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19 janvier 2015 1 19 /01 /janvier /2015 13:51

Réserve de Biosphère Fontainebleau et Gatinais

Une association financée en grande partie par la région Ile de France et le Conseil général de Seineet Marne.

 

Conseil d’administration

Président Jean DEY (EELV) vice président du CG 77 chargé de l’environnement

Vice Présidente Liliane PAYS (EELV) conseillère régionale du 77 et présidente de Natureparif

Administratrice Michèle Pélabère (PS) CG Canton de Claye-Souilly et présidente de l’IAU

On y trouve également des représentants d’entités créées par le CG 77 telles que Seine et MarneEnvironnement, Seineet Marne Développement, Seineet Marne Tourisme.(1)

 

Une association  financée   à 38 % par le Conseil général de Seineet Marne, 

 40 % par la région IDF et 13 % par la DRIEE (2)

 

 

(1) http://www.biosphere-fontainebleau-gatinais.fr/qui_sommes_nous/l_association/

 (2)p 4 file:///C:/Documents%20and%20Settings/Station/Mes%20documents/Downloads/Memoire_GAUTHIER_MasterMAB2014.pdf

 http://www.biosphere-fontainebleau-gatinais.fr/qui_sommes_nous/l_association/18

p 103 http://www.unesco.org/science/doc/mab/Exam%20per%20Fontainebleau%202009.pdf

 

 

 

 

 

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18 janvier 2015 7 18 /01 /janvier /2015 19:17

montgé en goele 10.11.2013 6

 

 

 

Le Conseil Régional IDF brade-t-il la forêt de Montgé en Goële ?

 

D’un exploitant de gypse à l’autre, le Conseil Régional IDF, n’impose pas les mêmes conditions :

 

Entreprise Knauf Plâtres, convention de foretage Forêt de Montgé-en-Goële, délibération CR 14-03 du 26/06/2003 (1) :

 

En effet c’est la question qui se pose lorsque l’on prend connaissance de la convention signée entre l’AEV et Knauf Plâtres, validée par délibération du Conseil Régional IDF le 26/6/2003.(1)

Cette convention donne un droit de foretage  à l’industriel allemand Knauf, c’est-à-dire lui permet d’exploiter du gypse sur près de 35 hectares de la forêt de Montgé en Goële au lieudit le bois des Sables, commune de St Soupplets et de Cuisy, dont la région IDF est propriétaire.

 

Le Conseil Régional IDF:

- n’impose pas à Knauf  d’exploiter en souterrain afin de protéger la forêt régionale de Montgé en Goële ce qui  a pour conséquence l’exploitation de cette carrière à ciel ouvert et la destruction de près de 35 hectares de la forêt régionale de Montgé en Goële

 

- n’impose pas à Knauf  de remblayer avec des matériaux stériles (2), ce qui permet à l’exploitant de remblayer avec des déchets inertes (3)

 

- n’impose pas à Knauf  aucunes contraintes quant aux essences d’arbres à replanter.

 

Dans cette convention la cession par la Région IDF du droit de  foretage à l’industriel Knauf  est calculée au m2 de surface utilisée :

2.30 € du m2 x 350 118 m2  soit 805 271,40 €.

 

Entreprise Placoplatre Buttes de Parisis, convention de foretage Buttes de Parisis, délibération CP 11-1007 du 16/11/2011 (4):

 

Le Conseil Régional IDF indique que l’exploitation est prévue exclusivement en carrière souterraine et détaille le mode de creusement des galeries, les études préalables, puits d’aérage… 

Dans cette convention la cession par la Région IDF du droit de  foretage à l’industriel Placoplatre est calculée à la tonne extraite sur une base  moyenne de 1,20 €.

 

Pour faire court si les mêmes conditions financières avaient été imposées à l’industriel KNAUF pour la forêt de Montgé en Goële la région IDF aurait pu percevoir près de 300 000 € chaque année sur une durée d’environ 30 ans, alors qu’elle n’a perçu qu’environ 800 000 € en  une seule fois, soit environ 10 fois moins.

 

Pour plus d’informations sur ce dossier nous vous conseillons de vous rapprocher de :

- M. Olivier Thomas Conseil régional IDF pour l’Essonne (PS) et président de l’AEV

- Mme Liliane Pays Conseillère régionale IDF pour la Seine et Marne(EELV) et 1ère vice présidente de l’AEV

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18 janvier 2015 7 18 /01 /janvier /2015 19:16
Germain Laurent Clovis VIDAL né le 09/03/1906 à Roffiac (Cantal)

Fils de Baptiste Vidal cultivateur et de Mathilde Valadier

 

Préfet de Seine et Marne  du 19/11/1953 au 21/1/1962

 

Etudes

Licencié en droit

Décorations

Légion d’Honneur (officier 21/09/1951 commandeur 10/08/1957),

Croix de guerre 1939-1945.

