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31 octobre 2015 6 31 /10 /octobre /2015 13:16

 

Paru dans le Parisien 77 :
Villeparisis : premier festival de l’environnement ce samedi

 

30 Oct. 2015, 16h44 | MAJ : 30 Oct. 2015, 19h08

 

 

À la veille de la COP 21, Villeparisis se met au vert et inaugure son premier festival de l’environnement et du bien-être « Vivre Autrement », en partenariat avec le collectif Écologie durable. Une soixantaine d’intervenants sera présente au centre culturel Jacques-Prévert samedi 31 octobre de 14 h 30 à 17 h 30, entre conférence, débats, stands d’information et ateliers.

 

Au programme, un marché écologique, des ateliers réparation de vélo, et des stands consacrés à la protection des animaux, la biodiversité, les déchets, la pollution de l’eau, l’habitat participatif, l’économie sociale et solidaire, ou encore la sophrologie, la naturopathie et l’ostéopathie… En parallèle, une exposition intitulée « Sacrée Croissance ! » sera proposée jusqu’au 4 novembre de 14 h 30 à 17 h 30 dans la galerie d’art du centre culturel, avec des visites commentées.

 

 

http://www.leparisien.fr/villeparisis-77270/villeparisis-premier-festival-de-l-environnement-ce-samedi-30-10-2015-5232761.php

 

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30 octobre 2015 5 30 /10 /octobre /2015 10:05

 

 

En effet notre association a adressé des courriers  à l’industriel  pour savoir si une nouvelle convention financière avait été signée avec le SIAERBB mais l'industriel  n’a daigné répondre.

 

Hier lors de la réunion annuelle « comité de suivi loi sur l’eau » d’ADP la représentante de Nature Environnement 77 a réitéré la demande de notre association mais ADP n’a pas souhaité une nouvelle fois répondre.

 

Que nous cache l’industriel

qui nous avait volontiers envoyé une copie

du précédent contrat ?

 

Pour mémoire un contrat avait été signé en juin 2010 entre le syndicat de la Basse Beuvronne (SIAERBB) et l’industriel ADP.

 

En effet les élus du SIAERBB avaient autorisé le président de leur syndicat Yves Albarello à signer une convention financière avec l’industriel ADP, Contre le versement de 100 000 € chaque année, pendant 5 ans, l’industriel était autorisé entre autres à participer aux réunions ordinaires du comité syndical.

 

 

Ce syndicat est composé des communes d’Annet sur Marne, Claye-Souilly, Fresnes sur Marne, Mitry-Mory, Villeparisis.

 

 

 

 

 

 

 

 

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30 octobre 2015 5 30 /10 /octobre /2015 09:52

 

Paru dans actu-environnement :
ICPE : mise en consultation d'un projet d'arrêté relatif aux exploitations utilisant des GES

Reglementation  |  28 avril 2014  |  Pierre Emmanuel Bouchez

Réduire la taille du texteAugmenter la taille du texteImprimer cette pageEnvoyer par e-mail

Le ministère de l'Ecologie a mis en consultation un projet d'arrêté visant à modifier les prescriptions générales applicables aux installations classées pour la protection de l'environnement (ICPE) déclarées et soumises à contrôle périodique, fabriquant, employant ou stockant des substances appauvrissant la couche d'ozone. La consultation est ouverte du 24 avril au 15 mai 2014.

Ces installations, relevant de la rubrique 1185 de la nomenclature ICPE, ont recours à des gaz fluorés tels que les 
hydrofluorocarbones (HFC), l'hexafluorure de soufre (SF6), ou les perfluorocarbones (PFC), ainsi qu'à des "substances appauvrissant la couche d'ozone" telles que les hydrochlorofluorocarbones (HCFC) ou les chlorofluorocarbones (CFC). La modification des prescriptions générales intervient suite à la modification du champ de la rubrique. 

Des contrôles périodiques sont prévus concernant les 
installations relevant de la rubrique 1185-2 de la nomenclature ICPE. Le texte précise quels points précis sont appelés à être contrôlés, et la mesure dans laquelle ces points peuvent constituer des cas de non conformité majeure. 

Ce type de gaz à effet de serre (GES) est doté d'un pouvoir de réchauffement planétaire (PRP) pouvant être 10.000 fois supérieur à celui du CO2, c'est pourquoi la prévention des fuites et émissions de fluides est capitale.

