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11 janvier 2015 7 11 /01 /janvier /2015 10:16

Jean, Elie  VERDIER Né le 29 mai 1915 à Marcenat (Cantal).

Préfet de Seine et Marne du 22/1/1962 au 11/7/1967

Il autorisa entre autres les ICPE  (Installation susceptible de créer des risques ou de provoquer des pollutions ou nuisances, notamment pour la sécurité et la santé des riverains) :

 

- la raffinerie Total à Grandpuits classée SEVESO à hauts risques (qui sera inaugurée en 1966)

- AGRANA, fabrication de conserves, dans la zone industrielle de Mitry-Compans qui est parmi les principales entreprises d’Ile de France qui rejettent dans les eaux le plus de polluants DCO (1)

 

(1) http://www.statistiques.developpement-durable.gouv.fr/lessentiel/ar/333/1200/rejets-leau-lindustrie.html

 

 

Pour la remercier de ses bons et loyaux services les plus hautes instances de l’ETAT lui offre une importante promotion,il sera nommé Préfet de Paris en 1971.

 

Etudes

 lycée de Moulins puis à l’école libre des sciences politiques de Paris.

Licencié en droit.

 

 

 Carrière

- Rédacteur auxiliaire (23 novembre 1940).

- Reçu au concours de chef de cabinet de préfet du 5 mars 1942.

- Affecté à l’administration centrale (11 mai 1942). Sous-chef de bureau (1er  septembre 1943).

- Chef de cabinet du directeur général de la sûreté nationale (18 mai 1945).

Intégré dans le corps des administrateurs civils et chargé des fonctions de chef du bureau du secrétariat administratif de la DGSN (15 mai 1946).

- Directeur adjoint du cabinet de François Mitterrand, ministre aux Anciens combattants et victimes de guerre – ACVG- (22 janvier 1947).

- Chargé de mission au cabinet du même (23 novembre 1947).

- Chargé de mission au cabinet d’Henri Queuille, vice-président du Conseil et ministre de l’Intérieur (8 février 1950).

 -Chef de cabinet (26 mars 1951), puis directeur de cabinet (13 août 1951) du même.

 - Directeur de cabinet du ministre de l’Intérieur Charles Brune (21 janvier 1952).

- Préfet, directeur de la réglementation (22 mars 1952).

- Directeur de cabinet du ministre de l’Intérieur Charles Brune (8 janvier 1953) et maintenu dans ses fonctions de directeur de la réglementation.

 -Directeur de cabinet du ministre Gilbert-Jules (2 février 1956). 

- Directeur général de la sûreté nationale (2 août 1957). 

- Préfet de Seine-et-Marne ( 1962),

Préfet du Bas-Rhin (1er août 1967).

Préfet  de Paris (29 octobre 1971) et membre du conseil d'administration de l'assistance Publique. Mort en fonction le 7/11/1974 à Paris.

 

En 1975 après sa mort, son nom sera donné à l'hôpital de Bondy construit lorsqu'il était Préfet de Paris.

 

 

 

 

 Bibliographie (ouvrages où il est cité) et extraits :

 - LEJEUNE (Roger) – Un siècle de mutualité policière 1905-2005, histoire de la mutuelle des cadres de la police nationale, Paris, Réalisations sociales de la Mutuelle des cadres de la police nationale, 2004, p. 180 et 234 :  « En janvier 1962, le directeur général Verdier a quitté la Sûreté nationale (…). La revue de l’Amicale [de prévoyance des fonctionnaires des services actifs de la Sûreté nationale] lui consacre un article qui montre l’estime, l’affection et aussi le respect qu’il a suscité parmi les policiers : "Il a veillé à la discipline mais aussi à la condition policière. Il faisait régner l’esprit de hiérarchie mais il aimait que tout le monde fut de plain-pied avec la dignité (…). En somme un grand préfet et un grand patron" ».

 

Sources :

Sté Française d’histoire de la Police

http://www.sfhp.fr/index.php?post/2009/09/01/Notice-biographique-Jean-Verdier

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9 janvier 2015 5 09 /01 /janvier /2015 16:24

9. claye souilly 4.2.2007 045jpeg

Beuvronne à Souilly

 

 

Sur la butte de la Goële la nappe supérieure des sables de Fontainebleau constitue une réserve d’eau et alimente les rus qui vont donner naissance à la rivière Beuvronne qui a pour principal affluent la Biberonne.

