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23 juin 2015 2 23 /06 /juin /2015 08:52
M. le préfet Marx va-t-il autoriser les 2 décharges ISDI de Fresnes sur Marne et Montgé en Goële ?

 

Alors que le Conseil Régional Ile de France indique que le vote du PREDEC de la semaine dernière devrait annuler les demandes d’implantation de décharges ISDI en cours d’instruction, à la préfecture 77 c’est l’omerta, en effet nous avons rencontrés hier des représentants du service instructeur et n’avons pu obtenir aucunes informations à ce sujet.

 

Un silence pesant qui inquiète d’autant plus que le député du nord-ouest 77 Yves Albarello est opposé à ce moratoire PREDEC qui interdit pendant 3 ans l’implantation de décharge ISDI en Seine et Marne.

 

Les habitants du petit village rural de Fresnes sur Marne auront-ils une 3ème décharge et ceux de Montgé en Goële une 2ème décharge.

 

Nous n’en savons rien.

 

Il serait souhaitable que M. Jean-Luc Marx, préfet de Seine et Marne, sorte de son silence, et convoque la presse pour intervenir sur ce dossier.

 

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22 juin 2015 1 22 /06 /juin /2015 18:53

 

 

 

Paru dans le journal de l’environnement

 

Le Predec d’Ile-de-France enfin entré en vigueur

Le 22 juin 2015 par Stéphanie Senet

 

Il aura donc fallu un an et 9 mois pour quel’avant-projet de Predec[1] soit adopté par le conseil régional d’Ile-de-France. Un vote à l’unanimité enregistré le 18 juin dans l’hémicycle, qui met fin au tout-stockage en Seine-et-Marne.

 

[1] Plan de prévention et de gestion des déchets de chantier

 

 

La région francilienne vient de franchir un pas de géant pour prévenir et recycler ses déchets de chantier issus du BTP, qui représentent trois quarts des déchets franciliens en tonnages. Entré en vigueur le 19 juin après la validation du préfet de région, le Predec est désormais opposable à l’Etat, aux collectivités territoriales et à leurs concessionnaires dans le cadre d’un marché de concession ou d’une délégation de service public (notamment l'autorisation d'exploiter une installation).

Que change-t-il? Tout d’abord, il règle provisoirement la situation de la Seine-et-Marne en générant un moratoire de trois ans sur l’enfouissement. Aucune autorisation d’extension ni de création d’installation de stockage ne pourra donc être autorisée pendant cette période, ce qui annule de factoles demandes d’extension en cours d’instruction par la préfecture de Seine-et-Marne, selon la région. A l’issue du moratoire, les capacités de stockage du département seront par ailleurs plafonnées à 4 millions de tonnes par an. Aujourd'hui, deux tiers des capacités de stockage franciliennes se trouvent en Seine-et-Marne.

 

RÉÉQUILIBRAGE TERRITORIAL

 

Autre évolution majeure: l’introduction du principe de proximité pour le stockage. Ainsi les nouvelles installations de stockage de déchets inertes (ISDI) de grande couronne ne pourront désormais accueillir que les déchets produits à Paris et dans un département limitrophe de petite couronne. Conséquence: la Seine-et-Marne ne pourra plus recevoir les déchets des Hauts-de-Seine.

 

Les objectifs du Predec
-Recycler 80% des agrégats d’enrobés en 2020 (410.000 t) et 100% en 2026 (510.000 t)
-Augmenter la production de granulats recyclés pour atteindre 5,5 Mt/an en 2020 et 6,5 Mt en 2026
-2 Mt de terres excavées traitées à la chaux ou aux liants hydrauliques devront être recyclées en 2020 (5 Mt en 2026)
-9,5 Mt de déchets inertes valorisés en réaménagement dans les carrières franciliennes et 2 Mt dans les départements limitrophes en 2020 ou desservis par voie d'eau ou ferrée (10 Mt et 3 Mt en 2026)

 

PREVENTION ET RECYCLAGE

 

Si le Predec cible la réduction des déblais inertes et des déchets dangereux, ces objectifs ne sont pas chiffrés. Ce qui n'est pas le cas du recyclage des agrégats d’enrobés (sans amiante), qui doit progresser grâce à un tri accru sur les chantiers.

