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19 février 2016 5 19 /02 /février /2016 13:53

 

 

Villeparisis 

vous en reprendrez bien un peu

de déchets radioactifs ?

 

 

Jacques Repussard directeur de l’institut de radioprotection et de sûreté nucléaire (IRSN), organisme issu d’un service du CEA, préconise d’envoyer les déchets radioactifs dans les décharges ISDD de déchets dangereux comme Sita Fd de Villeparisis.

 

En effet cette décharge reçoit déjà des déchets radioactifs (DRNR) mais ce sont d’autres déchets radioactifs que l’IRSN voudrait nous envoyer : des déchets radioactifs TFA.

 

Les déchets radioactifs TFA ont pour origine principale  l'industrie nucléaire avec le démantèlement des centrales nucléaires, des laboratoires d'études, des centres de recherches et de production de matières radioactives……

 

Il faut bien que vous compreniez que ce type de déchets radioactifs, personne n’en veut, alors si vous pouviez faire un effort à Villeparisis pour les prendre en charge, cela rendrait bien service à l’ETAT.

 

Comme le dit M. Repussard dans l’article qui suit : il faut libérer notre cadre de pensée. 

 

Libérer notre cadre de pensée, c’est en quelque sorte ne plus avoir une opinion négative contre les déchets radioactifs.

 

Voyons donc le côté positif 

la compensation

financière

 

Villeparisis pourrait obtenir de l’argent de l’ETAT, on pourrait vous construire des équipements de luxe : gymnases, salles polyvalentes, une seconde piscine……

 

 

 

Mais ici les ventes immobilières

sont

déjà en chute libre.

 

 

Qui voudra

acheter

une maison ou un appartement

près

d’une décharge de déchets radioactifs ?

 

 

 

 

Paru dans le journal de l’environnement :

Jacques Repussard vous salue bien

Le 18 février 2016 par Romain Loury et Valéry Laramée de Tannenberg

 

Directeur général de l'IRSN, Jacques Repussard quitte ses fonctions dans quelques jours.
 

À quelques jours de son départ, le directeur général de l’institut de radioprotection et de sûreté nucléaire (IRSN) dégoupille deux grenades offensives: la remise à plat de la gestion du post-accidentel en cas de catastrophe nucléaire et l'ouverture d’un débat sur le seuil de libération des déchets très faiblement contaminés. De quoi faire trembler un secteur nucléaire, déjà fortement secoué par les difficultés d’Areva et d’EDF………

 

UN SEUIL DE LIBÉRATION?

Autre cadeau de départ, Jacques Repussard a remis sur la table le dossier, ô combien sensible, des déchets radioactifs de très faible activité (TFA), objet d’un rapport publié mercredi 17 février par l’IRSN. Le sujet va en effet se poser de manière très pressante ces prochaines années: le seul centre de stockage de ces déchets, le centre industriel de regroupement, d’entreposage et de stockage (Cires), devrait bientôt arriver à saturation.

Situé sur les communes de Morvilliers et La Chaise, dans l’Aube, il a été mis en service en 2003, et est doté d’une capacité de stockage de 650.000 mètres cubes sur une durée de 30 ans. Or avec les prochains démantèlements de centrales nucléaires, ce sont 2,2 millions de mètres cubes de déchets TFA qui devraient débouler ces prochaines années. Selon l’Agence nationale pour la gestion des déchets radioactifs (Andra), le Cires devrait être plein aux environs de 2020-2025.

Or sur ces déchets TFA, 30% à 50% présenteraient une activité «très très faible» (déchets TTFA), voire nulle, rappelle l’IRSN dans son rapport. Que faire de ceux-ci? Auditionné mercredi par l’Office parlementaire d’évaluation des choix scientifiques et technologiques (Opecst), Jacques Repussard estime qu’il faut revoir le système actuel, en particulier pour les déchets dont la radioactivité est inférieure aux seuils de libération prévue par la directive européenne 2013/59/CE.

 

TROIS PISTES

Le rapport de l’IRSN évoque trois pistes: primo, trouver d’autres solutions de stockage, par exemple en orientant les déchets les moins actifs vers les installations de stockage de déchets dangereux (ISDD), au nombre de 16 en France. Deuxio, limiter leur production en laissant sur place les matériaux dont la contamination est de très faible niveau. Et tertio, valoriser certains déchets, en particulier ceux de nature métallique, en recourant à leur fusion dans des filières conventionnelles.

