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8 janvier 2015 4 08 /01 /janvier /2015 14:12

 

 

 

 Les déchets du BTP représentent 70 % des déchets produits en France.

 

Pourquoi : « la France vise la seule baisse des déchets ménagers et assimilés (7% entre 2010 et 2020) ».

 

Pourquoi Mme Royal

n’impose aucunes normes de réduction des déchets

 aux industriels du BTP ?

 

Paru dans le journal de l’environnement :
L’Europe s’assoit sur la prévention des déchets

Le 18 décembre 2014 par Stéphanie Senet

  , , , , , , , , , ,

 

L'Agence européenne de l'environnement alerte sur le laxisme des Etats membres

Deux jours après l’abandon du paquet Economie circulaire par la Commission Juncker, l’analyse des plans de prévention européens à l’horizon 2020 montre qu’une infime partie des Etats membres en ont fait une priorité.

Les 28 Etats membres avaient jusqu’au 12 décembre 2013 pour transmettre leur plan national de prévention Déchets à la Commission, en application de la directive-cadre de 2008. Au total, 20 documents (nationaux et régionaux), provenant de 18 pays seulement, ont été transmis dans les temps et ont servi de base d’analyse au rapport publié le 17 décembre par l’Agence européenne de l’environnement (AEE)[1].

 

QUID DE LA TOXICITÉ?

Dans la majorité des cas, la prévention des déchets s’inscrit dans une stratégie plus large de découplage de leur production avec la croissance économique. Aux Pays-Bas comme en Ecosse, le plan de réduction est même inclus dans une stratégie globale en faveur de l’économie circulaire. Mais un seul Etat, la Suède, vise à supprimer des substances toxiques des produits et matériaux.

 

DE NOMBREUX SECTEURS PASSÉS À LA TRAPPE

Comme dans l’Hexagone, la plupart des plans de prévention se contentent de cibler les déchets des ménages et les déchets collectés par le service public. Beaucoup plus rares sont ceux qui limitent les déchets issus de l’agriculture, des mines ou de l’extraction de matières premières. Les déchets les plus souvent couverts sont les déchets dangereux, alimentaires, de la construction et de la démolition, des équipements électriques et électroniques, et d’emballages. Seuls 3 Etats membres couvrent l’intégralité des secteurs: l’Allemagne, l’Espagne et les Pays-Bas.

 

DES OBJECTIFS PEU NOMBREUX

La moitié seulement des programmes passés en revue (11 sur 20) comportent des objectifs quantitatifs limitant la production de déchets. Les plus ambitieux proviennent de l’Ecosse: 7% de réduction en 2017 et 15% en 2020 pour l’ensemble des déchets (par rapport à 2011). Par comparaison, la France vise la seule baisse des déchets ménagers et assimilés (7% entre 2010 et 2020).

7 autorités seulement ont pensé à accompagner ces objectifs d’un dispositif de suivi, qui s’avère annuel en Espagne et en Irlande, alors que la directive-cadre n’impose un contrôle que tous les 6 ans. Le gouvernement de Belfast est d’ailleurs le pionnier de la prévention des déchets de l’UE avec l’adoption d’un plan dès 2004. Il a aussi créé un comité national de prévention, rassemblant les représentants de nombreux secteurs, pour orienter la stratégie de prévention fixée par l’agence nationale de protection de l’environnement. A noter que l’Allemagne dispose d’un indicateur pour évaluer le déploiement de la tarification incitative et la Norvège d’un indicateur sur l’état du gaspillage alimentaire. L’Ecosse, elle, calcule l’empreinte carbone de ses déchets et les économies réalisées par leur prévention et leur recyclage.

 

ABSENCE DE MESURES INCITATIVES

Le rapport de l’AEE pointe aussi la faiblesse des mesures destinées à faciliter la réduction des déchets. Dans 60% des cas, les Etats mettent en place des campagnes d’information. Mais les dispositifs réglementaires ou les incitations économiques ne sont présents que dans 17 et 16% des cas respectivement. Les accords volontaires mobilisant des professionnels sont encore plus rares: 7% des cas. Autre oubli: la prévention des déchets marins, qui n’apparaît que dans le plan espagnol.

La plupart des Etats se gardent aussi de communiquer le montant du budget alloué à la réduction des déchets, hormis de rares exceptions comme l’Angleterre (6,3 M€).

En 2012, les 28 Etats membres ont produit 2,5 milliards de tonnes de déchets dans l’UE dont 4% de déchets dangereux. Si la tendance est à la baisse, celle-ci est limitée: 8% de déchets en moins par personne entre 2004 et 2012.

Alors que la prévention touche aussi bien l’éco-conception, l’optimisation de la distribution ou la réutilisation des produits, les Etats membres ont fait preuve d’une maigre inventivité, alerte l’AEE. Un an après le délai imposé par Bruxelles, 6 pays (Bulgarie, Chypre, Danemark, Grèce, Roumanie et Slovénie) n’ont d’ailleurs toujours pas finalisé leur plan de prévention.