 

On peut lire dans l’ouvrage édité par le Conseil Général 77 « Rivières de Seine et Marne », pour extrait : 

« Beuvronne et Biberonne à tous vents

Deux petites rivières essentielles, alimentées d’innombrables rus adjacents, descendent des collines de Goële en direction du Parisis au nord, l’est étant réuni au pays de Meaux…. »(1)

 

« La Beuvronne » après avoir pris sa source sur la butte de Goële traverse ensuite les villages de Vinantes, Nantouillet, St Mesmes, Messy, Gressy, Souilly, Claye, Annet s/Marne, Fresnes s/Marne et se jette dans « La Marne » à Annet s/Marne. »

Au 19ème siècle cette rivière était bordée de nombreux moulins

 -         « Moulin de Vinantes »,

-         « Moulin de la Haize » et « Moulin, chemin de St Mesmes à Nantouillet »,

-         « Moulin de  Tussac » à St Mesmes, 

-         « Moulin de Moulignon » à Messy (deux moulins dans la même cage),

-         « Moulin Rouge » à Gressy,

-         « Moulin de Souilly»,

-         « Moulin de Claye » (deux moulins dans la même cage),

-         « Moulin de Vilaine » à Claye,

-         « Le vieux Moulin »  à Fresnes s/Marne,

-         « Le Moulin de Fresnes s/Marne ».

 

 

C’est la ville de Paris  qui sera la première à porter atteinte à cette rivière en récupérant une grande partie de ses eaux pour créer le canal de l’Ourcq qui devait alimenter la capitale en eau potable mais que ne sert aujourd’hui  qu’à laver ses trottoirs, à arroser ses pelouses et à alimenter quelques uns de ses lacs.

 

 

C’est à dater du 15/8/1813  que les eaux de la Beuvronne seront introduites dans le canal de l’Ourcq et que les moulins situés en aval : Souilly, Claye, Vilaine et Fresnes ne recevront plus que le trop plein de la Beuvronne, et l’eau de quelques petits affluents ce qui entraîna progressivement leur disparition.

 

 

Détruire la butte de Montgé ne serait-ce pas achever définitivement cette rivière qui y prend sa source et risquer de priver de ressource en eau les habitants de ce secteur.

 

 

 

 

Entre la préservation des intérêts privés d’un carrier

et celle de notre ressource en eau

notre choix est fait.

 

 

 

Souhaitons que les élus du Conseil Régional et les élus de l’ETAT, qui nous représentent, sauront entendre notre demande sans que nous soyons obligés de faire de la résistance en occupant le site.

Mais cela c’est une autre histoire……

 

 

 

 

  

 

 

 

 

 

 

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9 janvier 2015 5 09 /01 /janvier /2015 11:57

 

 

Isles les Villenoy

3 installations de déchets vont-elles être implantées

sur cette petite commune ?

_6597.jpg 

Isdi ECT Annet sur Marne

 

 

Isles les Villenoy, une commune d’un peu plus de 900 âmes bordée par la Marne qui a le malheur d’avoir eu dans son sol des richesses que les carriers ont exploité.

Ces carriers ont remblayé leurs carrières et rendu les terres à l’agriculture, mais aujourd’hui un carrier veut reprendre ces terres agricoles pour y implanter une décharge et vient d’obtenir l’accord de M. Jean-Luc Marx, préfet.

 

En effet M. le Préfet vient d’autoriser l’exploitation de cette décharge sur des terres agricoles et au bord du lotissement « Les Murs Blancs » contre l’avis des élus de la communes et d’une majorité d’habitants qui ont répondu défavorablement lors de la consultation publique comme vous pourrez le constater ci-dessous :

http://www.seine-et-marne.gouv.fr/content/download/14501/103438/file/Synth%C3%A8se+des+r%C3%A9ponses+projet+ARP+CIV+isles+les+villenoy.pdf

 

 

M. Jean-Luc Marx  va-t-il autoriser également l’implantation d’une autre installation de traitement de déchets sur le site pollué utilisé autrefois par l’ancienne sucrerie de Villenoy ?

http://basol.developpement-durable.gouv.fr/fiche.php?page=1&index_sp=77.0134

 

 

Un 3ème projet est également à l’étude de remblaiement de terres agricoles par des déchets inertes.

 

Pour mémoire rappelez-vous  le cas de remblaiement de terres agricoles

-à Villeparisis.

http://www.lejdd.fr/Societe/Faits-divers/Les-decharges-sauvages-du-clan-Hornec-656349

 

-à St Cyr sur Morin

http://adenca.over-blog.com/article-dossier-rtr-environnement-st-cyr-sur-morin-de-quels-incinerateurs-proviennent-les-31-000-tonnes-de-123701262.html

 

M. Emmanuel BOURGEAIS, maire fraîchement élu de cette commune vient de découvrir cette situation et paraît bien seul face à cette situation désastreuse, en effet  M. Jean-François Copé (UMP), président de la communauté d’agglomération et député de la circonscription semble pour l’instant rester complètement muet dans ce dossier, alors qu’il soutient une association de L’Essonne  à Ste Escobille contre l’implantation d’une décharge.