Cette dernière solution est déjà appliquée en Allemagne et en Suède. Elle n’en pose pas moins un important problème d’acceptation sociale, d’autant que «les débouchés ne seraient pas tous internes à l’industrie nucléaire», qui ne suffirait pas à réemployer ses propres déchets, indique Jacques Repussard. Parmi les éventuelles filières, «la métallurgie, les constructeurs automobiles, le génie civil et la construction de routes».

 

Pour le député Christian Bataille (PS, Nord), présent lors de l’audition de l’Opecst, «on connaît l’empire des médias et des réseaux sociaux, tout cela a de grandes chances d’être déformé, au risque final qu’on ne puisse rien faire: toutes les démagogies sont possibles derrière de tels sujets».

 

Raison pour laquelle il faut, selon Jacques Repussard, engager «un travail sociétal de fond» avant toute chose, éventuellement avec des conférences de consensus ou de citoyens. Viendra alors le travail technique, qui ne sera «possible qu’à condition qu’on libère notre cadre de pensée».

 

 


[1] L’IRSN est issu d’un service du CEA.

 

http://www.journaldelenvironnement.net/article/jacques-repussard-vous-salue-bien,67407?xtor=EPR-9

 

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18 février 2016 4 18 /02 /février /2016 13:27
Traitements de déchets dangereux  en Seine et Marne : de nouvelles casses automobiles vont-elles venir s’installer ?

 

On annonce une nouvelle prime à la casse automobile, de quoi réjouir les vendeurs d’automobiles mais pas les habitants de Seine et Marne.

 

Car dans ce département on trouve des décharges de toutes sortes mais pas seulement, les casses automobiles fleurissent aussi.

 

Des établissements qui ont  fait l’objet d’un contrôle important de la DRIEE 77 en 2015

et cela continue en 2016.

 

Malgré cela la Seine et Marne compte un certain nombre de casses automobiles illégales, rien qu’au nord 77 on en compte 5. Des entreprises qui reçoivent des mises en demeure mais que le préfet ne fait pas fermer.

Comme à Messy l’entreprise "Gressy Prestige Auto" dont les eaux de ruissellements se rejettent dans la Beuvronne et peuvent être à l’origine de pollution.

Le préfet préfère facturer des amendes à l’exploitant, une contrainte de 100 € par jour,

en quelque sorte un droit à polluer.

 

Mais la DRIEE 77 n’a pas seulement dressé procès-verbal dans des casses automobiles illégales, certaines casses automobiles bénéficiant d’un agrément ont fait également l’objet de mises en demeure, en général pour des risques de pollution des eaux.

 

Nous citerons: 

- Marchetto Esmans

- Valometal (ex Marchetto) Trilport

- Casse RN3 Charmentray

- Euro Casse Coulommiers,

- Magic Auto Villevaudé…..

 

 

 

 

 

 

 

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18 février 2016 4 18 /02 /février /2016 10:39
Fresnes sur Marne : école maternelle et centre aéré au bord des champs cultivés par l'agriculture intensive

Fresnes sur Marne : école maternelle et centre aéré au bord des champs cultivés par l'agriculture intensive

 

 

Epandages des pesticides près des établissements sensibles

(écoles, collèges, lycées…)

 

 

Pour connaître

les mesures prises au nord-ouest 77

 contactez :

Jean-Noël Humbert

 sous préfet de Meaux

ou

Gérard Branly

 sous préfet de Torcy

 

 

 

 

Paru sur le site du Ministère de l’Ecologie :

Ségolène Royal a donné instruction aux préfets de protéger les populations vulnérables en cas d’épandage de pesticides. La ministre rappelle également les décisions prises pour en réduire les usages

 

15 février 2016 - PRÉVENTION DES RISQUES

 

Par une instruction transmise le 3 février, Ségolène Royal a demandé aux préfets :

  • de prescrire des mesures de protection des populations lors des épandages de produits phytosanitaires ;
  • de fixer, à proximité des lieux recevant ou hébergeant des personnes vulnérables (enfants, personnes malades, personnes âgées), des distances minimales adaptées en deçà desquelles il est interdit d'utiliser ces produits ;
  • d’engager des plans de contrôles ciblés dès le second trimestre 2016, période où la fréquence des épandages de produits phytopharmaceutiques est la plus forte.