[1] Il s’agit de l’Allemagne, Autriche, Espagne, Finlande, Hongrie, Irlande, Italie, Lettonie, Lituanie, Luxembourg, Pays-Bas, Norvège, Pologne, Portugal, Slovaquie et Suède. Le Royaume-Uni a divisé son plan en régions: Angleterre, Ecosse et Pays de Galles. Le plan de prévention français n’a pas été analysé.

 

http://www.journaldelenvironnement.net/article/l-europe-s-assoit-sur-la-prevention-des-dechets,53657?xtor=EPR-9

 

 

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8 janvier 2015 4 08 /01 /janvier /2015 10:26

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 L’enquête publique PREDEC Ile de France s’est terminée le 5/11/2014, les commissaires enquêteurs avaient 1 mois pour déposer leur rapport, or plus de 2 mois après la fin de l’enquête nous n’avons toujours pas connaissance de ce rapport, a-t-il été déposé ?

Nous n’en savons rien.

 

Le site du Conseil Régional n’en fait pas mention.

http://debatspublics.iledefrance.fr/enquete-predec

 

Suite à l’autorisation de 2 nouvelles décharges en Seine et Marne nous apprenons par la voix de Mme Geneviève Wortham, conseillère régionale du 77 et présidente de l’ORDIF que ce PREDEC sera mis au vote courant 1er semestre 2015 sans précision de date. (le Parisien 77 du 7/1/2015)

 

Nous ne voudrions pas croire que le Conseil Régional d’Ile de France laisse traîner ce dossier en longueur pour permettre de nouvelles implantations de décharges ISDI en Seine et Marne ?

 

En effet 7 dossiers sont encore à l’étude dans ce département et pourraient être autorisés si le Conseil Régional ne met pas rapidement à l’ordre du jour ce vote, il s’agit de   :

 

Exploitant

 Commune d’implantation - Lieudit

 Attestation de dépôt

Sté VINCI CONSTRUCTION

MONTEREAU-SUR-LE-JARD, RUBELLES et VOISENON

09/01/2013

Sté ROLAND

COLLÉGIEN "Parc de l'Amirault"

21/02/2014

SETRAP

VIGNELY "La Porte aux Bergers" - "Les Sables"

02/06/2014

SETRAP

MARCILLY "Les Vieilles Vignes"

02/06/2014

Sté SYNEOS

FRESNES-SUR-MARNE "Parc de Fresnes"

26/08/2014

 

 Exploitant

 Commune d’implantation

 Avis d’affichage en mairie

Sté ECT

MOUSSY-LE-NEUF "La Fontaine de Brie"

02/06/2014

Sté PICHETA

MONTGÉ-EN-GOELE "La Goële"

02/07/2014

 

Pour que le PREDEC soit voté  rapidement, nous vous conseillons de vous rapprocher de vos conseillers régionaux du 77 :

Mme Hamida Rezeg (UMP) adjointe au maire de Meaux 

M. Éric Jeunemaître (UMP) adjoint au maire de Provins

Mme Chantal Brunel (UMP) Maire de Bussy Saint Georges

M. Gilles Battail (UMP) Conseiller municipal Dammarie les Lys

Mme Claudine Thomas (UMP-PR) adjointe au maire de Chelles

M. Frédéric Valletoux (UMP) Maire de Fontainebleau

Mme Marie-Pierre Badré (UMP) adjointe au Maire de Couilly Pont aux Dames

M. Gérard Ruffin (Nouveau Centre)   ancien maire de Lésigny

M. Jean-Marc Brulé (Europe Écologie) ancien maire de Cesson

Mme Marie Richard (PS et app.) conseillère municipale de La Ferté sous Jouarre

M. Jean-Paul Planchou (PS et app.) ancien maire de Chelles

Mme Geneviève Wortham (PS et app.) présidente de l’Ordif

M. Jean-François Pellissier (FG) membre commission consultative Predma

Mme Liliane Pays (Europe Écologie) de Fontainebleau

M. Pascal Marotte (Europe Ecologie) conseiller municipal de Moret sur Loing

Mme Brigitte Eude (PS et app.) conseillère municipale Torcy

M. François Kalfon (PS et app.) conseiller municipal Melun

Mme Fatna Lazreg (Europe Écologie) de Melun

M. Philippe Sainsard (PS et app.) conseiller municipal Combs la Ville

Mme Julie Nouvion (Europe Écologie) Marne  la Vallée

M. Philippe Camo (FG) adjoint au maire Brétigny sur Orge (91)

Mme Josette Mollet-Lidy (PRG) conseillère municipale de Coulommiers

M. Thibaud Guillemet (Europe Écologie) Maire de Thorigny sur Marne

Mme Roseline Sarkissian (PS et app.) conseillère municipale de Fontaine bleau

de la conseillère régionale du 91 :

Mme Charlotte Blandiot-Faride (FDG) adjointe au maire de Mitry-Mory 

 

 

 

 

 

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7 janvier 2015 3 07 /01 /janvier /2015 16:02

 

montgé en goele 10.11.2013 2

 

Forêt régionale de Montgé en Goële

 

Voulez-vous voir ça ?