Carrière

- commissaire de police à la direction de la Sûreté nationale (21/04/1932) révoqué (01/10/1943)

- sous-directeur au commissariat à l’intérieur à Alger (20/01/1944)

- directeur des Renseignements généraux de la Sûreté nationale (01/10/1944)

- préfet hors cadre à la disposition du directeur général de la Sûreté nationale (01/12/1948) en qualité de directeur des Renseignements généraux

- préfet de l’Indre (31/10/1951)

- directeur de cabinet (19/06/1953) de Joseph Laniel, président du Conseil (28/06/1953-18/06/1954) ; hors cadre (01/08) ;

- Préfet de Seine-et-Marne chargé des fonctions (19/11/1953) définitif (15/12/1954) ; accueille à Melun les pourparlers entre les représentants du F.L.N. et du gouvernement français (1960) ; 

- Congé spécial (10/01/1962)

- retraite (02/12/1966)

- président-directeur-général de la société nouvelle de Divonne (1962)

- président de la société des forges de Laval-Aulnoy (1963-1969)

- administrateur directeur général de la société hôtelière du centre de détente de Rungis (1969)

- président-directeur-général de la société touristique thermale et hôtelière de Divonne à sa création en 1976 (organisation de jeux de hasard et d’argent) (1)

- président-directeur-général  de la société d’assurances mutuelles accidents

 

Il décède le 05/03/1981 à Neuilly-sur-Seine.

 

Sources :

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17 janvier 2015 6 17 /01 /janvier /2015 14:16

 

 

Aujourd’hui chacun parle de la liberté d’expression, mais qu’en est-il à Claye-Souilly ?

 le parisien 6.9.2008

 

En effet notre association a  son siège social  sur cette commune mais :

- elle n’est pas invitée par la mairie aux réunions des associations clayoises

- son nom n’apparaît ni sur le site internet de la mairie, ni dans le bulletin des associations distribuées aux habitants

- depuis sa création elle n’a pas de place à la journée des associations, alors que la commune voisine de Villeparisis lui offre une place

- elle a  demandé une fois une salle de réunion, salle qui lui a été retirée en dernière minute l’obligeant en plein mois de novembre à recevoir les participants  à l’extérieur dans le froid devant une salle vide et  fermée

- on a obligé sa présidente à consulter les rapports annuels sur la gestion des déchets, la distribution de l’eau dans le sas non chauffé  de la mairie alors que la température extérieure étant de 3°.

 

 

Inviter les habitants à manifester pour la liberté d’expression

Afficher

« Je suis Charlie »

sur la mairie c’est bien

mais il ne faut pas que ce soit un simple affichage

 il faut que dans cette commune toutes les associations puissent s’exprimer librement comme dans la majorité des communes de France.

 

 

 

 

 

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17 janvier 2015 6 17 /01 /janvier /2015 14:11

Réédition de notre article du 11/2/2009

 

Après le refus d’emplacement à la journée des associations de septembre 2008, le retrait d’une salle pour une réunion publique en novembre 2008 aujourd’hui la mairie de Claye-Souilly a obligé notre association à consulter des documents à la disposition du public dans le sas d’entrée  de l’hôtel de ville, dans une pièce non chauffée et en plein courant d’air sous le regard atterré des habitants de Claye-Souilly se rendant ce jour là à la mairie.


Les documents consultés  étaient  les rapports annuels des activités déléguées  pour 2007 :

- la gestion des déchets (Smitom Monthyon)

- la distribution de l’eau et l’entretien des réseaux d’assainissements (Veolia).

 

 

        Photos d’un membre de notre association frigorifié, consultant les dossiers.


                            Nous vous rappelons que la

                                      température extérieure aujourd’hui

                                      était d’environ 3°.

 

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17 janvier 2015 6 17 /01 /janvier /2015 14:09

   Réédition de notre article du 23/11/2008

                               

APPEL A TOUS LES CITOYENS

 

Nous vous demandons de soutenir notre association qui depuis sa création rencontre une hostilité de la part de la municipalité de Claye-Souilly :

 

- refus d’inscription sur le site de la mairie comme toutes les autres associations

- refus d’emplacement au forum des associations de Septembre 2008

- Monsieur Yves Albarello Député Maire de Claye-Souilly, membre de la commission de l’environnement à l’Assemblée Nationale n’a jamais accepté depuis la création de notre association de nous recevoir

- La Mairie de Claye-Souilly, par lettre signée par Monsieur René Oury, adjoint, nous avait accordé une salle pour organiser une réunion publique.

