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17 décembre 2015 4 17 /12 /décembre /2015 09:29

 

 

EUROFARAD

a augmenté ses émissions de

Dichlorométhane dans l’air

de plus de 19 %

entre 2013 et 2014

(Source IREP)

http://www.irep.ecologie.gouv.fr/IREP/index.php?adr=http://www.irep.ecologie.gouv.fr/IREP/ficheEtab.php?idetab=7985

 

 

Suite à un contrôle de la DRIEE 77

Un arrêté préfectoral de

mise en demeure

a été pris

à l'encontre de cet établissement

le 4/5/2015

Pour extrait :

 Nord-Ouest 77 EUROFARAD Chanteloup en Brie 2014 : 5ème plus important émetteur d’Ile de France de Dichlorométhane dans l’air
 Nord-Ouest 77 EUROFARAD Chanteloup en Brie 2014 : 5ème plus important émetteur d’Ile de France de Dichlorométhane dans l’air

Paru sur le site Atout santé.com
 

Le dichlorométhane est à l’origine de nombreuses morts toxiques au travail: beaucoup de cas ont été publiés en médecine légale. Le dichlorométhane est particulièrement narcotique: il a été utilisé comme gaz anesthésique au début du 20ème siècle....

 

 http://www.atousante.com/risques-professionnels/acd-agents-chimiques-dangereux/chlorure-methylene-dichloromethane-dcm/effets-dichloromethane-homme/

 

 

 

 

Paru sur le site Seine et Marne Développement :

Publié le 02/04/2014

·                                 SUCCESS STORIES

EUROFARAD, À CHANTELOUP-EN-BRIE : LA HAUTE COUTURE DE LA TECHNOLOGIE

Implantée depuis les années soixante en Seine-et-Marne, Eurofarad, entreprise emblématique du groupe Exxelia, est spécialisée dans les composants électroniques à très hautes performances, conçus sur mesure et fabriqués en petites quantités.

“Eurofarad appartient à l'histoire industrielle du pays”. D'emblée, Christophe Malrin, PDG d'Eurofarad, tête de pont du groupe Exxelia, spécialiste des composants électroniques et produits de haute technologie, plante le décor : son entreprise est un acteur incontournable de l'aéronautique, de la défense, du spatial, du ferroviaire et de l'exploitation pétrolière. “Elle fait partie du tissu industriel développé sous de Gaulle autour de l'aéronautique et de la défense”. D'abord implantée au centre-ville de Lagny-sur-Marne, elle a déménagé en 2009, se souvient Christophe Malrin…..

 

http://www.seine-et-marne-invest.com/invest/actualites/eurofarad-chanteloup-en-brie-la-haute-couture-de-la-technologie

 

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16 décembre 2015 3 16 /12 /décembre /2015 18:31
Ses émissions sont passées de 37 200 kg/an en 2012 à 45 000 kg/an en 2014 soit une augmentation de 20% d’émissions polluantes dans l’air en l’espace de 2 ans.
extrait rapport des services de l'ETAT : DRIEE 77 du 22/1/2013

extrait rapport des services de l'ETAT : DRIEE 77 du 22/1/2013

 

 

Concernant  le tétrachloroéthylène,

ce qu’en dit

le ministère de la santé :

Qu’est ce que le perchloréthylène ?

Le perchloréthylène ou tétrachloroéthylène (ou PCE) est un solvant. Ce composé organique volatil (COV) est surtout utilisé pour le nettoyage à sec de tissus et pour dégraisser des métaux. Il s’évapore facilement dans l’air et a une odeur âcre. Le seuil de perception olfactive est de 7 mg/m3.

Il est lipophile (attiré par la graisse) et dissout des substances telles que graisses, huiles ou résines.

Durant l’activité d’une teinturerie, le PCE provient essentiellement des machines, à l’ouverture du tambour, lors du détachage manuel et en cas d’une mauvaise étanchéité des machines. Hors activité, les émanations proviennent du stockage des vêtements nettoyés au perchloréthylène et de l’évacuation des boues (résidus de lavage).

Quels sont les risques liés à l’exposition au perchloréthylène ?

