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9 mai 2017 2 09 /05 /mai /2017 18:22
Plan Déchets IDF : riverains des décharges, taisez-vous c’est la région IDF qui décide !

 

Valérie Pécresse a pris un arrêté en date du 6/3/2017 afin de nommer les membres de la commission d’élaboration et de suivi du futur plan déchets d’Ile de France.

 

Riverains des installations de déchets de Seine et Marne vous ne serez pas invités à la table de la concertation car  Valérie Pécresse  ne l’a pas souhaité et comme c’est elle qui décide.

 

C’est ladite

« concertation à la française »

 

Par contre Valérie Pécresse a préféré inviter,  en nombre, les industriels du déchet et du BTP, ils seront représentés par 33 syndicats fédérations et associations de démolisseurs ou producteurs de déchets ou maître d’ouvrage ou exploitants de décharges.....

 

Quant aux associations régionales ou nationales, elles seront seulement  huit : 3 pour la défense de l’environnement, 3 pour la défense des consommateurs et 2 pour le secteur du réemploi.

 

Il en sera de même pour les élus du conseil régional, sur 16 élus pour l’IDF Valérie Pécresse  n’en choisira que deux pour représenter le 77 :

- Mme  Roseline Sarkissian

- Mme Sylvie Fuchs.

 

Par contre les Yvelines, l’Essonne et le Val de Marne, en auront 3 chacun.

 

 

La Seine et Marne au service de l’Ile de France !

 

C’est à partir des années 1960 que la situation se dégrade pour la Seine et Marne quand le Général de Gaulle  décide de créer par ordonnance le district de Paris (devenu la Région IDF). C’est Paul Delouvrier qui sera chargé de réorganiser cette région.

 

Pour faire court :

- Il fallait soulager Paris de ses industries polluantes que l’on envoya pour  grande partie vers l’Est Parisien : la Seine St Denis et la Seine et Marne.

 

- Il fallait soulager Paris de ses logements insalubres, ce pourquoi on créa les villes nouvelles, ce qui permis d’envoyer les populations modestes vivre en grande banlieue pour favoriser  l’accueil des populations aisées dans la capitale.

 

Mais il y avait aussi le problème des ordures, il fallait bien les déverser quelque part, ce sera en majorité  dans l’est parisien au nord-ouest 77 et dans le Val d’Oise, dans les trous des carrières       « une aubaine ».

 

Taisez-vous, c’est la région qui décide !

 

Pour éviter les contestations l’ETAT imposera un plan déchets au niveau régional en IDF.

C’est le Conseil Régional IDF qui décidera alors qu’ailleurs ce sera les départements.

 

 

 

 

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8 mai 2017 1 08 /05 /mai /2017 18:54
Les communes entourées en violet ne bénéficieront pas du Plan de Prévention du Bruit et de l'Environnement alors que les communes voisines en bénéficieront.

Les communes entourées en violet ne bénéficieront pas du Plan de Prévention du Bruit et de l'Environnement alors que les communes voisines en bénéficieront.

Annet sur Marne, Charmentray, Charny,  Cuisy, Fresnes sur Marne, Iverny, Marchemoret, Messy, Montgé en Goële, Nantouillet, Le Pin, Le Plessis l’Evêque, Le Plessis aux Bois, Oissery, Précy sur Marne, St Mesmes,  St Pathus, Villeroy, Villevaudé, Vinantes.
Ces 20 communes rurales ne bénéficieront pas d’un Plan de prévention du bruit et de l’environnement, ni d’un dispositif de surveillance de la qualité de l’air.
Pourquoi ?

