Overblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
10 février 2014 1 10 /02 /février /2014 10:29

 

Une nouvelle fois

le 14/1/2014

les analyses de l’eau potable

distribuée par l’usine d’Annet sur Marne

ne respectent pas les références de qualité

 

 

 

cs 14.1.2014

 

 

Site du ministère de la santé

http://www.sante.gouv.fr/resultats-du-controle-sanitaire-de-la-qualite-de-l-eau-potable.html

 

 

 

 

 


  Que va-t-on faire pour nous ?

 

 

 

   

Circulez y’a rien à voir 

 

  Ne dérangez pas vos élus, en période électorale,

ils sont occupés ailleurs

 

et l'ETAT va t-il faire des études ?

 

Ne dérangez pas

Monsieur Claude Evin

directeur de l'Agence Régionale de Santé ARS

 

il vient d'ailleurs de refuser

une étude épidémiologique autour du fort de Vaujours

 

 

 

 

 

 

 

 

Pour aller plus loin :

 

http://adenca.over-blog.com/article-eau-du-robinet-distribuee-a-claye-souilly-non-conforme-aux-references-de-qualite-le-27-12-2013-que-122067838.html

 

Partager cet article
Repost0
10 février 2014 1 10 /02 /février /2014 10:14

 

Paru dans le Journal "la Marne" le 5/2/2014

 

 

la marne 5.2.2014 eau annet

Partager cet article
Repost0
9 février 2014 7 09 /02 /février /2014 14:33

 

 

 

 

Monsieur Claude EVIN

Directeur de l’Agence Régionale de Santé ARS Ile de France,

refuse de faire effectuer l’étude épidémiologique

demandée

par la collectivité de commune de Marne et Chantereine.

 

 

Mais qui est Monsieur Claude EVIN ?

 

Monsieur Claude EVIN est né en Loire Atlantique et a été de nombreuses années élu de ce département.

Il a été Ministre socialiste de la santé entre 1988 et 1991.

Il a été nommé par Nicolas Sarkozy en 2010 directeur de l’ARS Ile de France

C'est sous sa direction de l'ARS que l'hôpital de Lagny a été fermé.


 

Pour connaître sa biographie :

http://fr.wikipedia.org/wiki/Claude_%C3%89vin

 

 

 Pour aller plus loin :

Les fermetures d’établissements de soins et la réorganisation des services de soins en Seine et Marne sous la direction de l'ARS par  M. Evin :

 

-Quand les médecins et l’administration de l’hôpital de Lagny vont à Canossa : entrevue avec C Evin à propos de la radiothérapie

https://groups.google.com/forum/#!topic/contactscollectif-sante/FilIx3Jo_0I

 

- La lettre du sénateur Billout

http://www.michelbillout.fr/Situation-des-hopitaux-de-Meaux.html

 

 

Paru dans le quotidien du Médecin :

3/01/2014 

  Imprimer  Envoyer par email

Le patron de l’agence régionale de santé d’Ile-de-France Claude Evin signe ce lundi dans le quotidien « Libération »une tribune titrée : « Système de santé : pour en finir avec les abus et les excès ».

Sur une double page, l’ancien ministre de la Santé explique par le menu les raisons pour lesquelles « il faut impérativement maîtriser » les dépenses d’assurance-maladie.

« Les abus et les excès qu’il nous faut combattre, précise-t-il, ce sont les dépenses inutiles, inadéquates, qui n’améliorent pas l’état de santé et ne permettent pas de prendre en charge les besoins mal couverts, voire pas couverts du tout. » 

Dans le viseur : les prescriptions inadaptées, les soins non pertinents, sans oublier l’organisation coûteuse de notre système de santé, qu’il faudra bien un jour ou l’autre « repenser ».

Il y a « urgence à passer à l’acte », conclut Claude Evin.

Cette tribune intervient alors que François Hollande a indiqué lors de ses vœux aux Français que la Sécurité sociale devait maintenant en finir avec les « excès » et les « abus ».

 

http://www.lequotidiendumedecin.fr/actualite/securite-sociale/claude-evin-veut-lui-aussi-en-finir-avec-les-abus-et-les-exces

 

 

Paru sur le site 20 minutes :

Sang contaminé: Evin relaxé

Publié le 5 mars 2006.

