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13 avril 2016 3 13 /04 /avril /2016 19:20
Forêt régionale de Montgé en Goële

Forêt régionale de Montgé en Goële

 

 

 

Comité COPIL Plan Paysage

forêt régionale de Montgé en Goële

 

 

Un dossier qui manque de transparence ?

A vous de juger

 

 

La préfète a créé, voici quelques années, un comité COPIL pour se prononcer sur l’exploitation d’une carrière de gypse à ciel ouvert ou en souterrain dans la forêt régionale de Montgé en Goële, par l’industriel allemand Knauf.

 

Adenca avait demandé à siéger dans ce COPIL, ce qui lui a été refusé.

 

En effet dans ce pays « dit de concertation » c’est la préfecture qui choisit les associations qui peuvent siéger dans ce comité et non les associations qui choisissent d’y venir.

 

 

Comment la Préfecture  choisit-elle ?

 Nous n’en savons rien

 

 

Ce que nous savons c’est qu’aucuns documents n’est mis en ligne sur le site de la préfecture concernant ce Copil, pas même les compte-rendus de réunions.

 

A notre connaissance aucunes réunions publiques de concertation avec les populations n’ont été programmées, la majorité des riverains et promeneurs n’étant même pas au courant du projet.

 

Ce que nous savons également c’est que la majorité des terrains de la forêt de Montgé en Goële appartient à la Région IDF et sans l’accord de la région la carrière à ciel ouvert ne pourra pas être exploitée, par l’industriel allemand Knauf.

 

 

La question actuelle

est de savoir

si

 Valérie Pécresse et son groupe

vont privilégier

la protection de la forêt

ou

 privilégier

les intérêts de l’industriel Knauf ?

 

 

 

A cette question

nous n’avons pas de réponse

car

Valérie Pécresse

ne répond pas à notre courrier.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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13 avril 2016 3 13 /04 /avril /2016 16:14

 

 

Paraît-il

pour embellir Paris

il faut démolir

et

reconstruire

 

 

On démolit même des immeubles qui ont 60 ans environ.

Mais qu’à celui ne tienne, les gravats n’iront pas dans les carrières sous Paris, vous n’y pensez pas !

 

Les gravats Paris les enverra sur les terres agricoles de Brie, dans nos villages ruraux, près d’une école, d’un lotissement, d’un captage d’eau, peu lui importe, la Seine et Marne est considérée par la ville lumière comme une vache à lait et la population comme le petit peuple à qui on ne donne jamais la parole.

 

Comme en quelque sorte au  Moyen-Age

 du temps

des seigneurs et des serfs.

 

 

 

 

Paru  sur le site de l’ORDIF :

Prévention : le bilan de Paris

 


L’objectif de moins 7 % en 5 ans est-il atteint ?

La Ville de Paris a présenté le 23 mars 2016 le bilan de son programme local de prévention. En introduction, Antoinette GHUL, adjointe à la Maire de Paris en charge de l’ESS, de l'innovation sociale et de l’économie circulaire, a indiqué qu’il s’agissait du 6e comité de suivi. Puis Mao PENINOU, adjoint à la Maire de Paris en charge de la propreté et du traitement des déchets, a rappelé les bons résultats sur le verre : 70% de recyclage, mais a ajouté qu’il avait fallu du temps pour atteindre cette performance.  Jean Louis MISSIKA, adjoint à la Maire de Paris en charge de l'urbanisme, de l'architecture, du développement économique, est quant à lui revenu sur les enjeux du secteur du BTP indiquant que ce secteur est confronté à l’épuisement des matières premières et où la question du réemploi est majeure.

Jean-Marie CHAUMEL directeur adjoint ADEME Ile-de-France est revenu sur le partenariat ADEME/Paris rappelant l’objectif de moins 7 % en 5 ans.

Les services de la Ville de Paris ont présenté le résultat du programme local de prévention indiquant une baisse de 6.95 % et rappelant qu’en 2015 la Ville a été lauréate de l’appel à projets Territoire Zéro déchets Zéro gaspillage mais a également été retenue par Eco-Emballages dans le cadre du plan de relance.