 

Parce que l’ETAT a décidé de démanteler la Communauté de Communes Plaines et Monts de France, contre l’avis des populations et celui de leurs élus.
Une communauté  de communes qui dépassait les 100 000 habitants et n’en a plus que 23 500 aujourd'hui, trop peu pour bénéficier  d’un Plan de prévention du bruit et de l’environnement et d’un dispositif de surveillance de la qualité de l’air.
Ces 2 dispositifs étant réservés aux communautés d’agglomération de plus de        100 000 habitants.
Une injustice environnementale
de plus pour les habitants
 de ces 20 communes rurales
 qui se sentent complètement abandonnés
Paru sur Mairie info le 2/5/2017 :
1637 communes concernées par les cartes du bruit

LEnvironnement

Les ministres de l’Environnement et de l’Intérieur ont défini samedi, par arrêté, la liste des agglomérations de plus de 100 000 habitants et des communes qui en sont membres, et qui sont concernées par l’application « de l’article 572-2 du Code de l’environnement ». Autrement dit, l’obligation d’établir une carte de bruit et un plan de prévention du bruit.
Rappelons que les plans de prévention du bruit dans l’environnement (PPBE) ont été instaurés suite à la directive européenne 2002/49/CE. Les textes prévoient qu’une carte du bruit doit être réalisée autour des voies routières empruntées par plus de 3 millions de véhicules par an, des voies ferrées comptant plus de 82 trains par jour, et des agglomérations dont la population est supérieure à 100 000 habitants. La liste de ces agglomérations doit être remise à jour tous les cinq ans.
Pour établir les PPBE, les autorités compétentes sont le préfet ou le département pour les infrastructures routières dépendant de leur compétence, et les communes situées dans le périmètre des agglomérations concernées ou les EPCI s’ils ont la compétence en matière de lutte contre les nuisances sonores.
Les PPBE doivent contenir une synthèse des données issues de la cartographie du bruit sur le territoire, une évaluation du nombre de personnes exposées à un bruit excessif, les objectifs de réduction du bruit, les mesures et les financements envisagés pour réduire le bruit dans les zones les plus exposées.
Pour ce qui concerne les agglomérations, le Code de l’environnement précise que les cartes du bruit doivent prendre en compte « le bruit émis par le trafic routier, ferroviaire et aérien ainsi que par les activités industrielles et, le cas échéant, d'autres sources de bruit ». Elles doivent être révisées « au moins tous les cinq ans » et « rendues publiques ».
Selon l’arrêté publié ce week-end, ce sont 45 agglomérations qui sont désormais concernées par ces dispositions : Angers, Arras, Aubergenville, Beauchamp, Bordeaux, Brest, Brunoy, Caen, Cannes, Cergy, Clermont-Ferrand, Courcouronnes, Dijon, Dunkerque, Grenoble, Hénin-Beaumont, Le Havre, Le Mans, Le Pecq, Lens, Lille, Lyon, Marseille, Montmorency, Montpellier, Nancy, Nantes, Nice, Orléans, Orsay, Paris, Perpignan, Reims, Rennes, Roissy-en-France, Rouen, Sainte-Geneviève-des-Bois, Saint-Etienne, Strasbourg, Toulon, Toulouse, Tours, Torcy, Trappes, Versailles. En incluant les communes faisant partie de ces agglomérations, la liste concerne 1637 communes, dont on trouvera le détail dans l’arrêté téléchargeable ci-dessous.
Pour établir cette liste, le ministère de l'Environnement a essayé d'adapter les critères de manière à ce que cette obligation ait un sens, autrement dit, qu'elle ne concerne que des communes effectivement touchées par un problème de bruit. Il a donc ajouté un critère de densité (plus de 1000 habitants au km²). Dans la nouvelle liste, plusieurs centaines de communes sont sorties, et plusieurs centaines d'autres sont entrées.
Il est à noter que cette liste permettra de déterminer d’autres obligations : le seuil de 100 000 habitants est également celui qui a été retenu par le législateur pour mettre en place les dispositifs de surveillance de la qualité de l’air (article L221-2 du Code de l’environnement).