 

M. Vincent Eblé (PS), président du CG 77 et sénateur ainsi que Mme Nicole Bricq (PS), sénatrice de Seine et Marne et ancienne ministre de l’Ecologie pourrait soutenir également la population de cette commune en demandant à être reçus en urgence par Mme Ségolène Royal qu’ils connaissent bien et qui seule peut suspendre l’arrêté préfectoral d’implantation de la décharge et qui pourrait revoir cette législation qui semble plutôt « cousu mains pour les industriels du déchet », laissant les maires de bonne volonté et les populations complètement démunis face à de telles situations.

 

 

 Mais les déchets du Grand Paris

il faut bien les mettre quelque part

et comme disent certains :

« Puisque chez vous tout est foutu

 pourquoi ne pas en rajouter une couche ? »

 

 

 

pour aller plus loin vous pouvez consulter la page Facebook ouverte

par un futur habitant d’Isles

les Villenoy :

https://www.facebook.com/decharge77450

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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9 janvier 2015 5 09 /01 /janvier /2015 11:14
Les particules fines sont-elles plus présentes qu’ailleurs et à l’origine de cette surmortalité ?
Nous n’en savons rien
Pour mémoire au nord-ouest 77 la seule station fixe Airparif située sous les avions de Roissy ne contrôle que l’ozone.
pourquoi ?
Pourquoi aucunes stations n’est implantée au bord de la Francilienne, de la RN3 ?
Comme d’habitude il semblerait que ce soit un problème d’argent, AIRPARIF n’a pas les moyens financiers d’implanter plus de stations en Seine et Marne, en effet comme son nom l’indique cet organisme a semble-t-il favorisé l’implantation des stations à Paris.
Pas de contrôles = pas de problèmes pour les élus ?
A vous de juger
Paru sur le site actu environnement :
Particules fines : la mortalité augmente les jours suivant l'exposition

Après avoir analysé la pollution de l'air dans 17 villes françaises, l'INVS alerte sur les risques accrus de mortalité à court terme. Les risques cardiovasculaires sont en tête, comme le rappelait récemment la Société européenne de cardiologie.

Air  |  06 janvier 2015  |  Actu-Environnement.com


 

La pollution aux particules a des impacts sur la mortalité à court terme (5 jours). C'est ce que révèle uneétude de l'Institut de veille sanitaire (INVS) publiée le 6 janvier dans le cadre du Programme de surveillance air et santé (Psas) et portant sur 17 agglomérations urbaines sur la période 2007-2010. Bien qu'aucune de ces villes ne dépasse la valeur réglementaire européenne pour les concentrations en PM10 (40 µg.m3), une augmentation de cette pollution atmosphérique entraîne une hausse de la mortalité dans les jours qui suivent. Cependant, rappelle l'INVS, l'Organisation mondiale de la santé (OMS) préconise une valeur limite deux fois moins élevée : 20 µg.m3. Sur les 17 villes, seule Dijon respecte cette valeur.

Jusqu'à 2% de mortalité supplémentaire en été

Ainsi, quels que soient l'âge des citoyens ou la saison, une augmentation de 10 µg.m-3 des niveaux de PM10journaliers augmente, le jour même et jusqu'à cinq jours après, la mortalité de 0,51% et la mortalité cardiovasculaire de 0,55%. Les plus de 74 ans sont les plus fragiles : leur mortalité augmente de 1,04%.

Globalement, "les effets sont plus importants [deux à cinq jours après l'exposition], ce qui indique que l'effet de la pollution est différé de quelques jours, sauf en été où l'effet sur la mortalité se concentre [le jour J ou à J+1]", précise l'INVS. Pendant la période estivale, la mortalité croît en effet de 1,30% le jour même et le lendemain de l'exposition, la mortalité cardiovasculaire de 2,06%. Il peut "y avoir des synergies entre l'effet de la température et des PM, soit en exacerbant des mécanismes physiologiques, soit en modifiant l'exposition (temps passé à l'extérieur, ouverture des fenêtres...)", estime l'INVS.

Les cardiologues alertent sur la mortalité cardiovasculaire

En décembre dernier, un groupe d'experts de la Société européenne de cardiologie alertait, dans une note de position publiée en décembre dans la revue European heart journal, sur le fait que "la pollution de l'air contribue au risque de maladies cardiovasculaires et de mortalité associée". Insuffisances cardiaques, risques coronariens, hypertension, arythmie, accidents cérébro-vasculaires (AVC)… Les polluants atmosphériques décuplent les maladies existantes, mais sembleraient aussi avoir un rôle dans le développement de ces maladies, soulignaient-ils.

"La pollution de l'air devrait donc être considérée comme un des plus grands facteurs de risque modifiables dans la prévention et la gestion des maladies cardiovasculaires", analysaient les experts, appelant à une intensification de la lutte contre la pollution atmosphérique "de toute urgence".

http://www.actu-environnement.com/ae/news/particules-fines-mortalite-exposition-jours-suivant-23599.php4

 

 

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8 janvier 2015 4 08 /01 /janvier /2015 20:44

 

 

Alors que le RER B est la 2ème ligne la plus fréquentée d’Europe

ce n’est pas sur cette ligne que la SNCF investit le plus.

