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17 mai 2016 2 17 /05 /mai /2016 10:01

 

L’ETAT

va-t-il autoriser Yprema

à stocker

les mâchefers

dont Yprema ne sait que faire

dans la zone industrielle de Mitry-Compans ?

 

Cette zone industrielle dont l’assainissement est en mauvais état depuis plus de 20 ans déjà et dont les eaux se dirigent vers le ru des Cerceaux dont les sédiments recèlent des taux de métaux lourds plus qu’inquiétants (cuivre, zinc, cadmium, nickel).

 

Le ru des Cerceaux est un affluent de la Beuvronne, rivière qui se rejette dans la Marne en amont proche du plus important captage d’eau du 77, qui fournit en eau potable près de 500 000 habitants.

 
ru des cerceaux

ru des cerceaux

 

 

 

A force d’accumuler

à ce rythme

autant d’installations polluantes

dans

cette zone industrielle

pendant combien de temps

pourrons-nous encore

boire

de l’eau potable ?

 

 

 

 

Paru sur le site Ecogisement :

 

Mâchefers : la réglementation plombe-t-elle la filière ?

 

BY BENOIT THEUNISSEN ON AVRIL 19, 2016

Le mâchefer est-il en danger ? La réponse est « oui », selon le président d’Yprema, qui déplore le maintien du statut de déchet des mâchefers valorisés.

Il devient de plus en plus difficile de commercialiser et réemployer des mâchefers d’incinération non dangereux, alerte le président d’Yprema, Claude Prigent. « L’arrêté du 18 novembre 2011, son guide d’application et la fixation de nouveaux seuils pour les éléments contenus dans les mâchefers ont déstabilisé la filière », adresse-t-il aux pouvoirs publics.

La filière connaîtrait aujourd’hui un déséquilibre économique. Les débouchés se sont progressivement restreints alors que tonnages rejoignant les centres de stockage (classe 2) ont explosé.

La société Yprema a malheureusement observé cette tendance, à ses propres dépens. Sa plateforme de Lagny-sur-Marne a subi une chute de plus de 80% des tonnages valorisés au cours des dix dernières années. Alors qu’elle valorisait encore 250.000 tonnes de mâchefers par an, la plateforme n’en traite désormais plus que 40.000 tonnes.

Rupture du contrat avec Veolia

Début avril, le recycleur a d’ailleurs informé Veolia qu’il n’accepterait désormais plus aucune livraison de mâchefers sur sa plateforme de Lagby-sur-Marne, selon Le Parisien.« Nous suspendons le contrat pour ne pas mettre l’entreprise en difficulté », a précisé son président.

Toute modification réglementaire ou changement économique peut conduire à une rupture de contrat. Un arrêté ministériel de novembre 2011 a justement fixé que, même recyclé, le mâchefer reste un déchet. La connotation de déchet aurait alors pour conséquence de rendre frileux les acteurs quant à l’utilisation des mâchefers. « Les collectivités territoriales sont plus hésitantes à remblayer cours d’écoles ou chaussées avec des déchets », a indiqué Claude Prigent.

La société spécialisée dans le recyclage des déchets de déconstruction appelle les pouvoirs publics à doter les entreprises et collectivités d’une réglementation adaptée à la situation économique. « Prétendre recycler de plus en plus, c’est bien, donner aux entreprises et aux collectivités les moyens de la faire, c’est mieux ! », estime un communiqué de presse diffusé par Yprema. Pour développer les débouchés de la valorisation des mâchefers, ces derniers devraient donc sortir de la nomenclature « déchets ». Ils représenteraient 25% des volumes de déchets ménagers incinérés en France. Ce qui constitue environ 3 millions de tonnes chaque année.

Plusieurs phases de dépollution

Le recyclage des mâchefers permet pourtant de réduire la mise en centres de stockage et de diminuer les risques de pollution. Qu’il s’agisse de résidus de verre de chaux, de métaux ou de composés organiques, tous les mâchefers valorisés passent obligatoirement par une phase de maturation. Ils restent stockés à l’air libre pendant plusieurs mois pour être dépollués.

Aussitôt arrivés à maturation, les mâchefers entrent alors en phase d’élaboration, moment où les éléments indésirables sont retirés des éléments valorisables. Toutes ces phases qui précèdent le moment de recyclage permettent d’obtenir des mâchefers valorisés les plus propres possibles et la meilleure qualité.

Ces procédés de dépollution ne mettent cependant pas l’ensemble des clients sur la même longueur d’onde. Le conseil départemental des Pyrénées-Orientales a par exemple annoncé en en avril qu’elle refusait l’utilisation de mâchefers dans la construction de routes aux abords de la nappe phréatique de la plaine du Roussillon. Un litige oppose ainsi le conseil départemental et l’entreprise Cydel. L’issue de cette affaire se trouve désormais dans les mains de la justice et pourrait donner lieu à la naissance d’une jurisprudence en la matière.

