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19 avril 2017 3 19 /04 /avril /2017 11:02
A grand renfort de médias Jean-Jacques Barbaux vient de signer un contrat d’intérêt national pour Melun/ Dammarie les Lys et alentours.
Pour faire court c’est  un projet de démolition/reconstruction pour  améliorer le cadre de vie dans ces villes en détruisant le cadre de vie des villages ruraux qui recevront les ordures de démolition.
Jean-Jacques Barbaux ne dit pas où seront recyclés les déchets dangereux de déconstruction et quelles décharges recevront ceux qui ne seront pas recyclés ?
En effet la région de Melun ne possède pas de décharge de déchets dangereux, déchets qu’elle envoie régulièrement chez les autres, pour beaucoup au nord 77 à Villeparisis.
Quant au recyclage/décharge des déchets dangereux provenant de la démolition du bâtiment, à notre connaissance le seul projet actuellement se trouve au nord-ouest 77 : Terzeo à Villenoy/Isles les Villenoy.
Pourquoi le sud 77 se priverait-il aujourd’hui d’envoyer ses ordures au nord-ouest 77 alors qu’il le fait depuis de nombreuses années, on ne va tout de même pas implanter une entreprise de recyclage /décharge de déchets dangereux en bordure de la forêt de Fontainebleau, laissons cela pour les habitants de Villenoy/Isles les Villenoy.
Là-bas les ordures des autres ils y sont habitués, leurs carrières, décharges  et entreprise de recyclage en regorgent.
Alors un peu plus
un peu moins
 ils ne vont tout de même pas faire la fine bouche.
Paru sur le site de la préfecture de région :
Grand Paris – Signature d’un 8e CIN en Seine-et-Marne et MIPIM de Cannes : l’État sur tous les fronts pour aménager et promouvoir la région-capitale !

Mise à jour : 30 mars 2017

Michel Delpuech, préfet de la région d’Île-de-France, préfet de Paris, a signé le 15 mars dernier le 8e Contrat d’intérêt national (CIN) « Communauté d’agglomération Melun-Val-de-Seine » avec Jean-Jacques Barbaux, président du conseil départemental de Seine-et-Marne, et Louis Vogel, maire de Melun, président de la communauté d’agglomération Melun Val-de-Seine....

http://www.prefectures-regions.gouv.fr/ile-de-france/Documents-publications/Pref-Actualites/2017/Avril/Grand-Paris-Signature-d-un-8e-CIN-en-Seine-et-Marne-et-MIPIM-de-Cannes

 

Paru dans le Parisien 77 :

Melun Val-de-Seine : un contrat d’intérêt national pour booster les projets de l’agglomération

>Île-de-France & Oise>Seine-et-Marne>Melun|Sophie Bordier|28 février 2017, 18h50|0

CIN. Derrière ces trois lettres du Contrat d’intérêt national se trouvent des projets que l’Etat s’engage à booster financièrement entre 2017 et 2021, au nom de « l’intérêt national ». Lundi soir, les élus de la Communauté d’agglomération Melun Val-de-Seine (CAMVS) ont voté le principe de signature d’un CIN avec l’Etat et le Département.

Une aubaine pour cette intercommunalité de 20 communes et 128 000 habitants. Le contrat sera signé d’ici mi-mars. « Cela montre que l’Etat reconnaît des projets de valeur sur notre territoire. On espère qu’il s’engage sur un soutien de 10 M€ par an sur cinq ans, une manne extraordinaire qui viendrait en supplément des subventions de droit commun », salue Louis Vogel (LR), maire de Melun et président de la CAMVS.

Melun, 27 février. Louis Vogel (LR) est ravi du soutien financier de l’Etat, espéré à hauteur de 10M€ par an sur cinq ans, soit 50 M€ au total. LP/Sophie Bordier

Les neuf élus d’opposition se sont abstenus. « Ce CIN pèche par une vision technocratique de l’aménagement du territoire. On nous parle de compétitivité quand il y a urgence à penser emploi, nourriture saine, air respirable, qualité de vie. Un pont créera plus de trafic», estime Bénédicte Monville de Cecco (EELV).

Les grands axes retenus

Conforter le développement économique. Un gros coup de pouce est prévu pour le pôle aéronautique de Paris Villaroche, avec le développement d’un véritable cluster d’envergure nationale. L’investissement total est estimé à 40M€ d’ici 2030. La compétitivité du pôle passera notamment par une amélioration de la desserte du site (bus en lien avec les gares du secteur) et le lancement de formations adaptées. Par ailleurs, autour du Santépôle (futur hôpital de Melun-Sénart), une nouvelle filière santé est envisagée (centre des soins de suite, laboratoires, maisons médicales... ).

Proposer un « Grand Melun touristique ». Le classement de Maincy en « Grand site de France» sera demandé, impliquant l’amélioration de la desserte de Vaux-le-Vicomte. L’offre hôtelière devra se renforcer.