Pierre Emmanuel Bouchez

http://www.actu-environnement.com/ae/news/icpe-consultation-controles-periodiques-hfc-21500.php4

 

 

William Saurin

St Thibault des Vignes

1er émetteur  en Ile de France

en 2013

 de Gaz  à effet de Serre

hydrochlorofluorocarbones (HCFC) (1)

 

 

 

 

A l’approche de la COP 21

 quelles mesures compte prendre

WILLIAM-SAURIN St Thibault des Vigne

 pour réduire

ses émissions de gaz à effet de serre ?

 

Nous n’en savons rien.

 

 

 

 

 (1) site IREP registre des émissions polluantes http://www.irep.ecologie.gouv.fr/IREP/index.php

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29 octobre 2015 4 29 /10 /octobre /2015 08:34

 

 

Paru sur le site Nature Environnement 77 :

 

 

Non à l'augmentation des nuisances aériennes !

 

Publié le 27 octobre 2015 par Nature Environnement 77

 

 

RASSEMBLEMENT FRANCILIEN ELUS-RIVERAINS

 

POUR L’ARRET DE L’AUGMENTATION DU NOMBRE DE VOLS
ET LA RÉDUCTION SUBSTANTIELLE DES NUISANCES AERIENNES
EN ILE-DE-FRANCE

 

 

 

MARDI 10 NOVEMBRE 2015, A 18 HEURES
MINISTERE DE L’ECOLOGIE
246, BOULEVARD SAINT-GERMAIN – 75007 PARIS

 

 

Inscription auprès du secrétariat de la Convergence Associative :
contact@convergence-associative.fr / 01 39 89 91 99

 

 

VENEZ NOMBREUX POUR DIRE NON A UNE CROISSANCE
SANS CONTRAINTES DU TRAFIC AERIEN EN ILE-DE-FRANCE

 

 

 

Non à l'augmentation des nuisances aériennes !

 

Plus que jamais, la menace d'augmentation du trafic aérien en Île-de-France est présente, conséquence prévisible du doublement annoncé du trafic mondial pour 2030, et corroborée par les prévisions d'investissements d'ADP, ainsi que par les carnets de commande des constructeurs d'avions.

Face à cette situation, la politique aéroportuaire du pays se résume en une gestion à saturation des aéroports existants, alors que les couloirs aériens survolent des zones très densément peuplées. Aucune mesure tangible n'a été prise ces dernières années par les pouvoirs publics, alors qu'il existe des solutions réalistes et applicables pour réduire les nuisances aériennes et protéger les habitants survolés de la région la plus peuplée de France.

 

 

 

http://www.environnement77.fr/2015/10/non-a-l-augmentation-des-nuisances-aeriennes.html

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28 octobre 2015 3 28 /10 /octobre /2015 09:46

 

 

Extrait conseil Municipal du 12 février 2015 page 9

 

« 11. ACQUISITION D’UN TERRAIN SITUE 53 RUE JEAN JAURES

Monsieur le Maire informe l’Assemblée Délibérante qu’à l'occasion du réaménagement du parc de stationnement d'un établissement commercial, et afin de désengorger la rue Jean Jaurès et d’assurer sa livraison par l’arrière, de deux nouveaux accès et sorties seront créés, depuis le parking du foyer André Burel et la promenade de la Beuvronne.

 

Pour la réalisation de cet aménagement, la Ville a recherché et trouvé un accord avec Monsieur Michel COURIVAUD, propriétaire de la parcelle sise 53 rue Jean Jaurès, cadastrée section BH n°62, concernant la cession d’une emprise de 117 m², établie selon plan de division établi par géomètre (lot B), en partie centrale, pour un prix de 9.000 euros.

 

La Ville prendra à sa charge les frais d’actes occasionnés par cet accord.

Il est donc proposé au Conseil Municipal :

D’APPROUVER cette acquisition.

D’AUTORISER Monsieur le Maire à signer tous les actes liés à cette acquisition.

APPROUVE A L’UNANIMITE des membres présents et représentés du Conseil Municipal. »

 

 

Le rôle d’une commune n’est pas de favoriser les intérêts privés d’une multinationale mais d’utiliser les deniers publics pour le bien être de tous les habitants.