Une caractérisation réalisée en 2015 a permis de constater une baisse des emballages/papiersdans la poubelle d’OMr mais cependant il est noté une augmentation des déchets alimentairesavec 26 kg d’aliments encore emballés jetés dans cette même poubelle. Un baromètre comportemental indique que 96% des Parisiens interrogés déclarent trier leurs déchets et pour 80% ce geste est facile. Cependant, le taux de tri est de 33%.

Concernant les biodéchets, depuis le 1er janvier 2016 les producteurs de plus de 10 t par an ont l’obligation réglementaire de réaliser un tri de ces déchets. Une expérimentation sur le tri des biodéchets par les commerçants sur deux marchés alimentaires a permis de collecter en 2015, 55 tonnes qui ont ensuite été compostées. La généralisation aux 54 marchés parisiens est prévue en avril 2016. Une collecte des biodéchets a également été réalisée dans 4 restaurants administratifs. 60 tonnes ont alors été collectées puis méthanisées. La RATP est venue partager son expérience sur le tri des biodéchets du restaurant d’entreprise situé Gare de Lyon qui produit environ 25 t par an de biodéchets. En septembre 2014 des tables de tri ont été installées pour 3 flux : biodéchets, pains et autres. Une location de machine permet le traitement par déshydratation. L’intervenant de la RATP a souligné les faiblesses du projet : incompréhension et difficultés dans l’accompagnement au changement, cout et le manque de communication au début du projet. Aujourd’hui, 75% des convives adhèrent au dispositif.

Puis les échanges ont porté sur les actions sur les papiers et emballages ménagers. En 2015, 147 864 tonnes ont été collectées. Dans le cadre du plan de relance du tri, plusieurs actions vont être menées : amélioration de la collecte en apport volontaire, renforcement de la dotation, nouveaux dispositifs dans les parcs et jardins mais aussi une Campagne d’information « Paris du tri »

Concernant, les déchets occasionnels et les déchets dangereux,  81 576 tonnes ont été collectées soit une baisse de 9.5%. 2 900 tonnes d’objets ont été collectées par des recycleriesen 2015 dont 60% ont retrouvé une seconde vie.
En Juillet 2015 l’Eco Point Mobile a été lancé sur 5 arrondissements (10e,12e,17e,19e et 20e), et depuis septembre 2015, lancement du service sur l’ensemble du territoire parisien. En 2015, 299 tournées ont été réalisées, ayant permis de collecter environ 10 tonnes de déchets et de sensibiliser environ 10 000 personnes.

 

http://www.ordif.com/public/actualite/prevention-le-bilan-de-paris.html?id=17388&rub=8986

 

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13 avril 2016 3 13 /04 /avril /2016 16:12
Paru dans le journal de l’environnement :
Air: mode d’emploi pour les pics de pollution

Le 11 avril 2016 par Marine Jobert

 

 

Sept ministères se sont portés au chevet de la qualité de l’air du pays: un arrêté vient d’être publié, qui modifie le mode de déclenchement des procédures préfectorales en cas d’épisode de pollution de l’air. La maire de Paris le juge notoirement insuffisant. La ministre de l’environnement remet la pastille verte en selle.

 

C’est un arrêté qui redonnera peut-être un peu d’air au million et demi de Franciliens qui, en 2015, ont été exposés à des niveaux de pollution ne respectant pas la réglementation, selon le dernier bilan d’Airparif. Venant modifier le mode de déclenchement des procédures préfectorales en cas d’épisode de pollution de l’air, l’arrêté du 7 avril 2016 –signé par 7 ministres- a évidemment vocation à s’appliquer sur l’ensemble du territoire, par l’intermédiaire des préfets de département, ou du préfet de zone de défense et de sécurité quand plusieurs départements sont concernés par l’épisode. Anne Hidalgo, la maire de Paris, a émis plusieurs réserves sur le texte.

 

 

TROIS CAS

Le dépassement d'un seuil de pollution sera désormais caractérisé à partir d'un critère de superficie (au moins 100 kilomètres carrés au total dans une région), d'un critère de population ou de circonstances locales (vallées encaissées ou mal ventilées, zones de résidence à proximité de voiries à fort trafic, bassins industriels), quand sera observé, même sur la base d’une modélisation, le dépassement des seuils d'ozone, de dioxyde d'azote ou de particules PM10.