Or moins d’une semaine avant la réunion cette salle nous a été retirée suite à une erreur de planning, sans nous proposer une salle en remplacement.

La réunion publique  du 21.11.2008  à 19h 30 s’est tenue sur le trottoir et dans le froid devant la salle de la maison des Associations fermée et inoccupée (fait constaté par  les officiers de police présents sur place).

Nous nous sommes aperçus également que plusieurs salles de Claye-Souilly étaient inoccupées et fermées ce même soir  et auraient pu être mis à notre disposition.

 

       Le sujet que nous abordions était peut-être un peu trop brûlant :

       « LA SANTE PUBLIQUE AUTOUR DES DECHARGES »

            «  LA PAROLE EST DONNEE AUX RIVERAINS »

 

    La santé des habitants de Claye-Souilly et ses alentours

                          n’est pas monnayable.

 

      Combien perçoivent les municipalités de Claye-Souilly et ses environs

           des exploitants de décharge ? Que font-elles de ces fonds ?

 

 

 Photo prise le 21/11/2008 vers 20 heures devant la grille du parking de la salle de la maison des Associations, salle fermée et inoccupée.

 

Nous tenons à remercier Madame Marie Paule DUFLOT, présidente de Nature Environnement 77 ( Fédération d’Associations environnementales de Seine et Marne) qui s’est déplacée du sud de la Seine et Marne pour assister à cette réunion, ainsi que tous les participants qui sont restés dans le froid pour nous assurer de leur soutien.

 

Nous vous rappelons qu'en octobre 2008 notre présidente avait été contactée par les renseignements généraux et avait fourni de son plein gré des renseignements sur sa vie privée et sur le fonctionnement de l'association.

 

 

Pour toutes informations au sujet de ce retrait de salle, contactez Monsieur Yves Albarello Député-Maire de Claye-Souilly : http://www.albarello.info/

 

Article du Parisien de Seine et Marne :

  http://www.leparisien.fr/claye-souilly-77410/les-anti-decharge-contraints-de-se-reunir-dans-la-rue-24-11-2008-319728.php

 


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16 janvier 2015 5 16 /01 /janvier /2015 09:06
Paru sur le site Le Monde :
« Charlie Hebdo » : du côté des blessés, entre trauma et soulagement

LE MONDE | 09.01.2015 à 05h32  • Mis à jour le 09.01.2015 à 20h57  | Par Laurent Carpentier

 « Il a eu beaucoup de chance. » Le médecin l’a répété six fois à sa compagne, Marine Jobert, en sortant du bloc. Fabrice Nicolino, l’« écolo de la bande », est un des quatre blessés graves qui ont été évacués, mercredi, vers différents hôpitaux parisiens. Il est à présent hors de danger, mais « il reste sous étroite surveillance médicale et de la sécurité ».

Il en va de même pour Riss, alias Laurent Sourisseau, dessinateur (La Face karchée de Sarkozy, Vents d’Ouest, 2007) et directeur de la rédaction de l’hebdomadaire depuis 2009, qui a été touché à l’épaule droite – le nerf ne serait pas touché. Comme pour Philippe Lançon, écrivain (L’Elan, Gallimard, 2013), critique littéraire à Libération, qui avait fait de Charlie sa deuxième maison. Les nouvelles tombent au compte-gouttes. Blessé grièvement à la mâchoire, il est conscient, il ne peut pas parler, mais communique par écrit. La première opération, la plus importante, s’est bien passée. On a plus d’inquiétudes pour Simon Fieschi : même si ses jours ne sont plus en danger, le jeune webmaster du site, neveu de la comédienne Anouk Grinberg, a été touché à la colonne vertébrale, un de ses poumons a été perforé. Il est plongé en coma artificiel et on craint pour sa mobilité.

Douze morts et onze blessés. Jusqu’ici, de ces derniers, on a peu parlé. Non par oubli, mais par manque d’informations. Pour des raisons de sécurité, les quatre grands blessés ont en effet été dispersés de façon discrète dans différents centres hospitaliers, alors que les blessés plus légers étaient traités à l’Hôtel-Dieu, à Paris. Les médecins ne s’adressent qu’aux familles. Quant à la famille Charlie, elle est décimée et les rescapés ont du mal à parler, submergés qu’ils sont par l’angoisse, la colère et les larmes. Qui dira la souffrance qu’il y a à être le survivant d’un carnage qui a laissé vos amis à terre ?