 

http://www.ecogisements.org/machefers-filiere-menacee-3729

 

 

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17 mai 2016 2 17 /05 /mai /2016 09:58

 

 

Valérie Pécresse

viendra à Claye-Souilly

 le 21/5/2016

 

Mais ce n'est pas pour venir au chevet

des populations

des villages ruraux

qui vivent au milieu des ordures des autres

 

 

 Valérie Pécresse viendra seulement inaugurer la vidéo surveillance dans les bus du réseau du bassin de Claye-Souilly.

 

 

Il semblerait que les problèmes de santé, de pollution air, eau, rivières et de déchets du nord-ouest 77 ne soient pas la priorité de Mme Pécresse.

 

 

Il faut bien comprendre

que les ordures

de

l'Ile de France 

il faut bien les mettre quelque part.

 

Pourquoi

ne pas continuer à détruire

le nord-ouest 77 ?

 

 

 

Paru dans le Parisien 77 :

De Fontainebleau à Claye-Souilly, Valérie Pécresse sera samedi en Seine-et-Marne

15 Mai 2016, 12h40 | MAJ : 15 Mai 2016, 12h40

 

http://www.leparisien.fr/claye-souilly-77410/de-fontainebleau-a-claye-souilly-valerie-pecresse-sera-samedi-en-seine-et-marne-15-05-2016-5797525.php

 

 

 

 

 

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15 mai 2016 7 15 /05 /mai /2016 18:43
La Beuvronne

La Beuvronne

 

A Claye-Souilly, les habitants du centre ville ont toujours en tête les inondations de mars 2001.

 

Certains quartiers avaient été particulièrement touchés : l’allée des soupirs, la résidence de la Beuvronne, des Jardins Anglais, la Résidence de la Source Bleue et la rue de Vilaine..., sans oublier le collège des Tourelles qui a dû être évacué.

 

On peut lire l’inquiétude des élus dans le compte rendu de la réunion du 24/4/2001 Syndicat Basse Beuvronne SIAERBB :

 

« Monsieur Daragon souligne qu’avec le Bassin des Renardières, les communes ont « une épée de Damoclès » au dessus de la tête. Lors des inondations, une cellule de crise s’est tenue à la Préfecture. Pour faire face à la situation préoccupante (le niveau d’eau était à 40 cm du déversoir, il ne restait plus que 100 000 m3 de réserve) les rejets d’ADP ont été dirigés dans le Canal de l’Ourcq, par la mise en place d’une station de pompage (une autorisation exceptionnelle ayant été donnée sur une semaine) sachant que la Ville de Paris, qui gère le Canal de l’Ourcq, si elle pouvait recevoir les eaux, ne devait pas créer de désordres (au niveau des berges…)

Des dispositions sont à prendre, des moyens sont à mettre en œuvre pour protéger les Villes. En effet, même s’il ne pleut pas, un scénario catastrophe pourrait se produire, si la digue venait à céder.

 

Monsieur Albarello précise

« Que l’eau naturelle des Villes pouvait passer, ce qui n’était pas le cas des eaux d’ADP, soulignant qu’il a vu l’eau monter aussi vite qu’il l’a vu descendre…..

Le bassin des Renardières a montré ses limites. Ce qui s’est passé peut se reproduire…. »

 

Depuis un arrêté interpréfectoral « Loi sur l’Eau » a été pris, arrêté censé éviter de telles situations mais qui ne satisfait pas les associations environnementales.

 

 

Qu’en est-il aujourd’hui

de l’état

du bassin des Renardières ?

 

 

Une inspection de la DRIEE Champagne Ardennes, prévue en juin prochain, nous en dira plus.

 

Comment

Aéroport de Paris

pourra-t-il s’agrandir dans ces conditions

avec un si petit exutoire

que la rivière Beuvronne ?

 

 

 

Les associations

sont très inquiètent

et suivent l’avancée de ce dossier avec grande attention.

 

 

 

Paru dans le Parisien 77 :

Une journée sans répit sur le front des crues

Valentine Rousseau et Eric Hacquemand | 23 Mars 2001, 00h00

4 HEURES Stupeur pour l'équipe de nuit de l'entreprise Motul située dans la zone industrielle de Chelles-Vaires, chemin du Corps-de-Garde, en bordure de la Marne. Après les pluies diluviennes, l'eau monte de quatre-vingts centimètres environ. Même phénomène chez Lescot, l'entreprise située à côté.

 

Les pompiers, en état d'alerte, interviennent afin de procéder à l'évacuation et pour éviter notamment tout risque de pollution. A 11 heures, les salariés n'avaient toujours pas réintégré l'entreprise, l'accès à la zone industrielle étant barré à la circulation.