 

http://www.maire-info.com/environnement-developpement-durable/environnement/1637-communes-concernees-par-les-cartes-du-bruit-article-20708

 

 

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6 mai 2017 6 06 /05 /mai /2017 10:37
C'est derrière ce bois que devrait s'implanter cette entreprise de désamiantage

C'est derrière ce bois que devrait s'implanter cette entreprise de désamiantage

 

Une usine de désamiantage de wagon, de traitement et tri de déchets dangereux, concassage de déchets BTP… projette de s’implanter en bordure de le Forêt Régionale de Montgé en Goële, à proximité du village rural de Marchemoret.

 

Une forêt régionale ouverte au public où des familles avec enfants en bas âge viennent s’y promener.

 

Une agence régionale de santé qui semble donner des avis favorables à tout va dans ce secteur, puisque il y a quelques mois elle avait également donnée un avis favorable pour l’implantation d’une décharge de déchets dangereux à quelques kilomètres de là (projet Terzeo Villenoy/Isles les Villenoy).

 

Mais quand il s’agit de financer des études épidémiologiques pour connaître l’état de santé des riverains des sites polluants du nord-ouest 77 l’Agence Régionale de Santé refuse comme

autour du fort de Courtry/Vaujours ou de la zone industrielle de Mitry-Compans.

 

A notre connaissance l’Agence Régionale de Santé IDF n’a jamais financé, non plus, aucune étude sur l’état de santé des populations vivant autour de l’incinérateur d’ordures ménagères et de la décharge située à Monthyon, commune voisine de Montgé en Goële.

 

 

 

C’est le dit système « de l’intérêt général »

 qui privilégie les intérêts financiers de certains

au détriment de l’être humain

et impose à une minorité invisible de sacrifier son environnement

et sa santé pour les autres.

 

 

 

 

Pour savoir pourquoi

les élus de Montgé en Goële

ont donné un avis favorable,

nous vous conseillons de les contacter

 

M. Pascal Hiraux, maire

Mrs AUBRY Jean-Pierre, Barbier Franck, Bongiorno Guy, BRAUN Pascal, DELMOTTE Philippe, DUBOIS Gérard, GERAL Sébastien, GUILLEMINOT Christian, PELLETIER Rémi, THUILLIER François

Mmes CHAMBE Ghislaine, GAULT Emilie, GERROUDJ Isabelle, JACQUES Evelyne,

 

 

 

Pour savoir

si les élus de Marchemoret

ont donné un avis favorable ou défavorable

nous vous conseillons de les contacter

 

 

M. Jean-Louis DURAND Maire

Mmes Séverine LUCAS, Laëtitia LEMAITRE, Valérie ZERBIB, Emmanuelle BOURDON

Mrs Claude CALOÏ , Laurent BELLOY, Gilles MARLEIX, Emmanuel VUAGNAT, David GIRARD, Christian COURBEBAISSE, Francis DESSE-MARY, Benjamin PERINET, Patrick MARY

 

 

 

 

 

 

 

 

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5 mai 2017 5 05 /05 /mai /2017 20:58

 

 

Comment concevoir qu’en France dans un village rural de moins de         7 km2 on ait pu concentrer autant d’activités polluantes.

Plan édité par la mairie d'Isles les Villenoy

Plan édité par la mairie d'Isles les Villenoy

 

 

Des lois souvent cousues mains pour préserver l’intérêt des industriels et non celui de l’être humain.

 

 

 

Aujourd’hui

le maire d’Isles les Villenoy

tire la sonnette d’alarme

 mais qui va l’entendre ?

 

 

 

Que pèsent

les 900 habitants

de ce village rural

face aux intérêts des industriels ?

 

 

 

Pour plus d'informations consultez le site de la mairie :

http://www.isleslesvillenoy.fr/infos-mairie/lettre-ouverte-aux-insuvillais/

 

 

 

 

 

Lettre adressée par le maire à ses administrés

Lettre adressée par le maire à ses administrés

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5 mai 2017 5 05 /05 /mai /2017 17:32
décharge ISDI de Fresnes sur Marne

décharge ISDI de Fresnes sur Marne

 

 

Village rural

de

Fresnes sur Marne

 

La décharge ISDI de déchets « dits inertes » devait fermée le 18 mai prochain mais l’industriel demande une prolongation du délai d’exploitation.