« Comme un survivant »

Journaliste à Politis, à Terre Sauvage et, depuis 2010, à Charlie Hebdo, chroniqueur à La Croix, Fabrice Nicolino, autodidacte joyeux et disert, n’a jamais eu peur de se faire des ennemis. La seule chose qui pourrait l’effrayer, ce serait de se taire. Et là-dessus, il ne faut pas compter sur lui. Il n’a cessé de livre en livre (La Faim, la bagnole, le blé et nous, chez Fayard, en 2007, Bidoche, en 2009, ou Un empoisonnement universel, 448 pages, 23 euros, aux éditions Les Liens qui libèrent) de pourfendre ces industries qui menacent l’environnement : biocarburants, agroalimentaire, chimie. Avec succès. Et, jamais avare d’un bon coup de griffe, n’a pas plus hésité pas à remettre son propre camp en place quand il en ressentait la nécessité (Qui a tué l’écologie ? Les Liens qui libèrent, 2011).

« Il y a quarante ans, conspuer, exécrer, conchier, même les religions, était un parcours obligé. Qui entendait critiquer la marche du monde ne pouvait manquer de mettre en cause les si grands pouvoirs des principaux clergés. Mais, à suivre certains, il est vrai de plus en plus nombreux, il faudrait aujourd’hui se taire », écrivait-il, le 21 novembre 2013, dans une tribune cosignée avec Charb dans Le Monde.

Pourtant, ce n’est pas la première fois que Fabrice Nicolino est victime d’un attentat. Le 9 mars 1985, il emmène des copains au Cinéma Rivoli, non loin de l’Hôtel de Ville, à Paris, voir Eichman, l’homme du IIIe Reich, d’Erwin Leiser. Le film est donné dans le cadre du 4e Festival international du film juif. Un homme est installé derrière eux, il quitte la salle dix minutes après le début du film. Fabrice l’a remarqué. Pas la bombe. Les spectateurs n’auront la vie sauve que parce que le toit trop léger est projeté en l’air au moment de la déflagration. S’il avait été plus solide, lui expliqueront les policiers, ils étaient morts.

L’attentat n’a jamais été revendiqué. Il en a gardé des douleurs récurrentes, des acouphènes, des éclats dans le pied qui le font parfois boiter un peu, lui qui aime tant la marche et une profonde inquiétude par rapport à la folie humaine. Un miraculé. Mais un miraculé qui a toujours refusé le statut de victime.

« Il se vivait déjà comme un survivant », dit de lui sa compagne. « Aller à Charlie Hebdo n’était pas rien. Il avait conscience du danger. Je lui disais toujours, quand il allait à la conférence de rédaction : “Si tu vois un homme avec une barbe et un grand sabre, cours…” Ce mercredi je ne le lui avais pas dit... Il a perdu beaucoup de sang. Les médecins l’ont plongé dans le coma. Maintenant que le pronostic vital n’est plus engagé, je suis inquiète des dommages psychologiques : inquiète de le voir se réveiller épouvanté par le durcissement implacable de cette société dans laquelle on vit. »

 Laurent Carpentier 
http://www.lemonde.fr/police-justice/article/2015/01/09/charlie-hebdo-du-cote-des-blesses_4552304_1653578.html#W3Es5TmsibgL8ciR.99

 

 

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16 janvier 2015 5 16 /01 /janvier /2015 09:05

 

 Quand il s'agit de financer une étude sanitaire de zone au nord-ouest 77 autour des décharges, incinérateurs, sites polluants.., il n'y a pas d'argent, mais quand il s'agit de financer le projet immobilier privé Villages « dit nature »  à Disneyland, l’ETAT et les collectivités trouvent 60 millions d’euros. 

 

Un projet classé Opération d'intérêt national (OIN).

 

Mais il semblerait que la santé des nord seine et Marnais ne soit pas classée Opération d’Intérêt National.

 

http://www.explorimmo.com/edito/actualite-immobiliere/detail/article/villages-nature-l-eco-tourisme-selon-manuel-valls.html

 

http://tempsreel.nouvelobs.com/societe/20141211.AFP3123/valls-lance-le-grand-chantier-eco-touristique-des-villages-nature.html

 

 

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15 janvier 2015 4 15 /01 /janvier /2015 14:58
Paru sur le site du journal la Marne :
Isles-lès-Villenoy Contre le stockage de déchets inertes

Les habitants sont remontés contre le projet de stockage de déchets inertes présenté par la société CIV...