 

 

Ce n’est pas cette ligne qui semble avoir les faveurs du député du secteur M. Yves Albarello, qui semble plus se préoccuper des usagers utilisant l’Aéroport de Roissy que de la population de sa circonscription qui chaque jour doit emprunter ce RER B.

 

Les faveurs de M. le député vont semble-t-il vers le projet de CDG Express qui favorisera les usagers d’Aéroport de Roissy mais pas les populations de sa circonscription.

 

Voir le compte-rendu de son entretien récent avec M. Fabius

http://www.albarello-2012.fr/actualite/politique-nationale/cdg-express-tete-a-tete-yves-albarello-laurent-fabius

Paru sur le site de la SNCF :
RER B : 2ÈME LIGNE LA + FRÉQUENTÉE D'EUROPE

Créé le 05/03/2014 - Mis à jour le 10/03/2014

En 10 ans, la fréquentation du RER B a augmenté de 35 %. Aujourd'hui, ce sont 870 000 voyageurs qui empruntent quotidiennement la ligne. Côté régularité, la fin de l’année 2013 a été marquée par une dégradation de la qualité de service, qui s’est prolongée jusqu’en janvier 2014. En cause : de nombreux incidents d’origines diverses, dont certains ont lourdement perturbé le trafic sur la ligne. Plusieurs actions ont été engagées pour revenir à une qualité de service satisfaisante.

http://www.sncf.com/fr/presse/fil-info/RERB-retards-travaux

 

 

 

 

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8 janvier 2015 4 08 /01 /janvier /2015 14:12

 

 

 

 Les déchets du BTP représentent 70 % des déchets produits en France.

 

Pourquoi : « la France vise la seule baisse des déchets ménagers et assimilés (7% entre 2010 et 2020) ».

 

Pourquoi Mme Royal

n’impose aucunes normes de réduction des déchets

 aux industriels du BTP ?

 

Paru dans le journal de l’environnement :
L’Europe s’assoit sur la prévention des déchets

Le 18 décembre 2014 par Stéphanie Senet

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L'Agence européenne de l'environnement alerte sur le laxisme des Etats membres

Deux jours après l’abandon du paquet Economie circulaire par la Commission Juncker, l’analyse des plans de prévention européens à l’horizon 2020 montre qu’une infime partie des Etats membres en ont fait une priorité.

Les 28 Etats membres avaient jusqu’au 12 décembre 2013 pour transmettre leur plan national de prévention Déchets à la Commission, en application de la directive-cadre de 2008. Au total, 20 documents (nationaux et régionaux), provenant de 18 pays seulement, ont été transmis dans les temps et ont servi de base d’analyse au rapport publié le 17 décembre par l’Agence européenne de l’environnement (AEE)[1].

 

QUID DE LA TOXICITÉ?

Dans la majorité des cas, la prévention des déchets s’inscrit dans une stratégie plus large de découplage de leur production avec la croissance économique. Aux Pays-Bas comme en Ecosse, le plan de réduction est même inclus dans une stratégie globale en faveur de l’économie circulaire. Mais un seul Etat, la Suède, vise à supprimer des substances toxiques des produits et matériaux.

 

DE NOMBREUX SECTEURS PASSÉS À LA TRAPPE

Comme dans l’Hexagone, la plupart des plans de prévention se contentent de cibler les déchets des ménages et les déchets collectés par le service public. Beaucoup plus rares sont ceux qui limitent les déchets issus de l’agriculture, des mines ou de l’extraction de matières premières. Les déchets les plus souvent couverts sont les déchets dangereux, alimentaires, de la construction et de la démolition, des équipements électriques et électroniques, et d’emballages. Seuls 3 Etats membres couvrent l’intégralité des secteurs: l’Allemagne, l’Espagne et les Pays-Bas.

 

DES OBJECTIFS PEU NOMBREUX

La moitié seulement des programmes passés en revue (11 sur 20) comportent des objectifs quantitatifs limitant la production de déchets. Les plus ambitieux proviennent de l’Ecosse: 7% de réduction en 2017 et 15% en 2020 pour l’ensemble des déchets (par rapport à 2011). Par comparaison, la France vise la seule baisse des déchets ménagers et assimilés (7% entre 2010 et 2020).

7 autorités seulement ont pensé à accompagner ces objectifs d’un dispositif de suivi, qui s’avère annuel en Espagne et en Irlande, alors que la directive-cadre n’impose un contrôle que tous les 6 ans. Le gouvernement de Belfast est d’ailleurs le pionnier de la prévention des déchets de l’UE avec l’adoption d’un plan dès 2004. Il a aussi créé un comité national de prévention, rassemblant les représentants de nombreux secteurs, pour orienter la stratégie de prévention fixée par l’agence nationale de protection de l’environnement. A noter que l’Allemagne dispose d’un indicateur pour évaluer le déploiement de la tarification incitative et la Norvège d’un indicateur sur l’état du gaspillage alimentaire. L’Ecosse, elle, calcule l’empreinte carbone de ses déchets et les économies réalisées par leur prévention et leur recyclage.