 

8 HEURES La Direction départementale de l'équipement neutralise une voie de chaque côté de la N 3 à Claye-Souilly, au niveau de l'échangeur de Carrefour, jusqu'à 15 h 30. La route n'est pas coupée, mais réduite à la circulation. Les champs limitrophes dégorgent de gros débits. Toute cette nuit, les équipes de la DDE prévues sur les travaux d'entretien de la A 104 sont restées en alerte pour assurer la sécurité des usagers. 11 H 30 L'hélicoptère de la gendarmerie équipé d'un treuil pour secourir d'éventuelles victimes survole les secteurs inondés d'Esbly, Condé et Isles-lès-Villenoy. Dans la journée, trois habitations sont évacuées en canot pneumatique. Quatre-vingts maisons sont noyées sur ce secteur. La salle des fêtes d'Esbly est prête à accueillir les personnes sans toit. A Précy-sur-Marne, les pompiers et gendarmes répertorient entre 60 et 80 maisons inondées ou coupées d'accès.

 

MIDI Les pompiers pompent dans le gymnase Ostermeyer de Mitry-Mory, avenue des Martyrs-de-Châteaubriant, victime du débordement des champs. Environ dix centimètres d'eau s'étalent sur toute sa superficie. Le gymnase, utilisé par les écoles, le collège, le lycée et les associations sportives, est fermé jusqu'à nouvel ordre. Le CD 9 entre Mitry-Bourg et la Villette-aux-Aulnes est coupé.

 

13 HEURES La principale du collège des Tourelles de Claye-Souilly décide d'évacuer les élèves, qui n'ont pas cours non plus aujourd'hui. L'établissement de 490 élèves, planté tout près de la Beuveronne, voit l'eau monter à une trentaine de centimètres autour de ses bâtiments. Les sous-sols sont inondés, le chauffage et l'électricité sont coupés. Les pompiers interviennent tout au long de la journée auprès des habitants de Claye inondés. Une cinquantaine de maisons au moins sont touchées.

 

17 HEURES La DDE de Meaux coupe la première route de son secteur, la D 54a, entre Trilbardou et Charmentray.

 

18 HEURES Les secours se préparent à une garde particulièrement agitée. « L'hélicoptère est prêt à évacuer les personnes en cas de besoin. On visite chaque maison inondée », assurent les gendarmes. Aujourd'hui, ils seront accompagnés d'un médecin pour assister les personnes âgées.

 

 

http://www.leparisien.fr/seine-et-marne/une-journee-sans-repit-sur-le-front-des-crues-23-03-2001-2002049947.php

 

 

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15 mai 2016 7 15 /05 /mai /2016 15:08
Confluence Beuvronne Marne  en amont proche  du captage d'eau d'Annet sur Marne

Annet sur Marne

La Beuvronne se jette dans la Marne

et à 

quelques centaines de mêtres de là

en aval

le captage d'eau 

Confluence Beuvronne Marne  en amont proche  du captage d'eau d'Annet sur Marne

Annet sur Marne

captage d'eau 

dans

la Marne

qui fournit

près de 500 000 habitants

en eau potable

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13 mai 2016 5 13 /05 /mai /2016 18:53
Ru des CERCEAUX avant rejet dans la RENEUSE

Ru des CERCEAUX avant rejet dans la RENEUSE

Le ru des Cerceaux, affluent de la Beuvronne, prend sa source à Mory sur la commune de Mitry-Mory, il reçoit les eaux de la station d’épuration de Mitry-Mory (qui traite entre autres les effluents de la ZI Mitry), il se jette dans la Reneuse à Gressy.

 

Le Conseil Départemental de Seine et Marne a implanté en 2009 un point de contrôle fixe de la qualité de l’eau en amont de la confluence avec la Reneuse, quant à l’ETAT il n’a implanté  aucun point de contrôle fixe sur ce ru.      

 

Le parcours du combattant

pour obtenir l’autorisation de consulter

des documents publics

 

 

En effet le syndicat de la Basse Beuvronne a fait réaliser en 2015 un contrôle des eaux et sédiments sur la basse Beuvronne et ses affluents, mais bien que ces documents soient publics c’est après avoir adressé un courrier à la CADA (1) que notre association a pu enfin les consulter.

 

Il est vrai que

les résultats d’analyses

sur le ru des Cerceaux

sont

assez désastreux.

 

Concernant l’analyse de l’eau, une pollution est constatée ru des Cerceaux, avec une valeur Ammonium de 4.2 mg/l, le seuil de mauvaise qualité est dépassé.

Quand au taux de matières en suspension, il dépasse largement le seuil de mauvaise qualité, multiplié par plus de 2 avant la confluence avec la Reneuse.

 

Concernant  les résultats de l’étude des sédiments, on peut lire :

 

« Le ru des Cerceaux, la Reneuse et le ru des Grues souffrent de pollutions aux métaux lourds »

 

Les analyses des métaux lourds dans les sédiments dans le ru des Cerceaux font ressortir des taux élevés de pollution :

- cuivre, zinc, cadmium, nickel en aval de la station d’épuration de Mitry-Mory qui reçoit les eaux usées de la zone industrielle de Mitry-Compans

- zinc avant la confluence avec la Reneuse. 

