Overblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
17 janvier 2018 3 17 /01 /janvier /2018 19:19

 

 

 

  « C’est de l’enfer des pauvres

que l’on fait

le paradis des riches »

    

Victor Hugo

 

 

 

 

La France : un pays qui semble mieux  protéger ses monuments historiques et ses forêts « dites d’exception » que sa population !

 

 

Si vous habitiez près du château de Fontainebleau ou au bord de sa forêt vous n’auriez ni incinérateur, ni décharges, ni carrières/décharges, ni sites Seveso….

 

Pourquoi ?

 

Il semblerait que dans ce pays l’être humain est moins protégé que certains monuments historiques et certaines forêts.

 

 

Un exemple frappant : le contrôle de la qualité de l’air.

 

 

Pour protéger les arbres de la forêt de Fontainebleau considérés comme un écosystème d’intérêt particulièrement sensible, Airparif a implanté, depuis des années, un point de contrôle fixe de la qualité de l’air.

 

Mais  Airparif  n’a, semble-t-il, pas considéré les habitants de la 7ème circonscription du 77  comme une population d’intérêt particulièrement sensible.

 

Airparif n’a implanté aucuns points de contrôle fixe, sur cette circonscription, pas même près de l’école maternelle de Fresnes sur Marne, située à proximité de 2 décharges, ni même près de l’ancien site du CEA du Fort de Vaujours, ni de la zone industrielle de Mitry-Compans.

 

 

 

Extrait dossier Airparif  « programme de surveillance de la qualité de l’Air en IDF 2010-2014 » Page 150 (Octobre 2010)

7ème circonscription du  77 : Riverains de sites polluants ou dangereux, les martyrs de la République ?
Partager cet article
Repost0
16 janvier 2018 2 16 /01 /janvier /2018 17:08

 

 

 

Historique du site :

 

- 1977 autorisation d’implanter une décharge d’ordures ménagères dans les trous laissés par les exploitants de carrière de gypse

 

- 1979 autorisation  d’exploitation d’une décharge de déchets industriels spéciaux (aujourd’hui appelée décharge de déchets dangereux).

 

Cette décharge a stocké  pendant plusieurs années des déchets radioactifs dont nous ne connaissons, ni le tonnage,  ni la dangerosité, ni les conditions de stockage.

Ces déchets pourraient provenir pour partie du CEA (types terres et gravats d’assainissement, démantèlement). (1)

 

A partir de 1992 l’ETAT a interdit le stockage de ce type de déchets dans la décharge de Villeparisis.

 

       La gestion des déchets radioactifs

en question

dans la 2ème moitié du 20ème siècle ?

 

 

Dans son rapport d’avril 1992, le député Jean Yves Déaut indique :

 

« Les responsables du nucléaire avaient très largement sous-estimé la gravité du problème. Pendant des années, la gestion des déchets radioactifs a été empirique et même, dans certains cas, irresponsable. La culture du secret dominait au CEA et ce qui apparaissait comme techniquement bon à celui qui disposait du savoir n’avait aucune raison d’être expliqué et commenté à la population. »(1)

 

Dans la revue « Contrôle » n° 102 de décembre  1994 de l’Agence de Sureté Nucléaire,

le responsable des déchets à la Direction de la Sûreté des Installations Nucléaires  était encore plus catégorique et relevait que la gestion des déchets TFA était "révélatrice d'un certain nombre d'insuffisances : insuffisance de stratégie clairement formalisée et identifiée, insuffisances réglementaires, insuffisances de procédures, insuffisance de rigueur".(2)

 

Les associations souhaitaient connaître le nom des industriels  qui ont stockés ce type de déchets dans cette décharge et notamment savoir si le CEA de Vaujours en a stocké ?

 

La demande date de 6 semaines déjà, mais l’industriel Suez RR IWS  n’a pas souhaité leur répondre.

 

 

Un manque de transparence ?