Le réseau de collecte devra aussi évoluer pour atteindre 200 points en 2020 pour les artisans (220 points en 2026). Le nombre de déchèteries professionnelles doit doubler (16 en 2020 et 20 en 2026 contre 8 en 2010). Enfin, l'objectif est d'atteindre 50 points d'apport de déchets dangereux en 2020 et de 100 points en 2026.

 

FLUVIAL ET FERROVIAIRE EN PRIORITÉ

 

Dans la perspective des chantiers du Grand Paris (60 Mt entre 2015 et 2030), le Predec instaure un objectif de 4 Mt de déchets transportés par voie d’eau en 2026 et prévoit la création de 5 plates-formes ferroviaires, comme l’a déjà évoqué Philippe Yvin, président du directoire de la Société du Grand Paris (SGP) le 25 mars dernier lors d’une audition à l’Assemblée.

Ce premier Predec de l'Hexagone permettra-t-il d'atteindre l'objectif européen de 70% de valorisation matière (préparation au réemploi, recyclage et opérations de remblayage) en 2020? Réponse dans le rapport d'évaluation du Predec, attendu chaque année.

http://www.journaldelenvironnement.net/article/le-predec-d-ile-de-france-enfin-entre-en-vigueur,59772?xtor=EPR-9

 

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22 juin 2015 1 22 /06 /juin /2015 08:28

 

« Une forêt régionale menacée de destruction »

 

paru dans le journal Liaison juillet/août 2015 n° 167 de la fédération d’associations environnementales France Nature Environnement Ile de France http://fne-idf.fr/

 

 

Article écrit par Christian WEISS

 

- Chargé de cours biogéographie à l’université Paris 8

- Auteur de plusieurs guides naturalistes et rédacteur scientifique pour différents médias dont ceux des PNR Ile de France

- Expert écologue et biogéographe pour plusieurs Chartres paysagères en Ile de France pour des documents d’urbanisme (PLU).

 

http://www.geographie.univ-paris8.fr/spip.php?article1120

Projet de destruction de la forêt régionale de Montgé en Goële par Knauf : les carriers démolisseurs du nord-ouest 77 ?
Projet de destruction de la forêt régionale de Montgé en Goële par Knauf : les carriers démolisseurs du nord-ouest 77 ?
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21 juin 2015 7 21 /06 /juin /2015 20:03

 

 

« Nos vies pour du plâtre ?»

c’est ce qu’on pour lire sur certaines pancartes

Manifestation du 20/6/2015 Fort de Vaujours : Elus, riverains, associations environnementales main dans la main pour protéger la santé

 

 

 

Une manifestation sans précédent, du jamais vu au nord-ouest 77, des élus de tous bords politiques, des riverains, des associations environnementales demandaient  entre autres :

- l’arrêt de tout projet en cours et notamment l’arrêt immédiat des démolitions

- l’application du principe de précaution

- la mise en œuvre d’étude exhaustive.

 

 

 

 

 

 

Manifestation du 20/6/2015 Fort de Vaujours : Elus, riverains, associations environnementales main dans la main pour protéger la santé

 

Des manifestants

qui n’ont pas hésité à bloquer

la nationale 3

ce samedi.

 

 

Manifestation du 20/6/2015 Fort de Vaujours : Elus, riverains, associations environnementales main dans la main pour protéger la santé

 

 

A noter notamment les allocutions remarquées de :

 

- Francis Redon, président d’Environnement 93, membre du Collectif « Sauvons la Dhuis »

- Xavier Vanderbise, maire de Courtry et conseiller départemental

- Grégory Jurado, conseiller municipal de Courtry

- Ludovic Toro, maire de Coubron

- Pascal Pian, maire de Villevaudé.

 

 

Dans l’assistance de nombreux élus étaient présents notamment :

 les maires de Gressy et Messy, l’adjointe au maire de Mitry-Mory, des conseillers départementaux du 93….

 

Une absence remarquée, celle du député maire Yves Albarello qui avait appelé à manifester, mais ne s’était pas déplacé.

