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5 février 2016 5 05 /02 /février /2016 11:13

 

 

Afin de protéger les populations riveraines (école et zones pavillonnaires) et nos ressources naturelles la DRIEE 77 impose par arrêté préfectoral du 3 février 2016 un diagnostic de l’état des sols (y compris gaz) et des eaux souterraines au droit du site.

 

Dans l’arrêté préfectoral du 3.2.2016 dont vous trouverez extrait, nous apprenons que l’exploitant ne savait même pas comment circulaient les eaux sur le site, il ne possédait aucun plan des réseaux.

 

Claye-Souilly : La Sté Fécomme Marketing Services, en liquidation judiciaire, a-t-elle pollué nos sols et nos eaux souterraines : le diagnostic  imposé par la DRIEE 77 nous le dira ?

 

 

 

Arrêté préfectoral du 3.2.2016 pour extrait

 diagnostic imposé

au syndic chargé de la liquidation de la société :

Claye-Souilly : La Sté Fécomme Marketing Services, en liquidation judiciaire, a-t-elle pollué nos sols et nos eaux souterraines : le diagnostic  imposé par la DRIEE 77 nous le dira ?
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5 février 2016 5 05 /02 /février /2016 09:27

 

La communauté de communes Plaines et Monts de France avait préconisé en date du 20/4/2015 d’entreprendre  des travaux visant à mettre en place des ouvrages de traitement du phosphore par voie physico-chimique sur cette station d’épuration. La commune de Moussy-le-Neuf dispose d’une station d’épuration de type boues activées ayant une capacité épuratoire de 4 000 EH. L’évolution de la réglementation depuis la date de mise en service de cette station ainsi que les objectifs de reconquête du milieu récepteur notamment sur le phosphore nécessite la mise en place d’un traitement spécifique à ce paramètre.Le montant estimé des travaux est le suivant 65 500 euros HT.

 

Pour ce faire Plaines et Monts de France sollicitait des subventions auprès de l’Agence de l’Eau Seine Normandie, du Conseil Régional IDF et du Conseil Départemental 77.

 

Ironie du sort la communauté de communes Plaines et Monts de France devrait voir son territoire modifié, Moussy le Neuf devrait rejoindre l’Intercommunalité Roissy Pays de France.

 

Le contrat bassin Beuvronne 2012-2016 (1)  devait financer des travaux sur les stations de traitement des eaux usées, la somme de 14 millions d’euros devait être utilisée à cette fin, mais le contrat arrive à son terme en 2016 et ce projet ne semble pas avoir été planifié.

 

L’espoir de voir ces travaux se réaliser rapidement semble donc s’envoler.

 

 

Pour tous renseignements complémentaires contactez :

 Bernard Rigault

maire de Moussy le Neuf

 

Jean-Pierre Dormeau

 adjoint au maire de Gressy

 et président du syndicat de la Haute Beuvronne

en charge du contrat bassin Beuvronne

 

 

(1) Contrat bassin Beuvronne http://www.iledefrance.fr/sites/default/files/mariane/RAPCP12-209RAP.pdf

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4 février 2016 4 04 /02 /février /2016 15:26

 

Prochaine CSS Commission de suivi de site

du  Fort de Vaujours

10 février 2015 à 14h30

à la sous préfecture de Torcy

 

 

L’Agence Régionale de Santé livrera-t-elle lors de cette CSS les chiffres de la morbidité sur les communes de Villeparisis, Coubron, Vaujours comme le demande les élus et les associations de défense des riverains ?

 

Pas sûr

l’Agence Régionale de Santé

le promet

à chaque réunion

mais nous attendons toujours

 

 

A Bouc-Bel-Air près de l’usine d’alumine l’ARS refuse aussi  de livrer les chiffres de la morbidité.

 

 

Boues rouges de Cassis

ou

pollution de l’ancien site du CEA fort de Vaujours

Même combat.

 

 

Extrait article paru sur le site Le Monde diplomatique :

 


Mai 2015, page 8

Economie circulaire ou recyclage toxique ?