 

Le perchloréthylène est un solvant chloré. C’est une substance volatile qui peut pénétrer dans l’organisme par inhalation des vapeurs, par ingestion et par contact avec la peau (quand il est sous forme liquide).

Ce composé est classé cancérogène probable pour l’homme par le centre international de recherche contre le cancer (Groupe 2A) et cancérogène possible (catégorie 3) par l’Union européenne.

L’exposition au perchloréthylène peut causer une irritation des voies respiratoires et des yeux, des vertiges, nausées, maux de tête et pertes de mémoire, une somnolence. Selon les niveaux et les fréquences des expositions, il peut être toxique pour le système nerveux et le rein et lors d’une exposition très intense, ses effets peuvent aller jusqu’à la perte de connaissance et la mort.

Dans le cadre du règlement REACH (règlementant la mise sur le marché des produits chimiques en général), l’agence européenne des produits chimiques a programmé une évaluation complète du perchloréthylène d’ici 2013, pour examiner si des mesures de gestion (interdiction de certains usages) doivent être prises au niveau communautaire à son sujet.

 

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16 décembre 2015 3 16 /12 /décembre /2015 11:00
Souilly : le canal de l'Ourcq prend les meilleures eaux de le Beuvronne

Souilly : le canal de l'Ourcq prend les meilleures eaux de le Beuvronne

 

 

Eau non potable : eau d’avenir

C’est le titre de la vidéo diffusée par la ville de Paris qui oublie de dire

que Paris a détourné les eaux de nos rivières de Seine et Marne à son profit

en créant le Canal de l’Ourcq.

 

http://www.dailymotion.com/video/x36x8t8_eau-non-potable-eau-d-avenir_tech

 

 

 

Depuis le 19ème siècle Paris a pris les meilleures eaux de la Beuvronne, celles qui proviennent de la Haute Beuvronne pour alimenter le Canal de l’Ourcq, en effet depuis 1841 la ville de Paris ne veut plus des eaux de la Reneuse, considérant ses eaux comme de mauvaise qualité.

La Reneuse reçoit les eaux d'aéroport de Roissy et de la zone industrielle de Mitry-Compans.

 

 Les eaux  du canal de l'Ourcq servent à laver les trottoirs de Paris, à alimenter quelques lacs parisiens et à arroser les pelouses de cette ville et quelques jardins privés…..

 

Mais vous habitants de Seine et Marne avez-vous le droit de laver vos trottoirs, d'arroser vos pelouses ....avec l'eau du Canal de L'Ourcq, la réponse est non, sauf autorisation de la Ville de Paris.

 

 

C'est l'article L2124-8 du Code général de la propriété des personnes publiques qui s’applique.

 

« Aucun travail ne peut être exécuté, aucune prise d'eau ne peut être pratiquée sur le domaine public fluvial sans autorisation du propriétaire de ce domaine.

 

Les décisions d'autorisation fixent les dispositions nécessaires pour assurer notamment la sécurité des personnes et la protection de l'environnement. »

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15 décembre 2015 2 15 /12 /décembre /2015 18:19

 

 

Suite à une intervention, dans le but de remplacer une canalisation  de branchement d’eaux pluviales de la Sté Difachimie, les salariés de la Sté Colas TP ont été incommodés par des émanations de gaz en provenance de cette canalisation en béton complètement corrodée (rongée).

 

La DRIEE 77 a diligenté une inspection  lors de laquelle il a été constaté que plusieurs

entreprises se partageaient le site : Difachimie, Veolia et Copetra Chimie.

 

Concernant l’entreprise Difachimie il a été constaté nombreux manquements aux obligations législatives :

- il a été trouvé des produits sans étiquetage

- il a été trouvé de l’acide fluorhydrique, produit mortel  par inhalation ou ingestion (1) stocké à même le sol, derrière le bâtiment, à proximité de la voie ferrée

- il a été trouvé à l'arrière du site des fûts de déchets liquides non étiquetés.

- il a été trouvé une  clôture endommagée par endroit, alors que la sté a déjà connue des intrusions et des vols.