 

 

Cette décharge est implantée à proximité de l’école maternelle et du centre aéré de ce village rural du nord-ouest 77.

 

C’est parce qu’elle s’inquiétait pour la santé des enfants qui allait fréquenter cette école que la présidente de notre association avait été contactée par les renseignements généraux.

 

Car il faut savoir que dans ce pays, les associations environnementales sont surveillées par la DGSI (ex renseignements généraux), leurs sites internet sont lus avec attention et lors des manifestations pacifiques qu’elles organisent des représentants de la DGSI sont présents.

 

 

Drôle de pays

Où contrarier les industriels

Peut être parfois considéré comme un délit

 

 

A gauche l'école maternelle et le centre aéré, à droite la décharge

A gauche l'école maternelle et le centre aéré, à droite la décharge

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4 mai 2017 4 04 /05 /mai /2017 15:51
Le Pin : comment le conseil départemental 77 peut-il laisser s’étendre depuis des années une décharge illégale sur un terrain lui appartenant ?

 

 

Le Conseil Général ne penserait-il au nord-ouest 77 que lorsqu’il s’agit d’encaisser 1 million d’euros de l’exploitant de décharge  ECT en compensation du retrait des recours contre l’implantation de décharges ISDI à Annet sur Marne et Villeneuve sous Dammartin ?

 

C’est la question que l’on se pose lorsque l’on voit que depuis des années Jean-Jacques Barbaux laisse une décharge illégale s’étendre dans le village rural de le Pin sur un terrain appartenant à sa collectivité.

 

Avec le million d’euros perçu de l’exploitant de décharge ECT, Jean-Jacques Barbaux avait les moyens financiers de faire évacuer les déchets et de mettre en sécurité le site, en le clôturant.

 

Jean-Jacques Barbaux veut-il ruiner les villages ruraux du nord-ouest 77 en laissant vivre leurs habitants au milieu des ordures des autres ?

 

 

Leurs jolies maisons
les habitants de
Le Pin,  Villevaudé et Courtry
devront-ils les solder ?

 

 

En effet
qui voudra les acheter
et venir vivre
près
de toutes ces décharges
et carrières/décharges?
Paru dans le Parisien 77 :
Déchets : le département veut transformer
une nuisance en atout

>Île-de-France & Oise>Seine-et-Marne>Melun|F.L.|01 septembre 2016, 16h20|

Face aux montagnes de déchets des chantiers de la région, le conseil départemental a décidé de changer de stratégie. Et a choisi le pragmatisme.

Le plan de prévention et de gestion des déchets de chantier (Prédec) adopté l’an dernier à l’unanimité par le conseil régional permettait à la Seine-et-Marne de bénéficier d’un moratoire de trois ans dans le département interdisant la création et l’extension de sites de stockage et fixant le plafond de la capacité d’accueil à 4 millions de tonnes.

Jusqu’à ce qu’en mars le préfet de région demande au tribunal administratif d’annuler le plan. « La Société du Grand Paris estime ne pas avoir d’autre solution pour les 40 millions de tonnes de déchets que vont produire les travaux du Grand Paris Express », regrettait Jean-Jacques Barbaux, le président (LR) de l’assemblée départementale. Or, avec treize installations de stockage de déchets inertes et une multitude de carrières de remblayage, la Seine-et-Marne a reçu entre 2009 et 2013 26,7 millions de tonnes de déchets, soit 80 % des déchets inertes stockés en Ile-de-France.

« L’Etat estime que la Seine-et-Marne est la réceptacle des déchets de chantier. Nous allons le concevoir, mais nous exigeons des contreparties », avance le cabinet de Jean-Jacques Barbaux. Or, pour le moment, il n’y en a pas. Pas question de subir ». Le département souhaiterait des financements pour aménager des routes et la mise en grand gabarit de la Seine entre Nogent-sur-Seine et Bray-sur-Seine.