 

90 millions d’euros devaient être utilisés

 pour « nettoyer la Beuvronne »

 

Comment a été utilisé notre argent ?

 

Nous n’en savons rien.

 

 

Pour le savoir nous vous conseillons de vous rapprocher de :

 

 M. Yves Albarello

président du syndicat de la Basse Beuvronne

 

M. Jean Luc Servières

 adjoint chargé de l’eau et de l'assainissement Claye-Souilly

et vice président chargé de l’assainissement

de la communauté de commune Roissy Porte de France

 

 

(1) CADA Commission d’Accès aux documents administratifs http://www.cada.fr/

Paru dans le Parisien 77 :
90 M€ pour nettoyer l’eau de la Beuvronne

faustine léo | 22 Juin 2012, 07h00 | MAJ : 22 Juin 2012, 06h53

 

L’artillerie est sortie pour améliorer la qualité de l’eau de la Beuvronne, ce cours d’eau de 25 km de long qui, de Cuisy à Annet-sur-Marne, traverse quinze communes des cantons de Dammartin et de Mitry et se déverse dans la Marne, à côté de la station de pompage d’eau potable.

Son affluent principal, la Biberonne, longue de 12 km, qui passe par six communes de Moussy-le-Neuf à Saint-Mesmes, est aussi concernée.

L’Agence de l’eau, la région et le département investissent 90 M€ sur cinq ans. Vingt-neuf communes s’associent à eux et signent aujourd’hui un contrat par lequel elles s’engagent à maîtriser les nuisances. Elles participeront aux actions à hauteur de 20%. Aéroports de Paris est aussi partie prenante car l’hiver il rejette, grâce à une dérogation, des eaux pluviales chargées en dégivrant, quand sa station de traitement est saturée.

Les eaux de la Beuvronne et de ses affluents sont considérées comme « mauvaises » depuis plus de dix ans, le niveau le plus élevé de pollution référencé. En cause, les rejets domestiques, industriels et agricoles mal maîtrisés sur le territoire. Les hydrocarbures du trafic routier drainés par les pluies sur l’A 104, la N2 et la N3 sont aussi en cause. Les syndicats des eaux du bassin se fédèrent donc pour agir. « Jusqu’à maintenant, tout le monde agissait dans son coin », regrette Yves Albarello, le maire de Claye-Souilly (UMP) et président du syndicat de la 
Basse Beuvronne.

Un meilleur réseau d’assainissement. Nombreux sont les réseaux vieillissants qui présentent des fuites qui se déversent dans la rivière. Il s’agit donc de les refaire, ce qui est coûteux, en séparant les eaux pluviales du réseau d’eau usées, notamment à Mitry-Mory et 
Villeparisis. « Nous avons déjà commencé, précise la mairie de Mitry-Mory. Ce sera long, nous avons 50 km de voirie. » Il faudra aussi réhabiliter les stations d’épuration, voire en construire.

Créer des bassins d’orage. Une grande partie de l’amélioration réside dans la collecte des eaux pluviales. Elle permettra aussi de lutter contre les inondations qui perturbent le secteur, comme à Villeparisis où un bassin doit récupérer les eaux et celles de la Francilienne. Il sera équipé de roseaux pour filtrer les molécules toxiques.

Protéger les sols. Les communes ont cinq ans pour peu à peu diminuer leur consommation de produits phytosanitaires et utiliser, par exemple, des brûleurs thermiques pour désherber. « Nous devons aussi convaincre de l’intérêt de faire des parkings végétalisés, qui permettent l’écoulement des eaux, et non en bitume », insiste la chargée de mission du projet.

Préserver les zones humides. Toutes ces actions permettront à l’écosystème des cours d’eau de ne pas disparaître. En plus, des aménagements spécifiques seront réalisés comme la création de mares, de noues ou de passes à poissons. « Nous sommes forcément contents que l’on veuille remédier aux pollutions, concède Jane Buisson de Nature Environnement 77. Mais nous voudrions que l’on s’attaque à elles à la source. »

http://www.leparisien.fr/espace-premium/seine-et-marne-77/90-meur-pour-nettoyer-l-eau-de-la-beuvronne-22-06-2012-2059910.php

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11 mai 2016 3 11 /05 /mai /2016 18:42
Forêt Régionale de Montgé en Goële en danger : déjà en 1990 l’AEV semblait favorable à l’exploitation d’une carrière à ciel ouvert mais pas remblayée par des ordures ménagères !

 

 

 

Pour permettre  à l’AEV (Conseil Régional) de s’assurer la maîtrise de la forêt régionale de Montgé en Goële  cette collectivité demandera en 1991  à bénéficier d’une déclaration d’utilité publique.