 

A vous de juger

 

 

 

Une décharge classée Seveso à hauts risques, depuis 2013,  qui semblent satisfaire les divers élus qui se sont succédé à Villeparisis.

 

Riverains

circulez y’a rien à voir

d’autres décident pour vous !

 

 

En effet lors du mandat du précédent maire, José Hennequin (PS), Adenca avait tenté d’attirer l’attention de la municipalité sur le stockage des déchets radioactifs DRNR.

 

L’adjoint au maire, Jean-Claude Poupet, nous avait répondu en 2010 :

« Il ne vous appartient pas de donner votre avis sur un dossier, qui comme vous le savez, a obtenu un avis favorable à l’unanimité, lors de la réunion du CODERS du 3 décembre 2009. »

 

 

L’argent en question ?

 

Une extension de la décharge est prévue, pour ce faire, le nouveau maire, Hervé Touguet (LR), projette de  réviser le PLU.

Il faut que vous compreniez : Villeparisis ne peut pas se priver de 370 000 €, somme que verserait Suez à la commune, comme le précise une élue d’opposition dans un article paru récemment dans la presse (3).

 

 

Pour mémoire Suez a choisi la CRIIAD pour effectuer les analyses radiologiques réglementaires imposées aujourd'hui par la législation en vigueur.

 

 

sources :

 (1) p 12 Extrait Rapport sur la gestion des déchets très faiblement  radioactifs. Jean Yves Le Déaut Office parlementaire d’évaluation des choix scientifiques et technologiques . Avril 1992

https://www.senat.fr/rap/r91-309-1/r91-309-11.pdf

 

(2) Contrôle, revue de la DSIN, décembre 1994, page 21

https://www.asn.fr/Informer/Publications/La-revue-Controle/Controle-n-102-Les-dechets-faiblement-et-tres-faiblement-radioactifs

(3) Journal la Marne 13/12/2017

 

 

et :

 https://www.senat.fr/rap/r97-179-2/r97-179-221.html

17.12.1997 L'évolution de la recherche sur la gestion des déchets nucléaires à haute activité - Les déchets militaires C/ L'absence de solution pour le stockage des déchets très faiblement radioactifs

Rapport de l'OPECST n° 179 (1997-1998) de M. Christian BATAILLE, député, fait au nom de l'Office parlementaire d'évaluation des choix scient. tech, déposé le 17 décembre 1997

 

http://www.coordination-antinucleaire-sudest.net/2012/public/photos/Drome/solerieux/Anccli-IRSN_Inventaire.pdf

 

http://www.inventaire.andra.fr/les-matieres-et-dechets-radioactifs/dechets-ayant-fait-lobjet-de-mode-de-gestion-historique/1-les

 

 

 

Partager cet article
Repost0
15 janvier 2018 1 15 /01 /janvier /2018 19:59

 

 

C’est Claude Evin, alors directeur de l’ARS, dans une lettre datant de bientôt 4 ans qui l’indique.

 

Pour motiver son refus Claude Evin s’appuie notamment sur une étude datant de 13 ans auprès de 2473 personnes ayant travaillé sur le fort de Vaujours.

Une étude qui n’a pas été revue depuis.

 

 

Mais Claude Evin oublie de dire que le département de Seine et Marne ne possède pas de registre de cancers alors que plusieurs départements français  en possède un. (1)

 

 

La France possède néanmoins un registre de cancers des enfants (2) mais Claude Evin n’en parle pas.

 

Et depuis ?

 

 

A chaque réunion où le sujet est évoqué la préfecture nous repasse  ce courrier datant de 4 ans déjà.

 

 

Une étude de zone au nord-ouest 77 a été financée par le ministère de l’écologie.

Mais ne croyez pas qu’il s’agit d’une étude sur l’état de santé des populations, c’est simplement un état des lieux de la pollution : eau, air et sol.

 

 

Une certaine manière, peut-être, de vouloir noyer le poisson.