Estimant qu’il y a « une véritable économie du déchet de chantier », le département voudrait créer une filière permettant de les recycler, transformer la nuisance en atout. « Il faudra assurer la traçabilité, poursuit le cabinet. Mais il faut d’abord que l’Etat, les entreprises et les collectivités locales s’assoient autour de la table ».

leparisien.fr

http://www.leparisien.fr/melun-77000/dechets-le-departement-veut-transformer-une-nuisance-en-atout-01-09-2016-6086341.php

 

 

 

 

 

 

 

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4 mai 2017 4 04 /05 /mai /2017 11:16
L’incinération au nord-ouest 77, une activité dangereuse pour la santé des populations sans que l’ETAT ne finance d’étude épidémiologique à Compans, Monthyon, St Thibault des Vignes !

 

Vous êtes ici au nord-ouest 77

dans le pays

où on a concentré

décharges, incinérateurs,

entreprise de recyclage de déchets

pour recevoir

les ordures des autres

 

 

Dans ce secteur où on est entrain de ruiner nos villages ruraux sans se préoccuper de l’état de santé des populations de tous ces villages martyrisés.

 

Le Nord-ouest 77 possédait

à quelques dizaines de kilomètres d’écart

4 incinérateurs

 

L’un d’eux vient de fermer, l’année dernière, à Compans, c’était un incinérateur de déchets dangereux, classé Seveso à hauts risques, qui brûlait des déchets en provenance de la France entière, un incinérateur qui a fermé parce que l’industriel devait se mettre aux normes et que cela coûtait probablement trop cher.

A Compans, cette commune rurale de presque 800 habitants, on enregistre beaucoup de cancers, maladies respiratoires… dont on ne connaît pas les causes, les associations environnementales avaient demandé à l’Agence Régionale de Santé qu’une étude épidémiologique soit réalisée, mais cet organisme a refusé leur demande.

 

A Monthyon, un autre incinérateur est implanté, géré par le Smitom nord 77, une communauté de communes, dont le président est Jean-François Parigi, adjoint au maire de Meaux. Ce village rural de 1300 habitants « accueille » également une décharge de déchets dangereux, une usine à bitume. Ici non plus, à notre connaissance, l’Agence Régionale de Santé n’a jamais financé d’étude épidémiologique.

 

Quand à St Thibault des Vignes, village de plus de 6400 habitants, bordé par la Francilienne, c’est l’un des seuls villages de France qui possède 2 incinérateurs sur son territoire, gérés par des collectivités de communes, sans oublier une usine à bitume et diverses entreprises de traitement de déchets tel qu’Yprema qui recevait même des mâchefers de l’usine d’incinération du sud 77 Monterault Fault Yonne.

Ici non plus, à notre connaissance, l’Agence Régionale de Santé n’a jamais financé d’étude épidémiologique bien que les associations la réclament.

 

 

A l’autre bout de la France, il en est autrement

l’ETAT

est à l’écoute des associations :

 

une association de médecins indépendants pour l’environnement et la santé publique vient d’obtenir de l’Agence Régionale de Santé  que soit menée une étude participative avec les habitants.

 

 

Un reportage de TV Sud :


http://www.tvsud.fr/open_article/incinerateur-lunel-viel-etude-participative-bientot-lancee/JT_PAD_INCINERATEUR-LUNEL-_270417

 

 

 

 

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3 mai 2017 3 03 /05 /mai /2017 11:16

 

 

Dans le rapport d’information n° 3580 Assemblée Nationale sur les nuisances aéroportuaires (1) nous apprenons que l’aéroport  d’Orly bénéficie d’un couvre-feu total, sans exception de 23h30 à 6 heures (depuis 1968) .

 

Il est vrai que les députés de l’Essonne sont très attentifs à la protection  de leur population contre les effets du bruit des avions.

 

Pour preuve 2 députés de l’Essonne viennent de déposer un projet de loi pour améliorer les conditions de vie des populations vivant à proximité de l’aéroport d’Orly.

http://www.assemblee-nationale.fr/14/propositions/pion4601.asp

 

 

Nuisances autour de l’aéroport de Roissy

 

 

Que font

Yves Albarello et Jean-François Copé

pour protéger leur population

des nuisances de l’aéroport de Roissy ?