 

 

Mais dans quel but ?

 

Protéger le boisement existant  

ou

 permettre

à l’exploitant allemand Knauf

de détruire la forêt existante

pour exploiter

une carrière de gypse à ciel ouvert ?

 

 

Il semble  que ce soit pour favoriser l'exploitation d'une carrière à ciel ouvert, mais promis juré, les trous ne seront pas remblayés d’ordures ménagères, mais de déchets inertes .

 

 

Pour preuve

le courrier du  16/10/1990

adressé par l’AEV

à la mairie de Montgé en Goële 

 

 

Pour extrait ;

Carrière de gypse en forêt de Montgé 77

« …cas présent, l’autorisation d’exploiter sera soumise à deux conditions : la délivrance, par le Préfet, d’un permis d’exploiter et l’autorisation de défrichement, qui dépend du Ministre de l’Agriculture.

 

Ces deux autorisations peuvent être l’occasion d’une négociation d’ensemble qui permettrait d’imposer une exploitation par tranches, à ciel ouvert afin de mieux exploiter la ressource et de maîtriser le réaménagement progressif, qui serait opéré par les exploitants selon un cahier des charges précis ayant obtenu l’accord préalable de l’Agence des Espaces Verts et des élus.

 

Il est clair que la propriété de la totalité de la forêt de Montgé aiderait l’Agence à obtenir le réaménagement en espace vert du site, après comblement partiel par des matériaux inertes.

 

J’insiste sur le fait qu’en aucun cas l’Agence n’acceptera, sur le périmètre d’acquisition de la forêt de Montgé, actuellement en Espace Naturels Sensibles, le comblement par des ordures ménagères….. »

 

 

 

 

Qu'en est-il aujourd'hui ?

 

Nous n'en savons rien

 

 

 mais nous sommes très inquiets car

Valérie Pécresse

ne répond toujours pas à notre courrier

 

 

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11 mai 2016 3 11 /05 /mai /2016 09:34
6.5.2016 Eaux sortant du centre d'épuration de Villeparisis et se rejetant dans le ru des Grues

6.5.2016 Eaux sortant du centre d'épuration de Villeparisis et se rejetant dans le ru des Grues

 

 

A la lecture du bilan 2014 de fonctionnement du centre d’épuration commun à Villeparisis, Mitry-Mory et Claye-Souilly nous apprenons :

- que les boues d’épuration n’ont pas pu être incinérées à St Thibault des Vignes car trop chargées en plomb

- qu’il arrive que  ces boues se déversent dans le ru des Grues.

 

Pour mémoire l’étude des sédiments réalisées en 2015 par le syndicat basse Beuvronne indiquait dans le ru des Grues, en aval proche du centre d’épuration, des taux de métaux lourds très élevés pour le cuivre, le zinc et un taux de 96 mg/kg pour le plomb.

 

 

Où en est-on aujourd’hui ?

 

Nous n’en savons rien

 

Il serait souhaitable que dans le prochain bulletin municipal

Jean-Luc Servières

élu en charge de ce dossier

au sein de la communauté d’agglomération Roissy Porte de France

 nous informe

de l’état d’avancement des travaux

pour la réduction de la pollution dans le ru des Grues

 

 

 

Paru sur le site Eau 77 :

 

BILAN DE FONCTIONNEMENT 2014 DU SYSTEME D’ASSAINISSEMENT DIRECTION DE L'EAU ET DE L'ENVIRONNEMENT - S.A.T.E.S.E. Villeparisis / MITRY

 

LE RESEAU : L'arrêté de mise en demeure n°2014/DDT/SERP/n°178 qui a fait suite à la non conformité en équipement du système de collecte et de traitement des eaux usées, établi par la Police de l'Eau au titre des données 2012, va conduire à définir, dès 2015, un plan d'actions portant notamment sur l'amélioration de la collecte qui passera par des travaux sur les réseaux de collecte, visant à déconnecter une partie des eaux pluviales et des eaux d'infiltration, responsables des déversements d'eaux usées dans le milieu naturel et des surcharges hydrauliques de la station d'épuration. Ces travaux s'entendent sur plusieurs années, un programme cohérent et régulier est à définir. Suite à l'inventaire des points de déversements dans le milieu naturel, une étude a été lancée fin 2014 dans le but de mettre en place un diagnostic permanent du réseau d'assainissement.