 

L’essentiel du dossier est définitivement clos. La Cour de justice de la République a rendu, hier, un non-lieu dans le volet de l’affaire du sang contaminé concernant Claude Evin, ministre socialiste de la Santé entre 1988 et 1991. Cette décision intervient après la relaxe, en 1999, de Laurent Fabius et Georgina Dufoix, et, surtout, le non-lieu général de trente personnes, prononcé en juin dernier par la Cour de cassation dans le volet non-ministériel. Claude Evin avait été mis en examen en 1999 pour « homicide involontaire ». Il lui était reproché de ne pas avoir organisé, lorsqu’il était ministre de la Santé, le rappel des personnes transfusées avant le 1er août 1985, date de l’entrée en vigueur du dépistage systématique du sida dans les dons sanguins.

http://www.20minutes.fr/article/20807/France-Sang-contamine-Evin-relaxe.php

 

Partager cet article
Repost0
9 février 2014 7 09 /02 /février /2014 12:27

ADENCA a demandé en date du 31/1/2014 aux services de l’ETAT les comptes-rendus des 3/10/2011 et 4/12/2012 des Commissions Locale de Concertation et Surveillance de la carrière de gypse exploitée par la Sté Placoplatre  sur les territoires des communes de Courtry, le Pin, Vaujours et Villeparisis.

 

Or à ce jour les 2 services de l’ETAT contactés n’ont pas répondu à notre demande,

il s’agit de :

- la Sous préfecture de Torcy

- la DRIEE 77 Vaux le Pénil.

 

 

Ces comptes-rendus n’auraient-ils pas été établis ?

Nous n’en savons rien

 mais plusieurs membres de cette commission n’en retrouve aucune trace.

 

A noter également que la fédération Nature Environnement 77, Agréée au titre de l'Article L.141-1 du Code de l'Environnement, n’a pas été invitée à ces 2 réunions.

 

 

Trois associations environnementales de Seine et Marne ont demandé en janvier 2014, par courrier, à participer à cette commission, il s’agit de :

- Nature Environnement 77

- ADEV Association de Défense de Vaires sur Marne 

- ADENCA.

 

Monsieur le sous-préfet de Torcy acceptera t-il ?

Nous n’en savons rien.

Partager cet article
Repost0
8 février 2014 6 08 /02 /février /2014 18:32

 Réussite de la 1ère manifestation

sur la santé et l’environnement dans les départements 93 et 77

FORT DE VAUJOURS

La vérité

 

8.2.2014

 

Malgré une météo défavorable, les populations étaient venues manifester  pour connaître  la vérité sur la pollution  du fort de Vaujours et les risques sur leur santé.

 

Peu d’élus de Seine et Marne avaient fait le déplacement. A noter l’absence remarquée du député Maire de Claye-Souilly : Yves Albarello (UMP) et de la conseillère Générale du canton de Claye-Souilly : Michèle Pélabère (PS).

 

Il semblerait qu’un gouffre se soit créé entre les élus et les populations. Des élus qui se rendent aux réunions organisées par l’industriel Placoplatre mais qui n’étaient pas aujourd’hui aux côtés de leurs administrés. Ces élus ont-ils oubliés que leur préoccupation principale devrait être la santé et l’environnement ?

 

 

Après cette manifestation, rien ne sera plus comme avant, les élus devront tenir compte de vos demandes et ne pourront plus faire passer les emplois polluants avant votre santé.

 

 

 

                                  

 

 

Partager cet article
Repost0
7 février 2014 5 07 /02 /février /2014 16:50
site du ministère de la Santé :
Perchlorates dans l’eau du robinet

Que sont les perchlorates ? 