Maîtriser les déplacements. Face aux 90 000 véhicules traversant chaque jour Melun (dont 50 000, avenue Thiers), le CIN exige que la création du pont franchissant la Seine en amont de Melun, entre La Rochette et Vaux le Pénil, démarre dès 2021. Cet ouvrage doit coûter 20 M€. Une étude sera lancée pour un pont aval. Les signataires s’engagent en outre à ce que le pôle d’échanges multimodal de la gare de Melun (nouvelle gare routière au nord et au sud des voies ferrées, stationnements pour vélos, parking souterrain, etc.) soit terminé en 2021 pour accueillir le Tzen 2 en 2023.

Augmenter l’offre de formation. Le CIN veut renforcer l’offre universitaire à Melun, avec l’extension de Paris II-Assas, la venue de Paris VI (médecine), du Conservatoire national des arts et métiers (Cnam) et la création d’un centre d’études sur la sécurité.

Améliorer le logement. Le CIN doit faciliter les programmes de rénovation-réhabilitation-construction, notamment sur l’arc nord, le centre-ville et la future friche de l’hôpital Marc-Jacquet à Melun, ainsi qu’au Clos Saint-Louis à Dammarie.

leparisien.fr

 

http://www.leparisien.fr/melun-77000/melun-val-de-seine-un-contrat-d-interet-national-pour-booster-les-projets-de-l-agglomeration-28-02-2017-6720234.php

 

 

 

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17 avril 2017 1 17 /04 /avril /2017 17:29
Nord-Ouest 77, un secteur aux mains de l’agriculture intensive : une eau « dite potable » polluée par l’atrazine depuis une dizaine d’années à Chambry, Forfry, Gesvres le Chapitre, Marcilly, Monthyon

 

L’ETAT  sait bien que les pesticides et notamment l'atrazine dans l'eau potable sont dangereux pour les populations.

 

L’atrazine est un pesticide interdit en France depuis 2003, mais que l’on retrouve encore

dans les eaux « dites potables » de certaines communes rurales de Seine et Marne.

 

Mais qu’à cela ne tienne, le représentant de l’ETAT, est entrain d’étudier, à la demande

de l’agriculture intensive, le déclassement de certains cours d’eau sur ces mêmes communes de Gesvres le Chapitre, Monthyon, Marcilly et Chambry.

 

Pour faire court ce déclassement pourrait permettre à l’agriculture intensive de déverser

des pesticides au bord de ces cours d’eau, alors que la législation actuelle les en empêche.

 

C'est

"ladite démocratie à la française"?

 

Le droit donné à l’agriculture intensive

de polluer un territoire

avec la bénédiction de certains élus ?

 

 

Le droit des populations

de subir et de se taire

surtout se taire ?

 

 

A vous de juger.

 

 

Paru sur le site Docbuzz :

Un pesticide, l’atrazine provoque un grand risque de retard de croissance intra-utérin

 

Une étude menée en France et publiée dans la revue médicale Environmental Health Perspectives, démontre qu’un pesticide, l’atrazine, que l’on retrouve dans l’eau du robinet, peut provoquer un risque de retard de croissance intra-utérin associé à une réduction du périmètre crânien.

L’atrazine est un pesticide utilisé dans un grand nombre de pays pour le traitement des mauvaises herbes. Si l’atrazine a été interdit en Europe en 2003, c’est toujours l’un des herbicides les plus largement utilisé aux États-Unis et dans le reste du monde. L’atrazine est tératogène, agit comme perturbateur endocrinien, et est capable d’abaisser le niveau de la testostérone : à des concentrations très faibles de l’ordre de 0,1 partie par milliard, elle féminise les batraciens.

En France, parmi les pesticides, l’atrazine est le principal polluant des eaux. Lors de son interdiction, sa présence était généralisée dans l’eau car elle avait contaminé toutes les nappes phréatiques suite à une utilisation massive par les agriculteurs. L’AFSSA recommande de ne pas consommer l’eau lorsque la présence d’atrazine dépasse 0,4 µg/l pour les nourrissons, 0,6 μg/l pour les enfants et 2 μg/l pour les adultes. Or, les prélèvements effectués observaient que ces niveaux étaient atteints dans un nombre croissant de cas.

L’étude a été menée en Bretagne par une équipe de l’Inserm de Rennes (université de Rennes), dirigée par Cécile Chevrier.