 

LA STATION D'EPURATION : Le débit de référence de la station d'épuration est régulièrement dépassé (76% du temps). Toutefois, la maîtrise de la gestion hydraulique de la station d'épuration grâce à l’optimisation de l’utilisation du bassin d’orage permet de respecter globalement les normes de rejet au point A4 et d’éviter les pertes massives de boues avec les eaux épurées. En revanche, elle conduit au rejet d’effluents qui peuvent n’avoir subi qu’un traitement sommaire par décantation dans le bassin d’orage ou au niveau des prétraitements. Dans ce cas-là, le rejet global de la station (by-pass inclus) ne respecte plus l’arrêté d’autorisation. La gestion hydraulique des ouvrages sera renforcée en 2015 par la mise en place d'une vanne modulante qui permettra d'optimiser l'alimentation du bassin d'orage. Sur le plan de la pollution à traiter, la charge polluante collectée actuellement représente un coefficient de pollution de près de 90% de la capacité maximale ponctuelle de 32 000 EH. De plus les besoins en oxygène sont tels que le système d'aération fonctionne à plus de 90% du temps. Ces éléments conduisent à révéler la saturation actuelle de la station d'épuration, non seulement sur le plan hydraulique, mais aussi sur celui de la pollution. Le remplacement des diffuseurs d’aération envisagé en 2015 permettra de fournir une meilleure capacité d’oxygénation et limiter ainsi les conséquences de la saturation du dispositif.

 

LA DESTINATION DES BOUES : Les essais d'incinération sur la station d'épuration de SaintThibault-des-Vignes, prévus à l'automne ont été différés du fait de la pollution des boues en plomb relevé en octobre. Depuis, le suivi qualitatif des boues a été renforcé et la destination vers la REPE maintenue. Les essais démarreront dès que la qualité des boues le permettra. L’origine de la pollution n’a pas été cernée. Le suivi analytique des boues montre l’amélioration régulière de leur qualité.

 

L'AUTOSURVEILLANCE : En 2014, le suivi des micropolluants a porté sur 10 paramètres et le sera encore en 2015. Il reprendra ensuite en 2017, suite à la mise en place d'un nouveau dispositif réglementaire plus souple. Le scénario SANDRE est à adapter pour prendre en compte les points A2 recensés (Poste Flandres à Villeparisis et celui de Bois Fleury à Claye-Souilly), et le manuel d'autosurveillance sera à réviser pour intégrer les modifications apportées au scénario SANDRE.

 

LES TRAVAUX : Pour répondre aux exigences de l’arrêté de mise en demeure de 2012, un décanteur lamellaire dimensionné pour un débit de 900 m3/h sera mis en place en 2015 afin de traiter la surverse des eaux usées en entrée de la station d’épuration.

 

file:///C:/Documents%20and%20Settings/Station/Mes%20documents/Downloads/18568%20(10).pdf

 

 

Ru des Grues à Souilly

Ru des Grues à Souilly

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10 mai 2016 2 10 /05 /mai /2016 11:39

 

 

Qu’est ce que la commission des sites ?

 

(articles R.341-16 et suivants du code de l’environnement)

La Commission Départementale de la Nature, des Paysages et des Sites (CDNPS), concourt à la protection de l’environnement. Elle est régie par les dispositions des articles 8 et 9 du décret N°2006-665 du 7 juin 2006. La commission présidée par le préfet ou son représentant, est composée de 6 formations spécialisées :

• “ Sites et paysages” • “de la Nature”

• “ Faune sauvage captive” • “Publicité”

• “des carrières”

• “des unités touristiques nouvelles”

 

Pourquoi intervient-elle ?

 

Au titre de la protection de la nature

Au titre de la préservation des sites et des paysages, du cadre de vie et de la gestion équilibrée de l’espace,

Au titre de la gestion équilibrée des ressources naturelles,(1)

 

 

Ironie du sort, Jean-Luc Marx, préfet du 77, nomme au CDNPS par arrêté préfectoral n° 16 DCSE CDNPS 001 du 15/4/2016Gérard Balland (2), actuel maire de Nonville et ancien dirigeant de la Sté « les Remblais Paysagers » qui a exploité pendant 2 ans ½ une décharge illégale à Claye-Souilly, décharge illégale fermée par arrêté municipal du 16/7/2007 suite à un courrier adressé par Nature Environnement 77 (anciennement dénommée ASMSN) à la mairie de Claye-Souilly.

 

Décharge illégale qui n’a pas été remise en état par la Sté les Remblais Paysagers qui en a laissé le poids à la population de Claye-Souilly.

 

Pour mémoire Jean-Luc Marx, préfet de Seine et Marne,avait également nommé Gérard Balland dans une autre commission départementale le CODERST, dans laquelle il avait démissionné le 3/9/2015 suite à une vive polémique autour de sa nomination.

 

Mais au delà de cette nomination, n’est-ce pas certaines nominations aux diverses commissions par les préfets qui devraient être remises en cause.

 

Nous citerons simplement un exemple ADENCA et une association de Vaires sur Marne qui avaient demandé à être nommées à la "CSS du fort de Vaujours Placoplatre" n’ont pas été acceptées, les préfets préférant nommer une association qui a perçu pendant plusieurs années des subventions de la fondation Placoplatre.