« Les divers sels de perchlorates peuvent être utilisés dans de nombreuses applications industrielles, en particulier dans les domaines militaires et de l’aérospatiale (propulseurs de fusées, dispositifs pyrotechniques, poudres d’armes à feu, etc). Les perchlorates peuvent se retrouver dans l’environnement à la suite de rejets industriels, mais également dans des zones ayant fait l’objet de combats pendant la première guerre mondiale. Les ions perchlorates sont très solubles dans l’eau. »

 

§§§§§


 

Dans ces 2 départements du 93 et 77
où les populations meurent plus tôt que dans le reste de l’Ile de France
des contrôles du perchlorate
dans l’eau du robinet distribuée par les usines
d’Annet sur Marne, de Neuilly sur Marne
et d’Aulnay sous bois
sont-ils réalisés  par les services de l’ETAT ?
Nous n’en savons rien. 
En effet les eaux en provenance de l’ancien site du CEA de Vaujours :
- se déversent vers le ru de Chantereine qui se rejette dans la Marne en amont de la station de pompage d’eau de Neuilly sur Marne, station  stratégique pour l’est parisien qui fournit en eau potable près de 1 600 000 habitants
-  se déversent  vers la rivière Morée  et Aulnay sous bois où se trouve un captage dans les couches géologiques de l’Albien
- des échanges d’eau sont effectués entre l’usine de pompage de Neuilly sur Marne et celle d’Annet sur Marne qui fournit en eau potable près de 500 000 habitants.
Extrait article paru sur le site du ministère de la santé :
Perchlorates dans l’eau du robinet : Questions / Réponses

3 septembre 2012

Que sont les perchlorates ? 

Les divers sels de perchlorates peuvent être utilisés dans de nombreuses applications industrielles, en particulier dans les domaines militaires et de l’aérospatiale (propulseurs de fusées, dispositifs pyrotechniques, poudres d’armes à feu, etc). Les perchlorates peuvent se retrouver dans l’environnement à la suite de rejets industriels, mais également dans des zones ayant fait l’objet de combats pendant la première guerre mondiale. Les ions perchlorates sont très solubles dans l’eau.

Comment les perchlorates ont-ils été mis en évidence dans l’eau du robinet ?

Les perchlorates nesont pas recherchés en routinepar les agences régionales de santé (ARS) dans le cadre du contrôle sanitaire.

 

Dès qu’elles ont eu connaissance de rejets de perchlorate d’ammonium dans l’environnement en provenance d’un industriel, les ARS d’Aquitaine et de Midi-Pyrénées ont recherché les perchlorates dans l’eau du robinet produite à partir de captages d’eau situés en aval de ces rejets.

Les résultats d’analyses obtenus en 2011 ont conduit la Direction générale de la santé (DGS) :

·                            à saisir l’Anses d’une demande d’évaluation des risques sanitaires ; 

·                            à demander au laboratoire d’hydrologie de Nancy de l’Anses de rechercher les perchlorates dans les échantillons d’eau à sa disposition, compte tenu de la réalisation en cours de campagnes d’envergure nationale sur d’autres paramètres émergents. 

En parallèle, les producteurs et distributeurs d’eau (FP2E) ont également effectué des analyses sur plusieurs points de distribution.

La présence de perchlorates a ainsi été mise en évidence dans quelques captages d’eau situés dans le Nord Pas de Calais, en Picardie et en Champagne Ardennes, dont la localisation laisse présager d’un possible lien avec les zones ayant fait l’objet de combats pendant la première guerre mondiale. Cette hypothèse reste cependant à confirmer.

Quels sont les effets sanitaires liés à l’ingestion de perchlorates ?

Les perchlorates interfèrent avec le processus d’incorporation de l’iode par la thyroïde ; ils peuvent donc induire une diminution dans la synthèse des hormones thyroïdiennes (TSH). C’est un effet biologique.

Quelles sont les personnes les plus à risque ?

Compte tenu du mécanisme d’action des perchlorates, la vulnérabilité des personnes est liée au statut en iode de la thyroïde. C’est pourquoi, les personnes les plus à risque sont les femmes enceintes (plus sujettes aux perturbations thyroïdiennes), les fœtus et les nourrissons (compte tenu de l’immaturité de leur thyroïde).

Le Plan national nutrition santé recommande à la population générale de privilégier le sel iodé et les résultats de l’enquête nationale ENNS (2006-2007) indiquent que la population générale adulte résidant en France bénéficie d’un statut nutritionnel en iode adéquat.

Quelles sont les recommandations du ministère chargé de la santé ?