 

 

 

MESURES À LA CARTE

Les mesures sont «adaptées, proportionnées et graduées pour tenir compte de la nature, de la durée, de l'intensité et de l'ampleur géographique de l'épisode de pollution». Le rôle des acteurs, le contenu de l'information à diffuser ainsi que les mesures réglementaires de réduction des émissions polluantes sont laissés à l’appréciation de chaque département (sur la base de l’arrêté du préfet de zone de défense), à charge pour eux «d’adapter ces mesures aux particularités locales». Ainsi, les mesures de restriction applicables aux secteurs agricole et industriel sont définies «en concertation avec les parties concernées, en tenant compte des impacts économiques et sociaux, des contraintes d'organisation du travail, le cas échéant des pratiques culturales et des impératifs liés aux cycles biologiques des végétaux et des animaux; et en s'assurant que les conditions de sécurité sont respectées et que les coûts induits ne sont pas disproportionnés au regard des bénéfices sanitaires attendus». La baisse d'activité doit rester une «possibilité alternative à l'arrêt total des activités si les conditions le permettent».

 

 

 

PASTILLE VERTE, LE RETOUR

En cas d’imminence du dépassement du seuil d'alerte ou d'épisode persistant de pollution aux particules PM10, le représentant de l'Etat dans le département peut imposer des baisses des vitesses sur certaines voiries (sans toutefois descendre en dessous de 70 km/h), limiter le trafic routier des poids lourds en transit dans certains secteurs géographiques, voire les en détourner (en évitant toutefois un allongement significatif du temps de parcours), ou restreindre la circulation des véhicules en fonction de leur numéro d'immatriculation ou des véhicules les plus polluants. Ségolène Royal a d’ailleurs indiqué le retour de la «pastille verte», sur la base du volontariat, à compter du 1erjuillet 2016, autorisant la circulation des véhicules ‘propres’ lors des pics de pollution. «Ceux qui ne l'auront pas, quand les maires décideront de la circulation restreinte, ne pourront pas rouler ces jours-là», a ajouté la ministre de l’environnement.

 

TRANSPORTS DOUX

Les entreprises ou les collectivités territoriales seront invitées à favoriser les mesures permettant une moindre émission dans les transports: covoiturage, transports en commun, réduction des déplacements automobiles non indispensables, adaptation des horaires de travail, télétravail, utilisation des parkings-relais aux entrées d'agglomération, gratuité du stationnement résidentiel, mesures incitatives pour l'usage des transports les moins polluants (bicyclette, véhicules électriques, transports en commun…). Le secteur industriel sera également sollicités, pour notamment remettre à plus tard des activités fortement émettrices, voire en réduisant son activité.

 

MESURES MAINTENUES

Autant de mesures qui ont vocation à être maintenues «tant que les prévisions météorologiques ou les prévisions en matière de concentration de polluants montrent qu'il est probable que le seuil d'information et de recommandation soit dépassé le lendemain ou le surlendemain».

 

HIDALGO MÉCONTENTE

La maire de Paris a salué du bout des lèvres le contenu de cet arrêté, lui reconnaissant deux qualités: l'assouplissement de la notion de persistance d'un épisode de pollution pour les particules (passage au seuil d'alerte dès trois jours de dépassement du seuil d'information au lieu de quatre) et l’introduction de l’obligation de consultation des collectivités concernées en cas de pic‎. Anne Hidalgo pointe l’absence de la notion de persistance pour la pollution à l'ozone, «ce qui ne permettra pas d'agir de façon efficace dans le cas d'une telle pollution, pourtant fréquente en Ile-de-France en période estivale». Sur les 16 jours de dépassement des seuils enregistrés l’an passé par Airparif, 4 concernaient l’ozone durant l’été. Sur l’année, les niveaux moyens de ce polluant ont augmenté dans l’agglomération parisienne. La maire de Paris regrette en outre que le préfet soit l’autorité décisionnaire: «Aucun pouvoir de décision n'est donné aux collectivités locales».