 

C’est pourquoi Adenca demande à Yves Albarello, député-maire, de signer une convention avec la multinationale Carrefour afin de permettre l’accès de ce parking non aux seuls clients de Carrefour Market mais également aux habitants qui viennent faire leurs courses en centre ville, par exemple en mettant ce parking en zone bleue, pour concilier les intérêts de tous.

 

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27 octobre 2015 2 27 /10 /octobre /2015 09:28

 

La société Les Diluants Français, devenue la société ARLEQUIN, a été autorisée à exploiter 45, rue Gay Lussac à Mitry-Mory, par arrêté préfectoral n° 92 DAE 2 IC 178 en date du 17 septembre 1992, une installation spécialisée dans la fabrication de peintures, vernis et diluants destinés à l’industrie automobile.

 

En janvier 1998, 8000 litres de produits (acétate d’éthyle) se sont déversés dans le sol par une canalisation enterrée entre deux cuves de mélange entraînant une pollution de la nappe phréatique et des sols sur le site et sur la parcelle SESM voisine.

L’étude simplifiée des risques transmise par la SA ARLEQUIN en août 2002 conclut à un classement du site en classe 2, nécessitant une surveillance en raison de la présence de polluants (COHV, BTEX, acétate d’éthyle et hydrocarbures totaux) dans la première nappe rencontrée au droit du site, la nappe des calcaires de Saint Ouen, située à une dizaine de mètre de profondeur.


La société a été mise en liquidation judiciaire et clôturée pour insuffisance d’actifs le 29/3/2010

 

Depuis cette date la pollution s’est étendu, sans qu'à notre connaissance, l’ETAT n’ait poursuivi en justice ni le gérant de la Sté Arlequin, ni même le gérant de la SCI JLB Mitry, propriétaire du terrain qui, ironie du sort, est la même personne et coule des jours heureux à l’étranger, il s’agit de :

 

Monsieur Jean-Luc BOUVET

Domaine de la Hêtraie

51 rue H. Van Zuylen

B- 1180 Bruxelles (Belgique)

 

 

En 2010 l’ADEME est intervenue sur le site pour réaliser des investigations concernant l'extension de la pollution et l'état des milieux eaux souterraines, gaz de sol et air ambiant et la rédaction d'un rapport présentant entre autres l'évaluation quantitative des risques sanitaires.

 

La pollution s’est encore étendue depuis, ce qui a obligé la mairie de Mitry-Mory a prendre un arrêté municipal le 16 juillet 2014 restreignant l’usage des eaux souterraines.

 

L’ETAT aurait pu prendre en charge la dépollution du site et poursuivre M. Jean-Luc BOUVET pour obtenir le remboursement des frais engagés mais Mme ROYAL a simplement demandé en date du 15/7/2014 de continuer à surveiller la qualité des eaux souterraines et des gaz du sols pendant 2 ans, ce que fait aujourd’hui l’ADEME aux frais du contribuable.

 

Nous venons d’apprendre par arrêté préfectoral du 16/10/2015 que la SCI JLB Mitry dont le gérant est Jean-Luc BOUVET va procéder à des travaux de démolition des bâtiments dans le but de louer le site.

 

Oui vous avez bien compris L’ETAT n’a pas poursuivi Jean-Luc Bouvet, gérant de la Sté Arlequin liquidée pour insuffisance d’actif, sté qui a laissé un site pollué.

 

Aujourd’hui ce site pollué est surveillé par l’ADEME, organisme financé par vos deniers publics et dans quelques temps la SCI JLB Mitry, dont le gérant est le même Jean-Luc BOUVET, va pouvoir encaisser des loyers, sans qu’à notre connaissance l’ETAT ne demande le remboursement des deniers publics engagés pour surveiller ce site pollué.

 

 

 

 

Pour aller plus loin :

http://adenca.over-blog.com/2015/06/mitry-mory-pollution-de-la-nappe-phreatique-pourquoi-l-etat-n-a-pas-poursuivi-en-justice-le-gerant-de-la-ste-arlequin.html

 

http://adenca.over-blog.com/article-27385235.html

 

 

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27 octobre 2015 2 27 /10 /octobre /2015 09:26
Paru dans le journal de l’environnement :
Des nanotubes de carbone retrouvés dans des poumons humains

Le 23 octobre 2015 par Romain Loury

 

Des nanotubes dans l'air

 

Ce sont des enfants parisiens qui en font l’honneur: pour la première fois, des nanotubes de carbone, issus de la pollution atmosphérique, ont été retrouvés dans des poumons humains, lors d’une étude franco-américaine publiée dans la revue eBioMedicine.