Sur la base des avis de l’Anses des 18 juillet 2011 et 20 juillet 2012, qui reposent sur des calculs de seuils extrêmement protecteurs, la DGS a demandé, par principe de précaution, que des restrictions de consommation soient prononcées :

·                            (i) pour les nourrissons de moins de 6 mois à partir de 4 µg/L de perchlorates ;

·                            (ii) pour les femmes enceintes et allaitantes (protégeant ainsi fœtus et nourrissons) au-delà de 15 µg/L.

…….

Existe-t-il un traitement efficace des perchlorates pour les éliminer de l’eau du robinet ?

Le traitement des perchlorates par des résines échangeuses d’ions ou des procédés membranaires peut être envisagé, afin de réduire leur teneur au robinet.

Les procédés de traitement sont encadrés par la réglementation pour vérifier leur innocuité et leur efficacité. Un procédé (résine échangeuse d’ions) est actuellement en cours d’évaluation par l’Anses ; un dossier de demande d’autorisation pour un procédé membranaire vient d’être déposé auprès du ministère chargé de la Santé.

http://www.sante.gouv.fr/perchlorates-dans-l-eau-du-robinet-questions-reponses.html

 

Partager cet article
Repost0
7 février 2014 5 07 /02 /février /2014 14:10
Fort de Courtry/Vaujours 
Qui va réaliser les analyses « complémentaires » de radioactivité :
L’ASN
Autorité sureté nucléaire 
Une autorité administrative indépendante  ?
A vous de juger


Elle est dirigée par un collège de cinq commissaires qui définit la politique générale de l'ASN en matière de sûreté nucléaireet de radioprotection.
Les règles générales relatives à l’organisation et au fonctionnement de l’ASN sont fixées par le règlement intérieur adopté par le collège et homologué par les ministres chargés de la sûreté nucléaire et de la radioprotection.
Le collège est composé de cinq commissaires, dont le président de l’ASN. Ils sont nommés pour six ans, trois par le président de la République et un par le président de chaque assemblée parlementaire. Ces commissaires sont irrévocables 
Les moyens financiers

Au total, en 2012, le budget de l’Etat consacré à la transparence et au contrôle de la sûreté nucléaire et de la radioprotection en France s’est élevée à 170,5 M€ répartis comme suit :

·                         - 75,6 M€ pour le budget de l’ASN

·                         - 84 M€ pour l’appui technique de l’IRSN à l’ASN

·                         - 10,6 M€ pour d’autres missions de l’IRSN

·                         - 0,15 M€ pour le fonctionnement du HCTISN.

Paru dans le Parisien 77 :
Fort de Vaujours : l’Autorité de sûreté nucléaire va mener des analyses

Grégory Plesse | Publié le 06.02.2014, 18h26 | Mise à jour : 21h25

Des analyses complémentaires de radioactivité seront réalisées « très rapidement, peut-être d’ici la fin du mois » par l’Autorité de sûreté nucléaire (ASN) au fort de Vaujours.

Des associations locales craignent en effet pour la santé des riverains, alors que Placoplâtre envisage d’ouvrir une carrière de gypse à ciel ouvert dans le secteur, à cheval entre la Seine-et-Marne (Courtry) et la Seine-Saint-Denis.

 
Le fort de Vaujours a été utilisé par le Commissariat à l’énergie atomique (CEA) jusqu’en 1997. C'est ici qu'ont été réalisées pendant quarante ans des expériences en détonique nucléaire, confiait ce jeudi matin Nicole Klein, la préfète de Seine-et-Marne, à la sortie d’une réunion destinée aux élus locaux, organisée par la société Placoplâtre et le CEA.

Nicole Klein a également indiqué que la prochaine Commission locale de concertation et de suivi (CLICS) préalable indispensable pour que Placoplâtre puisse déposer une demande d’autorisation d’exploiter aux services de l’Etat, se tiendrait en avril. Cette commission se compose de représentants de l’Etat, des collectivités territoriales, des riverains, des associations, des exploitants et des salariés.

 

LeParisien.fr

http://www.leparisien.fr/seine-et-marne-77/fort-de-vaujours-l-autorite-de-surete-nucleaire-menera-des-analyses-complementaires-06-02-2014-3566493.php

 

Partager cet article
Repost0
7 février 2014 5 07 /02 /février /2014 10:36

 

 

St Thibault des Vignes :

une commune vouée à recevoir les ordures des autres? 