 

 

 

 

(1) http://invs.santepubliquefrance.fr/Dossiers-thematiques/Maladies-chroniques-et-traumatismes/Cancers/Surveillance-epidemiologique-des-cancers/Incidence-observee-dans-les-registres/Incidence-observee-dans-les-departements-couverts-par-les-registres-Francim-entre-1979-1983-et-2009-2013

(2) http://rnce.vjf.inserm.fr/index.php/fr/

 

Partager cet article
Repost0
13 janvier 2018 6 13 /01 /janvier /2018 18:44
Paysages du nord-ouest 77 / La forêt régionale de Montgé en Goële
Paysages du nord-ouest 77 / La forêt régionale de Montgé en Goële
Partager cet article
Repost0
12 janvier 2018 5 12 /01 /janvier /2018 17:37

 

 

 

 

Et si on vous implantait

une décharge de déchets dangereux

à Vaujours et Coubron :

 qu’en diriez-vous ?

 

 

Sur le site du fort de Vaujours, Placoplatre a découvert dans les sols des terres contenant des matériaux amiantés et pas qu’un peu, ce serait près de 18 900 m3.

 

Pour l’instant la multinationale St Gobain n’est pas autorisée à sortir ces déchets du site.

 

Si l’ETAT l’y autorisait, en modifiant l’Arrêté Préfectoral de servitudes,  Placoplatre pourrait les envoyer  à l’extérieur, dans un établissement spécialisé dans le stockage de ce type de déchets, mais d’après le bureau d’études, cela coûterait très cher près de 8 millions d’euros.

 

Le bureau d’études préconise 2 autres possibilités moins onéreuses, qui coûterait entre

8 à 10 fois moins chères.

 

Celle qui, d’après lui, serait la moins onéreuse, consisterait à déverser les déchets amiantés dans la fosse d’Aiguisy, située à cheval sur Vaujours et Coubron, c’était autrefois un bois qui a été transformé en carrière et aujourd’hui le trou  doit être comblé par des déchets « dits inertes ».

 

Pour ce faire il faudra que l’ETAT modifie l’Arrêté Préfectoral de servitudes qui interdit de sortir les terres du fort de Vaujours et autorise Placoplatre à créer une décharge de déchets dangereux.

 

Si Placoplatre choisissait cette option  et que  l’ETAT l'y autorise , cela pourrait peut-être permettre, à l’industriel, « pour rendre service », d’y stocker également les déchets amiantés des autres, ceux des chantiers de démolition du Grand Paris, par exemple ?

 

Implanter une décharge de déchets dangereux pour stocker, entre autres, les déchets des autres est une aubaine pour l’industriel qui arrive à décrocher les autorisations, car personne n’en veut près de chez soi.

Si le projet
 de décharge de déchets dangereux se concrétisait
Leurs jolies maisons
 les habitants de 
Vaujours et Coubron
devraient-ils les solder ?

 

 

En effet
qui voudra les acheter
et  venir vivre
près
d'une décharge de déchets dangereux ?

 

 

 

 

Pour toutes informations sur l’implantation d’une décharge de déchets dangereux, nous vous conseillons de consulter le site Facebook de l’association « Marne » opposée à l’implantation de ce type de décharge à Villenoy 

 https://fr-fr.facebook.com/Collectifterzeocapm/

 

 

Paru dans le Parisien 77 :

 

Meaux : plus de 150 manifestants contre le site de déchets Terzeo

>Île-de-France & Oise>Seine-et-Marne>Meaux|A.A.|29 avril 2017, 12h20|0

 

 

 

Et si on vous implantait une décharge de déchets dangereux à Vaujours et Coubron : qu’en diriez-vous ?