 

 

Une première au monde, enfin presque: avant cela, ces nanotubes de carbone issus de la combustion (à ne pas confondre avec ceux produits de manière synthétique pour des applications industrielles) avaient été retrouvés dans les exsudats de survivants du World Trade Center, donc suite à une exposition massive et accidentelle.

 

 

Menée par Fathi Moussa, professeur de chimie à l’université Paris-Sud et pharmacien biologiste à l’hôpital Trousseau (Paris), et ses collègues, cette étude est la première à porter sur une exposition chronique à la pollution urbaine. Pour cela, les chercheurs ont étudié 69 lavages broncho-alvéolaires de jeunes asthmatiques, âgés de 2 mois à 17 ans, chez qui ces échantillons sont prélevés en routine dans les services de pneumo-allergologie.

 

A l’aide de différentes méthodes d’analyse (microscopie électronique à transmission, analyse dispersive en énergie par rayons X), les chercheurs ont observé, y compris à l’intérieur de cellules pulmonaires, des nanotubes de carbone d’un diamètre compris entre 10 et 60 nanomètres, et d’une longueur de plusieurs centaines de nanomètres. Les mêmes que ceux qu’ils ont retrouvés sur des pots d’échappement et dans de la poussière recueillie sur des fenêtres.

 

Des mécanismes à élucider

 

Quel impact sanitaire de ces nanotubes qui s’accumulent dans nos poumons? Certes, les effets des particules fines, en particulier les PM2,5 dont font partie ces nanotubes, ne font plus guère de doute: selon l’Organisation mondiale de la santé (OMS), la pollution de l’air a tué 7 millions de personnes en 2012. Mais les mécanismes à l’œuvre demeurent encore peu connus, tant la pollution atmosphérique contient une grande variété de composants.

Menés chez l’animal, «des travaux ont déjà montré que lorsqu’ils sont longs ou qu’ils forment des agrégats, les nanotubes de carbone engendrent des granulomes inflammatoires» à l’intérieur des poumons, pouvant aller jusqu’au cancer, explique Fathi Moussa au JDLE. Pourtant, la taille des nanotubes découverts par les  chercheurs semble inférieure à celle requise à cet effet, proche de l’amiante.

 

«Ce qui est certain, c’est que ces particules [du fait de leur petite taille] ont une très grande surface spécifique, qui leur permet d’adsorber un très grand nombre de composants» qu’ils côtoient dans l’air (gaz, métaux, autres particules), dont la toxicité serait renforcée par l’effet de concentration. En cela, ces nanotubes pourraient agir  comme «nanovecteurs», avance Fathi Moussa, qui pointe les nombreuses inconnues quant à leur devenir.

 

http://www.journaldelenvironnement.net/article/des-nanotubes-de-carbone-retrouves-dans-des-poumons-humains,63261?xtor=EPR-9

 

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26 octobre 2015 1 26 /10 /octobre /2015 21:35

 

 

 

Par arrêté préfectoral du 22/10/2015

le préfet Jean-Luc Marx autorise

Novergie St Thibault

à incinérer encore plus d’ordures ménagères

passant

de 140 000 tonnes à  155 000 tonnes.

 

 

« Petit peuple » du nord-ouest 77 le préfet Jean-Luc Marx prend soin de votre santé : il augmente la capacité d’incinération de l’usine d’ordures ménagères de St Thibault des Vignes

 

 

Il faut bien incinérer les ordures ménagères des autres, car ce n’est pas pour incinérer un  surplus de vos ordures ménagères mais pour incinérer les ordures venant d’autres départements, par exemple de l’aéroport de Roissy dans le Val d'Oise…

 

A l'approche de la COP 21 les émissions  supplémentaires de gaz à effet de serre, M. le Préfet semble les avoir oubliées.