L’agriculture intensive en Bretagne a entrainé une utilisation massive d’herbicides qui se poursuit aujourd’hui. Il est estimé par exemple pour la seule année 2001 que 200 tonnes d’atrazine ont été répandues sur le sol, dont 70% pour la seule culture du maïs destiné à l’élevage (0,62 kg d’atrazine par hectare). Cette intoxication massive des nappes phréatiques s’est faite avec la bénédiction du ministère de l’agriculture qui en 1997 autorisait l’usage d’atrazine jusqu’à 1 kg par hectare. Cinq ans plus tard l’atrazine était interdite par l’Europe du fait de sa dangerosité. L’atrazine a été remplacée par d’autres herbicides (alachlore, acétochlore, métolachlore). En 2006, on retrouvait encore une concentration d’atrazine de 0.38 μg/L dans les eaux de surface et l’eau du robinet était contaminée à hauteur de 0.1 μg/L, une quantité potentiellement toxique.

Les scientifiques ont suivi un groupe de 579 femmes enceintes, âgées en moyenne de 30 ans. L’existence d’une contamination des femmes enceintes par l’atrazine a été recherchée par mesure de leur taux urinaire d’atrazine et de ses métabolites avant la 19 ème semaine de gestation. Ces résultats ont été corrélés à la survenue de problèmes périnataux afin de déterminer l’action de l’atrazine sur les fœtus.

Ces femmes ont donné naissance à 601 enfants, chez qui 88 anomalies congénitales majeures ont été constatées, ainsi que 26 anomalies génitales chez des enfants mâles, 180 retards de croissance intra-utérin et 105 réductions du périmètre crânien.

Un retard de croissance était plus fréquent chez les femmes ayant suivi un cursus éducatif court, fumeuses, consommant 1 verre d’alcool par jour, ayant une pression artérielle élevée.

Au total, 6% des femmes enceintes présentaient des niveaux quantifiables d’atrazine ou de l’un de ses métabolites dans leurs urines. Autant de femmes vivant en ville qu’à la campagne étaient contaminées par l’atrazine. Cependant la contamination était plus importante chez les femmes mangeant beaucoup de poisson. Les scientifiques retrouvent également une contamination importante aux herbicides ayant remplacé l’atrazine depuis son interdiction (métolachlore).

La contamination des futures mamans par l’atrazine augmentait le risque de retard de croissance intra-utérin de 50% et de réduction du périmètre crânien à la naissance de 70%. Le retard de croissance du bébé et la réduction du poids du bébé étaient directement corrélés à la contamination par l’atrazine ou à ses métabolite (simazine). L’atrazine augmentait de 40% le risque d’anomalies génitales chez les garçons mais le petit nombre de cas (5 exposés et 18 non exposés) ne permettait pas de conclure. II n’a pas été retrouvé d’association avec les malformations congénitales majeures.

La contamination par les herbicides ayant remplacé l’atrazine (métolachlore) entrainait également une réduction du périmètre crânien chez les enfants ainsi qu’une réduction de la taille et du poids, réduction qui n’atteignait pas la significativité. Ces herbicides sont toujours autorisés et utilisés à ce jour en France.

Cette étude montre d’abord la persistance, même des années après un arrêt de leur utilisation, des pesticides dans l’eau, les sols et une poursuite de contamination dans l’eau du robinet. Elle montre ensuite que leur toxicité est réelle y compris à des doses très faibles : un herbicide perturbateur endocrinien a des effets dommageables sur le développement du fœtus et donc sur le futur état de santé de l’enfant.

Si ces données ont été publiées après l’arrêt de l’utilisation de cet herbicide, on ne peut qu’imaginer les dégâts sanitaires qu’il a causés en toute impunité au cours de ses longues années d’utilisation. La Bretagne n’a pas été la seule région française touchée par cette intoxication.

Il est peut-être temps d’arrêter de jouer aux apprentis sorcier en déversant des quantités massives de pesticides et d’herbicides mal étudiés, et dont la toxicité reste plus ou moins inconnues pour l’écosystème et l’être humain. Rappelons que la France reste le plus grand consommateur de ces produits toxiques dans toute l’Europe et que leur toxicité est niée par les producteurs et les autorités sanitaires.

Source

Urinary Biomarkers of Prenatal Atrazine Exposure and Adverse Birth Outcomes in the PELAGIE Birth Cohort
Cécile Chevrier, Gwendolina Limon, Christine Monfort, Florence Rouget, Ronan Garlantézec, Claire Petit, Gaël Durand, Sylvaine Cordier
Environmental Health Perspectives, publication en ligne du 2 mars)

L’atrazine, un herbicide agricole, affecte la reproduction des poissons

L’Atrazine, un polluant bien présent dans l’eau du robinet

Crédit Photo Creative Commons by Mazzaq-Mauro Mazzacurati

 

http://www.docbuzz.fr/2011/03/10/123-un-pesticide-latrazine-provoque-un-grand-risque-de-retard-de-croissance-intra-uterin/

 

pour aller plus loin :

http://adenca.over-blog.com/2017/02/qualite-de-l-eau-du-robinet-a-barcy-chambry-forfry-gesvres-le-chapitre-marcilly-monthyon-1-non-conformites-aux-limites-de-qualite-po

 

 

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15 avril 2017 6 15 /04 /avril /2017 16:42
extrait projet terzeo dossier administratif complété par Adenca (implantation carrière CIV)

extrait projet terzeo dossier administratif complété par Adenca (implantation carrière CIV)

 

Dans un précédent article nous attirions votre attention sur le cas de la carrière/décharge CIV d’Isles les Villenoy, située en face de l’aérodrome,  autorisée en 1997 aux lieudits l’Etroit, Le Poteau, l’Olivette…., pour une durée de 5 ans, à exploiter du sable et du gravier , en nappe alluviale, dans le lit majeur de la Marne.