 

Paru sur le site Basta :
Les forêts françaises, nouvel eldorado industriel ?

PAR NOLWENN WEILER 24 SEPTEMBRE 2012

Le bois en tant qu’énergie renouvelable suscite les convoitises. Des projets de scieries géantes et d’usines de cogénération sortent des cartons. Et menacent l’équilibre d’une filière déjà fragilisée par les délocalisations et la spéculation. Face à l’exploitation intensive de la forêt qui se dessine, des artisans et des PME prônent la mutualisation et les filières courtes.

C’est un gigantesque complexe industriel de sciage et de production d’énergie renouvelable au cœur du Morvan. Le petit village de Sardy-lès-Epiry (Nièvre) a été choisi par l’entreprise Erscia – Energies renouvelables et sciages de France – pour accueillir son futur pôle industriel. La création de 120 emplois directs est annoncée. Les ateliers débiteront près d’un million de m3 de bois par an tout en produisant de l’électricité par cogénération. Bref, création d’emplois se conjuguerait avec transition écologique et réindustrialisation. De quoi se réjouir ? Pas si sûr.

Approuvé par la quasi-totalité des élus locaux, le projet Erscia est vivement critiqué par une partie de la population. Ses détracteurs mettent en avant les risques de déforestation, de pollutions atmosphériques liées à la cogénération, la destruction des industries locales déjà installées, le trafic de camions, et la perte de ressources touristiques, importantes dans le Morvan (voir notamment leur site). Et les 250 000 tonnes de granulés de bois produits alimenteront une usine d’électricité d’Electrabel en... Belgique [1]. Le projet dessine aussi une nouvelle manière d’exploiter les forêts, qui pourrait bien se révéler davantage destructrice d’emplois et de ressources…..

La 3ème forêt d’Europe

La France dispose de la 3ème forêt d’Europe, derrière la Suède et la Finlande : 16 millions d’hectares boisés, soit environ 28% du territoire métropolitain. Les forêts françaises et sa filière bois font vivre 400 000 personnes : de la gestion des forêts à la fabrication de meubles et parquets, en passant par le sciage, la confection de papier, la construction de charpente ou de granulés pour le chauffage, le secteur abrite une grande diversité de métiers. Un chiffre d’affaires de 60 milliards [3], généré par quelques 100 000 entreprises qui maillent étroitement le territoire français, souvent dans un milieu rural frappé de plein fouet par la crise.

Malgré ce potentiel, la filière bois affiche une balance commerciale déficitaire de 6 milliards d’euros. Juste derrière le secteur de l’énergie, plombé par les importations d’hydrocarbures. Pourtant, le bois français s’exporte, d’abord vers la Belgique :« Mais derrière cette destination européenne, se cachent les traders belges et allemands sur ce marché. Le port d’Anvers est l’une des principales voies de sortie pour les bois européens », déplore Laurent Denormandie, président de la Fédération nationale du bois (FNB). « Ils se servent d’autant plus volontiers chez nous que les taxes à l’export y sont... nulles ! »

Du bois exporté... vers la Chine

Chênes et hêtres s’exportent aussi massivement vers la Chine, très gourmande en bois. Les ventes à destination de Pékin ont doublé en 2011. Problème : la matière première s’en va par conteneurs entiers, et revient sous forme de produits manufacturés, bien plus chers. Là encore, la FNB dénonce l’absence de taxe européenne à l’importation. « Sciages, parquets et meuble nous reviennent d’Asie à des prix défiant toute concurrence ! Alors même que la Chine taxe chez elle les parquets importés à hauteur de 20% et les meubles à hauteur de 100% ! »

Pour les entreprises du secteur, c’est un peu la « double-peine » : à l’augmentation du prix de la matière première due à la forte demande mondiale, s’ajoute la concurrence avec des produits qui reviennent bien moins chers d’Asie. « La filière doit donc se protéger, via des quotas à l’export par exemple, et s’organiser différemment », propose Laurent Denormandie. Une porte par laquelle les partisans d’une industrialisation à outrance cherchent à s’engouffrer. Ils se mettent même à rêver d’une « diagonale des scieries », qui traverserait la France des Vosges aux Landes, avec quatre ou cinq énormes unités, comme Erscia……