 

ABSENCE DE MESURES INCITATIVES

Le rapport de l’AEE pointe aussi la faiblesse des mesures destinées à faciliter la réduction des déchets. Dans 60% des cas, les Etats mettent en place des campagnes d’information. Mais les dispositifs réglementaires ou les incitations économiques ne sont présents que dans 17 et 16% des cas respectivement. Les accords volontaires mobilisant des professionnels sont encore plus rares: 7% des cas. Autre oubli: la prévention des déchets marins, qui n’apparaît que dans le plan espagnol.

La plupart des Etats se gardent aussi de communiquer le montant du budget alloué à la réduction des déchets, hormis de rares exceptions comme l’Angleterre (6,3 M€).

En 2012, les 28 Etats membres ont produit 2,5 milliards de tonnes de déchets dans l’UE dont 4% de déchets dangereux. Si la tendance est à la baisse, celle-ci est limitée: 8% de déchets en moins par personne entre 2004 et 2012.

Alors que la prévention touche aussi bien l’éco-conception, l’optimisation de la distribution ou la réutilisation des produits, les Etats membres ont fait preuve d’une maigre inventivité, alerte l’AEE. Un an après le délai imposé par Bruxelles, 6 pays (Bulgarie, Chypre, Danemark, Grèce, Roumanie et Slovénie) n’ont d’ailleurs toujours pas finalisé leur plan de prévention.



[1] Il s’agit de l’Allemagne, Autriche, Espagne, Finlande, Hongrie, Irlande, Italie, Lettonie, Lituanie, Luxembourg, Pays-Bas, Norvège, Pologne, Portugal, Slovaquie et Suède. Le Royaume-Uni a divisé son plan en régions: Angleterre, Ecosse et Pays de Galles. Le plan de prévention français n’a pas été analysé.

 

http://www.journaldelenvironnement.net/article/l-europe-s-assoit-sur-la-prevention-des-dechets,53657?xtor=EPR-9

 

 

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8 janvier 2015 4 08 /01 /janvier /2015 10:26

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 L’enquête publique PREDEC Ile de France s’est terminée le 5/11/2014, les commissaires enquêteurs avaient 1 mois pour déposer leur rapport, or plus de 2 mois après la fin de l’enquête nous n’avons toujours pas connaissance de ce rapport, a-t-il été déposé ?

Nous n’en savons rien.

 

Le site du Conseil Régional n’en fait pas mention.

http://debatspublics.iledefrance.fr/enquete-predec

 

Suite à l’autorisation de 2 nouvelles décharges en Seine et Marne nous apprenons par la voix de Mme Geneviève Wortham, conseillère régionale du 77 et présidente de l’ORDIF que ce PREDEC sera mis au vote courant 1er semestre 2015 sans précision de date. (le Parisien 77 du 7/1/2015)

 

Nous ne voudrions pas croire que le Conseil Régional d’Ile de France laisse traîner ce dossier en longueur pour permettre de nouvelles implantations de décharges ISDI en Seine et Marne ?

 

En effet 7 dossiers sont encore à l’étude dans ce département et pourraient être autorisés si le Conseil Régional ne met pas rapidement à l’ordre du jour ce vote, il s’agit de   :

 

Exploitant

 Commune d’implantation - Lieudit

 Attestation de dépôt

Sté VINCI CONSTRUCTION

MONTEREAU-SUR-LE-JARD, RUBELLES et VOISENON

09/01/2013

Sté ROLAND

COLLÉGIEN "Parc de l'Amirault"

21/02/2014

SETRAP

VIGNELY "La Porte aux Bergers" - "Les Sables"

02/06/2014

SETRAP

MARCILLY "Les Vieilles Vignes"

02/06/2014

Sté SYNEOS

FRESNES-SUR-MARNE "Parc de Fresnes"

26/08/2014

 

 Exploitant

 Commune d’implantation

 Avis d’affichage en mairie

Sté ECT

MOUSSY-LE-NEUF "La Fontaine de Brie"

02/06/2014

Sté PICHETA

MONTGÉ-EN-GOELE "La Goële"

02/07/2014

 

Pour que le PREDEC soit voté  rapidement, nous vous conseillons de vous rapprocher de vos conseillers régionaux du 77 :