 

SEUILS BAFOUÉS

De façon plus globale, Anne Hidalgo constate l’inadéquation des seuils de déclenchement des procédures d’information et d’alerte, qui sont fixés bien en-deça des recommandations de l’Organisation mondiale de la santé (OMS). Avec pour résultat une procédure d’alerte qui n’est «que très rarement enclenchée, malgré la mise en danger fréquente de la santé des plus fragiles par les pics à répétition». Et d’exiger une déclinaison de cet arrêté interministériel via un arrêté interpréfectoral pour l'Ile-de-France, pour instaurer «un régime plus efficace, notamment par l’interdiction rapide de la circulation des véhicules les plus polluants en cas de pic».

http://www.journaldelenvironnement.net/article/air-mode-d-emploi-pour-les-pics-de-pollution,69024?xtor=EPR-9

 

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12 avril 2016 2 12 /04 /avril /2016 12:59

 

 

 

Un exemple à suivre .....

 

 

Paru sur le site 77 Info :
COCHEREL : projet de protection du patrimoine forestier du nord est de la Seine-et-Marne


Publié le 07 Avril 2016 à 13:00 | concernant : Seine-et-Marne 

A Cocherel, les élus réfléchissent à protéger le patrimoine boisé du nord est de la Seine-et-Marne. Un comité de pilotage vient d'être créé pour gérer un plan de développement du massif forestier. 

L'objectif est d'identifier tous les propriétaires de parcelles boisées sur le territoire et ils sont près de 3 500, mais également de les aider à gérer leur bois, à savoir la récolte, l'entretien des lisières et les chantiers d'exploitation. Le comité travaillera aussi avec les communes pour faciliter la création et la restauration des voies d'accès aux forêts.

Les habitants des communes concernées, notamment Saint-Aulde, Jaignes, Tancrou, ou encore Vendrest, peuvent contacter le centre régional de la propriété forestière.

 

 

 

 

http://www.77info.fr/pages/breves.php?breve=4103&titre=COCHEREL+++projet+de+protection+du+patrimoine+forestier+du+nord+est+de+la+Seine-et-Marne

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12 avril 2016 2 12 /04 /avril /2016 12:08

 

Décidément le nord-ouest 77 est condamné à perpétuité à recevoir les sites polluants ou dangereux, en effet nous apprenons que l’entreprise Gaches Chimie doit s’implanter à proximité du village rural de Villenoy, Gaches Chimie dont le site d’Escalquens (près de Toulouse) SEVESO, seuil haut, est classé dans la base des sites pollués français BASOL (1)

 

 

Cette entreprise qui devrait employer seulement une trentaine de personnes, devrait être classée SEVESO.

 

Comment comprendre

que des élus

puissent favoriser de telles implantations ?

 

 

N’est-ce pas encore créer une nouvelle injustice environnementale dans ce village rural coincé entre 2 décharges de gravats de bâtiment ISDI à Crégy les Meaux près d’un lotissement et à Isles les Villenoy, près d’une école primaire ?

 

A vous de juger

 

 

(1) http://basol.developpement-durable.gouv.fr/fiche.php?page=1&index_sp=31.0023

 

Vu sur le site 77 Info :
Paru sur le site
PAYS DE MEAUX : Gaches Chimie pose sa première pierre

Publié le 05 Avril 2016 à 11:16 | concernant :

Déja implantée dans 8 villes françaises, l'entreprise Gaches Chimie à choisi de s'installer cette année à Meaux, en Seine et Marne

 

 

Nord-ouest 77 :un nouveau site Seveso près du village rural de Villenoy !

Jean François Copé, maire de Meaux, pose la première pierre de l'entrepôt Gaches Chimie

Vendredi dernier plusieurs élus, dont Jean François Copé le maire de Meaux, ont fait le déplacement pour la pose de la première pierre. Pour les élus, ce type d’implantation est devenu une vraie priorité pour renforcer le dynamisme économique et les emplois de proximité pour les communes environnantes au Pays de Meaux.

 

Pour la société Gaches Chimie qui est spécialisée dans l'aéronautique, le Parc d'Activité du pays de Meaux s’est révélé être un lieu stratégique à seulement  quelques kilomètres de l’aéroport Roissy Charles de Gaulle.  Gaches Chimie cherchait en effet  à s’implanter à l’Est de Paris pour répondre aux besoins de ses actuels clients aéronautiques.  C’est dans un entrepôt de 4500m²  que la société stockera des produits d'entretien,  des peintures, des solvants et de la résine à destination des avions. Pour éviter tout incident l’entrepôt stockera ces différents produits en cellules hermétiques. L'entreprise devrait passer prochainement dans la classification des sites Seveso seuil bas.