 

Nous n’en savons rien

 

 

 

Ce que nous savons c’est que l’aéroport de Roissy est ouvert au trafic même la nuit et que les riverains voudraient bien, à minima, pouvoir dormir correctement la nuit.

 

 

 

Pourquoi une telle différence de traitement

entre Orly et Roissy ?

 

 

La faute aux élus de Seine et Marne qui ne soutiennent pas suffisamment les riverains dans ce dossier ?

 

A vous de juger

 

 

 

Pour tous renseignements complémentaires

nous vous conseillons de vous rapprocher des députés

Yves Albarello

et Jean-François Copé.

 

 

 

 

(1) pages 29/30, 178,277/278 http://www.assemblee-nationale.fr/14/rap-info/i3580.asp

 

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2 mai 2017 2 02 /05 /mai /2017 18:27
L’ETAT et le Conseil Régional IDF veulent-ils ruiner les villages ruraux du nord-ouest 77 : le cas de Montgé-en-Goële ?

 

 

Montgé-en Goële, charmant village de 700 âmes, occupé en majorité par la forêt et les espaces agricoles.

La forêt régionale de Montgé-en-Goële s’étend sur 960 hectares, pour majorité situés sur cette commune, la région IDF est propriétaire de 358 hectares à Montgé-en-Goële.

Une forêt plantée d’arbres remarquables, un boisement important de châtaigniers, des chênes, des frênes, des marronniers,  des charmes, des tulipiers de Virginie et une magnifique allée plantée de platanes (c’est la baronne d’Eichthal qui avait fait planter 252 platanes  au début du 20ème siècle).

On y trouve également de l’ail sauvage, du muguet, des jacinthes sauvages, des iris, des buissons de rhododendrons…..

 

 

Dans les années 60, sous l’impulsion du Gl de Gaulle, dans le but de contrôler la région parisienne, il est créé le district de Paris, l’ancêtre de la région IDF, c’est à cette période que l’ETAT décidera de mettre la main sur cette forêt par l’intermédiaire de la région IDF.

Le but était-il  de protéger la forêt  pour en faire bénéficier les populations ou de protéger le gypse contenu dans ses entrailles pour favoriser l’exploitation par des industriels ?

 

 

Petits arrangements entre amis

entre l’industriel allemand et la région Ile de France

derrière le dos des populations ?

 

 

En effet 2 lettres adressée en 1990, au maire de Montgé en Goële, par M. de Buyer responsable de l’AEV (Conseil régionale IDF) nous interpellent.

Ces courriers ont été adressés l’année de l’installation de l’industriel allemand Knauf à St Soupplets.

 

Concernant l’exploitation du gypse, on peut lire dans l’un de ces courriers, pour extrait :

« ….J’estime donc préférable, sous réserve d’un accord d’exploitation par tranches, suivies d’un réaménagement bien réalisé, une exploitation à ciel ouvert, qui, à terme, permettra de reconstituer un site boisé de qualité, dont la fréquentation restera possible. »

 

L’AEV précisera également que les trous ne devraient pas être comblés par des ordures ménagères mais  par des matériaux inertes, le mot déchets inertes n’étant bien sûr jamais employé.

 

 

 

 

Quel est la position de la région IDF aujourd’hui

 va-t-elle  autoriser la

 destruction de cette forêt

 pour favoriser

les intérêts de l’industriel allemand ?

 

Nous n’en savons rien.

 

Ce que nous savons c’est que Valérie Pécresse est bien muette sur le sujet et ne répond pas au courrier d’ADENCA.

 

Un bien mauvais signe envoyé aux populations du nord-ouest 77, alors que le conseil régional IDF semble vouloir vendre une partie de son patrimoine forestier et agricole de la Grande Couronne, car Valérie Pécresse a besoin d’argent pour mener a bien son projet « Plan Vert » (1), pour faire court c’est financer des projets pour  ramener la nature dans les centres villes notamment à Paris.