Dernière mise à jour : 13/01/2015 à 17:26

 

 Désormais, pour contrer le projet, les riverains doivent attendre que cet arrêté soit affiché en mairie. Ensuite, il leur restera deux mois pour tenter l’ultime tentative… « Il faudrait un recours auprès du tribunal administratif avec référé pour demander la suspension du projet. Sans ce recours présenté par l’Agglomération de Meaux, le Conseil général ou l’intervention de la ministre de l’environnement Ségolène Royal, les habitants d’Isles-lès- Villenoy risquent de voir les déchets inertes déposés au pied de chez eux, aux Murs blancs » indique Mireille Lopez, présidente de l’association Adenca (association de défense de l’environnement de Claye-Souilly et ses alentours), venue en renfort auprès des riverains.

Ces derniers s’inquiètent à plus d’un titre : cadre de vie rural menacé, nuisances liées aux nombreux passages de camions, dépréciations foncières des habitations et que dire de ces déchets inertes (des résidus de déchets de chantier) qui, selon eux, ne seraient pas contrôlés avant d’être déposés à Isles.

Plus de détails dans La Marne, édition de Meaux du 14 janvier.

Isles-lès-Villenoy, 77

 

http://www.journallamarne.fr/2015/01/15/contre-le-stockage-de-dechets-inertes/

 

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15 janvier 2015 4 15 /01 /janvier /2015 10:48

M. Jean-Luc Marx, préfet du 77

va-t-il faire fermer définitivement

la décharge illégale

GVHTP Coupvray ?

 1 GVTP cOUPVRAY 6.9.2011

Décharge illégale GVHTP 2011

 

C’est dans l’une des communes voisines du plus Grand Parc d’Attractions Européen  Disneyland, dans le charmant village de Coupvray, berceau de Louis Braille, l’inventeur du système d’écriture en relief pour aveugles que s’est implanté cette décharge illégale depuis plusieurs années.

 Un article de Gilles Van Kote publié le 16 Février 2012  dans le journal le Monde disait :

 «  Le gouvernement veut fermer toutes les décharges illégales d'ici à fin 2012  

Extrait : On compterait en France 500 déchetteries non conformes. A l'instar du site de Coupvray, près de Disneyland Paris, dont l'activité a été suspendue. Sur le plateau agricole qui surplombe Disneyland Paris, des centaines de mètres cubes de déchets s'entassent dans un terrain boueux situé sur la commune de Coupvray (Seine-et-Marne). Le site ne dispose pas d'autorisation pour stocker les déchets de chantier ou industriels qui s'y trouvent. Il est homologué comme plate-forme de fabrication de compost. Des installations de ce type, il en existe des centaines en France…….. »

http://www.lemonde.fr/cgi-bin/ACHATS/acheter.cgi?offre=ARCHIVES&type_item=ART_ARCH_30J&objet_id=1183010

 

Deux fédérations de défense de l’environnement avaient déposé plainte  auprès de M. Le Procureur de la République de Meaux en date du 21/3/2012, le dossier a été classé sans suite en date du 15/10/2013.

 

Qu’en est-il aujourd’hui ?


C’est le 11ème arrêté préfectoral qui vient d’être délivré par la préfecture en date du 6 janvier dernier à l’encontre de cet exploitant.

C’est un arrêté de suspension d’activité dans l’attente de régularisation administrative, un copier-coller des arrêtés de 2011.

En effet  voici plus de 3 ans  le 27/5/2011 la DRIEE 77 avait déjà mis en demeure l’entreprise de régulariser sa situation et suspendu son activité.

 

 

Les élus de Coupvray viennent d’adresser un courrier en date du 29/12/2014 à M. Le Préfet lui demandant de faire appliquer les dispositions réglementaires qui s’imposent.

Dans ce courrier  la mairie de Coupvray fait l’historique du dossier, indique que cette société a fait des exhaussements de terre dans une zone où le PLU l’interdit et indique qu’elle a pris un arrêté interruptif de travaux qui malheureusement est resté sans suite.

 

Des élus bien démunis face à cette situation qui perdure depuis de nombreuses années.

 

 

La balle est dans le camp de M. Jean-Luc Marx qui nous le souhaitons va mettre fin à cette situation inacceptable qui perdure depuis de nombreuses années et porte atteinte à la qualité de vie des riverains et à l’environnement, notamment à la préservation de notre ressource en eau, car les eaux de ruissellements de cette décharge illégale se dirigent vers la Marne, rivière sur laquelle sont situées plusieurs usines de captage d’eau qui fournissent en eau potable l’est parisien.

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