 

Le site ouvrira en octobre 2016 à côté de l'entrepôt C&A, il emploiera une trentaine de personnes. Gaches Chimie espère profiter de la proximité avec Disneyland Paris et l'aéroport de Roissy-Charles-de-Gaulle pour gonfler son carnet de commandes. 

 

 

http://www.77info.fr/index.php?page=article&id_art=2281&nom_rubrique=Economie+social+&nom_rubrique1=Emploi&titre_article=PAYS+DE+MEAUX+++Gaches+Chimie+pose+sa+premiere+pierre

 

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11 avril 2016 1 11 /04 /avril /2016 11:58

 

 

 

L’assainissement

de la zone industrielle de Mitry-Compans

un sujet brûlant

auquel personne ne semble vouloir répondre !

 

 

En date du 17 mars dernier nous avions demandé à Mme Blandiot-Faride, maire de Mitry- Mory, concernant la zone industrielle Mitry-Compans :

- combien d’entreprises situées sur cette zone bénéficient  d’une autorisation de rejets des eaux usées industrielles via la station d’épuration de Mitry- Bourg ?

 

- combien d’entreprises situées sur cette zone reversent leurs eaux industrielles usées vers la station d’épuration de Mitry-Bourg en infraction avec la législation en vigueur ?

 

 

Ironie du sort Mme Blandiot-Faride n’est pas en mesure de répondre à nos demandes, elle renvoie la balle à la CC Plaines et Monts de France qui n’est plus compétente depuis janvier 2016, puisque la compétence eau assainissement a été reprise provisoirement par la nouvelle Communauté d’Agglomération Roissy Pays de France (1) dont Mme Blandiot Faride vient d’être élue vice présidente.

 

Ironie de sort aussi parce que l’adjointe au maire de Mitry-Mory Laure Greuzat est présidente du syndicat intercommunal de la zone industrielle de Mitry-Compans qui a pour compétence : Création, aménagement, entretien et gestion de cette  zone et qui devrait à minima posséder ces informations.

 

Pour résumer la situation, depuis plus de 20 ans l’assainissement de la plus importante  zone industrielle de l’Ile de France Mitry-Compans est en très mauvais état et l’opacité la plus complète pèse sur ce dossier.

 

Une situation intolérable,

les populations demandent de la transparence !

 

En effet les eaux de cette zone industrielle se rejettent dans la Beuvronne, rivière qui se déverse dans la Marne, en amont proche du captage d’Annet sur Marne qui fournit en eau potable près de 500 000 habitants.

 

 

 

 

(1)  

Dès le 1er janvier 2016, une nouvelle communauté d’agglomération a vu le jour. Créée par arrêté inter-préfectoral du 9 novembre 2015, elle regroupe 42 communes et 345 988 habitants.

Pendant l’intérim, c’est Patrick RENAUD, qui assurera la présidence de la nouvelle communauté d’agglomération, la gestion courante et la continuité des services.

Extrait statuts proposés par l’arrêté préfectoral du 9/1/2015 :

"A compter du 1er janvier 2016, à titre transitoire, pour assurer la continuité du service public jusqu'à ce que les 42 communes intéressées aient adopté de nouveaux statuts, la communauté d'agglomération "Roissy Pays de France" exerce pour le compte des dix-sept communes de Seine-Marne :

  • Les compétences "eau" et "assainissement

 

http://www.roissyportedefrance.fr/Presentation/Roissy-Pays-de-France-nouvelle-communaute-d-agglomeration/Naissance-de-la-nouvelle-communaute-d-agglomeration-Roissy-Pays-de-France

 

 

 

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11 avril 2016 1 11 /04 /avril /2016 10:02

 

 

FORT DE VAUJOURS :

quand le CEA

fournira-t-il une caractérisation complète

de l’uranium appauvri 

utilisé sur ce site ?