Chênes nulle part, sapins partout

« Ce n’est pas forcément un scandale de ne pas exploiter la totalité de la ressource », rétorque un membre de l’Office national des forêts (ONF). « Les forêts de montagne ne sont pas exploitées du tout parce que cela coûterait trop cher. La forêt doit être gérée sur le très long terme. Il ne s’agit pas de tout prélever d’un coup. » Biodiversité, stockage de C02, gestion écologique de la ressource en eau, attrait touristique, refuge sans pesticides pour diverses espèces, compléments de revenus (chasse, champignons, cueillette) : « La forêt n’est pas qu’un tas de bois », rappelle-t-il. La multiplicité des propriétaires forestiers – plus de 3,5 millions – rend également difficile une exploitation plus rationnelle. Certains ne possèdent parfois qu’un hectare. « Il n’est pas avantageux, pour eux, de faire venir une abatteuse. Résultat : leurs forêts ne sont pas entretenues et le bois est perdu, détaille Marc Pascualini, forestier et délégué régional du Syndicat national unifié des personnels des forêts et de l’espace naturel (Snupffen).

 

Exploiter davantage signifie planter davantage. Mais quels arbres ? La forêt française est composée quasiment aux deux tiers de feuillus (chênes, hêtres, bouleaux...). Leurs « concurrents », les résineux (sapins, mélèzes...), rencontrent cependant un succès fou. De pousse plus rapide, plus simple à travailler, moins cher, faisant appel à des techniques de sciage standardisées, ils sont prisés par le BTP, l’industrie de l’ameublement et… les producteurs de bois énergie. La scierie géante de Sardy-lès-Epiry sera exclusivement alimentée en résineux (épicéa, pin, sapin et douglas). Pour les pouvoirs publics et une partie des professionnels, il faut adapter la forêt française et accélérer l’enrésinement du pays.

La forêt doit-elle s’adapter à l’industrie ?

D’autant que le rythme des plantations s’est sérieusement ralenti en France ces dix dernières années. 28 millions de jeunes arbres ont été plantés en 2010, contre 300 millions en Allemagne et en Suède, ou un milliard en Pologne. Mais le tout résineux ne fait pas l’unanimité. « Il est dommage que la filière bois subisse les marchés et dédaigne la ressource feuillue disponible en abondance. C’est à l’industrie de s’adapter à la forêt et non l’inverse », réagit France Nature Environnement (FNE), qui fédère plus de 3000 associations écologistes.

De nombreux forestiers partagent ce point de vue. « La monoculture de résineux, c’est notre drame, témoigne l’un d’eux. Cela correspond à une gestion productiviste de la forêt. On est sur un système proche de l’agriculture intensive. C’est le modèle landais. On plante en ligne. On coupe à blanc au bout de 40 ans. On récolte. On replante. C’est une vision à très court terme. » Une sylviculture plus extensive, et surtout plus variée, permet de limiter les risques financiers à long terme. Elle rend aussi la forêt plus robuste face aux ravageurs et aux risques climatiques.

Les projets de scieries géantes profitent également des déboires du secteur. « On perd une scierie tous les trois jours en France depuis 30 ans, ce qui ne semble émouvoir personne », avance Maurice Chalayer, animateur de l’Observatoire des métiers de la scierie [4]. 15 000 emplois perdus depuis 1980. En 2010, 10 000 personnes travaillent dans 1 700 scieries, dont une majorité de petits établissements artisanaux [5]. « C’est d’autant plus dommage que la plupart du temps, les scieries ferment faute de repreneur, privant à chaque fois un territoire rural d’une activité économique qui pourrait être pérenne. », déplore Maurice Chalayer.

Résultat : les scieries françaises produisent aujourd’hui autant de bois qu’en... 1973, à la veille du pic pétrolier (soit 10 millions de m3 de bois). Faut-il pour autant copier le modèle allemand, qui a doublé sa production en 10 ans grâce à de nouvelles scieries industrielles et peut aujourd’hui en fournir le double ? Pas sûr. Depuis la crise de 2009, pour survivre, plusieurs grosses scieries allemandes ont été largement soutenues par les banques et les aides publiques, observe Maurice Chalayer.

Industries contre artisans

Car la production de bois énergie est loin d’être la plus rentable.« Question valeur ajoutée, le meilleur usage du bois, c’est le bois d’œuvre », insiste René Montagnon. Il est composé de grumes destinées aux usages « nobles » de la ressource : menuiserie, charpente, caisserie, ameublement. « Il faut 2 000 m3 de bois énergie pour créer un emploi, contre 300 m3 en bois d’œuvre ! » Mais les artisans souffrent.« Les normes en matière de résistance mécanique ont été faites pour protéger les scieries industrielles qui ne font que du résineux », dénoncent des charpentiers habitués à travailler avec des feuillus. Si le bois est local et non traité, il n’est plus assuré par la garantie décennale, qui permet à un particulier de se retourner contre l’entreprise qui aura édifié sa maison si un défaut est constaté. Résultat : le bois industriel est favorisé au détriment des artisans et des circuits courts.