 

Après avoir envoyer ses ordures dans nos villages ruraux, l’Ile de France va-t-elle brader  notre patrimoine forestier pour favoriser les intérêts financiers d’un industriel allemand ?

 

 

Pour tous renseignements complémentaires

nous vous conseillons de contacter

vos conseillers régionaux

 

 

 

Il s’agit de :

Mme Anne CHAIN-LARCHÉ (LR)Maire St Denis les Rebais, vice présidente du Conseil Régional chargée de la ruralité et de l’agriculture

Mme Marie-Pierre Badré (LR) Adjointe au Maire de Couilly Pont aux Dames

M. Gilles Battail (LR) Maire deDammarie les Lys

M. Joffrey BOLLÉE (FN)

M. Pierre CHERRIER (FN) de la Celle St Cloud (92)

M. James CHERON (UDI) Adjoint au maire de Montereau Fault Yonne

Mme Aurélie COURNET (FN) de Paris

M. Gilbert CUZOU (PS) de Paris

M. Benoît CHEVRON (LR) de Villiers St Georges, Président de la Fédération Départementale des Chasseurs

M. Bertrand DUTHEIL DE LA ROCHERE (FN)

Mme Sylvie FUCHS (FDG) Conseillère municipale de Roissy en Brie

M. François Kalfon (PS ) Conseiller municipal Melun

M. Éric Jeunemaître (LR) Adjoint au maire de Provins

Mme Sylvie MONCHECOURT (UDI) Maire de Montigny sur Loing

Mme Laure-Agnès MOLLARD-CADIX (UDI) Conseillère municipale de Combs la Ville

Mme Bénédicte MONVILLE de CECCO Conseillère municipale de Melun

M. Jean-Paul Planchou (PS ) Ancien maire de Chelles

M. Julien PROFFIT (LR) Conseiller Municipal de Claye-Souilly

Mme Hamida Rezeg (LR) Adjointe au maire de Meaux

MmeRoseline Sarkissian (PS) Conseillère municipale de Fontainebleau

Membre de la commission Environnement, aménagement du territoire

Mme Claudine Thomas (LR) Adjointe au maire de Chelles

Mme Béatrice TROUSSARD (FN) conseillère municipale de Chelles

M. Frédéric Valletoux (LR) Maire de Fontainebleau

Mme Thi Hong Chau VAN (CD) Adjointe au maire de Bussy Saint Georges

 

 

(1) http://www.entreprises77.fr/usine-de-platre-knauf-l-une-des-plus-importantes-d-europe_6601/

(2) https://www.iledefrance.fr/espace-media/applis_js/rapports_cp-cr/2017-03-09/rapportsPDF/CR2017-50.pdf

 

Sources :

Archives de l’AEV

Internet : http://fr.topic-topos.com/allee-des-platanes-montge-en-goele

Brève Histoire de l’aménagement de Paris et sa région, du district de la Région Ile de France PAR Claude Cottour.

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2 mai 2017 2 02 /05 /mai /2017 11:35

 

Le gérant de la Sté AMG-BAT avait implanté

une décharge illégale à Champigny mais aussi à le Pin.

 

 

Mais comme cela ne suffisait

une autre décharge illégale

s'est implanté depuis plusieurs années

sur un site qui est sous la responsabilité

du Conseil départemental 77.

 

 

Le Pin, un village rural abandonné

par le Conseil Départemental ?

 

 

Entouré en noir, l'emplacement de la décharge illégale sur un site sous l'autorité du conseil départementel

Entouré en noir, l'emplacement de la décharge illégale sur un site sous l'autorité du conseil départementel

Le Pin, un village rural de 1400 habitants, qui connaît bien les ordures, pour avoir sur son territoire la carrière/décharge Siniat et sur la commune voisine la plus importante décharge de déchets dangereux de France Sita Villeparisis.