 

Des installations en mauvais état, notamment :

 

- des cuves inox corrodées (rongées) servant à la formulation (mélange de différents produits chimiques ou non)

- des produits chimiques fuyards (traces au sol).

 

 

Les questions que nous nous posons

auxquelles nous n’avons pas de réponse :

 

- où partent les eaux de rincage des cuves ?

- La nappe phréatique a-t-elle été atteinte par les polluants ?

- Les eaux de ruissellements chargées de produits fuyards ont-ils rejoints la Beuvronne ?

- dans quel état est le réseau d'assainissement ?

- L’entreprise possède-t-elle une autorisation de la communauté de communes pour déverser ses eaux industrielles dans le centre d’épuration intercommunal ?

 

Comment une telle situation

n’a-t-elle pas été détectée avant ?

 

Nous n’en saurions peut-être  pas là  si Mme Royal donnait à la DRIEE 77 les effectifs nécessaires pour lui permettre de contrôler régulièrement tous les sites industriels de cette zone industrielle de Mitry-Compans qui est la plus importante d’Ile de France et compte 7 sites SEVESO.

La DRIEE 77 une administration en sous effectifs depuis des décennies.

 

Pour mémoire c’est sur cette même commune de Compans que le ministère de l’environnement a laissé pendant de nombreuses années s’étendre une monstrueuse décharge illégale sur un terrain lui appartenant, décharge qui a fait couler beaucoup d’encre avant d’être enfin nettoyée il y a quelques mois.

 

Mais ici vous êtes

chez « le petit peuple » du nord-ouest 77

là où on a accumulé

 une masse de  sites polluants 

chez ceux

que personne ne veut entendre.

 

(1) règlement CLP n° 1272/2008 H330, H310, H300

pour aller plus loin, consultez l'arrêté préfectoral :

http://www.seine-et-marne.gouv.fr/content/download/18756/152462/file/11%2012%202015%20AP%20MESURES%20D'URGENCE.pdf

 

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15 décembre 2015 2 15 /12 /décembre /2015 10:21
Expérimentation dans 5 arrondissements de Paris : 2e, 4e, 13e, 18e et 19e

Expérimentation dans 5 arrondissements de Paris : 2e, 4e, 13e, 18e et 19e

 

 

En effet la majorité des quartiers où vit « l’élite parisienne » ne sera pas concernée par ce projet.

 

Faire trier leurs déchets par les ministres, les élus, les industriels …qui vivent dans certains quartiers huppés, vous n’y pensez pas, ils préfèrent les enterrer dans nos villages ruraux de Seine et Marne..

 

 

 

 

 

Paru sur le site ORDIF :

La Ville de Paris inaugure TriLib’


Eco-Emballages lance un concept modulaire d’apport volontaire.


 

Paris devrait se pencher  enfin en 2016 sur la collecte sélective en apport volontaire mais seulement dans quelques arrondissements de l’est parisien

A l’occasion de la COP21 et du « Paris de l’avenir », la Mairie de Paris, Eco-Emballages et Plastic Omnium ont inauguré, «Trilib’», le nouveau concept modulaire d’apport volontaire qui permet d’installer des espaces de tri et de propreté au cœur de la ville.

«Trilib’» est une nouvelle approche de collecte sélective des emballages et des autres filières en apport volontaire qu’expérimente Eco-Emballages pour améliorer le  recyclage dans les villes et simplifier le geste de tri des habitants et que la Ville de Paris entend tester puis déployer pour concrétiser sa stratégie Zéro déchet.

Courant 2016, « Trilib’ » sera expérimenté dans 5 arrondissements de Paris : 2e, 4e, 13e, 18e et 19e, avec 40 nouveaux espaces de tri modulaire pour simplifier le geste de tri des habitants et capter de nouveaux types de flux de déchets. L’apport volontaire multi-flux pourra également être expérimenté dans d’autres villes françaises en 2016.

Source : Eco-Emballages

 

http://www.ordif.com/public/actualite/la-ville-de-paris-inaugure-trilib%E2%80%99.html?id=17262&rub=8986

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14 décembre 2015 1 14 /12 /décembre /2015 10:04

 

 

L’ANDRA recherche désespérément des sites qui voudront bien accueillir des déchets radioactifs issus du démantèlement des centrales nucléaires soit pour les trier, soit pour les enterrer, mais personne n’en veut.