Autre question, celle de la formation. En France, les savoir-faire disparaissent. « Sur les chantiers, les manœuvres non qualifiés et sous payés sont légion. Les risques de défauts de construction sont importants. Il faudrait revoir les systèmes de formation, et notamment le CAP de charpentier, en l’orientant vers le travail du bois plus que vers la mise en œuvre de systèmes industriels », témoigne un charpentier, qui croule sous les commandes……..

Nolwenn Weiler

http://www.bastamag.net/Les-forets-francaises-nouvel

 

 

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7 janvier 2015 3 07 /01 /janvier /2015 10:27

Pour les  21ème  et 22ème fois en moins de 2 ans

les 19/12/2014 et 24/12/2014

 l’eau potable

distribuée par l’usine d’Annet sur Marne

ne respectait

pas les références de qualité

 

 

Site du ministère de la santé

http://www.sante.gouv.fr/resultats-du-controle-sanitaire-de-la-qualite-de-l-eau-potable.html

 

Mais le Ministère de la Santé

ne diffuse

 pas tous les contrôles réalisés à Annet sur Marne 

 

 

Qu’en est-il des autres contrôles ?

 Nous n’en savons rien

 

 

Vos élus ont accès à tous ces contrôles.

 

Pour obtenir   toutes les informations

sur la qualité de l'eau du robinet

que vous buvez

demandez à vos élus

 qu’ils diffusent  

 tous les résultats des contrôles de la qualité

 de l'eau du robinet

sur le site Internet de votre mairie 

 

 

Pour Claye-Souilly contactez M. Jean-Luc Servières

 1er adjoint au maire en charge de l’eau

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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7 janvier 2015 3 07 /01 /janvier /2015 10:08
Nord-Ouest 77 Forêt de Montgé en Goële 
Airparif ne contrôle que l’Ozone
Pourquoi la seule station fixe implantée par Airparif au nord-ouest 77 à Montgé en Goële sous les avions de Roissy ne contrôle pas le NOx, ni les particules mais seulement l’Ozone alors que la DGAC met en lumière  concernant les émissions LTO de Roissy-Charles-de-Gaulle entre 1990 à 2012, un doublement des émissions de NOx et une hausse de 80% des émissions de particules.(1)
Extrait article Survol Airparif :
« Le cycle LTO permet, notamment, de quantifier les émissions du trafic aérien en-dessous d’environ 1 000 m au sein même de la couche de mélange, où nous respirons et où les émissions ont un effet direct sur la qualité de l’air à l’échelle locale ou régionale »
Sud-Ouest 77 Forêt de Fontainebleau 
Airparif contrôle l’Ozone, le NOx l’O3, SO2 et particules fines 2.5
Alors que cette forêt n’est pas à proximité du plus important aéroport de France pourtant là on contrôle le NOx et les particules fines mais pas seulement.
Pour plus d’informations contactez :
M. Bernard Corneille
maire d’Othis, conseiller général du canton de Dammartin en Goële
membre du conseil d’administration d’Airparif
Pour aller plus loin :
(1)Paru sur actu environnement :
Aviation : un rapport officiel révèle la hausse des émissions polluantes françaises

http://www.actu-environnement.com/ae/news/emissions-CO2-polluants-atmospheriques-aviation-dgac-23551.php4

 

 

 

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6 janvier 2015 2 06 /01 /janvier /2015 16:16

 

 

 En effet,  le futur plan local d’urbanisme de la commune

prévoit

Un périmètre d’Attente de Projet d’Aménagement Global

en bordure de la nationale 3

près du château d’eau

 

En 2006 la circulation était déjà estimée sur la RN3 à 35050 véhicules/jour, circulation qui s’est accrue depuis ces 8 dernières années.

 Densifier le tissu urbain en bordure de la RN3

- va à l’encontre du Grenelle 2 qui prévoit pour préserver la santé de lutter contre les nuisances sonores

- ferait prendre des risques aux populations résidentes.

 

étude Airparif (1)

zone d’impact des axes routiers de  30 000 véhicules par jour  :

- dioxyde d’azote comprise entre 50 et 100m

- benzène 50 m

- particules 100 m

étude Office Régionale de Santé  (1) et (2)

- la  proximité du trafic routier est responsable d’environ 16% des cas d’asthme chez les moins de 17 ans

- les calculs pourraient être étendus à d’autres pathologies telles que les maladies cardiaques ou les bronchites chroniques.


On peut lire également dans un article d’Actu Environnement, pour extrait :

Leucémie : notre environnement est-il responsable ?

Le trafic routier en cause ?