 

M. Jean-Luc Marx semble également avoir oublié que :

 

1° St Thibault des Vignes est l’une des rares communes de France à posséder 2 incinérateurs

 

2° L’'incinérateur d'ordures ménagères de St Thibault est classé parmi les plus gros émetteurs d'Ile de France en NOx en 2013 (1)

 

3°   L'incinérateur d'ordures ménagères de St Thibault est classé plus important émetteur de Cadmium en IDF en 2005 (2)

 

4°   L’'incinérateur d'ordures ménagères de St Thibault est classé parmi les  plus importants émetteurs de chrome et de cuivre d'IDF en 2005 (2)

 

5° La blanchisserie industrielle Thimeau de St Thibault des Vignes est classée plus gros émetteur en France de Tétrachloroéthylène en 2013 (1)

 

6° La blanchisserie industrielle Thimeau de St Thibault des Vignes est classée parmi les  plus importants émetteurs de COVnM d’IDF en 2013(1)

 

7° William Saurin est le 1er émetteur en Ile de France en 2013 de Gaz à effet de Serre 
hydrochlorofluorocarbones (HCFC) (1)

 

8° La francilienne traverse cette commune où circulent en particulier beaucoup de véhicules diesel et notamment de camions (émissions de particules…)

 

 

 

 

Voici la liste du président et des vice-présidents du SIETREM 

en charge de cet incinérateur

collectivité

qui a demandé l'augmentation de capacité d'incinération

à St Thibault des Vignes

 

 

pour toutes informations complémentaires

nous vous conseillons de les contacter

 

 

Michel GERES Président (maire de Croissy-Beaubourg)

Vice-présidents :

Xavier LEMOINE (maire de Montfermeil)

Jean-Louis GUILLAUME (adjoint au maire Vaires sur Marne)

Anasthasio DIOGO (adjoint au maire de Noisiel)

Christian PLUMARD (adjoint au maire de St Thibault des Vignes)

Hien Toan PHAN (adjoint au maire de Collègien)

Guillaume SEGALA (adjoint au maire de Chelles)

Lionel MARTINEZ (conseiller municipal de Lognes)

Christian ROBACHE (maire de Montévrain)

Jacky CUISINIER (conseiller municipal Courtry)

Dominique FRANÇOISE (adjointe à l’environnement Pomponne)

 

 

(1) Source site REP

(2) (1) étude d'airparif de 2008 indique que cet incinérateurhttp://www.airparif.asso.fr/_pdf/publications/Rapmontereau_biblio.pdf

 

 

 

Pour aller plus loin :

http://adenca.over-blog.com/2015/09/pollution-de-l-air-a-st-thibault-des-vignes-la-ville-aux-2-incinerateurs-jean-luc-marx-prefet-du-77-va-t-il-autoriser-l-augmentation

http://adenca.over-blog.com/article-pourquoi-une-partie-des-dechets-d-adp-sont-incineres-en-seine-et-marne-a-st-thibault-des-vignes-120829868.html

 

http://adenca.over-blog.com/article-pourquoi-le-sietrem-de-st-thibault-des-vignes-accepte-de-recevoir-plus-de-dechets-qu-il-ne-peut-trai-120779964.html

 

http://adenca.over-blog.com/article-incinerateur-de-st-thibault-des-vignes-non-respect-de-l-arrete-prefectoral-120783193.html

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26 octobre 2015 1 26 /10 /octobre /2015 18:11

 

Paru sur le site FNE :

 

Non à la triple peine des riverains de sites industriels à risque !


 

Signez la pétition pour que le financement des travaux de protection des riverains de sites industriels à risque repose sur les industriels, l’Etat et les collectivités et non sur les riverains eux-mêmes.

 


Voisins de sites Seveso : une situation financièrement explosive

La récente catastrophe des « boues rouges » en Hongrie nous a tristement rappelé que le risque Zéro en matière industrielle n’existe pas. En France, le projet de loi de finance doit déterminer les modalités de financement de la protection des riverains de sites Seveso seuil Haut, toujours sans protection 9 ans après AZF. A la fois pollués et payeurs, les riverains des 620 sites risquent d’être condamnés à régler la plus grosse partie d’une facture de plusieurs millions d’euros pour assurer leur protection. Faire reposer ce paiement sur des populations parmi les plus défavorisées, c’est prendre le risque de ne jamais voir les travaux réalisés Qui doit payer ? L’Etat ? L’industriel ? Les collectivités ? France Nature Environnement lance l’alerte à propos d’une situation financièrement explosive.

Les riverains des sites Seveso subissent donc une triple peine, ce que dénonce vivement France Nature Environnement. Ils supportent au quotidien toutes les nuisances d’un site industriel dangereux. Ils vivent avec la menace d’une catastrophe industrielle. Ils doivent désormais payer pour se protéger du risque.