La Méditerranée empoisonnée

Au nom de la préservation de l’emploi, l’usine d’alumine des Bouches-du-Rhône a bénéficié d’un très long moratoire pour mettre fin aux rejets de boues rouges dans la Méditerranée. Vingt ans plus tard, la pollution perdure et l’emploi n’a jamais paru autant menacé, faute de solutions durables. Les documents que nous versons au dossier démontrent l’importance de l’enjeu sanitaire.

par Barbara Landrevie  

Arsenic, uranium 238, thorium 232, mercure, cadmium, titane, soude, plomb, chrome, vanadium, nickel : voilà quelques composants des « boues rouges » déversées chaque jour par centaines de tonnes dans la mer Méditerranée. Une canalisation construite en 1966 rejette ces déchets à sept kilomètres des côtes, au cœur d’un site remarquable par sa biodiversité, devenu en avril 2012 le parc national des Calanques. En un demi-siècle, près de trente millions de tonnes ont été répandues à deux cent cinquante mètres de profondeur. Elles dispersent leurs éléments toxiques du golfe de Fos à la rade de Toulon, s’ajoutant aux eaux polluées du Rhône.

Ces boues émanent de l’industrie de l’aluminium. Une histoire ancienne dans cette région : la bauxite, le minerai d’aluminium, fut découverte aux Baux-de-Provence en 1821.Le procédé Bayer, mis au point à Gardanne à partir de 1893, consiste à dissoudre l’alumine qu’elle contient avec de la soude, ce qui génère une grande quantité de résidus toxiques à forte coloration rouge. L’usine appartient aujourd’hui à la société Alteo, premier producteur mondial d’« alumines de spécialité », qui exporte chaque jour plus de mille deux cents tonnes de produits finis, en particulier pour la confection d’écrans plats à cristaux liquides et de tablettes tactiles. Sur un territoire où le travail devient rare, Alteo représente près de quatre cents emplois directs et plus d’un millier en comptant la sous-traitance.

De Marseille à Cassis, les marins remontent des filets teintés de rouge et des poissons chargés en métaux lourds. Certaines espèces ont totalement disparu. Le « crime » a pourtant été dénoncé dès 1963, au moment du projet de canalisation, par le célèbre biologiste Alain Bombard. Océanographe à la retraite, Gérard Rivoire s’inquiète aussi de l’exposition radiologique : « La radioactivité naturelle de la Méditerranée est de 12 becquerels par litre ; celle des boues à la sortie du tuyau dépasse les 750 Bq/l. C’est un risque majeur pour la faune marine et pour la chaîne alimentaire. »

Alteo conteste cette analyse. Certaines études — financées par l’entreprise — permettraient de conclure à une « absence d’impact notable des résidus sur les animaux aquatiques, y compris à forte profondeur (1». Les batailles d’experts et l’identité de leurs commanditaires mettent en évidence la difficulté de faire valoir l’intérêt public en matière d’environnement et de santé………

 

 

En attendant les compléments d’enquête sur l’environnement demandés par la ministre de l’écologie, les questions de santé publique restent les plus difficiles à éclaircir. Les envols d’éléments toxiques inquiètent les riverains, qui suffoquent littéralement quand le mistral se lève. En visitant leurs maisons, on peut voir les traces de cette poussière rouge qui s’infiltre partout. D’après notre décompte, sur la vingtaine d’habitants vivant au plus près du dépôt de boue, huit souffrent de cancers, une de la maladie de Charcot et cinq ont des problèmes de thyroïde. Pressé par ses administrés depuis des mois, le maire de Bouc-Bel-Air vient de demander une enquête au ministère de la santé. L’Agence régionale de santé (ARS), quant à elle, refuse de livrer ses chiffres de morbidité par cancer pour les communes de Gardanne et de Bouc-Bel-Air. Et le médecin du travail qui s’occupe des salariés de l’usine n’est guère plus loquace…

http://www.monde-diplomatique.fr/2015/05/LANDREVIE/52952

 

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4 février 2016 4 04 /02 /février /2016 09:27

 

 

Projet de vente de l’aqueduc de la Dhuis

à Placoplatre 

ou l’argent public dilapidé

par le Conseil Régional IDF !

Extrait dossier de presse 20.9.2008 Inauguration promenade de la Dhuis

Extrait dossier de presse 20.9.2008 Inauguration promenade de la Dhuis

 

 

6.4 millions d’euros dépensés

par le Conseil Régional IDF (1)

en 2007/2008

qui vont partir en fumée ?

 

Le Conseil Régional IDF a dépensé 6.4 millions d’euros pour aménager cette liaison verte (1) et aujourd’hui nous apprenons par un article paru dans le Parisien 77 du 27/1/2016 que la ville de Paris, propriétaire de l’aqueduc de la Dhuis, ne semble pas opposée à la vente future de cet aqueduc pour permettre à Placoplatre d'exploiter une carrière de gypse à ciel ouvert.