 

Une carrière qui devait être remblayée par des déchets « dit inertes » puis rendue en 2002 à l’agriculture pour partie et à l’état écologique pour une autre partie.

 

En relisant l’arrêté préfectoral nous nous apercevons que cette carrière pouvait être remblayée avec des terres provenant des bassins de décantation .

 

L’arrêté indiquait notamment :

« Les terres provenant des bassins de décantation pourront être admises  en remblai sous condition que l’exploitant se soit assuré au préalable de leur caractère d’inertes. »

 

Les terres proviendront-elles des bassins de décantation de la sucrerie de Villenoy ?

 

Compte-tenu de la  pollution à l’arsenic, au fer …. découverte à Villenoy sur le site des bassins de décantation de l’ancienne sucrerie  Tereos notre inquiétude est grande quant à l’état des terres de décantation enterrées dans cette carrière.

 

 

Avant d’enterrer ces terres

l’exploitant a-t-il fait réaliser des analyses ?

 

Nous n’en savons rien

 

Ce que nous savons c’est que la Marne est toute proche,  qu’un captage d’eau potable se trouve à Isles les Villenoy en aval de cette Carrière /Décharge et que l’étude par un hydrogéologue agréé,  que nous demandons depuis plusieurs mois, paraît plus que nécessaire.

 

 

En effet cette ancienne carrière qui devait être rendue à l’agriculture semble toujours recevoir des déchets, les associations environnementales ont alerté la préfecture qui devraient effectuer une inspection.

 

 

Affaire à suivre……..

 

 

 

Pour plus d’informations

nous vous conseillons

de vous rapprocher de :

- Emmanuel Bourgeais, maire d’Isles les Villenoy

- Olivier Morin , conseiller départemental de ce canton

- Jean-François Copé, président de la communauté d’agglomération

 

 

 

 

Pour aller plus loin :

 

http://adenca.over-blog.com/2017/03/isles-les-villenoy-une-decharge-illegale-pres-du-projet-de-decharge-de-dechets-dangereux-terzeo-6.html

 

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13 avril 2017 4 13 /04 /avril /2017 15:42
Pollution Wipelec Meaux : pour protéger les enfants de la crèche, pourquoi Jean-Luc Marx n’impose-t-il pas la fermeture provisoire de l’entreprise pour remise en état du site ?

 

 

 

Wipelec 1. rue Bauve à Meaux : une entreprise en redressement judiciaire depuis le 31/8/ 2009, suite à une cessation de paiements, elle a bénéficié d’un plan de continuation arrêté par jugement du 28 février 2011, pour une durée de 10 ans (1)

Wipelec après avoir pollué un site, 21 à 29 rue des Roseraies à Romainville jusqu’en 2009 , c’est un second site que l’entreprise polluera 16. rue E. Gaudineau à Pomponne jusqu’en 2012, elle s’implantera également 32 rue Ampère à Lagny sur Marne, où elle demandera à exploiter une Installation de traitement de surface, demande qui lui sera refusée le 19/5/2009 par le préfet , suite notamment à un avis défavorable du commissaire enquêteur.

 

Qu’à cela ne tienne Wipelec demandera à implanter à Meaux, 1 rue de la Bauve, la même installation de traitement de surface, là le préfet l’y autorisera en date du 29/6/2012, avec avis favorable du commissaire enquêteur et de l’Agence Régionale de Santé, pourtant la pollution de Wipelec Romainville était déjà connue par les services de l’Etat en 2012.

 

Quelques mois seulement après son installation le 14/10/2013 la préfecture délivrera une 1ère  mise en demeure  qui constatait déjà la présence de déchets bidons usagés de matières premières et bains usées susceptibles de contenir des matières polluantes stockés à l’extérieur du site de Meaux. (2)

 

C’est cette même année 2013, que la mairie de Meaux donnera l’autorisation à la crèche interentreprises de recevoir du public, suivie par l’autorisation du Conseil Départemental d’implanter cette crèche à proximité de cette usine polluante.
Une crèche interentreprises créée avec la soutien de la communauté d’agglo du Pays de Meaux, l’aide financière de la Caisse d’allocations Familiales. (3)

 

Et puis les mises en demeure et divers arrêtés préfectoraux continueront de tomber sans que l’entreprise n’en tienne vraiment compte.
 Le chantage à l’emploi ?
Le Préfet pris en étau entre la préservation des emplois polluants et les risques encourus  par les très jeunes enfants qui fréquentent la crèche interentreprise voisine vient de  faire le choix de laisser à l’entreprise un délai supplémentaire de plusieurs mois pour réaliser des investigations. (voir AP (4)

 

 

 

Pourquoi l’ETAT

laisse-t-il fonctionner des entreprises industrielles

avec un si lourd passif

qui récidivent continuellement

et qui font prendre des risques aux riverains ?