 

Pourtant en Seine et Marne ils ont de la place, d’autant plus que VEOLIA (1) est sur les rangs et que sa décharge de déchets ultimes de Claye-Souilly ne reçoit plus suffisamment d’ordures à enterrer : en 2014 c’est seulement la moitié du tonnage autorisé qui y a été reçu. Quant à Monthyon on se demande pourquoi depuis plusieurs années VEOLIA laisse la décharge ouverte, alors qu’elle ne reçoit pratiquement plus de déchets, VEOLIA la garde, semble t-il sous le coude, pour y stocker à l’avenir quel type de déchets ?

Les associations posent la question mais VEOLIA ne répond pas.

 

Au point où ils en sont au nord-ouest 77 on déverse chez eux les ordures ménagères, les déchets dangereux, les gravats de bâtiment, pourquoi  ne recevraient-ils pas aussi les déchets radioactifs issus des centrales nucléaires ?

 

(1) Véolia se lance dans le traitement de déchets radioactifs

http://www.franceinfo.fr/emission/Unknown%20token%20emisaison-type-url/noeud-diffusion-temporaire-pour-le-nid-source-862129-05-05-2014-11-47

 

 

Paru sur le site Actu Environnement :

Déchets radioactifs de démantèlement : lancement de la seconde édition de l'appel à projets

Dechets / Recyclage  |  Aujourd'hui à 09h44  |  Dorothée Laperche

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L'Agence nationale pour la gestion des déchets radioactifs (Andra) et l'agence nationale de la recherche (ANR) lance jusqu'au 14 mars 2016 à 13h la seconde édition de l'appel à projets pour optimiser la gestion des déchets radioactifs de démantèlement.

La première édition avait permis de sélectionner 12 projets de R&D. L'édition 2015 de l'inventaire national des déchets et matières radioactives de l'Andra prévoit en effet un volume de déchets radioactifs de très faible activité de l'ordre de 1.300.000 m3 à l'horizon 2030, soit le double des capacités actuelles de stockage de ces déchets (650.000 m3). Parmi ces derniers figure une part significative de déchets de démantèlement (gravats, terres polluées, composants métalliques).

L'objectif de l'appel à projets ? Faire émerger des innovations autour de la gestion des déchets radioactifs de démantèlement, depuis les étapes de caractérisation du site et des installations à démanteler jusqu'au stockage des déchets en passant par le tri, le traitement et le conditionnement des déchets générés. Il s'intéresse aussi bien à des projets de recherche industrielle que fondamentale. L'appel à projets se décline autour de quatre grandes thématiques : la caractérisation, le tri et traitement des déchets, les nouveaux matériaux pour le stockage ainsi que l'innovation et la société. Il est ouvert aussi bien aux organismes de recherches qu'aux entreprises.

"Les projets proposés devront trouver une application à la gestion des déchets radioactifs de démantèlement et/ou à la reprise des déchets anciens. Seule la thématique 3 [nouveaux matériaux pour le stockage] pourra être appliquée à tout type de déchets radioactifs", précise l'appel à projets.

Dorothée Laperche, journaliste
Rédactrice spécialisée

 

http://www.actu-environnement.com/ae/news/dechets-radioactifs-demantelement-appel-projets-deuxieme-25865.php4

 

 

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11 décembre 2015 5 11 /12 /décembre /2015 09:41

 

 

 

Paru dans le Parisien 77 :
Le coût du traitement des déchets risque de flamber

V.R. | 09 Déc. 2015, 00h00 | MAJ : 09 Déc. 2015, 06h56

 

Jean-François Parigi, président du Smitom nord, le syndicat qui traite les ordures ménagères de 184 communes du nord du département, continue de s'inquiéter du démantèlement de la communauté...

http://www.leparisien.fr/informations/nord-seine-et-marne-le-cout-du-traitement-des-dechets-risque-de-flamber-08-12-2015-5352103.php

 

 

Le droit de regard d’une autre collectivité sur les comptes du SMITOM et le contrat signé avec son sous-traitant la multinationale Veolia (Somoval), inquiète-t-il Jean-François Parigi ?

