à cette zone de 2 000 m 2 . Les autres sites à risques ne sont pas pollués. Ces résultats sont donc malgré tout rassurants », commentait hier Agnès Leroi, la directrice du parc. 

Le parc accueille plus d'un million de visiteurs par an 

Le parc, qui accueille chaque année plus de 1 million de visiteurs, reste donc ouvert au public. Le centre nature
ne devrait pas rouvrir ses portes avant la rentrée, au mieux. Des investigations complémentaires sont en effet menées depuis hier dans ce pavillon qui accueillait des laboratoires. « Il n'est pas possible, en l'état actuel des connaissances, d'affirmer qu'il existe ou non un risque pour la santé », précisait, hier, la préfecture. Les collectivités et les associations, invitées à la présentation de l'étude par l'Ineris, se voulaient rassurantes. « Selon les experts, il faudrait ingérer des quantités importantes de terre pour qu'il y ait un risque. Les enquêtes menées auprès des médecins de la région n'ont par ailleurs pas fait état de cas de contamination », ajoute Michel Glévarec, le président de l'association des Amis du parc, qui redoute « la psychose ». « La fermeture du centre relève du principe de précaution », dit la mairie de Villepinte. Les résultats des études complémentaires devraient être publiés cet été. D'autres investigations sont programmées sur l'ensemble des 120 ha du parc en 2009.

Le Parisien

http://www.leparisien.fr/seine-saint-denis/le-centre-nature-ferme-pour-pollution-03-06-2008-3298542161.php

 

 

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16 février 2014 7 16 /02 /février /2014 11:57

 

L'ETAT va-t-il autoriser le carrier KNAUF à détruire la forêt de Montgé en Goële ?

 

 

 

10.11.2013 MONTGE EN GOELE

Forêt de Montgé en Goële 10/11/2013

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14 février 2014 5 14 /02 /février /2014 15:26

Anciennes munitions

et perchlorate dans l'eau du robinet ?

 

Teneurs en perchlorate

dans l’eau du robinet distribuée  dans l’est parisien

en Seine et Marne et Seine St Denis

Qu’en est-il ?

Nous n’en savons rien 

 

Dans le Nord Pas de Calais

L’Agence Régionale de Santé a fait une étude

 mais pas à notre connaissance  

en Ile de France

 

Concernant les munitions : ce qu’en dit Robin des Bois :

Les champs de bataille du nord et de l’est de la France

Chaque année, sur le territoire français, 500 à 800 tonnes de munitions anciennes, abandonnées, dégradées, imprévisibles et plus dangereuses encore qu’au moment de leur fabrication sont découvertes, collectées, regroupées, neutralisées ou entreposées dans l’attente de leur élimination finale. La grosse part de la collecte se fait dans le nord et l’est.

En lisant ce dossier, faites attention où vous mettez les pieds. Vous entrez dans les champs de bataille de trois guerres modernes, 1870, 1914-1918, 1939-1945. Les combattants ont utilisé des quantités incalculables de munitions innovantes, performantes, perforantes, insidieuses et polluantes. Le Nord-Pas-de-Calais, la Lorraine, la Champagne-Ardenne, l’Ile-de-France, la Picardie, l’Alsace et la Franche-Comté sont des terroirs de guerre superposées. Dans le nord et l’est de la France, un milliard d’obus de tous calibres équivalant à 15 millions de tonnes de métaux ont été tirés entre 1914 et 1918. Un quart de ces obus n’ont pas explosé et 6% contenaient des gaz de combat. Pendant la Seconde Guerre mondiale, 1.700 communes françaises ont été bombardées. 14% des bombes anglaises et 16% des bombes allemandes n’ont pas explosé et ont pénétré pour la majorité d’entre elles jusqu’à 4 mètres de profondeur, pour 20% jusqu’à 6 mètres, pour 10% jusqu’à 7 mètres et 1% au-delà de 9 mètres de profondeur. L’Ile-de-France porte encore des stigmates du siège de Paris en 1870 – voir à ce sujet Créteil dans l’inventaire Ile-de-France, 2008.

Les sols, les sous-sols, les eaux souterraines, les cours d’eau, les lacs, les canaux, sont des réservoirs de risques et de polluants militaires.

Dans les 7 régions du nord et de l’est de la France, 25 millions de personnes vivent et travaillent sur un sol truffé de munitions non explosées ou cachées et morphologiquement déformé par les cratères, les boyaux, les sapes, les tranchées, les trous de bombe, les cratères, les entonnoirs de mines. Les sucreries récoltent chaque année au bout des trieuses à betteraves des centaines d’engins de guerre, douilles, grenades, obus - voir à ce sujet Roye, inventaire de la Picardie, novembre 2010.

http://www.robindesbois.org/dossiers/dechets-de-guerre/2012/Inventaire-des-dechets-de-guerre-2008-2011.html

 

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