 

 

 

 

 

 

(4)derniers arrêtés préfectoraux :

http://www.seine-et-marne.gouv.fr/Politiques-publiques/Environnement-et-cadre-de-vie/ICPE-carrieres/Decisions/Mesures-d-urgence/Societe-WIPELEC-Commune-de-Meaux
http://www.seine-et-marne.gouv.fr/content/download/26512/213380/file/07%2004%2017%20AP%20PC%20N%C2%B0%2017%20DCSE%20IC%20015.pdf
http://www.seine-et-marne.gouv.fr/content/download/26517/213422/file/AP%20N%C2%B0%2017%20DCSE%20IC%20012%20du%207%20avril%202017.pdf
http://www.seine-et-marne.gouv.fr/content/download/26515/213403/file/AP%20N%C2%B0%2017%20DCSE%20IC%20011%20du%207%20avril%202017.pdf

 

pour aller plus loin :

http://adenca.over-blog.com/2016/12/wipelec-meaux-apres-la-decouverte-des-dechets-dangereux-solvants-produits-chimiques-pres-d-une-creche-le-prefet-va-t-il-faire-controhttp://adenca.over-blog.com/2017/01/inquietudes-a-meaux-le-cas-de-la-creche-interentreprises-et-de-la-pollution-de-la-ste-wipelec.htmlhttp://adenca.over-blog.com/2017/03/meaux-pres-de-la-creche-pollution-des-eaux-pluviales-par-wipelec-jean-francois-cope-doit-s-expliquer.htmlhttp://adenca.over-blog.com/2017/03/meaux-pres-de-la-creche-pollution-des-eaux-pluviales-par-wipelec-jean-francois-cope-doit-s-expliquer.html

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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13 avril 2017 4 13 /04 /avril /2017 10:51

 

« La Direction générale de la sécurité intérieure a été créée par le décret du 30 avril 2014. Elle reprend les missions de la Direction centrale du renseignement intérieur créée le 1er juillet 2008, elle-même issue du rapprochement de la Direction Centrale des Renseignements Généraux née en 1907 et de la Direction de la Surveillance du Territoire créée en 1944 ».(sic) (1)

 

En cette période difficile, vous pensiez peut-être que les services de renseignements de l’ETAT étaient concentrés sur la recherche d’informations sur les personnes pouvant nuire à la sureté de l’ETAT par l’organisation d’attentats.

 

Mais saviez-vous que les représentants d’associations de défense de l’environnement et de la santé publique pouvaient également être surveillés par la DGSI.

 

La présidente de notre association

a été fichée

par les renseignements généraux

pour s’être inquiété

pour la santé des enfants

 de l’école maternelle de

Fresnes sur Marne

près de laquelle

l’ETAT autorisait

l’implantation d’une décharge

 

 

Le citoyen fiché  « S » (sureté nationale) est classé de 1 à 16 » le classement ne correspond pas  à la « dangerosité » d’une personne, mais plutôt aux actions à entreprendre pour le membre des forces de l’ordre qui contrôle cette personne. Le fichier « S » mélange les personnes condamnées, suspectes comme innocentes. (2)

 

 

Drôle de pays

qui se dit « démocratique »

 

Où un citoyen peut être surveillé par l’ETAT parce qu’on lui reproche de vouloir protéger la santé de ses concitoyens contre les risques de pollutions industrielles.

 

 

 (1) http://www.interieur.gouv.fr/Le-ministere/DGSI

(2) https://fr.wikipedia.org/wiki/Fiche_S

 

 

Fresnes sur Marne à droite la décharge, à gauche l'école maternelle

Fresnes sur Marne à droite la décharge, à gauche l'école maternelle

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12 avril 2017 3 12 /04 /avril /2017 18:08
Destruction de la forêt régionale de Montgé en Goële : suite à l’intervention des conseillers  départementaux B.Corneille et M. Margaté, J.J. Barbaux va devoir revoir sa copie !

 

 

Jean-Jacques Barbaux prévoyait de faire voter lors de la séance du CD 77  un engagement partenarial pour un plan de paysage et de ressources de la butte de Montgé.

 

Pour faire court c’était la validation du projet de destruction de la forêt régionale de Montgé en Goële, le joyau du patrimoine du nord-ouest 77, afin de favoriser l’exploitation à ciel ouvert du gypse par l’industriel allemand Knauf.