 

 

 

 

 

Extrait page 3  note CRIIRAD Moronvilliers Version 4 / 5 avril 2016 :

Impact du site CEA-DAM de Moronvilliers Bilan préliminaire de la réunion d’information du 1er avril 2016

 

 

« Il est nécessaire que le CEA transmette une caractérisation complète de l’uranium appauvri utilisé à Moronvilliers avec la liste et l’activité massique de tous les radionucléides contenus dont le plutonium, l’américium, le neptunium et les produits de fission comme le technétium 99. En effet, les méthodes de surveillance de la contamination des travailleurs et de l’environnement doivent être adaptées aux différents polluants recherchés. La même question se pose d’ailleurs pour le site de Vaujours qui a probablement utilisé de l’uranium de même nature. »

 

 

http://www.criirad.org/moronvilliers/reunion-moronvilliers-avril.pdf

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8 avril 2016 5 08 /04 /avril /2016 18:00

 

 

 

Communiqué commun

Coordination Eau IDF et ADENCA 

 

 

 

SANTÉ & ENVIRONNEMENT

LA POLLUTION DE LA MARNE DANS LE RAPPORT PARLEMENTAIRE SUR LES NUISANCES AÉROPORTUAIRES

 

6 

 

Le rapport d’information de la mission parlementaire sur les nuisances aéroportuaires vient d’être présenté par MM Jacques Alain Bénisti et Christophe Bouillon. Les deux députés avaient auditionnés le 9 juin 2015, Jean-Claude Oliva, Joël Josso et René Durand pour la Coordination Eau Île-de-France et Mireille Lopez pour l’ADENCA.

 

Le rapport présente largement le point de vue des associations (pp 43 à 46) sur la pollution des eaux par les produits de dégivrage des avions, en particulier l’éthylène glycol, en provenance de l’aéroport Charles de Gaulle et les inquiétudes pour l’eau potable produite par l’usine d’Annet-sur-Marne ainsi que sur les risques d’inondations.

 

Les effets de la pollution par le glycol sont traités (pp 58 et 59). Les associations soulignent l’absence de normes pour cette substance émergente. L’avis de l’institut de veille sanitaire, saisi par l’agence régionale de la santé (ARS), est rappelé. Les députés soulignent que « la proximité de cet aéroport avec l’usine, et les volumes de glycols utilisés chaque saison hivernale, appellent une vigilance particulière ». La Direction générale de l’aviation civile (DGAC) rappelle l’obligation des exploitants de récupérer toute substance dangereuse utilisée en application de la loi sur l’eau.

 

Le rapport montre enfin (pp 176 à 178) les solutions mises en œuvre à Orly et à l’étranger ainsi que de premières avancées pour l’aéroport Charles de Gaulle.

 

En effet, le comité de suivi loi sur l’eau du 29 octobre 2015, auquel ont participé les associations, indique un contrôle in situ des produits utilisés pour le dégivrage, en janvier 2015. Il annonce la réalisation d’une première phase de travaux pour un montant de plus de 37 millions d’euros, créant un système d’évacuation des eaux les plus polluées vers le réseau d’assainissement ; la fin des travaux est prévue pour 2017.

 

Une deuxième phase, optionnelle, pour un montant de 23 millions d’euros, consiste à créer une canalisation de rejet pour les eaux les moins polluées, directement dans la Marne, en aval de l’usine d’Annet-sur-Marne.

 

Ces premiers résultats sont à mettre au compte de l’action des associations mobilisées depuis plusieurs années maintenant.

 

Point noir, l’arrêté préfectoral autorisant la situation actuelle, à savoir le rejet des eaux les plus polluées vers la Marne via la Beuvronne, a été prolongé une nouvelle fois jusqu’en juin 2018. C’est dire que la vigilance des habitants et des associations est nécessaire pour que les premières mesures aboutissent. Il en va de la santé de la population et de la reconquête d’un environnement sain !

 

Télécharger le rapport

Télécharger le compte-rendu du comité de suivi loi sur l’eau

 

 

 

http://eau-iledefrance.fr/la-pollution-de-la-marne-dans-le-rapport-parlementaire-sur-les-nuisances-aeroportuaires/

 

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8 avril 2016 5 08 /04 /avril /2016 11:10

 

 

 

Pourquoi lors des réunions de concertation Plans Déchets ADENCA est toujours mise à l’écart par le Conseil Régional IDF ?