 

 

Valérie Pécresse

qui dit vouloir aider les villages ruraux

est prioritaire pour racheter

l’aqueduc de la Dhuis à la ville de Paris

mais il ne semble pas que ce soit

dans ses projets.

 

 

 

Valérie Pécresse

 préfère, semble-t-il,

dépenser l’argent du contribuable

 pour subventionner un projet coûteux

de construction d’un centre administratif à Claye-Souilly

dont la ville pourrait se passer

en rénovant les bureaux

de l’ancien centre de sécurité sociale.

 

 

 

(1)  file:///C:/Documents%20and%20Settings/Station/Mes%20documents/Downloads/2008-cp-promenade-regionale-de-la-dhuis-inauguration-de-la-promenade-de-l-acqueduc-de-la-dhuis.pdf

 

promenade de la Dhuis à Villevaudé

promenade de la Dhuis à Villevaudé

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3 février 2016 3 03 /02 /février /2016 22:36
camions en file venant déverser leurs ordures dans la décharge ECT d'Annet sur Marne

camions en file venant déverser leurs ordures dans la décharge ECT d'Annet sur Marne

 

 

 

L’attractivité de notre territoire ce sont les décharges, mais il faut de bonnes routes pour permettre aux milliers de camions de venir déverser leurs ordures.

 

Qu’à cela ne tienne Jean-Jacques Barbaux, nouveau président du Conseil Départemental, compte investir en masse pour rénover nos routes détruites par les milliers de camions.

 

Pour commencer Jean-Jacques Barbaux va investir 500 000 € pour refaire les routes près de la décharge Veolia de Fouju-Moisenay.

 

Ce n’est qu’un début Jean-Jacques Barbaux a raclé les fonds de  tiroirs  et dépensera cette année

39 millions d’euros pour rénover les routes de ce département.

 

Une aubaine pour les professionnels du déchet qui vont pouvoir venir défoncer encore et

encore nos routes aux frais du contribuable seine et marnais.

 

Un bien mauvais signe adressé aux populations seine et marnaise, alors que Jean-Jacques

Barbaux a décidé de ne plus subventionner l’association Airparif, la santé des populations

ne semble pas être la préoccupation principale du nouveau président.

 

 

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3 février 2016 3 03 /02 /février /2016 11:47

 

Claye-Souilly

Quelques jours avant Noël une petite fille d’une dizaine d’années meurt d’une leucémie.

Plusieurs années plus tôt  c’était un petit garçon qui décédait également d’une leucémie sur cette commune.

 

C’est dans le cadre de l’aménagement du territoire engagé dans les années 60 par Paul Delouvrier, responsable du District de Paris, que l’on décide d’implanter des activités polluantes dans le secteur de Mitry-Claye, où l'on pratiquait l'agriculture intensive,  c’est à cette même période que fut décidé l’implantation de l’aéroport de Roissy.

 

Le district de Paris est devenu ensuite Conseil Régional d’Ile de France mais la situation n’a pas changé.

 

Une surveillance sanitaire des populations

a-t-elle accompagné

l'implantation de ces sites polluants

et de l'agriculture intensive?

 

Pas à notre connaissance.

 

Pour en quelque sorte endormir les populations très inquiètent, dans le courant de 2015, le ministère de l’écologie a décidé de financer un état des lieux de l’environnement (pollution eau, air et sol), on appelle cela une étude de zone, un terme très flou qui laisse croire aux populations que l’on va se pencher sérieusement sur leur état de santé.

 

Mais Marisol Touraine n’a pas du tout l’intention de financer une étude épidémiologique de la population comme nous le précise l’Agence Régional de Santé dans son courrier reçu en décembre dernier.

 

Peut-être dans 5 ans lorsque l’étude de la pollution de   zone sera terminée on se penchera sur votre santé.

 

Mais pendant ce temps-là

des enfants meurent

sans que leur famille

ne puisse

savoir pourquoi ?

 

 

Pour Adenca le compte n’y est pas

cette étude de zone

doit être accompagnée de suite

par une étude de l'état de santé

des populations

 

Le Ministère de la Santé possède des statistiques sur la santé des populations mais nous les cache. A plusieurs reprises des élus et associations ont demandé à l’Agence Régionale de Santé de fournir ces informations mais l’ARS fait la sourde oreille.