 

 

Ils se sont donné rendez-vous devant la sous-préfecture de Meaux pour déposer un courrier à l’intention du préfet de Seine-et-Marne. Ce samedi à 10 heures, plus de 150 habitants de Meaux et des environs ainsi que quelques élus se sont réunis pour protester contre le projet de l’entreprise Terzeo……

 

http://www.leparisien.fr/meaux-77100/meaux-plus-de-150-manifestants-contre-le-site-de-dechets-terzeo-29-04-2017-6901575.php

 

 

Partager cet article
Repost0
11 janvier 2018 4 11 /01 /janvier /2018 17:19

 

 

Extrait de l'article paru sur le site Robin des Bois :

 

Informations aux élèves, aux parents, aux enseignants,

au personnel périscolaire et aux riverains
Janvier 2018

En synergie avec la diffusion jeudi 11 janvier 2018 à 20h55 sur France 2 dans Envoyé Spécial du sujet « Nos écoles empoisonnées », Robin des Bois poursuit la publication des résultats de la campagne nationale de diagnostics des écoles sur sites pollués.

 

Les écoles et autres lieux d’accueil des enfants ont souvent été construits sans tenir compte des pollutions historiques des sols et de la dispersion des déchets, effluents et remblais en vigueur au XIXème et au XXème siècle. La scolarisation s’est installée sans frais et sans soucis sur ou à côté de sites pollués. Les écoles construites au XXème siècle ont aussi été cernées par des services de proximité comme les garages, les stations-service et les pressings.

Depuis 2012, une campagne nationale est déployée sous la responsabilité du Ministère de l’écologie pour mieux connaître l’empreinte des activités industrielles et commerciales historiques et éteintes sur les établissements accueillant des enfants et des adolescents. Les diagnostics concernent les crèches, les écoles maternelles et élémentaires, les collèges et les lycées, les instituts médico-éducatifs bâtis sur des sols pollués ou à proximité immédiate de sols pollués. Tous ces lieux pédagogiques sont qualifiés par la doctrine française sur les sites pollués d’« établissements sensibles » en raison de la présence potentielle de polluants susceptibles de perturber les différents modes de développement des enfants et des adolescents. L’enfance n’est pas la seule victime potentielle du passé. Les enseignants, les auxiliaires de scolarité, les personnels de gardiennage, de maintenance et d’encadrement hébergés dans des logements de fonction sont aussi exposés. Mais pas seulement ! Ces campagnes de dépistage et d’identification des pollutions historiques dans les écoles intéressent aussi les riverains et leurs enfants. Selon leur situation géométrique et hydraulique, ils peuvent être dans une situation égale, allégée ou aggravée par rapport à l’établissement sensible diagnostiqué.

Les conclusions des diagnostics sont restées confidentielles et tendent à s’effacer alors que le maître mot de la démarche est de les garder en mémoire et de les partager. Robin des Bois a entrepris depuis mai 2016 de rassembler toutes les synthèses des diagnostics et de solliciter à cet effet toutes les préfectures et autres services de l’Etat concernés. La CADA (Commission d’Accès aux Documents Administratifs) a validé la légitimité de l’action de Robin des Bois.

En juillet 2014, la liste nominative des établissements à diagnostiquer s’élevait à 1960 (sources : Ministère de l’écologie / BRGM, 2012, 2013, 2014). Cette liste est aujourd’hui effacée du site du Ministère. Elle a été capturée par Robin des Bois courant 2015 et est mise à disposition au début de chaque département. Il ressort d’un document complémentaire publié en octobre 2014 par le BRGM que le nombre d’établissements à diagnostiquer s’élève à 2320.


– Aujourd’hui, seuls 1397 établissements ont été diagnostiqués ou sont en cours de diagnostic.
Une centaine ont été écartés de la démarche pour deux raisons :
– des recherches complémentaires ont montré que les activités historiques polluantes étaient mal localisées.
– la direction des établissements a refusé que le diagnostic de la pollution potentielle soit réalisé.