 

Nous vous laissons le soin de répondre à cette question.

 

 

Pour résumer la situation : dans le Parisien 77 du 9 décembre, Jean-François Parigi s’inquiète du risque de départ des communes de Claye-Souilly, Villeparisis, Mitry-Mory et Dammartin en Goële du syndicat SMITOM 77 si la communauté de communes élargie 77/95 venait à être validée.

 

Mais Jean-François Parigi oublie de dire que le SMITOM peut incinérer des ordures qui ne proviennent pas d’adhérents à son syndicat, il le fait déjà.

 

Quand aux économies le SMITOM 77 pourrait déjà en réaliser, en revoyant son contrat avec la multinationale VEOLIA (Somoval), il pourrait notamment imposer une réduction du transport de déchets.

 

Car le transport de déchets cela émet du CO2 et cela coûte cher, cela peut être multiplié presque par 5, suivant la distance parcourue et le déchet concerné.

Voyez ce qu’en dit l’association Amorce dans son rapport de 2012, concernant les REFIOM (résidus de fumées d’incinérateurs) :

« Le prix de transport est compris entre 9,77 et 48,00 €HT/tonne de REFIOM. Ce prix est directement corrélé à la distance entre l’UIOM et l’ISDD….(2) »

 

Pourquoi Jean-François Parigi laisse la multinationale VEOLIA envoyer les REFIOM (résidus de fumée d'incinérateur) de Monthyon à 163 kms à Tourville la Rivière (76) alors qu’ils pourraient être stockés chez Sita Villeparisis ?

 

Il paraîtrait que Sita Villeparisis n’aurait pas la capacité de stocker ces REFIOM, alors qu’elle stocke des REFIOM en provenance du Nord Pas de Calais et d’autres régions !

Difficilement compréhensible !

 

Ne serait-ce pas plutôt parce que la multinationale VEOLIA préfère envoyer les REFIOM chez un sous traitant de son groupe, plutôt que chez son concurrent SITA, peu importe la distance parcourue ?

 

 

Pour mémoire, il y a quelques années le SMITOM 77 a eu maille à partir avec un syndicat d’usagers

extrait du site de ce syndicat:

 

23 mars 2005 Conférence de presse du SMITOM

Le SMITOM présente à la presse le nouveau contrat avec SOMOVAL.comme le contrat du renouveau.
Auparavent dans le compte rendu de la CCSPL du 8 mars dont vous trouverez l'exemplaire dans la rubrique "Informations CCSPL" (clic...)
M Parigi nous reprend sur le mot "surfacturation" employé lors de cette réunion au sujet de l'ancien contrat avec SOMOVAL et nous accuse de mensonges dans nos déclarations à la presse.
Nous ne pouvons rester sans réagir surtout quand le mot "surfacturation" se retrouve 5 fois (pages 26, 54, 69, 85, 93 extraits clic...) mentionné dans le rapport du contrôle de gestion de la ville de Meaux (diligenté par M Parigi lui même) sur des postes tels que le CIT, le compostage, les déchetteries etc... qui n'ont rien à voir avec la collecte que le SMITOM rend responsable du déséquilibre du contrat et qui a mené rappellons le à une dette et un déficit cumulés de 84 millions de francs (dette et déficit que l'on rembourse toujours à l'aide de prêts).
Quand au litige sur la rupture du contrat la question reste toujours posée, un contrat est il rompu à sa date réelle de rupture où lors du vote d'une intentionn de rupture.
Retrouvez nos éléments de réponses à ces accusations proche de la diffamation

 

…….

http://cdu.smitom.n77.pagesperso-orange.fr/qna.html

 

 

 

Voir l’article du journal le Parisien dans lequel un élu s’exprimait :

Somoval accusé de polluer l'environnement

Le Parisien | 07 Nov. 2002, 00h00

«SOMOVAL pollue et personne n'en a rien à faire ! » Camille Garbell, conseiller municipal MEI (Mouvement écologiste indépendant) de Montry, a décidé de monter au créneau. Selon lui, l'affaire du Smitom (Syndicat mixte intercommunal de traitement des ordures ménagères) accusant un déficit de 4,3 millions d'euros, géré par la filiale de Vivendi, Somoval, n'est pas que financière.