Ces mesures viennent compléter des décisions déjà prises :

  • l’interdiction de l’épandage aérien de pesticides ;
  • l’interdiction de la vente en libre service des pesticides pour les jardiniers amateurs ;
  • la démarche Zéro pesticide dans les communes.


La ministre de l’écologie rappelle par ailleurs l’objectif fixé par le Plan Ecophyto 2 de réduire de 50% l’utilisation des pesticides d’ici à 2025.

 

http://www.developpement-durable.gouv.fr/Segolene-Royal-a-donne-instruction.html

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17 février 2016 3 17 /02 /février /2016 18:11
ADP Roissy pollution de la Beuvronne : pourquoi l’industriel n’est toujours pas en mesure de respecter  l’arrêté interpréfectoral de 2008 ?

 

 

Un arrêté interpréfectoral « loi sur l’eau » de 2008 obligeait ADP Roissy à respecter certaines prescriptions pour réduire la pollution de ses eaux reversées dans la rivière Beuvronne et prévenir notamment les risques d’inondation sur les communes de Claye-Souilly et Mitry-Mory.

 

Lors des hivers rudes, ADP n’a pas été en mesure de respecter ses obligations et a dû demander des dérogations à la police de l’eau pour déverser des eaux chargées de polluants dépassant les normes autorisées.

 

Cette situation est due au réseau d'assainissement  d’ADP qui doit être mis aux normes pour lui permettre d’éliminer les résidus de  produits dégivrants déversés sur les avions et sur les pistes notamment Glycol avec additifs chimiques dont nous ne connaissons pas la composition, il paraît que c’est « un secret industriel ».

 

Dans l’attente d’un dispositif de gestion efficace des eaux  d’Aéroport de Roissy, les préfets avaient autorisé en 2012 ADP à reverser des eaux pluviales plus chargées en polluants dans la Beuvronne, c’était une situation « dite transitoire », qui devait durer 1 an, mais en 2013 la situation « dite transitoire » a été prolongée de 3 ans. 

 

Nous apprenons aujourd’hui que Jean-Luc Marx, préfet du 77, prolonge encore cette mesure « dite transitoire » de plus de 2 ans.(1)

 

8 ans déjà

que l’arrêté « loi sur l’eau » a été pris

et qu’ADP

n’est  toujours pas en mesure de le respecter !

 

 

Mais pendant ce temps là 

qui paye l’addition ?

 

Les populations qui boivent l’eau du captage d’Annet sur Marne ont vu leur note d’eau augmenter d’année en année, pourquoi ?

 

Est-ce pour partie à cause de la mauvaise qualité de l’eau brute pompée dans la Marne, qui doit subir une dépollution  plus importante pour être consommable ?

 

 

    Le principe

pollueur = payeur

n’est pas encore pour demain

 

 

 

 

 

(1) Arrêté préfectoral n° 2016/DDT/SEPR/009 du 8/2/2016

 

 

 

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17 février 2016 3 17 /02 /février /2016 13:17

 

A grand renfort de média les maires des grandes villes se vantent de faire de la rénovation urbaine.

 

Mais qu’est-ce exactement que la rénovation urbaine : c’est entre autres démolir des immeubles, des tours…. et envoyer les gravats chez les autres.

 

Car quant il s’agit de parler de gravats, les maires des grandes villes détournent la question ou osent dire que tous les déchets sont recyclés.

 

Si tous les déchets

provenant de la démolition urbaine

étaient recyclés

pourquoi aurait-on besoin d’autant

de décharges ISDI.

 

 

 

Qui déverse

toutes ces gravats sur les terres agricoles

de nos villages ruraux ?

 

 

Là c’est l’Omerta la plus complète

 

 

 

Pourtant les populations des villages ruraux ont bien le droit de savoir quelles grandes villes viennent déverser leurs déchets sur leur commune, détruire leur cadre de vie, leur faire prendre des risques sur leur santé, en polluant leur sol, leur air et leur eau.

 

 

 

 

 

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17 février 2016 3 17 /02 /février /2016 09:04
Décharge illégale Marchemoret 16/2/2016

Décharge illégale Marchemoret 16/2/2016

La décharge illégale

de Marchemoret

s'étend

de mois en mois !