 

Un certain nombre de réunions avaient été organisées ces dernières années par la préfecture, la préfète ayant refusé que notre association y participe. Seules deux associations environnementales  avaient pu y participer , deux  associations qui n’ont pas validé la proposition de destruction de cette forêt.

 

Mais qu’à cela ne tienne, la commune très endettée de St Soupplets y est favorable ainsi que celle de Cuisy.

 

Une seule réunion publique semble avoir été organisée à Cuisy le 28/6/2016, une exposition a été constituée, qui devrait être présentée dans quelques communes.

 

Mais qu’en on interroge les familles qui fréquentent le site, personne n’est au courant, en effet il semblerait que ce projet de destruction de notre patrimoine se fasse dans la plus parfaite opacité, comme d’habitude, derrière le dos des populations intéressées.

 

Petites réunions entre les dirigeants du Conseil Départemental, du Conseil Régional, de l’industriel Knauf, de l’UNICEM (industries du Plâtre), des services de l’ETAT…..

 

Heureusement les 2 conseillers régionaux du secteur Marianne Margaté et  Bernard Corneille ont manifesté leur grande inquiétude auprès du Conseil Départemental et ont obtenu que le vote soit reporté, ce dont nous les remercions.

 

Rien ne semble gêner Jean-Jacques Barbaux quand il s’agit de détruire le nord-ouest 77.

Laisser créer des buttes  artificielles d’ordures à Villeneuve sous Dammartin et Annet sur Marne et détruire nos buttes naturelles comme la forêt de Montgé en Goële.

 

 

         C’est « ladite démocratie à la française »

 

 Certains élus se réunissent derrière votre dos

avec des industriels

 et décident pour vous

 

 

 

 

 

 

 

 

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11 avril 2017 2 11 /04 /avril /2017 18:55

 

Un sacré casse-tête pour Jean-François Copé, président de la communauté d’agglomération du pays de Meaux.

 

Les habitants d’Esbly souhaitent remettre en état la plage en bordure de Marne abandonnée depuis 30 ans.

 

Malheureusement cette plage se trouve en aval proche du projet TERZEO de décharge de déchets dangereux, du sarcophage qui fuit de l’arsenic et du fer... et de la décharge ISDI d’Isles les Villenoy.

Serait-il vraiment sérieux d’implanter une plage dans la Marne en aval proche d’une décharge de déchets dangereux ?

 

Il faut bien que les habitants des villages ruraux de sa communauté d’agglomération comprennent que M. le Maire de Meaux a décidé de réhabiliter sa ville et pour ce faire a bien besoin de décharge ISDI et  aurait, semble t-il, bien besoin de TERZEO pour recycler et stocker les déchets dangereux récupérés des 7 tours qu’il souhaite encore détruire.

 

Vous connaissez

« la dite solidarité à la française »

 

Améliorer

la qualité de vie des populations

des grandes villes

en détruisant

le cadre de vie de celles des villages ruraux

 

 

Pour en revenir à cette plage, les habitants d’Esbly et environs en ont-ils vraiment besoin, Jean-François Copé en a fait réhabiliter une à Meaux en bordure de Marne, pourquoi en implanter une seconde à quelques kms de là ?

 

 

Pour aller plus loin :

http://astudejaoublie.blogspot.fr/2011/08/esbly-la-plage-golf.html

 

Paru dans le Journal la Marne :
Soutenez le Collectif de la Plage pour redonner vie à l'ancienne piscine

Un collectif d'associations a présenté à la mairie d'Esbly un projet de centre culturel sur le site de l'ancienne piscine, à l'abandon depuis près de 30 ans.

07/04/2017 à 15:53 par Gurvan Abjean

L’une des friches les plus emblématiques de Meaux et ses environs est en passe de s’offrir une seconde vie.

Le collectif de la plage, qui regroupe plusieurs associations, veut créer un centre culturel à rayonnement international sur les ruines de l’ancienne piscine d’Esbly. Son projet a été présenté en conseil municipal, fin mars. La Ville attendait depuis longtemps une solution adaptée et ambitieuse pour faire revivre cet espace, à l’abandon depuis près de 30 ans.

Votez pour les soutenir

Amar Benbia, membre de l’association “La Foule d’eau” qui fait partie du collectif, est « tombé amoureux » du site et de son architecture des années 20 – 30 il y a environ six ans, en naviguant dans le secteur :

On a tout de suite eu la volonté d’animer ce lieu magnifique. L’objectif est d’ancrer nos animations au niveau local. On va d’ailleurs mener une enquête pour connaître les envies des habitants.

Résidences d’artistes internationaux, festivals, concerts, expositions : le centre sera ouvert à tout type de projets culturels.