 

 

Après cette manifestation rien ne sera comme avant au nord-ouest 77 :

 

L’être humain

devra être mis désormais

au centre des préoccupations

et non l’argent versé par les industriels  à leurs actionnaires.

 

Manifestation du 20/6/2015 Fort de Vaujours : Elus, riverains, associations environnementales main dans la main pour protéger la santé
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19 juin 2015 5 19 /06 /juin /2015 13:43
Paru sur le blog du Sénateur de Seine et Marne Michel Billout :
Nous demandons la suspension des travaux de démolition
Fort de Vaujours -  Par Michel Billout / 19 juin 2015

 

 

Communiqué de presse commun de Michel Billout, Sénateur de Seine-et-Marne et

d’Aline Archimbaud, Sénatrice de Seine-Saint-Denis

 

Lors de la réunion de la Commission de Suivi de Site du 5 mai dernier, des élus locaux, des parlementaires et de nombreux représentants d’associations ont protesté contre le manque de transparence dans ce dossier.

Nous sommes intervenus avec notre collègue le Sénateur Gilbert Roger auprès de Madame Ségolène Royal, Ministre de l’Écologie, pour l’informer de ces difficultés qui empêchent que le débat public se mène dans de bonnes conditions.

Certains documents ont été communiqués depuis : l’avis de l’ASN et le protocole proposé par l’entreprise Placoplatre.

Mais notre position n’a pas changé :nous demandons la suspension des travaux de démolition tant que ne sera pas com muniquée une définition complète et satisfaisante du cahier des charges du tiers-expert, et que ne soit pris par l’État un engagement clair de mise en place d’une contre-expertise indépendante permettant aux citoyens et aux élus d’être informés en toute transparence.

Devant les inquiétudes de la population et des salariés face aux risques de pollutions radioactives, chimiques, pyrotechniques, nous voulons que les pouvoirs publics mettent en place un dispositif permettant de connaître la vérité, et ceci dans l’intérêt général.

Nous apportons notre soutien à l’ensemble des habitants, des salariés, et des associations mobilisés pour connaître la vérité.

http://www.michelbillout.fr/activite-des-senateurs/les-communiques-de-presse/article/nous-demandons-la-suspension-des-travaux-de-demolition

 

 

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19 juin 2015 5 19 /06 /juin /2015 09:35

 

Après son projet d’exploiter une carrière de gypse à ciel ouvert sur l’ancien fort de Courtry/Vaujours où des essais atomiques ont été réalisés,

 

aujourd’hui Placoplatre (groupe St Gobain)

veut exploiter à Villevaudé

une carrière de gypse à ciel ouvert

à l’aide d’explosifs

près d’une importante conduite de gaz

 

 

 

Placoplatre pour tenter de faire passer la pilule parle de préservation d’emplois, mais combien d’emplois ont disparu dans cette entreprise, à force de mécaniser à outrance, Placoplatre ne le dit pas.

 

Démolir l’environnement de milliers de riverains de ses carrières, là n’est pas le problème pour Placoplatre (Groupe St Gobain).

 

Car pour la multinationale St Gobain, l’humain n’est pas au centre de ses préoccupations, seul semble compter l’argent quelle pourra distribuer à ses actionnaires.

 

 

 

 

La France est-elle devenue

« le pays des droits des industriels »

après avoir été celui

« des droits de l’homme »?

 

 

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19 juin 2015 5 19 /06 /juin /2015 09:14

Le Plan Local d’urbanisme PLU est en cours de révision, ce document est très important pour la protection de la population dans les années à venir.

 

 

Pour exemple :

En 1997 le Plan d'urbanisme  n’interdisait pas l’implantation de sites polluants ICPE (1) sur le secteur de Bois Fleuri, c’est pourquoi l’entreprise Decapeinture a pu s’implanter en bordure de la RN3 pour y exploiter un atelier de décapage de peintures par voie chimique.