Les équipes de Geocap se sont également penchées sur le lien entre leucémies de l'enfant et trafic routier. Des premiers résultats montrent qu'un lien pourrait être établi entre la proximité résidentielle au trafic routier et les leucémies aigues myéloblastiques du fait de l'exposition au benzène (dont le trafic routier est l'une des sources).


http://www.actu-environnement.com/ae/news/geocap-leucemie-environnement-centrale-nucleaire-autoroute-trafic-routier-23462.php4

(1) n° 39 décembre 2012 Airparif

Voir page 2,3 et 8

http://www.airparif.asso.fr/_pdf/publications/NUMERO39.pdf

 

(2) voir page 15

http://www.ors-idf.org/dmdocuments/2012/Synthese_erpurs_EIS_trafic.pdf

 

 

 

Pour aller plus loin :  http://adenca.over-blog.com/article-projet-plu-claye-souilly-pour-proteger-la-sante-de-la-population-pas-de-densification-en-bordure-de-124637081.html

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6 janvier 2015 2 06 /01 /janvier /2015 15:28

 

Dans une analyse de la fonctionnalité des espaces agricoles, naturels et forestiers autour de Roissy nous apprenons que la décharge Rep Veolia Monthyon devrait s’étendre. 

Extrait de la p 128 (1)

« Compte tenu de l'épuisement programmé des autres sites d'extraction,l'exploitation de gypse du site de Montgé-en-Goële est prévue sur le long terme.

 Dans les environs immédiats, deux sites ont été exploités pour le gypse: Monthyon et Penchard, dont l’exploitation est arrêtée. Le potentiel d'extraction du site de Montgé est largement le plus conséquent et il est appelé à se développer. L'ancien site "de la Saulorette" (Saint-Soupplets)est, pour partie, en cours de réhabilitation et de revégétalisation (boisement et prairie). Le reste du site va être affecté à l'extension du centre de stockage de déchets non dangereux exploité par la société Véolia REP. »

 

Cette analyse a été financée par nos impôts à la demande du Conseil Régional IDF et du CG 77.

 

Alors que le Plan déchets PREDMA interdit pour l’instant en Seine et Marne l’extension de décharges de déchets ultimes (ordures ménagères et déchets industriels non dangereux) il semblerait que ce ne soit qu’une situation provisoire et que notre département doive dans les années à venir recevoir encore et encore les ordures des autres.

 

Le Conseil Régional IDF qui décide pour nous au travers des plans déchets va-t-il modifier le plan déchets PREDMA et autoriser de nouveau  le nord-ouest 77 à recevoir encore plus d’ordures des autres ?

 

Que se passe t-il derrière notre dos ?

 

Pour mémoire Mme Corinne RUFET (EELV), vice présidente du Conseil Régional d’Ile de France chargée de l'environnement,  n’invite pas ADENCA dans les réunions de concertation Plans Déchets (2), bien que cette association travaille en permanence sur le dossier des déchets et se trouve dans la région de France la plus impactée par les décharges.

 

Des méthodes d’un autre temps où une poignée d’élus décident pour nous, sans concertation avec les populations les plus concernées, comment ne pas constituer dans ces conditions des Zones à Défendre puisque que nous n’avons pas d’autre choix pour nous faire entendre ?

 

(1) rapport 18/4/2014 p 128

file:///C:/Documents%20and%20Settings/Station/Mes%20documents/Downloads/Rapport_phase%201_VFINALE-light3%20(3).pdf

 

(2) PREDMA, PREDD, PREDEC

 

      Pour plus d'informations contactez vos élus du conseil régional IDF :

Mme Hamida Rezeg (UMP) adjointe au maire de Meaux 

M. Éric Jeunemaître (UMP) adjoint au maire de Provins

Mme Chantal Brunel (UMP) Maire de Bussy Saint Georges

M. Gilles Battail (UMP) Conseiller municipal Dammarie les Lys

Mme Claudine Thomas (UMP-PR) adjointe au maire de Chelles

M. Frédéric Valletoux (UMP) Maire de Fontainebleau

Mme Marie-Pierre Badré (UMP) adjointe au Maire de Couilly Pont aux Dames

M. Gérard Ruffin (Nouveau Centre)   ancien maire de Lésigny

M. Jean-Marc Brulé (Europe Écologie) ancien maire de Cesson

Mme Marie Richard (PS et app.) conseillère municipale de La Ferté sous Jouarre

M. Jean-Paul Planchou (PS et app.) ancien maire de Chelles

Mme Geneviève Wortham (PS et app.) présidente de l’Ordif

M. Jean-François Pellissier (FG) membre commission consultative Predma

Mme Liliane Pays (Europe Écologie) de Fontainebleau

M. Pascal Marotte (Europe Ecologie) conseiller municipal de Moret sur Loing

Mme Brigitte Eude (PS et app.) conseillère municipale Torcy

M. François Kalfon (PS et app.) conseiller municipal Melun

Mme Fatna Lazreg (Europe Écologie) de Melun

M. Philippe Sainsard (PS et app.) conseiller municipal Combs la Ville

Mme Julie Nouvion (Europe Écologie) Marne la Vallée

M. Philippe Camo (FG) adjoint au maire Brétigny sur Orge (91)

Mme Josette Mollet-Lidy (PRG) conseillère municipale de Coulommiers

M. Thibaud Guillemet (Europe Écologie) Maire de Thorigny sur Marne

Mme Roseline Sarkissian (PS et app.) conseillère municipale de Fontainebleau

de la conseillère régionale du 91 :