« Elle est aussi écologique, explique l'élu. Les responsables de Somoval font ce qu'ils veulent dans l'usine de Monthyon depuis des années. Il y a des contrôles environnementaux extérieurs, comme ceux de la Drire, mais Somoval est prévenu trois semaines à l'avance de la moindre visite. Or, il y a un véritable problème du côté de l'incinérateur, qui rejette des fumées très toxiques. » Choisi pour ne traiter que les ordures ménagères, l'incinérateur de Monthyon faisait pourtant partie, à l'époque, des plus performants. « Le problème, continue l'élu, c'est qu'aujourd'hui on y brûle aussi du plastique avec un filtre qui n'est pas prévu pour. Le centre de Monthyon est une véritable machine à polluer !

……

http://www.leparisien.fr/seine-et-marne/somoval-accuse-de-polluer-l-environnement-07-11-2002-2003550256.php

 

 

 

 

(1) http://adenca.over-blog.com/article-pourquoi-le-smitom-nord-77-de-monthyon-envoie-t-il-ailleurs-les-dechets-qui-pourraient-etre-stockes-118775591.html

 

 

(2) http://www.amorce.asso.fr/media/filer_public/fd/8b/fd8b504f-e89a-4969-a90d-87005161b651/dt42_rapport_refiom_modifie_.pdf

 

 

 

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10 décembre 2015 4 10 /12 /décembre /2015 10:25
Claye-Souilly 23/11/2015 : une fois de plus la qualité de l’eau potable est non conforme à la référence de qualité
Pour mémoire l’eau potable distribuée à Claye-Souilly provient de l’usine d’Annet sur Marne, qui fournit en eau potable près de 500 000 habitants, c’est le plus important captage de Seine et Marne.
Ce captage se trouve au pied de 2 décharges :
- la décharge ISDI  ECT d’Annet sur Marne
Le préfet n’impose à l’exploitant de cette décharge aucuns contrôles de l’eau de ruissellement qui se dirige vers  le périmètre rapproché du captage d’eau d’Annet sur Marne et pas même de contrôles des eaux souterraines.
Le préfet aurait pu  prescrire ces contrôles mais ne l’a pas fait.
- la décharge ISDND Rep VEOLIA de Claye-Souilly, la plus importante décharge d’Europe.
Ironie du sort, le Préfet impose à l’exploitant de la décharge  moins de contrôles de polluants dans les eaux de ruissellement de cette décharge qui se dirigent vers  le périmètre rapproché du captage d’eau d’Annet sur Marne et moins de contrôles des polluants dans  les eaux souterraines que dans certaines autres décharges ISDND du 77 qui reçoivent un tonnage bien inférieur d’ordures et qui ne reçoivent pas de mâchefers….
Le préfet aurait pu prescrire des contrôles supplémentaires, mais il ne l’a pas fait.
Paru sur le site du Sénat :
La qualité de l'eau et l'assainissement en France (rapport)

 

C. LA QUALITE PHYSIQUE ET CHIMIQUE DE L'EAU
1. La turbidité

L'augmentation lente mais régulière de la turbidité des eaux brutes est une source de préoccupation des gestionnaires de l'eau.

Une eau turbide est une eau trouble. Cette caractéristique vient de la teneur de l'eau en particules en suspension, associées au transport de l'eau, notamment après la pluie. Au cours de ce parcours, l'eau se charge de quantités énormes de particules, qui troublent l'eau. Les matières, mêlées à l'eau, sont de natures très diverses : matières d'origine minérale (argile, limon, sable...), micro particules, micro organismes...

La turbidité se mesure par la réflexion d'un rayon lumineux dans l'eau. La turbidité est mesurée par un test optique qui détermine la capacité de réflexion de la lumière (l'unité de mesure est le « NFU » - unités néphélométriques). La turbidité maximale fixée par la réglementation française est de 0,5 ou 2 NFU selon les lieux de mesure.