Mme Hamida Rezeg (UMP) adjointe au maire de Meaux 

M. Éric Jeunemaître (UMP) adjoint au maire de Provins

Mme Chantal Brunel (UMP) Maire de Bussy Saint Georges

M. Gilles Battail (UMP) Conseiller municipal Dammarie les Lys

Mme Claudine Thomas (UMP-PR) adjointe au maire de Chelles

M. Frédéric Valletoux (UMP) Maire de Fontainebleau

Mme Marie-Pierre Badré (UMP) adjointe au Maire de Couilly Pont aux Dames

M. Gérard Ruffin (Nouveau Centre)   ancien maire de Lésigny

M. Jean-Marc Brulé (Europe Écologie) ancien maire de Cesson

Mme Marie Richard (PS et app.) conseillère municipale de La Ferté sous Jouarre

M. Jean-Paul Planchou (PS et app.) ancien maire de Chelles

Mme Geneviève Wortham (PS et app.) présidente de l’Ordif

M. Jean-François Pellissier (FG) membre commission consultative Predma

Mme Liliane Pays (Europe Écologie) de Fontainebleau

M. Pascal Marotte (Europe Ecologie) conseiller municipal de Moret sur Loing

Mme Brigitte Eude (PS et app.) conseillère municipale Torcy

M. François Kalfon (PS et app.) conseiller municipal Melun

Mme Fatna Lazreg (Europe Écologie) de Melun

M. Philippe Sainsard (PS et app.) conseiller municipal Combs la Ville

Mme Julie Nouvion (Europe Écologie) Marne  la Vallée

M. Philippe Camo (FG) adjoint au maire Brétigny sur Orge (91)

Mme Josette Mollet-Lidy (PRG) conseillère municipale de Coulommiers

M. Thibaud Guillemet (Europe Écologie) Maire de Thorigny sur Marne

Mme Roseline Sarkissian (PS et app.) conseillère municipale de Fontaine bleau

de la conseillère régionale du 91 :

Mme Charlotte Blandiot-Faride (FDG) adjointe au maire de Mitry-Mory 

 

 

 

 

 

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7 janvier 2015 3 07 /01 /janvier /2015 16:02

 

montgé en goele 10.11.2013 2

 

Forêt régionale de Montgé en Goële

 

Voulez-vous voir ça ?

 

Paru sur le site Basta :
Les forêts françaises, nouvel eldorado industriel ?

PAR NOLWENN WEILER 24 SEPTEMBRE 2012

Le bois en tant qu’énergie renouvelable suscite les convoitises. Des projets de scieries géantes et d’usines de cogénération sortent des cartons. Et menacent l’équilibre d’une filière déjà fragilisée par les délocalisations et la spéculation. Face à l’exploitation intensive de la forêt qui se dessine, des artisans et des PME prônent la mutualisation et les filières courtes.

C’est un gigantesque complexe industriel de sciage et de production d’énergie renouvelable au cœur du Morvan. Le petit village de Sardy-lès-Epiry (Nièvre) a été choisi par l’entreprise Erscia – Energies renouvelables et sciages de France – pour accueillir son futur pôle industriel. La création de 120 emplois directs est annoncée. Les ateliers débiteront près d’un million de m3 de bois par an tout en produisant de l’électricité par cogénération. Bref, création d’emplois se conjuguerait avec transition écologique et réindustrialisation. De quoi se réjouir ? Pas si sûr.

Approuvé par la quasi-totalité des élus locaux, le projet Erscia est vivement critiqué par une partie de la population. Ses détracteurs mettent en avant les risques de déforestation, de pollutions atmosphériques liées à la cogénération, la destruction des industries locales déjà installées, le trafic de camions, et la perte de ressources touristiques, importantes dans le Morvan (voir notamment leur site). Et les 250 000 tonnes de granulés de bois produits alimenteront une usine d’électricité d’Electrabel en... Belgique [1]. Le projet dessine aussi une nouvelle manière d’exploiter les forêts, qui pourrait bien se révéler davantage destructrice d’emplois et de ressources…..

La 3ème forêt d’Europe

La France dispose de la 3ème forêt d’Europe, derrière la Suède et la Finlande : 16 millions d’hectares boisés, soit environ 28% du territoire métropolitain. Les forêts françaises et sa filière bois font vivre 400 000 personnes : de la gestion des forêts à la fabrication de meubles et parquets, en passant par le sciage, la confection de papier, la construction de charpente ou de granulés pour le chauffage, le secteur abrite une grande diversité de métiers. Un chiffre d’affaires de 60 milliards [3], généré par quelques 100 000 entreprises qui maillent étroitement le territoire français, souvent dans un milieu rural frappé de plein fouet par la crise.