Une entreprise classée dans la rubrique 2565

Revêtement métallique ou traitement (nettoyage, décapage, conversion dont phosphatation, polissage, attaque chimique, vibro-abrasion, etc.) de surfaces quelconques par voie électrolytique ou chimique… (2)

 

Une entreprise classée sous le régime de l’autorisation pour les raisons suivantes :

1. Lorsqu’il y a mise en œuvre :

a) De cadmium

b) De cyanures, le volume des cuves étant supérieur à 200 l

2. Procédés utilisant des liquides (sans mise en œuvre de cadmium ni de cyanures, et à l’exclusion de la vibro-abrasion), le volume des cuves de traitement étant :

a) Supérieur à 1500 l

 

Une entreprise que l’ETAT a laissé s’implanter en 1997 dans un secteur pavillonnaire non relié à un centre d’épuration pour ses eaux usées.

 

L’arrêté préfectoral donné par le préfet Didier Cultiaux le 25/11/1997 indique entre autres :

- Les installations susceptibles de dégager des fumées, gaz, poussières ou odeurs doivent être munies de dispositifs permettant de collecter et canaliser les émissions …..

- Toutes précautions doivent être prises pour que :

-les mélanges de déchets ne puissent être à l’origine de réactions non contrôlées conduisant en particulier à l’émission de gaz ou d’aérosols toxiques ou à la formation de produits explosifs..

- Les eaux pluviales susceptibles d’être polluées sont collectées et ne peuvent être rejetées au milieu récepteur qu’après contrôle de leur qualité. Si leur charge polluante les rend incompatible avec un rejet dans les limites autorisées, elles sont évacuées comme déchets industriels spéciaux….

-Dans un délai de 6 mois aucun effluent industriel ne sera rejeté dans les réseaux ou/ et le milieu naturel. Ils seront recyclés à 100 %.

 

Depuis 17 ans

combien d’inspections ont été réalisées

par les services de l’ETAT sur ce site ?

 

Dans quel état sont les cuves, le réseau de récupération des eaux industrielles est-il conforme à l’arrêté préfectoral ? Nous n’en savons rien, mais à notre connaissance les préfets successifs n’ont imposé depuis 17 ans aucunes prescriptions complémentaires à l’exploitant.

 

Souhaitons que M. Jean-Luc Marx, nouveau préfet du 77, intervienne auprès de Mme Royal pour que les effectifs nécessaires soient donnés aux services de l’ETAT en Seine et Marne pour effectuer ces inspections régulièrement dans ce département où depuis des décennies ces services sont en sous-effectifs.

 

Depuis 17 ans combien d’inspections la commune de Claye-Souilly a-t-elle fait réaliser pour contrôler si l’exploitant rejette dans le réseau communal des eaux conformes à l’arrêté préfectoral ? Nous n’en savons rien.

 

Pour le savoir

nous vous conseillons de vous rapprocher

des élus de Claye-Souilly.

 

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18 juin 2015 4 18 /06 /juin /2015 11:25

 

 

Diviser pour régner

c’est ce que Placoplatre

tente de faire

 

Les salariés face aux riverains

 

D’un côté les salariés veulent préserver leur emploi, ils  habitent en général loin de la carrière et ne sont pas concernés par les problèmes des riverains et de l’autre les riverains s’inquiètent pour leur santé et la destruction de leur environnement mais ne sont pas concernés par la préservation de leur emploi puisqu’en général ils ne travaillent pas chez Placoplatre.

 

 

Placoplatre filiale de St Gobain connaît la solution pour mettre tout le monde d’accord c’est créer des emplois dans le recyclage du plâtre, Placoplatre pourrait le faire,  puisqu'au Danemark on recycle 60 % des déchets de plâtre (1)  mais ce n’est pas vers cette politique que se dirige l'entreprise.

 

 

La politique actuelle du Groupe St Gobain, c’est la finance, verser le maximum de dividendes à ses actionnaires et pour ce faire, il faut ronger jusqu’à l’os nos ressources, mécaniser à outrance et regrouper les activités pour réduire les emplois, car pour satisfaire la finance, moins une entreprise emploie de personnel, plus les actionnaires touchent d’argent.

 

Pour créer des emplois et préserver les ressources en gypse pour les générations futures il est indispensable que Placoplatre engage une politique volontariste menée vers le recyclage du plâtre, plutôt que celle menée actuellement vers une utilisation massive de cette ressource qui va bientôt disparaître.