Mme Charlotte Blandiot-Faride (FDG) adjointe au maire de Mitry-Mory 

 

 

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6 janvier 2015 2 06 /01 /janvier /2015 10:51

 

 

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C’est sur la 6ème circonscription martyre du 77 (1) qui comptait déjà 6 décharges (dont 2 illégales), 1 incinérateur, 6 carrières remblayées par des déchets  que M. Jean-Luc Marx  vient d’autoriser une nouvelle décharge.

En effet les populations ne comprennent pas pourquoi M. Jean-Luc Marx vient de donner l’autorisation d’implanter une décharge sur leur commune, sur des espaces agricoles,près du lotissement des « Murs Blancs » et à proximité d’une importante zone pavillonnaire alors qu'il vient de refuser l'implantation d'une autre décharge à la Sté Urano sur des espaces agricoles  à Villeneuve St Denis/Jossigny pour les raisons suivantes :

                     « Le projet est de nature à porter atteinte

à l’exercice des activités agricoles, à la tranquillité publique ».

 

Il est vrai que le contexte n’était pas exactement le même car à Villeneuve St Denis/Jossigny ce n’était pas des habitations qui était proches du site mais la forêt de Ferrières.

M. Jean-Luc Marx a-t-il considéré que la tranquillité des promeneurs de la forêt de Ferrières était plus importante que celle des résidents du lotissement des « Murs Blancs » à Isles les Villenoy ? Nous n’en savons rien

 

 

 

Pour connaître les raisons qui ont conduit à cette  différence de traitement, nous vous conseillons de vous rapprocher de M. Jean-Luc Marx. 

 

 

(1) http://adenca.over-blog.com/article-bientot-4-nouvelles-decharges-sur-la-circonscription-de-jean-fran-ois-cope-125190161.html

(2) http://www.seine-et-marne.gouv.fr/content/download/14215/101424/file/ARP+REFUS+ISDI+JOSSIGNY+VILLENEUVE+ST+DENIS.pdf

 

 

 

 

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5 janvier 2015 1 05 /01 /janvier /2015 11:09

 

  10.11.2013 MONTGE EN GOELE 2

                                    Forêt régionale de Montgé en Goële

 

 

 

L’exploitation du gypse

dans la forêt régionale de Montgé en Goële

une bonne affaire pour le Conseil Régional IDF !

 

 

Le Conseil Régional Ile de France a engagé  en 1992 une procédure d’utilité publique pour lui permettre d’acquérir les terrains de la forêt de Montgé en Goële.

 

Pour faire court c’était dans le but :

- de préserver les boisements senescents (1), des boisements qui ont dépassé l’âge d’exploitabilité

- de maintenir les continuités écologiques

- d’accueillir le public pour des activités de plein air.....

 

Aujourd’hui il se pourrait que cette procédure d’utilité publique puisse être détournée de son but initial au profit d’une entreprise privée car  le carrier allemand  Knauf voudrait exploiter une carrière à ciel ouvert dans cette forêt qui appartient  en grande partie (596 ha) aux contribuables de l’Ile de France.

 

Une affaire qui pourrait être très lucrative pour le Conseil Régional d’Ile de France au travers de l’AEV.

 

En effet l’industriel Knauf a besoin d’obtenir un droit de fortage, pour ce faire le Conseil Régional d’Ile de France au travers de l’AEV peut en votre nom donner un droit de fortage à l’industriel Knauf, c’est-à-dire autoriser cet industriel à exploiter le gypse dans la forêt de Montgé en Goële contre le versement  d’une redevance.

 ( pour mémoire l’AEV perçoit environ 500 00 € par an pour l’exploitation souterraine de gypse sous la butte de Parisis (95)

 

Cette exploitation pourrait rapporter beaucoup d’argent à l’AEV et surtout presque 10 fois plus si l’exploitation est pratiquée à ciel ouvert que si elle est pratiquée en souterrain (2), en effet la redevance est versée au prorata de la tonne de gypse extraite.

 

Détruire la forêt de Montgé en Goële, en exploitant le gypse à ciel ouvert, donnerait de la trésorerie à l’AEV     pour acheter et préserver des espaces naturels ailleurs en Ile de France.

 

Et puis les travaux du Grand Paris ont besoin de trous pour déverser leurs déchets, cela ferait d’une pierre deux coups.

 

 

Pourquoi

 ne pas continuer à détruire ce secteur martyrisé

d'ailleurs comme le disent certains

" comme chez vous tout est foutu, pourquoi ne pas en rajouter une couche" ?