Malgré ce potentiel, la filière bois affiche une balance commerciale déficitaire de 6 milliards d’euros. Juste derrière le secteur de l’énergie, plombé par les importations d’hydrocarbures. Pourtant, le bois français s’exporte, d’abord vers la Belgique :« Mais derrière cette destination européenne, se cachent les traders belges et allemands sur ce marché. Le port d’Anvers est l’une des principales voies de sortie pour les bois européens », déplore Laurent Denormandie, président de la Fédération nationale du bois (FNB). « Ils se servent d’autant plus volontiers chez nous que les taxes à l’export y sont... nulles ! »

Du bois exporté... vers la Chine

Chênes et hêtres s’exportent aussi massivement vers la Chine, très gourmande en bois. Les ventes à destination de Pékin ont doublé en 2011. Problème : la matière première s’en va par conteneurs entiers, et revient sous forme de produits manufacturés, bien plus chers. Là encore, la FNB dénonce l’absence de taxe européenne à l’importation. « Sciages, parquets et meuble nous reviennent d’Asie à des prix défiant toute concurrence ! Alors même que la Chine taxe chez elle les parquets importés à hauteur de 20% et les meubles à hauteur de 100% ! »

Pour les entreprises du secteur, c’est un peu la « double-peine » : à l’augmentation du prix de la matière première due à la forte demande mondiale, s’ajoute la concurrence avec des produits qui reviennent bien moins chers d’Asie. « La filière doit donc se protéger, via des quotas à l’export par exemple, et s’organiser différemment », propose Laurent Denormandie. Une porte par laquelle les partisans d’une industrialisation à outrance cherchent à s’engouffrer. Ils se mettent même à rêver d’une « diagonale des scieries », qui traverserait la France des Vosges aux Landes, avec quatre ou cinq énormes unités, comme Erscia……

Chênes nulle part, sapins partout

« Ce n’est pas forcément un scandale de ne pas exploiter la totalité de la ressource », rétorque un membre de l’Office national des forêts (ONF). « Les forêts de montagne ne sont pas exploitées du tout parce que cela coûterait trop cher. La forêt doit être gérée sur le très long terme. Il ne s’agit pas de tout prélever d’un coup. » Biodiversité, stockage de C02, gestion écologique de la ressource en eau, attrait touristique, refuge sans pesticides pour diverses espèces, compléments de revenus (chasse, champignons, cueillette) : « La forêt n’est pas qu’un tas de bois », rappelle-t-il. La multiplicité des propriétaires forestiers – plus de 3,5 millions – rend également difficile une exploitation plus rationnelle. Certains ne possèdent parfois qu’un hectare. « Il n’est pas avantageux, pour eux, de faire venir une abatteuse. Résultat : leurs forêts ne sont pas entretenues et le bois est perdu, détaille Marc Pascualini, forestier et délégué régional du Syndicat national unifié des personnels des forêts et de l’espace naturel (Snupffen).

 

Exploiter davantage signifie planter davantage. Mais quels arbres ? La forêt française est composée quasiment aux deux tiers de feuillus (chênes, hêtres, bouleaux...). Leurs « concurrents », les résineux (sapins, mélèzes...), rencontrent cependant un succès fou. De pousse plus rapide, plus simple à travailler, moins cher, faisant appel à des techniques de sciage standardisées, ils sont prisés par le BTP, l’industrie de l’ameublement et… les producteurs de bois énergie. La scierie géante de Sardy-lès-Epiry sera exclusivement alimentée en résineux (épicéa, pin, sapin et douglas). Pour les pouvoirs publics et une partie des professionnels, il faut adapter la forêt française et accélérer l’enrésinement du pays.

La forêt doit-elle s’adapter à l’industrie ?

D’autant que le rythme des plantations s’est sérieusement ralenti en France ces dix dernières années. 28 millions de jeunes arbres ont été plantés en 2010, contre 300 millions en Allemagne et en Suède, ou un milliard en Pologne. Mais le tout résineux ne fait pas l’unanimité. « Il est dommage que la filière bois subisse les marchés et dédaigne la ressource feuillue disponible en abondance. C’est à l’industrie de s’adapter à la forêt et non l’inverse », réagit France Nature Environnement (FNE), qui fédère plus de 3000 associations écologistes.

De nombreux forestiers partagent ce point de vue. « La monoculture de résineux, c’est notre drame, témoigne l’un d’eux. Cela correspond à une gestion productiviste de la forêt. On est sur un système proche de l’agriculture intensive. C’est le modèle landais. On plante en ligne. On coupe à blanc au bout de 40 ans. On récolte. On replante. C’est une vision à très court terme. » Une sylviculture plus extensive, et surtout plus variée, permet de limiter les risques financiers à long terme. Elle rend aussi la forêt plus robuste face aux ravageurs et aux risques climatiques.

Les projets de scieries géantes profitent également des déboires du secteur. « On perd une scierie tous les trois jours en France depuis 30 ans, ce qui ne semble émouvoir personne », avance Maurice Chalayer, animateur de l’Observatoire des métiers de la scierie [4]. 15 000 emplois perdus depuis 1980. En 2010, 10 000 personnes travaillent dans 1 700 scieries, dont une majorité de petits établissements artisanaux [5]. « C’est d’autant plus dommage que la plupart du temps, les scieries ferment faute de repreneur, privant à chaque fois un territoire rural d’une activité économique qui pourrait être pérenne. », déplore Maurice Chalayer.