La turbidité joue un rôle très important dans les traitements d'eau.

Elle indique une probabilité plus grande de présence d'éléments pathogènes. Le ruissellement agricole remet en circulation des germes pathogènes et il existe un lien direct entre pluies et gastroentérites. Il existe deux pics de gastroentérites, à l'automne, après les premières grosses pluies qui succèdent à l'été, et en janvier.

La turbidité perturbe la désinfection. Le traitement par ultraviolets est inefficace et le traitement par le chlore perd son efficacité.

- La matière organique associée à la turbidité favorise la formation de biofilms dans le réseau et par conséquent, le développement de bactéries insensibles au chlore notamment.

La turbidité révèle une évolution préoccupante de l'état des sols, sur laquelle il faudra être très vigilant.

Pourquoi, parfois, l'eau du robinet
n'est-elle pas potable après la pluie ?

La turbidité de certaines eaux souterraines influencées par des eaux de surface est brutalement aggravée à l'occasion des pluies. Ce phénomène est à l'origine de nombreuses difficultés 

- la turbidité entraîne des difficultés de fonctionnement des unités de distribution. Très peu sont équipées de systèmes de traitement de la turbidité. La plupart des petites stations rurales notamment sont seulement équipées de traitement de désinfection, inopérants en l'espèce.

- la turbidité apporte des pollutions supplémentaires. Il existe une corrélation directe entre turbidité et hydrocarbures, entre turbidité et pesticides, et surtout entre turbidité et contaminations fécales. Les particules en suspension ont un pouvoir d'adsorption et constituent des supports aux bactéries. Cette contamination bactérienne ou parasitaire, peut être à l'origine de crises de gastroentérite. Ce lien a été mis en évidence par l'expérience (une surveillance épidémiologique des pharmaciens du Havre avait noté un doublement des gastroentérites après les crues de février 1995) et par l'analyse : la teneur en cryptosporidium (parasite à l'origine d'une partie des gastroentérites dues à l'eau) est directement corrélée à la turbidité. Le nombre d'unités de cryptosporidium est multiplié par cent en quelques jours après l'augmentation de la turbidité.

- la turbidité est un masque qui rend les tests de contamination microbiologiques aveugles et inopérants. Ces tests fonctionnent à partir de germes isolés de l'eau par filtration et mis au contact avec un milieu de culture. Leur développement est un indicateur de pollution. Mais avec la turbidité, les germes sont protégés et ne se développent pas.

- la turbidité réduit l'efficacité des désinfectants. Elle accroît la consommation de chlore (principal désinfectant utilisé) tout en diminuant son efficacité.

Pour toutes ces raisons, la consommation d'eau du robinet peut être déconseillée, voire interdite.

Le risque est cependant variable selon les unités de traitement. L'effet taille est très important. Les grandes unités sont mieux équipées et plus capables d'assurer des préventions. La SAGEP, société anonyme de gestion des eaux de Paris, cesse de prélever l'eau de source lorsque la turbidité dépasse 2 NTU, même s'il est possible de mélanger les eaux avec des eaux claires pour faire baisser la turbidité. Les petites unités offrent moins de garanties. Il est même arrivé que l'eau distribuée dépasse cent fois la norme...

 

http://www.senat.fr/rap/l02-215-1/l02-215-134.html

 

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10 décembre 2015 4 10 /12 /décembre /2015 09:23

 

Vous avez bien lu Paris la ville qui envoie ses ordures chez  les autres ne possédait qu’un seul centre de tri d’ordures ménagères intra muros, un 2ème centre de tri devrait être créé dans les années à venir.

 

Les ordures ça sent mauvais Paris ne va tout de même pas implanter un centre de tri d’ordures  ménagères dans chaque arrondissement et notamment dans les quartiers chics de la capitale où vit « l’élite parisienne », le tri de leurs déchets ils veulent les envoyer vers la Seine St Denis, par exemple à Romainville ou vers la Seine et Marne.

 

Quant au tri des déchets de chantiers, combien de centres

à Paris intra-muros ?