 

En effet Placoplatre  ne recyclent que 35 000 tonnes par an de plâtre sur ces 3 sites en France.

 

Le Grand Paris va produire des millions de tonnes de terres gypsifères qui pourraient être pour partie recyclées, pourquoi Placoplatre ne se penche pas sur ce dossier ?

 

Pourquoi Placoplatre n’a pas pris d’accord avec l’exploitant de la décharge Veolia de Claye-Souilly afin de recycler les milliers de tonnes déchets de plâtre enterrés dans cette décharge ?

(plus de 125 000 tonnes de déchets de plâtre ont été enterrés dans cette décharge entre 2007 et 2013)

 

Siniat (ex Lafarge) le concurrent direct de Placoplatre, semble lui s’impliquer plus depuis des années dans le recyclage du plâtre, il possède déjà 4 usines de recyclage de Plâtre : Carpentras (84), de Saint-Loubès (33), d’Ottmarsheim (68) et de Auneuil (60).

 

(1) http://www.actu-environnement.com/ae/news/jean-yves-burgy-valorisation-dechets-platre-economie-circulaire-17410.php4

Pour aller plus loin

http://www.bativox.com/vie-entreprises-du-batiment/siniat-ancrage-historique-100-france-engagement-actif-leconomie-circulaire/5974

http://www.green-logistique.fr/industriel-entreprise-verte/siniat/siniat-un-acteur-engage-dans-le-developpement-de-la-filiere-du-recyclage-du-platre-71782/

 

 

 

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18 juin 2015 4 18 /06 /juin /2015 10:26

 

 

Cachez-moi ces décharges que je ne saurais voir

 

Mais vous ne voyez donc pas

ce merveilleux

décor floral

que je vous ai implanté

en centre ville

 

 

 

Après avoir donné des avis favorables encore et encore pour l’extension de la décharge Veolia, qui est devenue la plus importante décharge d’Europe de déchets ultimes, M. le Député Maire Yves Albarello utilise nos impôts pour fleurir la commune dans le but d’obtenir dans un concours

« Une Fleur d’Or ».

 

 

Plutôt que d’engager cette commune dans des concours et d’utiliser l’argent public pour réussir ces concours, M. le Député aurait pu utiliser cet argent pour par exemple implanter un centre médical ou contrôler l’état de pollution de la rivière Beuvronne ou implanter un point de contrôle de la qualité de l’air, car le rôle premier d’un élu n'est-il pas de se préoccuper de l’état de pollution de sa commune et de l’état de santé de ses habitants.

 

 

Extrait Journal la Marne :

Claye-Souilly
La Ville veut décrocher une Fleur d'or

Trois ans après avoir décrocher 4 Fleurs au concours national des villes et villages fleuris, Claye remet son titre en jeu avec un nouvel objectif : obtenir une Fleur d'or.

17/06/2015 à 20:04 par Audrey Gruaz

 

Seule une petite dizaine de communes parviennent, chaque année, à obtenir une Fleur d’or au concours national. « Ce serait le Graal surpême » avoue Yves Albarello.

Le jury arpentera les rues de Claye jeudi 9 juillet, mais le verdict ne sera pas rendu avant le début de l’automne.

http://www.journallamarne.fr/2015/06/17/la-ville-veut-decrocher-une-fleur-dor/

 

 

 

 

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17 juin 2015 3 17 /06 /juin /2015 11:35

APPEL A MANIFESTER POUR DIRE STOP AUX DEMOLITIONS

 

Samedi 20 juin 2015 à 14.00 h

Route de Courtry 93410 Vaujours

Rond-Point d'accès à la Nationale 3

 

Suite à l'avis de l'Autorité de sûreté nucléaire (ASN) daté du 20 mars, Philippe Galli, préfet de la Seine-Saint-Denis, a autorisé le 5 mai la société Placoplatre, filiale du groupe Saint-Gobain, à reprendre ses travaux de démolition des bâtiments de l'ancien CEA (Centre à l'énergie atomique)

pour aller plus loin :

 

http://www.environnement77.fr/2015/06/fort-de-vaujours-plus-de-transparence.html

 

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