Cette opération de grande envergure nécessite « énormément d’argent ». D’abord pour nettoyer, sécuriser et réhabiliter le terrain et les bâtiments. Les responsables du projet veulent mettre en place des chantiers d’insertion et des chantiers bénévoles internationaux pour réaliser ces travaux.

Le collectif a déjà mobilisé plusieurs partenaires. Il participe aussi au concours de la Fabrik Aviva, fonds qui propose d’aider financièrement une quarantaine de projets innovants. Le collectif a besoin de votre soutien pour obtenir une somme pouvant atteindre 50 000 euros. Vous pouvez voter jusqu’au 11 avril.

77450 Esbly

http://www.journallamarne.fr/2017/04/07/le-collectif-de-la-plage-veut-redonner-vie-a-l-ancienne-piscine/

 

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10 avril 2017 1 10 /04 /avril /2017 11:54
Villevaudé Carrière/décharge Placoplatre exploitée à l'explosif : pour protéger votre environnement l'association Villevaudé Demain a besoin de votre aide
Villevaudé Carrière/décharge Placoplatre exploitée à l'explosif : pour protéger votre environnement l'association Villevaudé Demain a besoin de votre aide
Villevaudé Carrière/décharge Placoplatre exploitée à l'explosif : pour protéger votre environnement l'association Villevaudé Demain a besoin de votre aide
Villevaudé Carrière/décharge Placoplatre exploitée à l'explosif : pour protéger votre environnement l'association Villevaudé Demain a besoin de votre aide
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7 avril 2017 5 07 /04 /avril /2017 14:07
Une péniche de tourisme fluvial passant l'écluse de Chalifert pour se diriger vers Coupvray

Une péniche de tourisme fluvial passant l'écluse de Chalifert pour se diriger vers Coupvray

 

 

Coupvray, charmant village de 2800 âmes, au bord de Disneyland,  berceau de Louis Braille, l’inventeur du système d’écriture en relief pour aveugles.

 

 

Des ordures qui lui collent à la peau !

En effet depuis de nombreuses années une décharge illégale GVHTP s’est implanté sur cette commune, les démarches des associations environnementales et de la mairie ont conduit à 13 mises en demeure de la préfecture, sans que cette décharge ne soit fermée,  le 3 novembre dernier, la mairie faisait  un nouveau signalement à Jean-Luc Marx, préfet du 77.

 

 Une mairie qui  souhaite attirer les touristes d’Eurodisney, en favorisant le tourisme fluvial sur le canal de Chalifert. (1)

 

Un pari difficile à tenir alors qu’un projet de décharge de déchets dangereux est en cours d’instruction sur une commune voisine Terzeo à Villenoy/Isles les Villenoy, déchets dangereux qui pourraient être acheminés par ce  même canal de Chalifert pour éviter le transport des déchets par camions.

 

Comment concevoir que des péniches chargées de touristes puissent frôler des péniches chargées de déchets dangereux, car il faut savoir que ce canal n’est pas très large, il a 7.20 m  de largeur à la voûte de Chalifert.

 

Coupvray, marché public de prestation intellectuelle page 8 (1) complété par Adenca concernant les déchets dangereux

Coupvray, marché public de prestation intellectuelle page 8 (1) complété par Adenca concernant les déchets dangereux

 

Deux communautés d’agglomération voisines  sur lesquelles devraient s'implanter des projets

vraiment différents :

 

- Val d’Europe Agglomération (président Arnaud de Bellenet)

projets centrés vers le tourismes autour de Disneyland : Coupvray, Village Nature…..

 

-Communauté d’Agglomération du Pays de Meaux (président Jean-François Copé)

projets centrés vers l’accueil des ordures des autres : décharge déchets dangereux et entreprise de recyclage Terzeo Villenoy/Isles les Villenoy, décharges ISDI Vignely, Trilbardou et carrières/décharges….

 

(1) http://demat.centraledesmarches.com/medialex/publisher_portail/public/annonce/consulterDCEHorsIdentification.jsp;jsessionid=8CC52690552D9F06C524D4DF5BE315C3?iIdAffaire=29818

 

Pour aller plus loin :

http://adenca.over-blog.com/article-le-cas-de-la-decharge-illegale-gvhtp-coupvray-125255908.htmlhttps://www.google.fr/webhp?sourceid=chrome-instant&ion=1&espv=2&ie=UTF-8#q=coupvray+gvhtphttp://adenca.over-blog.com/2016/11/coupvray-depuis-des-annees-une-decharge-illegale-pres-de-disneyland-les-elus-n-en-peuvent-plus-d-alerter-le-prefet.htmlhttp://adenca.over-blog.com/2015/04/decharge-illegale-gvhtp-coupvray-mme-taubira-ce-n-est-pas-des-effets-d-annonces-mais-la-remise-en-etat-en-urgence-de-ce-site-que-nou

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5 avril 2017 3 05 /04 /avril /2017 18:45

L'ETAT, représenté par François Hollande, qui autorise l'exploitation  d'une nouvelle carrière/décharge, exploitée à l'explosif, au nord-ouest 77, à Villevaudé.