 

Mais comme cela ne suffisait pas, ce charmant village rural a vu s'implanter il y a quelques temps plusieurs décharges illégales, l'une implantée par le gérant de la Sté AMG-BAT aujourd'hui sous les verrous et une autre implantée depuis plusieurs années sur l'ancienne route départementale 34.

 

Difficile pour la population de comprendre pourquoi  Jean-Jacques Barbaux, président du CD 77, responsable de ce site, ne fait pas retirer les ordures et mettre le site en sécurité.

 

Il semblerait que Jean-Jacques Barbaux ne se préoccupe du nord-ouest 77 que quand il s'agit de récupérer de l'argent auprès des exploitants de décharge comme le million d'euros qu'ECT va donner au conseil départemental en compensation du retrait de ses plaintes auprès du tribunal.

 

Probable que si cette importante décharge illégale se trouvait au bord de la forêt de Fontainebleau, le conseil départemental se serait empressé de l'enlever.

 

 

Pour tous renseignements concernant ce dossier

nous vous conseillons de vous rapprocher

de vos conseillers départementaux

Xavier Vanderbise,

maire de Courtry

Isabelle Recio

 1ère adjointe au maire de Vaires sur Marne

Paru dans le Parisien 77 :
Champigny : 18 mois de prison pour l’homme qui avait déposé une montagne de déchets

>Île-de-France & Oise>Val-de-Marne|Fanny Delporte|21 avril 2017, 15h32|

 

Nos villages ruraux du nord-ouest 77 qui servent de poubelles  : le cas de la commune de Le Pin !

Champigny, avril 2016. La ville avait porté plainte contre l’entreprise qui avait déposé des déchets sur un site loué rue de Verdun, le transformant en décharge à ciel ouvert. LP/E. MI

Fanny Delporte

Val-de-MarnedéchargeChampignyPrison

Le gérant de la société AMG-BAT avait entassé les déchets pendant près d’un an gravats, planches de bois, fer rouillé, baignoires et briques sur un terrain qu'il louait dans une ancienne zone d’activités,

Il avait pris le 36, rue de Verdun à Champigny pour une décharge à ciel ouvert, et cela va lui coûter 18 mois de prison ferme, 50 000 € d’amende et une interdiction définitive de gérer. Il a été incarcéré.

Atanaf T., un homme âgé de 37 ans, de nationalité bulgare, a été condamné jeudi devant le tribunal correctionnel de Créteil pour « dépôt illégal de déchets », « travail dissimulé » et « abus de biens sociaux ». Le gérant de la société AMG-BAT, qui louait un terrain dans cette ancienne zone d’activités, avait entassé les déchets sur ce site pendant près d’un an : gravats, planches de bois, fer rouillé, baignoires, briques. La ville avait porté plainte le 29 avril 2016 ainsi que la DDPP, la direction départementale de protection des populations.

L’entrepreneur était coutumier du fait : « Il avait déjà procédé de la même manière en Seine-Saint-Denis et en Seine-et-Marne », a précisé une source judiciaire. Tout en faisant à chaque fois travailler illégalement d’autres Bulgares.

 

 

Le nettoyage du site avait coûté 270 000 € à Champigny. LP/L.P.

 

Jusqu'à 8 mètres de hauteur

A Champigny, la « montagne » avait atteint jusqu’à 8 m de hauteur. Avec en prime, les mois passants, des odeurs qui émergent et des rats en goguette. Il y a un an, face à la colère des habitants du quartier du Maroc, la municipalité (PCF) avait décidé de prendre un arrêté municipal pour nettoyer la zone. Coût de l’opération : 270 000 €, totalement à charge de la ville. Elle avait fait savoir aux riverains que parmi ces déchets ne se trouvait aucun produit polluant, ce que tous redoutaient.

L’entreprise mandatée n’avait eu à retirer « que » des objets, meubles ou encore des sanitaires, que l’entrepreneur avait laissés mois après mois sous les fenêtres des habitants. Lui n’avait pris qu’une seule chose : la poudre d’escampette.

leparisien.fr

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