 

A vous de juger

 

 

 

 

 (1) http://crpf-paysdelaloire.fr/sites/default/files/fiches/les_bois_senescents.pdf

 

(2) version provisoire plan paysage et ressources de la butte de montgé présentation de scénarios d’évolution en comité de pilotage phase 2 élaboration des scénarios d’évolution 1/7/2014 (Omnibus /2G Génie Géologique/Rounet Guitel

 

Pour plus d'informations contactez vos élus du conseil régional IDF :

Mme Hamida Rezeg (UMP) adjointe au maire de Meaux 

M. Éric Jeunemaître (UMP) adjoint au maire de Provins

Mme Chantal Brunel (UMP) Maire de Bussy Saint Georges

M. Gilles Battail (UMP) Conseiller municipal Dammarie les Lys

Mme Claudine Thomas (UMP-PR) adjointe au maire de Chelles

M. Frédéric Valletoux (UMP) Maire de Fontainebleau

Mme Marie-Pierre Badré (UMP) adjointe au Maire de Couilly Pont aux Dames

M. Gérard Ruffin (Nouveau Centre)   ancien maire de Lésigny

M. Jean-Marc Brulé (Europe Écologie) ancien maire de Cesson

Mme Marie Richard (PS et app.) conseillère municipale de La Ferté sous Jouarre

M. Jean-Paul Planchou (PS et app.) ancien maire de Chelles

Mme Geneviève Wortham (PS et app.) présidente de l’Ordif

M. Jean-François Pellissier (FG) membre commission consultative Predma

Mme Liliane Pays (Europe Écologie) de Fontainebleau

M. Pascal Marotte (Europe Ecologie) conseiller municipal de Moret sur Loing

Mme Brigitte Eude (PS et app.) conseillère municipale Torcy

M. François Kalfon (PS et app.) conseiller municipal Melun

Mme Fatna Lazreg (Europe Écologie) de Melun

M. Philippe Sainsard (PS et app.) conseiller municipal Combs la Ville

Mme Julie Nouvion (Europe Écologie) Marne la Vallée

M. Philippe Camo (FG) adjoint au maire Brétigny sur Orge (91)

Mme Josette Mollet-Lidy (PRG) conseillère municipale de Coulommiers

M. Thibaud Guillemet (Europe Écologie) Maire de Thorigny sur Marne

Mme Roseline Sarkissian (PS et app.) conseillère municipale de Fontainebleau

de la conseillère régionale du 91 :

Mme Charlotte Blandiot-Faride (FDG) adjointe au maire de Mitry-Mory 

 

 

 

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5 janvier 2015 1 05 /01 /janvier /2015 10:48

SIADIS 4.1.2015

 

En effet c’est  au 51 rue de Plessis Belleville à Lagny le sec (60) qu’a été découvert cette décharge de déchets dangereux, mais il faut savoir que St Pathus (77) est tout près puisque les numéros pairs de cette rue se trouvent à St Pathus.

 

C’est au milieu d’un quartier pavillonnaire, très proche du centre ville de St Pathus que se trouve cette décharge illégale, dans un hangar situé sur l’ancien site  de la « lignière » comme l’appelle les anciens, autrefois ici on fabriquait de la toile de lin, lin qui était récolté dans les champs avoisinants.

 SIADIS 4.1.2015.....

St Pathus est situé sur le canton martyr de Dammartin-en-Goële qui reçoit déjà les ordures des autres et  compte :

- 4 décharges

- 1 incinérateur

- 1 carrière remblayée par des déchets

 

Canton de Dammartin-en-Goële  où sont à l’étude :

- 2 projets de décharges

- 1 projet de carrière à ciel ouvert qui détruirait la forêt de Montgé-en-Goële.

 

Aujourd’hui l’inquiétude est grande tant à St Pathus qu’à Lagny le Sec, car les habitants viennent d’apprendre que l’entreprise SIADIS située à Tremblay en France a également stocké des déchets dangereux à Vaudoy en Brie (77) où une partie des déchets ont été évacués en urgence la semaine dernière.

 

Pourquoi

 ces déchets dangereux

n’ont toujours pas été évacués à Lagny le Sec

alors qu’ils ont été découverts

lors d’une inspection qui date de plus de 6 mois ?

 

 Nous n’en savons rien.

 

Qu’en est-il

des risques de pollution

de la rivière Thérouanne ?

 

Nous n’en savons rien.

 

Pour toutes informations complémentaires contactez les mairies de St Pathus (77) et Lagny le Sec (60)

 

Pour aller plus loin :

http://www.leparisien.fr/vaudoy-en-brie-77141/vaudoy-en-brie-le-prefet-ordonne-l-evacuation-des-3-000-m3-de-dechets-dangereux-30-12-2014-4409195.php

 

http://www.liberation.fr/terre/2014/12/30/enquete-preliminaire-sur-des-dechets-toxiques-illegaux-dans-l-oise-et-en-seine-et-marne_1171930

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