 

 

Un ETAT qui regarde ailleurs

et semble plutôt vouloir intimider ceux

qui tente d’informer les populations

 

Notre  présidente, contactée en 2008 par les Renseignements Généraux,  est probablement fichée  « S » comme les terroristes pour avoir voulu informer au travers des médias de l’implantation d’une décharge près d’une école maternelle à Fresnes sur Marne et du  risque pour la santé des enfants.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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3 février 2016 3 03 /02 /février /2016 10:42

 

 

En temps de fortes pluies, les eaux usées arrivent en quantité vers le centre d’épuration d’Annet sur Marne qui n’est plus en mesure de toutes les traiter.

Il existe bien des bassins d’orage pour retenir les eaux, l’un se trouve près de la station d’épuration mais il n’est pas utilisé cela sent mauvais et cela gêne les habitants situés à proximité, quant à celui de la rue Paul Valentin il semble en bien mauvais état.

 

Pour faire court  tout cela laisse présumer que des eaux non traitées se déverseraient dans un affluent de la Beuvronne et se dirigeraient vers la Marne en amont très proche du captage d’Annet sur Marne et cela depuis plusieurs années.

 

La reconstruction de cette station d’épuration

projetée depuis des années

semble aujourd’hui dans l’impasse.

 

Le contrat bassin Beuvronne 2012-2016 (1)  devait financer la reconstruction de certaines stations d’épuration, la somme de 14 millions d’euros devait être utilisée à cette fin, mais le contrat arrive à son terme en 2016 et ce projet ne semble pas avoir été planifié.

 

De son côté la communauté de communes Plaines et Monts de France avait préconisé en date du 20/4/2015 la reconstruction d’une nouvelle station d’épuration, les coûts de maîtrise d’œuvre et études préalables étaient estimées à 100 000 € ht, pour ce faire Plaines et Monts de France sollicitait des subventions auprès de l’Agence de l’Eau Seine Normandie, du Conseil Régional IDF et du Conseil Départemental 77.

 

Ironie du sort la communauté de communes Plaines et Monts de France devrait voir son territoire modifié, Annet sur Marne devrait rester dans cette communauté, mais les communes les plus riches qui auraient pu aider à financer  ces travaux devraient rejoindre l’Intercommunalité Roissy Pays de France.

 

Un 2ème espoir de voir cette station reconstruite rapidement semble s’envoler.

 

 

Pour tous renseignements complémentaires contactez :

 Christian Marchandeau

 maire d’Annet sur Marne

 Jean-Pierre Dormeau

 adjoint au maire de Gressy

et président du syndicat de la Haute Beuvronne

en charge du contrat bassin Beuvronne

 

(1) Contrat bassin Beuvronne http://www.iledefrance.fr/sites/default/files/mariane/RAPCP12-209RAP.pdf

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2 février 2016 2 02 /02 /février /2016 18:30
Ce soir sur France 2 à 20 h 55  Cash investigation : Produits chimiques : nos enfants en danger

     Fresnes sur Marne

L'école maternelle et le Centre aéré

au bord des champs cultivés par l'agriculture intensive

et à proximité de 2 décharges

dont la plus importante décharge d'Europe de déchets ultimes

 

 

 

 

Ce soir sur France 2 à 20 h 55

Cash investigation

Produits chimiques : nos enfants en danger

 

Chaque jour, les enfants peuvent être exposés jusqu’à 128 résidus chimiques. Augmentation des cancers, des anomalies de naissance ou des troubles hormonaux... ces pathologies pourraient bien souvent avoir une même cause : les pesticides. Six multinationales contrôlent ce secteur : Syngenta, Bayer, Monsanto, Dow, Basf et DuPont. Pendant un an, l’équipe du magazine a suivi à la trace leurs molécules. Grâce notamment à des analyses de cheveux de mômes, les journalistes ont découvert qu’un insecticide vendu en France aurait un rôle dans le déclenchement de l'autisme. L'enquête mène jusqu’à Hawaï, laboratoire à ciel ouvert où les multinationales de l’agrochimie testent leurs futurs produits et où les médecins constatent des cas anormalement élevés d'anomalies de naissance.