 

 

 

Depuis notre dernier article de décembre 2015 nous avons constaté que cette décharge illégale, qui est là depuis plusieurs années, s'est encore étendue.

 

Les eaux de ruissellement  de cette décharge illégale se déversent  dans le ru d’Avernes qui prend sa source à quelques mètres plus haut dans la forêt régionale de Montgé en Goële.

 

Le ru d’Avernes, rejette ses eaux dans la Thérouanne sur la commune de Forfry.

 

 

 

A qui incombe ce dossier ?

 

 

C’est

Jean-Louis Durand

maire de Marchemoret 

qui est en charge de la salubrité publique (1)

et doit prendre toutes les mesures nécessaires

pour remédier aux pollutions engendrées

par cette décharge illégale.

 

 

Pour plus d’informations sur ce dossier, nous vous conseillons de le contacter.

 

 

 

 

 

(1) L’article L2212-2 du CGCT stipule clairement que :

« La police municipale a pour objet d’assurer le bon ordre, la sûreté, la sécurité et la salubrité publiques.

 Elle comprend notamment : ... 5º Le soin de prévenir, par des précautions convenables, et de faire cesser, par la distribution des secours nécessaires, les accidents et les fléaux calamiteux ainsi que les pollutions de toute nature... » .

 

http://www.legifrance.gouv.fr/affichCodeArticle.do?idArticle=LEGIARTI000019983190&cidTexte=LEGITEXT000006070633

 

 

pour aller plus loin :

 

http://adenca.over-blog.com/2015/12/nord-ouest-77-marchemoret-une-decharge-illegale-dont-les-eaux-de-ruissellement-se-deversent-dans-un-affluent-de-la-therouanne.html

 

 

Décharge illégale Marchemoret 16/2/2016

Décharge illégale Marchemoret 16/2/2016

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16 février 2016 2 16 /02 /février /2016 12:27
Décharge ISDI Annet sur Marne

Décharge ISDI Annet sur Marne

 

Décharges ISDI

 

Au regard des arrêtés préfectoraux délivrés par les différents préfets qui se sont succédés

on s’aperçoit qu’aucune limite n’a été fixée quant  à la provenance des ordures.

 

Oui les ordures déversées :

- près de l’école maternelle de Fresnes sur Marne

- près de l’école primaire d’Isles les Villenoy

- près du lotissement de Crégy les Meaux

- près  du captage d’eau d’Annet sur Marne

- à Moussy le Neuf, Longperrier, Moissy-Cramayel, Brie Comte Robert, Vaux le Pénil…

 

peuvent venir de toute la France.

 

Cela s’appelle « la solidarité nationale », puisque les autres ne veulent pas des ordures du BTP chez eux pourquoi ne pas les envoyer en Seine et Marne, là-bas certains élus y sont très favorables et les arrêtés préfectoraux semblent s’obtenir assez facilement.

 

 

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16 février 2016 2 16 /02 /février /2016 11:11

 

 

Bientôt une 3ème décharge à Moussy-le-Neuf ?

La population dans l’angoisse

 

 

Les habitants de Moussy-le-Neuf et Vémars viennent d’apprendre que Jean-François Carenco le Préfet de Région IDF, vient de demander l'annulation du PREDEC qui interdisait l'implantation de décharges ISDI en Seine et Marne pendant 3 ans de juin 2015 à juin 2018.

 

 

Le PREDEC avait permis de suspendre jusqu’en juin 2018 l’implantation d’une 3ème décharge ISDI à Moussy le Neuf , dans cette commune martyre, où les préfets du 77, avaient autorisé en 2008 et 2011 l’implantation de 2 décharges ISDI.

 

Cette future décharge devrait se situer près d’une zone pavillonnaire de Vémars (95)

 

Il faut bien comprendre que l'aéroport de Roissy qui pollue votre air et votre eau  a besoin pour son extension de décharges pour déverser ses déchets BTP, il ne va tout de même pas les stocker devant l'entrée de l'aéroport ou  au pied des hôtels de standing.

 

Et puis il y a les déchets du Grand Paris, il faut bien les mettre quelque part, Paris ne va tout de même pas les déverser au pied de la tour Eiffel ou dans le parc Monceau, vous n’y pensez pas.

 

 

 

 

Paru sur le site le Moniteur fr.