Résultat : les scieries françaises produisent aujourd’hui autant de bois qu’en... 1973, à la veille du pic pétrolier (soit 10 millions de m3 de bois). Faut-il pour autant copier le modèle allemand, qui a doublé sa production en 10 ans grâce à de nouvelles scieries industrielles et peut aujourd’hui en fournir le double ? Pas sûr. Depuis la crise de 2009, pour survivre, plusieurs grosses scieries allemandes ont été largement soutenues par les banques et les aides publiques, observe Maurice Chalayer.

Industries contre artisans

Car la production de bois énergie est loin d’être la plus rentable.« Question valeur ajoutée, le meilleur usage du bois, c’est le bois d’œuvre », insiste René Montagnon. Il est composé de grumes destinées aux usages « nobles » de la ressource : menuiserie, charpente, caisserie, ameublement. « Il faut 2 000 m3 de bois énergie pour créer un emploi, contre 300 m3 en bois d’œuvre ! » Mais les artisans souffrent.« Les normes en matière de résistance mécanique ont été faites pour protéger les scieries industrielles qui ne font que du résineux », dénoncent des charpentiers habitués à travailler avec des feuillus. Si le bois est local et non traité, il n’est plus assuré par la garantie décennale, qui permet à un particulier de se retourner contre l’entreprise qui aura édifié sa maison si un défaut est constaté. Résultat : le bois industriel est favorisé au détriment des artisans et des circuits courts.

Autre question, celle de la formation. En France, les savoir-faire disparaissent. « Sur les chantiers, les manœuvres non qualifiés et sous payés sont légion. Les risques de défauts de construction sont importants. Il faudrait revoir les systèmes de formation, et notamment le CAP de charpentier, en l’orientant vers le travail du bois plus que vers la mise en œuvre de systèmes industriels », témoigne un charpentier, qui croule sous les commandes……..

Nolwenn Weiler

http://www.bastamag.net/Les-forets-francaises-nouvel

 

 

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7 janvier 2015 3 07 /01 /janvier /2015 10:27

Pour les  21ème  et 22ème fois en moins de 2 ans

les 19/12/2014 et 24/12/2014

 l’eau potable

distribuée par l’usine d’Annet sur Marne

ne respectait

pas les références de qualité

 

 

Site du ministère de la santé

http://www.sante.gouv.fr/resultats-du-controle-sanitaire-de-la-qualite-de-l-eau-potable.html

 

Mais le Ministère de la Santé

ne diffuse

 pas tous les contrôles réalisés à Annet sur Marne 

 

 

Qu’en est-il des autres contrôles ?

 Nous n’en savons rien

 

 

Vos élus ont accès à tous ces contrôles.

 

Pour obtenir   toutes les informations

sur la qualité de l'eau du robinet

que vous buvez

demandez à vos élus

 qu’ils diffusent  

 tous les résultats des contrôles de la qualité

 de l'eau du robinet

sur le site Internet de votre mairie 

 

 

Pour Claye-Souilly contactez M. Jean-Luc Servières

 1er adjoint au maire en charge de l’eau

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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7 janvier 2015 3 07 /01 /janvier /2015 10:08
Nord-Ouest 77 Forêt de Montgé en Goële 
Airparif ne contrôle que l’Ozone
Pourquoi la seule station fixe implantée par Airparif au nord-ouest 77 à Montgé en Goële sous les avions de Roissy ne contrôle pas le NOx, ni les particules mais seulement l’Ozone alors que la DGAC met en lumière  concernant les émissions LTO de Roissy-Charles-de-Gaulle entre 1990 à 2012, un doublement des émissions de NOx et une hausse de 80% des émissions de particules.(1)
Extrait article Survol Airparif :
« Le cycle LTO permet, notamment, de quantifier les émissions du trafic aérien en-dessous d’environ 1 000 m au sein même de la couche de mélange, où nous respirons et où les émissions ont un effet direct sur la qualité de l’air à l’échelle locale ou régionale »
Sud-Ouest 77 Forêt de Fontainebleau 
Airparif contrôle l’Ozone, le NOx l’O3, SO2 et particules fines 2.5
Alors que cette forêt n’est pas à proximité du plus important aéroport de France pourtant là on contrôle le NOx et les particules fines mais pas seulement.
Pour plus d’informations contactez :
M. Bernard Corneille
maire d’Othis, conseiller général du canton de Dammartin en Goële
membre du conseil d’administration d’Airparif
Pour aller plus loin :
(1)Paru sur actu environnement :
Aviation : un rapport officiel révèle la hausse des émissions polluantes françaises

http://www.actu-environnement.com/ae/news/emissions-CO2-polluants-atmospheriques-aviation-dgac-23551.php4

 

 

 

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