 

Ce soir sur France 2 à 20 h 55  Cash investigation : Produits chimiques : nos enfants en danger

Saint Mesmes

l'école primaire

au bord des champs cultivés par l'agriculture intensive

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2 février 2016 2 02 /02 /février /2016 08:37

 

 

La communauté de communes Plaines et Monts de France avait préconisé en date du 20/4/2015 d’entreprendre  des travaux de réhabilitation du réseau du refoulement d’eaux usées et l’aménagement d’un poste de refoulement situé Chemin rural dit de la Ruelle aux Prêtres.  En effet, le réseau actuel est régulièrement soumis à des problèmes de bouchage entraînant un déversement vers le milieu naturel par surverse, travaux évalués à 250 000 € ht.

Pour ce faire Plaines et Monts de France sollicitait des subventions auprès de l’Agence de l’Eau Seine Normandie, du Conseil Régional IDF et du Conseil Départemental 77.

 

Ironie du sort la communauté de communes Plaines et Monts de France devrait voir son territoire modifié, St Mesmes devrait rester dans cette communauté mais les communes les plus riches qui auraient pu financer ces travaux devraient rejoindre l’Intercommunalité Roissy Pays de France.

 

Le contrat bassin Beuvronne 2012-2016 (1)  devait financer des travaux sur les stations de traitement des eaux usées, la somme de 14 millions d’euros devait être utilisée à cette fin, mais le contrat arrive à son terme en 2016 et ce projet ne semble pas avoir été planifié.

 

L’espoir de voir ces travaux se réaliser rapidement semble donc  s’envoler.

 

 

Pour tous renseignements complémentaires contactez :

 Alfred Stadler

maire de St Mesmes

 

Jean-Pierre Dormeau

 adjoint au maire de Gressy

 et président du syndicat de la Haute Beuvronne

en charge du contrat bassin Beuvronne

 

(1) Contrat bassin Beuvronne http://www.iledefrance.fr/sites/default/files/mariane/RAPCP12-209RAP.pdf

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1 février 2016 1 01 /02 /février /2016 11:39

 

 

Pollution de la Beuvronne 

des communes préfèrent dépenser l’argent public

pour s’inscrire

au concours des villes fleuries

plutôt

que de rénover leur réseau d’assainissement !

 

Sur le site  officiel des villes et villages fleuris on peut lire :

« Evoluant avec les attentes des citoyens, le label s'engage aujourd'hui sur les enjeux tels que la qualité de l'accueil, le  respect de l'environnement et la préservation du lien social. » (1)

 

Mais il semble  que

le jury

soit peu regardant

sur le volet 

« respect de l’environnement »

 quand on voit le nom

des communes récompensées

 

 

L’envers du décor

 

Des élus qui préfèrent dépenser dans le fleurissement de la commune plutôt que de protéger la ressource en eau en remettant en bon état leur réseau d’assainissement.

 

 

Eaux se déversant dans le ru des Grues au sortir de la station d'épuration commune à Claye-Souilly, Villeparisis, Mitry-Mory

Eaux se déversant dans le ru des Grues au sortir de la station d'épuration commune à Claye-Souilly, Villeparisis, Mitry-Mory

 

 

En tête de liste Claye-Souilly (fleur d’or) qui dépense depuis près de 20 ans nos impôts dans le fleurissement de la commune et qui depuis des années ne s’est pas préoccupé des déversements presque journalier d’eaux usées non traitées dans le ru des Grues..

En effet pour éviter de polluer le ru des Grues il aurait fallu mettre en séparatif le réseau d’assainissement de Bois Fleuri (eaux usées et pluviales séparées) et construire un bassin de rétention des eaux pluviales. Aujourd’hui il va falloir trouver une solution dans l’urgence

puisque la préfecture par un arrêté de 2014  impose de mettre en conformité le système d’assainissement de Claye-Souilly.

 

 

Suivie de près par Annet sur Marne (3 fleurs) qui a un système d’assainissement dans un état déplorable.

 

Sans oublier Compans (3 fleurs) dont l’état de l’assainissement de la zone industrielle devait faire l’objet d’une étude approfondie voici 20 ans déjà et où récemment l’entreprise Difachimie (3) a été mise en demeure par la préfecture pour un risque de pollution de la Beuvronne.

 

 

Et la liste est longue…..

 

 

 

 

(1) http://www.villes-et-villages-fleuris.com/

(2) http://www.claye-souilly.fr/documents/4eme_fleur/index.html

 

(3) http://adenca.over-blog.com/2015/12/securite-sanitaire-difachimie-a-t-il-pollue-la-beuvronne-le-parquet-va-t-il-engage-des-poursuites-pour-proteger-la-population-qui-bo

 

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