 

(1) http://www.seine-et-marne.gouv.fr/content/download/10984/68480/file/c'permis2013_17.pdf

 

(2) page 11 et suite http://www.seine-et-marne.gouv.fr/content/download/21012/168565/file/RAA%20n%C2%B0176%20du%2026%20avril%202016.pdf

 

 

Pour aller plus loin :

Action de Nature Environnement 77 (anciennement dénommée ASMSN) contre les Remblais Paysagers à Carnetin

http://www.asmsn.org/ancien_site/Dechets/Carnetin.htm#requ%C3%AAte

 

Paru dans le Parisien 77 :
Surveillance des décharges : la nomination qui fait hurler les écologistes

 

Le Parisien | 05 Sept. 2015, 07h00

Le maire de Nonville, Gérard Balland (LR), a-t-il sa place au sein du conseil départemental de l'environnement, des risques sanitaires et technologiques (Coderst) ?

Pour rappel, le Coderst est un organisme qui donne des avis consultatifs sur les risques environnementaux induits par l'implantation d'installations classées, par exemple les décharges autorisées.



Pour quelques associations de défense de l'environnement et pour EELV 77, la réponse est non. Comme le rappelle Mireille Lopez, de l'association Adenca, Gérard Balland a été le dirigeant de la société les Remblais paysagers, qui a, pendant deux ans et demi, exploité illégalement une décharge à Claye-Souilly. Il a laissé derrière lui une colline de déchets de chantier haute de plus de 12 m au lieu-dit le Prée, aujourd'hui remplacé par l'une des innombrables buttes paysagères du secteur.

« Même si cette affaire est assez ancienne, (NDLR : au début des années 2000), cette nomination est quand même incroyable », indique Franck Rolland, cosecrétaire d'EELV 77, qui demande au préfet de revenir sur sa décision. Message relayé par la vice-présidente du conseil régional chargée de l'environnement, Corinne Rufet (EELV), qui a également écrit au préfet, ainsi qu'à la ministre Ségolène Royal. « C'est ahurissant, cela relève quasiment du conflit d'intérêt », s'emporte l'élue.

Pour sa part, le principal intéressé s'étonne de la polémique. « Cela fait deux ans que je siège au Coderst, les associations représentées ne m'ont jamais fait de reproches ou de procès en légitimité », assure Gérard Balland, qui estime par ailleurs que la décharge exploitée à Claye-Souilly était autorisée. Ce qui est à la fois vrai et faux. Comme l'indique l'arrêté pris par Yves Albarello (LR) le 16 juillet 2007, les Remblais paysagers ont bénéficié d'une autorisation entre 1998 et 2004. Le problème, c'est que la société a poursuivi son activité pendant plus de deux ans au-delà de cette échéance.

Interrogé, le préfet de Seine-et- Marne, qui préside le Coderst, a saisi Valérie Lacroute (LR) et Jean-Jacques Barbaux, l'actuelle présidente de l'union des maires et son prédécesseur, qui avaient désigné à tour de rôle le maire de Nonville comme représentant au sein du Coderst. Ils lui ont assuré oralement que Gerard Balland allait remettre sa démission.

Le Parisien

 

http://www.leparisien.fr/espace-premium/seine-et-marne-77/surveillance-des-decharges-la-nomination-qui-fait-hurler-les-ecologistes-05-09-2015-5063961.php

 

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9 mai 2016 1 09 /05 /mai /2016 15:03

 

 

L’entreprise Yprema qui a « bénéficé » de plusieurs  mises en demeure de la DRIEE 77 pour non respect de ses arrêtés préfectoraux annonce son implantation dans la zone industrielle de Mitry-Mory.

 

Pour mémoire :

 

- à Emerainville la mise en demeure portait notamment en 2013  sur la qualité des eaux pluviales rejetées qui dépassaient les normes autorisées par l’arrêté préfectoral.

 

- à Lagny sur Marne c’est une mise en demeure qu’à reçu cette entreprise en 2014 pour non respect de l’arrêté préfectoral concernant la fourniture des analyses des rejets des eaux à la préfecture et les conditions de stockage des mâchefers en bordure de Marne.

 En novembre 2015 Yprema ne respectant toujours pas certains articles de l’arrêté préfectoral,  un arrêté de sanction a été délivré par la préfecture.

 

 

L’implantation de cette entreprise

à Mitry-Mory

a-t-elle été autorisée par les services de l’ETAT ?

 

Nous n’en savons rien

 

 

Cette entreprise a-t-elle une station d’épuration privée pour gérer ses eaux industrielles ou bénéficie-t-elle d’une autorisation de la communauté d’agglomération Roissy Pays de France pour reverser ses eaux industrielles dans le centre d’épuration de Mitry-Mory ?