Aucuns à notre connaissance.

 

Vous n’y pensez pas trier les déchets chargés d’amiante ou de métaux lourds à Paris, les petits villages ruraux de Seine et Marne sont là pour les « accueillir » et puis parfois ils ne sont pas triés et deviennent des décharges illégales comme à Coupvray, Villeparisis, Villeroy…

 

Mais c’est bien loin des préoccupations

de « l’élite parisienne »

qui dirige ce pays.

 

 

 

 

 

Paru sur le site ORDIF :

 

Installation : un 2ème centre de tri Paris intra-muros

 


Le Syctom lance la réalisation d’un centre de tri de collecte sélective nouvelle génération dans l’éco-quartier de Clichy Batignolles.

Le 8 octobre 2015, Hervé Marseille, Président du Syctom, l’agence métropolitaine des déchets ménagers, a confié officiellement la conception-construction-exploitationdu nouveau centre de tri de collecte sélective dans le17e arrondissement de Paris au groupement CNIM / Ateliers Monique LABBÉ / URBAINE DE TRAVAUX / ARVAL / INGEROP Conseil et ingénierie / SEGIC ingénierie. Il s’agit du deuxième centre de tri de collectes sélectives intra-muros. Le centre Paris XVII  préparera les déchets pré triés par plus de 900 000 habitants à partir de 2019.

Il sera en phase avec son environnement urbain dans l’éco-quartier de Clichy-Batignolles avec un  bâtiment qui se caractérisera par de grandes surfaces végétalisées, avec des jardins et terrasses suspendus, et par une large utilisation de matériaux renouvelables. Le bâtiment produira de l’électricité grâce à environ 2 000 m² de panneaux photovoltaïques. L’implantation du centre aux abords d’une voie ferrée permettra au Syctom d’évacuer la moitié des balles de matériaux triés dans le centre par fret ferroviaire. Paris XVII réceptionnera également les déchets recyclables du terminal de collecte pneumatique de la Mairie de Paris implanté à proximité.
D’une capacité proche de 40 000 tonnes/an, le centre Paris XVII disposera d’équipements ultra-modernes pour capter les différents matériaux, et anticiper l’extension prochaine des consignes de tri des emballages plastiques. Innovantes et performantes, les lignes de tri fortement automatisées pourront traiter jusqu’à 15 tonnes de papiers et d’emballages recyclables par heure et permettront d’améliorer les conditions de travail et la sécurité des agents.

Source : Syctom l’agence métropolitaine des déchets ménagers

http://www.ordif.com/public/actualite/installation-un-2eme-centre-de-tri-paris-intra-muros.html?id=17179&rub=8986

 

 

 

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9 décembre 2015 3 09 /12 /décembre /2015 12:25

 

Le préfet Jean-Luc Marx n'appliquera pas  le décret  2012-189 du 7 février 2012 qui impose aux services de l’ETAT de réunir chaque année une commission de suivi de site pour la décharge SITA FD Villeparisis, classée SEVESO à hauts risques.

             

Alors que le président de la république reçoit la COP 21, les représentants de l’ETAT ne devraient-ils pas  être exemplaires et respecter à minima la législation en vigueur ?

 

Je vous laisse le soin de répondre à cette question.

 

 

Pour extrait :

Décret n° 2012-189 du 7 février 2012 relatif aux commissions de suivi de site 

« La commission se réunit au moins une fois par an ou sur demande d'au moins trois membres du bureau. L'ordre du jour des réunions est fixé par le bureau…

 

http://www.legifrance.gouv.fr/affichTexte.do?cidTexte=JORFTEXT000025344282&dateTexte=&categorieLien=id

 

Il est vrai que les préfets qui se sont succédés dans ce département n’ont pas réuni de CSS en 2012 pour cette décharge ni même après l’important sinistre du 17/2/2013 de Sita FD Villeparisis.

 

 

Mais ici vous êtes dans le bassin versant Beuvronne, là où vit « le petit peuple » d’Ile de France, là où on a accumulé le plus grand nombre de décharges de France sur un territoire aussi réduit.

 

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