 

En effet cette commune a le malheur d’avoir sur son territoire déjà deux incinérateurs :

- un incinérateur  d’ordures ménagères qui incinère pas seulement les ordures de sa commune mais aussi  les ordures venant d’une partie de l’Ile de France

- un incinérateur  de boues de station d’épuration  qui incinère pas seulement les boues de cette commune mais aussi celles des communes alentours.

 

Sur la commune riveraine de Lagny on traite également des mâchefers  venant d’ailleurs : des usines d’incinération de la région parisienne.

 

Et puis il y avait aussi cette importante décharge illégale.

 

http://www.leparisien.fr/espace-premium/seine-et-marne-77/depuis-dix-ans-la-decharge-illegale-degouline-21-05-2012-2008468.php

 

 

Mais comme-ci cela ne suffisait pas, Ports de Paris souhaite étendre le port  de Lagny/St Thibault situé en bord de Marne pour y créer une activité économique, l’emplacement choisi se trouverait à proximité d’un espace boisé classé et de la base de loisirs de Torcy.



St Thibault

 

Mais pour quelle activité économique ?

Ports de Paris ne sait pas encore, ou ne veut pas le dire !!! 

 

 

Le Grand Paris

et ses déchets qu’on ne sait pas où mettre,

vous en avez entendu parler ? 


 

Et bien cela pourrait être chez vous, si vos élus les acceptent.


 

Si vous ne souhaitez pas l’implantation d’une telle activité il faut que votre futur Plan Local d’Urbanisme interdise toute décharge et toute extension ou installation de stockage ou de recyclage de déchets sur votre territoire et pour ce faire nous vous conseillons de vous rapprocher très vite de vos élus.

 


 

Site Ports de Paris :
Grand Paris : Alexis Rouque en interview sur la web TV de la SGP

Date : 17/01/2014 - 16:03 Thème: Entreprise

A l'occasion de la convention signée par HAROPA - Ports de Paris avec la Société du Grand Paris pour l'évacuation par voie fluviale des déchets, retrouvez l'interview d'Alexis Rouque.
Au cours de cette interview sur la web tv de la Société du Grand Paris (SGP), Alexis Rouque dévoile sa vision du Grand Paris et présente également la convention signée entre Ports de Paris et la SGP pour, notamment, faciliter l’évacuation par voie fluviale des déblais de chantier du Grand Paris Express.

Cette convention, signée le 16 décembre dernier, organise le partenariat entre la SGP et Ports de Paris pour permettre le renforcement de la compétitivité des modes alternatifs à la route, notamment le transport fluvial, et leur utilisation maximale, dans le cadre des travaux du Grand Paris Express.

Un convoi fluvial de 5 000 t  équivaut à 250 camions ! L’utilisation de la voie d’eau permettra ainsi de minimiser les nuisances et réduire les coûts d’évacuation et de traitement des déchets des 20 à 30 millions de tonnes de terre que générera le chantier.

http://www.paris-ports.fr/actualites/grand-paris-alexis-rouque-en-interview-sur-web-tv-de-sgp

 

 

Pour aller plus loin :

 

http://www.paris-ports.fr/nous-connaitre/-reseau-ports/agence-portuaire-de-seine-amont/port-de-lagny-/-saint-thibault-vignes

 

Page 32 http://urbamet.documentation.developpement-durable.gouv.fr/documents/Urbamet/0314/Urbamet-0314424/IA52678_OUV00010449.pdf

 

Partager cet article
Repost0
6 février 2014 4 06 /02 /février /2014 20:02

Exploitation du gypse


sur le site de l’ancien CEA de Courtry-Vaujours

 


Pour permettre à la multinationale St Gobain

 d’exploiter le gypse sur l’ancien site du CEA de Vaujours

  L’ETAT français va-t-il laisser

 vivre des populations autour de ce site ?

 


 

Afin de ne pas faire prendre de risque

 aux habitants

de cette frange de l’est parisien

ne serait-il pas plus sage de déplacer les populations

 et de créer une zone réservée aux multinationales :

carriers et exploitants de décharges n'autorisant pas la présence permanente de personnes ?