France Nature Environnement demande à l’Etat :

- Que le crédit d’impôt de 40 % du montant des travaux proposé exclusivement aux propriétaires occupants soit élargi aux propriétaires bailleurs ;

- Que l’engagement aille au-delà de 2013, date prévue par la loi Grenelle II. Un engagement indispensable pour que tous les travaux soient menés ;


- De se prononcer clairement sur la portée et le mécanisme du financement des travaux pour l’habitat social, très présent autour des sites Seveso ;

- Que les 60 % des montants des travaux restant aujourd’hui à la charge des propriétaires occupants soient supportés par les collectivités et par l’industriel à l’origine du risque, et que des solutions d’aide financière soient proposées aux personnes vivant en zone de recommandation, à proximité des sites.

 

 

http://www.fne.asso.fr/fr/jagis/petitions/petition-seveso.html

 

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26 octobre 2015 1 26 /10 /octobre /2015 18:03

 

Extrait article paru sur le site Le Figaro.fr économie :

 

Eau de mauvaise qualité : les usagers incités à attaquer leur distributeur

Hayat Gazzane Mis à jour le 22/10/2015 à 08:37 Publié le 21/10/2015 à 06:00

 

VIDÉO - La cour d'appel de Paris a donné raison à un usager qui demandait des comptes à Veolia en raison de la mauvaise qualité de son eau de robinet. Une décision qui pourrait faire jurisprudence, assurent des associations de défense des consommateurs.

 

 

Généralement, lorsque l'eau qui coule dans les robinets est de mauvaise qualité, les usagers se plaignent et attendent que le problème passe. Rares sont ceux à envisager une action en justice contre leur fournisseur d'eau. Et pourtant, l'option est plus que jamais sur la table. Dans un arrêt daté du 17 septembre dernier, la cour d'appel de Paris a donné raison à un usager qui accusait Veolia de ne pas lui fournir une eau potable de qualité. Une décision qui ouvre la voie à d'autres actions en justice, selon les associations de défense de consommateurs. «C'est le premier arrêt de ce genre. Le consommateur a été pris en compte, ce n'est pas fréquent», commente Jacques Margalef, président de l'association France assainissement eau (AFAE).

 

Dans le cas jugé par la cour d'appel de Paris, Veolia était opposée à un père de famille habitant une maison dans le département de l'Essonne. Entre 2007 et 2012, ce dernier a constaté, après avoir fait faire plusieurs prélèvements, que l'eau qui coulait dans ses robinets n'était pas conforme aux normes en vigueur. Alertée, la société Veolia, qui gère l'eau de la ville dans le cadre d'un contrat d'affermage, tarde à agir. L'usager décide alors de se retourner contre elle en 2012. Débouté en février 2014 par le tribunal de grande instance de Paris, le père de famille fait appel. En septembre, la cour d'appel finit par casser le premier jugement et lui donne raison. Veolia est condamnée à lui verser 7560 euros au titre du préjudice de jouissance (prenant en compte le remboursement des factures d'eau), 1000 euros pour préjudice moral et 4000 euros pour les frais de justice engagés.

 

Mais plus que cette somme, c'est le rappel à l'ordre envoyé par la justice à Veolia qui suscite l'intérêt des observateurs. En effet, après avoir décortiqué le contrat qui lie la commune à ce dernier, la cour d'appel en arrive à la conclusion que «la société Veolia et la société française de distribution d'eau ont manqué à leur obligation qui est une obligation de résultat». Elle rappelle même que «le délégataire est toujours responsable de la qualité de l'eau et de la réparation des dommages causés». Selon un juriste spécialisé, «c'est un jugement très sévère car il pose le principe de la responsabilité du délégataire». Autre fait nouveau: «au lieu de se baser sur le code civil, comme c'est le cas d'habitude dans une affaire de droit privé, le juge s'est fondé directement sur le contrat liant la ville au délégataire», explique-t-il. Les conséquences pour les usagers sont directes: «Il y a une faille potentielle à exploiter concernant la responsabilité des différents partis. Les usagers peuvent se retourner contre leur fournisseur sur la base de cet arrêt. Ce jugement peut faire jurisprudence», assure ce juriste……

 

http://www.lefigaro.fr/conso/2015/10/21/05007-20151021ARTFIG00008-eau-de-mauvaise-qualite-les-usagers-incites-a-attaquer-leur-distributeur.php

 

 

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