 

 

Nous n’en savons rien

 

 

 

 

Pour toutes informations complémentaires

contactez

la mairie de Mitry-Mory

 

 

 

Paru sur le site de l’ORDIF :

 

BTP : un nouveau centre dans le 77


YPREMA ouvre un site à Mitry-Mory destiné aux professionnels du BTP.

 

L’entreprise de traitement des matériaux de déconstruction dispose aujourd’hui de sept centrales de recyclage en Ile-de-France (Gennevilliers, Trappes, Massy, Bonneuil-sur-Marne, Emerainville, Lagny-sur-Marne) et en Bretagne (Pluguffan). Le 02 mai 2016, YPREMA ouvrira une nouvelle centrale de recyclage à Mitry-Mory, en Seine-et-Marne.

YPREMA fait le choix de se positionner au plus près des chantiers de ses clients et ouvre un nouveau site de production et de vente de matériaux recyclés à Mitry-Mory. Les professionnels du BTP auront ainsi un accès à l’ensemble des produits, à proximité de leurs chantiers de Seine-et-Marne et de Seine-Saint-Denis.

 

Le site de Mitry-Mory proposera :
• Le concassage des matériaux de déconstruction
 Le recyclage des mâchefers issus de l’usine d’incinération de St Thibault
• Le recyclage de terres inertes issues des chantiers de terrassements locaux
• L’espace artisan, la déchetterie professionnelle pour déposer tous types de déchets
• Sans oublier la fabrication des matériaux utilisés en remblais et en sous-couches des routes.

 

http://www.ordif.com/public/actualite/btp-un-nouveau-centre-dans-le-77.html?id=17407&rub=8986

 

 

 

 

 

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8 mai 2016 7 08 /05 /mai /2016 17:34
Paru sur le site Mediapart :
Les déchets, l’affaire du siècle et des siècles à venir
  • 7 MAI 2016

 

 

Les déchets sont le mal du siècle et des siècles innombrables à venir, la honte du monde soit disant développé : le développement d’un pays se mesurerait-il, pour les économistes de la sacro-sainte religion néolibérale, à l’aune de la quantité de déchets produits ?

  • FAVORI

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Parution de la bande dessinée Qui descendra les poubelles ? de Nat Mikles

 

À la question qu’a choisi Nat Mikles pour intituler son roman graphique didactique, la réponse est pour le moins épineuse. Quand on connaît l’éditeur Rue de l’Échiquier responsable de la diffusion en France de Zero Waste, il est aisé d’imaginer qu’il ne s’agit pas dans cet ouvrage de chercher dans la société fragmentée où les rôles sont hypocritement et consciencieusement partagés, que l’appel lancé ici est celui du réveil des consciences auprès de chaque citoyen digne de ce nom.

Autrement dit, inutile d’attendre comme la majorité des Français s’est contentée de le faire durant plusieurs décennies, que l’État et les diverses entreprises prennent en charge les déchets, car leurs intérêts ne vont la plupart du temps pas dans le sens de la préservation et du respect de l’environnement. Dans la suite logique de Zero Waste, Qui descendra les poubelles ? poursuit cette aventure citoyenne de la préoccupation environnementale avec données chiffrées et analyses scientifiques précises reposant sur des pratiques contemporaines. Mais cette fois-ci, en faisant appel à Nat Mikles, connu pour son ton sarcastique renversant allègrement les grandes figures de la culture populaire pour Fluide Glacial, Psikoprat, sur des affiches, dans des dessins de presse, etc.

Ceci donne un récit en noir et blanc où un jeune homme, tout ce qu’il y a de plus ordinaire, se réveille un matin avec un grille-pain qui ne fonctionne plus. Apparaît alors Lao Tseu, suivi dans le désordre de Nietzsche, Épicure, Jean de La Fontaine, Pasteur, Anaxagore, Alfred de Musset, Antoine Laurent de Lavoisier et même Triman, le bonhomme silhouette noire logo officiel du tri sur les produits manufacturés. Tous ces grands penseurs ne manquent ni d’humour ni de souplesse de la pensée pour exposer leurs vérités sur la sagesse de la gestion responsable des déchets. Les informations sont à la fois précises et ludiques au fil d’un récit mené tambour battant : pas de place à l’ennui dans cette odyssée d’un quidam dans le monde des déchets.

L’ouvrage réussit avec brio son objectif de vulgarisation. Moins exhaustif qu’un livre commeZero Waste, il se présente comme une excellente introduction à ceux qui veulent ouvrir les yeux sur ce tabou qu’on appelle « poubelle » et qui mériterait bien une psychanalyse à ceux qui l’entretiennent. Alors qui descendra les poubelles pour qu’une élite méprisante et inconséquente continue à regarder de haut le monde terrestre d’en bas où la vie se trouve, luttant comme elle peut avec les déchets venus d’en haut ?

 

https://blogs.mediapart.fr/cedric-lepine/blog/070516/les-dechets-l-affaire-du-siecle-et-des-siecles-venir

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