 

 

 

Le Conseil Régional IDF

vient de changer

mais les méthodes semblent identiques

Chantal Jouanno

ne nous invite pas

 

 

Pourtant la logique voudrait qu’ADENCA soit invitée puisque notre association  travaille depuis des années sur le dossier des déchets et se trouve dans la région la plus impactée par ces mêmes déchets, mais le Conseil Régional IDF semble préférer choisir les associations qu’il subventionne pour assister à ces réunions.

Des associations qui ont besoin de ces subventions pour payer leurs salariés et qui ne pourront pas en quelque sorte « mordre la main qui les nourrit ».

 

 

Paru sur le site de l’ORDIF :

 

La Région Ile-de-France travaille à un nouveau plan unique de prévention et gestion des déchets. En effet, la loi portant Nouvelle Organisation Territoriale de la République (NOTRe) positionne les conseils régionaux comme entités en charge de la planification des déchets, ce qui est déjà effectif en Île-de-France depuis 2004, et modifie la compétence de planification en matière de déchets : les futurs plans de prévention et de gestion des déchets concerneront l’ensemble des déchets visés par les 4 plans précédents (PREDMA, PREDD, PREDAS et PREDEC), tout en intégrant les flux de déchets n’ayant pas encore fait l’objet de politique de planification régionale. (1)

 

 

 

(1) http://www.ordif.com/public/actualite/predec-manifeste-de-soutien.html?id=17390&rub=8986

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7 avril 2016 4 07 /04 /avril /2016 10:56
Pourquoi Rep Veolia Claye-Souilly ne donne pas d’informations quant à l’utilisation des mâchefers sur sa décharge ?

 

 

 

La décharge Rep Veolia Claye-Souilly traite depuis de nombreuses années les mâchefers en provenance en majorité de l’usine d’incinération d’Issy les Moulineaux (Hauts de Seine).

 

Sur environ 800 000 tonnes de mâchefers valorisables qui sont sortis des stocks de Veolia de 2007 à 2014 , près des 3/4 ont été utilisés sur la décharge et le reste pour majorité sur les sites de Rep Veolia Monthyon, Fouju ou Plessis-Gassot.

 

Il faut pourtant savoir que  les mâchefers sont régis par une législation qui ne permet pas d’étaler ces déchets n’importe où.

 

Dans quelles conditions

Rep Veolia

utilise ces mâchefers

dans la décharge de Claye-Souilly ?

 

C’est l’opacité la plus totale

 

En effet, depuis des années,  les associations, membres de la commission de suivi de site n’ont jamais pu obtenir d’informations quant aux lieux exacts où sont étalés ces mâchefers  dans la décharge, pas même obtenu d’informations, à savoir si le stockage autorisé sur le site était respecté ou dépassé, le sous préfet Jean-Noël Humbert, n'ayant jamais soutenu leurs demandes.

 

Nous sommes très inquiets car nous voyons les montagnes de mâchefers augmenter de mois en mois sans avoir de réponse à nos questions.

 

Il serait souhaitable dans un souci de transparence que Jean-Luc Marx, préfet du 77, impose à l’exploitant de fournir ces éléments aux associations.

 

Mais là c’est une autre histoire…..

 

L’entreprise Yprema de Lagny sur Marne qui recevait les mâchefers de l’usine d’incinération de Montereau-Fault-Yonne n’en veut plus, faute de débouchés.
( voir article qui suit)
Paru dans le Parisien 77 :
Lagny-sur-Marne : Yprema ne veut plus du mâchefer de Veolia

 

Marion Kremp | 06 Avril 2016, 15h44 | MAJ : 06 Avril 2016, 15h44

Lagny-sur-Marne, ce mardi. L’entreprise de recyclage de déchets Yprema a accepté une dernière livraison de mâchefers de Veolia avec qui elle souhaite suspendre son contrat par manque de débouchés commerciaux. (LP/Marion Kremp.)

À chacun ses poubelles ! Yprema, qui recycle du mâchefer à Lagny-sur-Marne, ne veut plus de cette matière première issue de l’incinération des déchets urbains de Montereau. C’est en tout...

 

http://www.leparisien.fr/lagny-sur-marne-77400/lagny-sur-marne-yprema-ne-veut-plus-du-machefer-de-veolia-06-04-2016-5691361.php

 

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