 

Ile-de-France : le préfet demande l’annulation du plan de gestion des déchets

LE MONITEUR.FR - Publié le 09/02/16 à 13h39

 

Jean-François Carenco a déféré le « Predec » au tribunal pour le faire annuler. Ce plan impose notamment un moratoire sur tout projet de décharge en Seine-et-Marne, ce qui, selon le Préfet d’Ile-de-France « est l’affaire de la loi ».

 

Adopté en juin 20015, après près de deux ans de débat, le plan de prévention et de gestion des déchets issus de chantiers du bâtiment et de travaux publics (Predec) d’Ile-de-France faisait jusqu’à présent consensus. Voté à l’unanimité par l’hémicycle régional, ce plan de gestion décrétait d’une part un moratoire sur les stockages en Seine-et-Marne (aucun projet d’extension ou de création de lieu de stockage autorisé pendant une durée de trois ans, et limitation à 4 millions de tonnes par la suite), imposait d’autre part aux départements de la petite couronne d’envoyer leurs déchets dans un département de grande couronne dont ils sont limitrophes, et fixait comme objectifs 200 points de collecte en 2020 pour les artisans (220 points en 2026) et le doublement du nombre de déchèteries professionnelles (16 en 2020 et 20 en 2026 contre 8 en 2010). Indispensable pour gérer une quantité de déchets qui devrait 43 millions de tonnes à l’horizon 2026 avec les chantiers du Grand Paris Express.

Mais voilà que le préfet de la Région Ile-de-France, Jean-François Carenco a décidé d’attaquer le Plan et a demandé son annulation en justice. « J’ai déféré ce plan au tribunal pour le faire annuler dans les délais » indique-t-il dans Les Echos du 9 février. Le principal grief du préfet porte sur le moratoire en Seine-et-Marne. « La Région ne saurait poser ce type d’interdiction. C’est l’affaire de la loi. Et ce plan ne règle rien de nouveau en matière de déchets » épingle-t-il.

 

 

http://www.lemoniteur.fr/article/ile-de-france-le-prefet-demande-l-annulation-du-plan-de-gestion-des-dechets-31326488

 

 

 

 

 

 

 

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16 février 2016 2 16 /02 /février /2016 10:58
Registre Français des émissions polluantes : Le parc d’attraction Disneyland Paris l’un des plus importants émetteurs  d’Ile de France dans l’eau (indirect) de phosphore total et depuis plusieurs années

 

 

« Le phosphore peut se trouver sous différentes formes dans les eaux rejetées par les industriels : organique ou minérale, soluble ou non soluble. La somme des 4 formes constitue le phosphore total, qui est l’indicateur de contamination du milieu. » (1)

 

(1)http://www.bretagne.developpement-durable.gouv.fr/IMG/pdf/pano_20072008_4_Eau_cle037b3c.pdf

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15 février 2016 1 15 /02 /février /2016 16:42

 

Extrait bulletin n° 43 février 2016 RSEIN info santé environnement intérieur :

 

La démarche Etablissements sensibles

"L’Etat a engagé depuis juillet 2010 une démarche d’anticipation environnementale, proactive et systématique pour vérifier la qualité des sols dans les établissements sensibles construits sur d’anciens sites industriels. Cette démarche est encadrée par l’article 43 de la loi de programmation du 5 août 2009 relative à la mise en oeuvre du Grenelle de l’Environnement, puis de l’action 19 du PNSE N° 2. Elle constitue maintenant l’une des dix actions phare du PNSE N° 3.

Il est ainsi prévu de réduire l’exposition aux « substances préoccupantes » notamment par inhalation d’air intérieur, ingestion de sol ou d’eau du robinet dans les établissements accueillant des enfants et des adolescents. Les diagnostics réalisés ne sont motivés ni par une inquiétude sur l’état de santé des enfants et des adolescents, ni par des situations environnementales dégradées et constatées. "

 

 

 

 

Plus d’un quart de ces établissements sensibles du 77

sont situés au nord-ouest 77

dans le secteur de l’étude de zone 

 

 

CHELLES Ecole maternelle Calmette

CHELLES Collège P. Weczerka

LAGNY SUR MARNE Ecoles Maternelle et Primaire Fort du Bois

THORIGNY Ecole élémentaire Gambetta

 

 

 

 

 

Dans ces écoles les enfants boivent-ils de l’eau du robinet ?

Nous n’en savons rien

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