 

A vous de juger 

   

Paru sur le site Reporterre :

 

Ecologie

L’Etat français se prépare à l’accident nucléaire

HERVÉ KEMPF (REPORTERRE)

mercredi 5 février 2014

 

 

Les autorités se préparent à la possibilité d’un accident nucléaire grave, par un Plan qui vient d’être publiée. Eventualité à envisager : « Une zone de territoire peut se trouver polluée pour plusieurs décennies et, dans certains cas, n’autorisant pas la présence permanente de personnes ».


Un accident nucléaire grave est France est maintenant officiellement reconnu comme une possibilité à laquelle il faut se préparer : c’est le sens du "Plan national de réponse ’Accident radiologique ou nucléaire majeur’ " publié le 3 février par le Secrétariat général de la défense et de la sécurité intérieur.

On est surpris que la nouvelle ait suscité peu d’échos. Mais c’est ainsi.

Ce plan, qui décline sur cent-dix-huit pages et huit scénarios la conduite à tenir en cas d’accident grave, est une nouvelle étape dans la lente reconnaissance de la vraisemblance du pire.

Tchernobyl, en 1986, n’avait pas fait broncher la nomenklatura nucléariste.

Les choses ont commencé à changer à la suite de la submersion partielle de la centrale du Blayais (Gironde), fin 1999 : la France était alors passé à deux doigts d’une catastrophe nucléaire.

Dans les années qui suivirent, la possibilité qu’un accident grave advienne commença à être officiellement envisagée : la France constituait en 2007 un"Comité directeur pour la gestion de la phase post-accidentelle d’un accident nucléaire ou d’une situation d’urgence radiologique" (Codirpa). Celui-ci a réfléchi aux "questions qui nécessitent une anticipation", par exemple, celle-ci :"Dans le cas où les pouvoirs publics retiendraient un éloignement des populations, du fait des doses susceptibles d’être reçues, le statut des territoires concernés devra être précisé : - l’éloignement des populations a-t-il le statut de simple recommandation ou entraîne-t-il une interdiction absolue de séjour ? – dans l’hypothèse où l’éloignement est impératif, comment s’assurer du respect de l’interdiction de séjour sur les territoires concernés ?" (Codirpa, Synthèse générale, document de travail, version du 21 novembre 2007 – il semble que ce document ne soit plus accessible sur internet).

La catastrophe de Fukushima, en 2011, allait encore faire avancer la prise de conscience du danger. Le directeur de l’IRSN (Institut de radioprotrection et de sûreté nucléaire), Jacques Repussard, indiquait ainsi début 2012 : « Nous devons accepter que l’impossible puisse se produire ».

Le plan actuel – qui émane d’un organisme de nature militaire – manifeste donc au grand jour ce à quoi il faut se préparer.

Il ne saurait être plus clair :

- en ce qui concerne la santé : « Un accident nucléaire non maîtrisé peut avoir des conséquences, du fait des effets immédiats de l’accident (décès, atteintes traumatiques, irradiation), mais aussi du fait des effets à long terme qui peuvent conduire à augmenter le risque de survenue de pathologies radio-induites (certains cancers par exemple) » ;

- en ce qui concerne la condamnation de certains territoires : « Une zone de territoire peut se trouver polluée pour plusieurs décennies et, dans certains cas, n’autorisant pas la présence permanente de personnes ». 

Les responsables politiques français devraient maintenant dire clairement si le maintien de l’appareil nucléaire du pays mérite qu’on prenne le risque de voir, comme en Biélorussie ou dans le nord du Japon, des milliers de kilomètres carrés du pays interdits à la vie humaine pour des décennies.

http://www.reporterre.net/spip.php?article5369

 

Partager cet article
Repost0
6 février 2014 4 06 /02 /février /2014 17:11

 

 

 

Exploitation de gypse sur l’ancien site

du CEA de Courtry-Vaujours

 

 

 

Réponse de Monsieur Philippe MARTIN  le Ministre de l’Environnement

à la question de Mme Aline ARCHIMBAUD, sénatrice EELV du 93

 

http://www.youtube.com/watch?v=XEh6scZclbc

 

 

Populations de Seine et Marne et Seine St Denis,

vous qui avez peur pour les risques de cette exploitation

sur votre santé

et celle de vos enfants

si cette réponse ne vous convient pas,

nous vous conseillons de le faire savoir à vos élus 

Partager cet article
Repost0

Recherche