 

Le Conseil Régional, représenté par Jean-Paul Huchon, qui a voté en 2013 le SDRIF  schéma directeur régional (SDRIF) décrétant le gypse  comme une “richesse d’importance nationale” et d’intérêt communautaire et qui encourage dans le Predec, voté en 2015, le remblaiement des carrières par des déchets (voir page 170).

 

Le Conseil Départemental, représenté par Jean-Jacques Barbaux qui veut encourager le remblaiement des carrières par les déchets du Grand Paris.

 

Et même le député de cette circonscription Yves Albarello, rapporteur du Grand Paris, qui est favorable aux remblaiements des carrières par des déchets.

 

C'est

"ladite démocratie à la française"?

 

Le droit des industriels

de détruire

un territoire avec la bénédiction des élus ?

 

 

Le droit des populations

 de subir et de se taire

surtout se taire ?

 

 

A vous de juger.

 

 

 

Paru dans le Parisien 77 :
Villevaudé : Placoplâtre a le feu vert pour réexploiter une carrière de gypse

Île-de-France & Oise>Seine-et-Marne>Villevaudé|Hendrik Delaire|05 avril 2017, 14h40

Hendrik Delaire

 

«Nous allons lancer les premiers travaux d’aménagement dès que possible pour que l’exploitation puisse débuter au plus tôt ». Responsable de l’exploitation et des carrières de Placoplâtre, Gilles Bouchet ne cache pas son empressement de pouvoir lancer l’exploitation de la carrière de gypse du Bois-Gratuel et des Mazarins à Villevaudé. La filiale de Saint-Gobain, a obtenu la semaine dernière le feu vert de la préfecture de Seine-et-Marne pour exploiter à ciel ouvert ce site, qu’elle convoitait depuis plusieurs années.

 

Un enjeu primordial pour la société plâtrière afin d’assurer l’approvisionnement de son usine de Vaujours (Seine-Saint-Denis), la plus grande au monde, où le gypse est transformé en plâtre. « Le site de bois Gratuel doit prendre le relais de la carrière de Bois-le-Comte, qui fournit deux tiers du gypse et dont les ressources seront épuisées d’ici à 2020 », explique Gilles Bouchet.

105. LP/InfographieLa future carrière de Bois-Gratuel-les-Mazarins sera reliée à celle de Bois-le-Comte par un pont enjambant la D

Conséquence : le bois et ses espaces naturels sont voués à la destruction. « En tout, ce sont plus de 38 espèces de la faune et de la flore dont des espèces rares, qui sont menacées par la destruction du Bois-Gratuel ; en particulier les amphibiens et les batraciens comme le triton alpestre », se désole de Christophe Nédélec, président de l’association Les Abbesses de Gagny-Chelles, opposé au projet de carrière.

« Nous avions proposé des solutions de compromis comme l’exploitation en cavage (souterraine, NDLR) de la carrière mais Placoplâtre a voulu passer en force, alors cette fois nous nous enchaînerons aux arbres s’il le faut », s’emporte le représentant de l’association. « La carrière sera remblayée et revégétalisée au fur et à mesure de l’extraction du gypse et les continuités écologiques de la Dhuis seront préservées », tente de rassurer Gilles Bouchet.

Pour acheminer les 670 000 tonnes de gypse qui seront extraites chaque mois du futur site, Placoplâtre va aussi construire un pont enjambant la D105. L’ouvrage d’art, dont le chantier a déjà débuté, doit permettre le passage des camions effectuant les travaux de terrassement, ainsi que le prolongement du tapis roulant qui charrie déjà le gypse entre la carrière de Bois-le-Comte et l’usine de Vaujours.

« Placoplâtre semble très pressé. Ils ont communiqué auprès des habitants sur les bienfaits de leur projet alors qu’une pétition a récolté plus de 800 signatures contre ce chantier », s’insurge Marie-Françoise Pian, présidente de l’association « Villevaudé demain ».

Opposée au projet, elle souligne le soutien sans faille de l’Etat à Placoplâtre sur ce dossier et dénonce les nuisances pour les riverains. « L’utilisation de tir de mines va soulever de la poussière, provoquer du bruit et des vibrations. Nous craignons même que les explosions ne provoquent l’effondrement de cette carrière dont le sous-sol a déjà été exploité dans les années quatre-vingt. »

« Le projet a reçu en février dernier un avis favorable de la Commission départementale de la nature des sites et des paysages (CDNPS) », rétorque la préfecture.

leparisien.fr

http://www.leparisien.fr/villevaude-77410/villevaude-placoplatre-a-le-feu-vert-pour-reexploiter-une-carriere-de-gypse-05-04-2017-6826974.php

 

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