 

Il reste qu’au moins 1000 établissements sont jusqu’à nouvel ordre mis sur la touche comme par exemple les écoles primaires et les lycées à Paris intra-muros.,,,,

Les classements tels qu’ils ont été établis par les bureaux d’études et validés par le Ministère de l’écologie peuvent parfois susciter des étonnements ou des demandes d’éclaircissement. Deux établissements du même groupe scolaire situés à la même adresse peuvent être classés en A et en B ou même en A et en C. C’est le cas par exemple de l’école maternelle et de l’école élémentaire du groupe scolaire Madrague de Montredon à Marseille. Dans l’école maternelle, les teneurs en plomb dans les sols superficiels ne poseraient pas de problème, dans l’école élémentaire, elles dépassent les niveaux déclenchant le dépistage du saturnisme infantile.,,,,

 

La fermeture du collège Saint Exupéry à Vincennes (Val de Marne) montre qu’il y a des failles dans le dispositif. A l’occasion de travaux d’extension, une pollution par des solvants chlorés à été mise en évidence et a rappelé aux autorités les anciennes activités industrielles en contiguïté du site au début du XXème siècle, probablement un atelier de travail des métaux spécialisé dans les œillets métalliques (fiche BASIAS). Cet atelier était implanté dans une impasse complétement disparue de la mémoire cadastrale et administrative.

Les diagnostics ne concernent pas les établissements scolaires situés sous l’influence d’activités commerciales et industrielles existantes. C’est ainsi que des écoles de Montreuil (Seine-Saint-Denis) ont échappé à un diagnostic méthodique et approfondi s’étendant sur plusieurs mois. Selon Robin des Bois, le groupe Jules Ferry aurait dû être intégré à la campagne puisque l’activité actuelle de la SNEM (Société Nouvelle d’Eugénisation des Métaux) a été précédée sur la même parcelle par une superposition et une succession de 5 usines depuis 1928.

Dans ces diagnostics, les polluants ne sont pas systématiquement nommés. Les trois grandes familles sont les polluants métalliques au premier rang desquels le plomb, les solvants chlorés et les hydrocarbures au premier rang desquels le benzène, le toluène, l’éthylbenzène et le xylène.
La bonne qualité de l’eau, des sols, de l’air dans les établissements accueillant des enfants et des adolescents est primordiale. Les polluants ont des impacts sur le développement du cerveau, du système nerveux, du squelette et peuvent avoir des effets différés sur les capacités de reproduction. La plupart des polluants incriminés sont considérés sans seuils d’effets – autrement dit, ils peuvent être nuisibles pour la santé des enfants à de très petites doses – et l’objectif doit être de réduire avec constance leurs concentrations à un niveau aussi bas que possible.

Il ne suffit pas de sceller des portes, de condamner des pièces, de purger les robinets, d’ouvrir les fenêtres, de recouvrir de plastique ou de terres propres les sols contaminés pour pouvoir affirmer que les actions correctives ont été menées à bien. Il faut extraire les sources de pollution. Le problème des collectivités et notamment de la Mairie de Paris, c’est qu’une dépollution coûte cher, oblige dans certains cas à fermer les établissements et dure plusieurs mois ou années.

Faute de moyens financiers mais sans doute aussi parce que les résultats des premières vagues de diagnostics sont plus inquiétants que prévu, les diagnostics sont suspendus. Robin des Bois demande conjointement au Ministère de l’écologie, au Ministère de la Santé et au Ministère de l’Éducation Nationale de mener à bien l’intégralité de cette campagne pionnière et unique au monde.,,,,

 

Il revient aux enseignants, aux parents et aux élèves de s’assurer que toutes les recommandations émises par les services de l’Etat ont été appliquées et continueront à l’être pendant toute la durée de vie de l’établissement.
Il leur revient aussi d’examiner régulièrement la conformité de ces recommandations à l’évolution de la connaissance des risques sanitaires et de la réglementation.,,,

 

 http://www.robindesbois.org/votre-ecole-est-elle-toxique-national/#idf

 

Partager cet article
Repost0
10 janvier 2018 3 10 /01 /janvier /2018 21:04

 

 

 

Un député qui dispose

 

- de 3 attachés parlementaires : Mme Sophie Bonnecarrère, Mme Ludivine Jacquemain,  M. Jean-Luc Sanson (1)

 

payés par nos impôts.

 

 

Un article de presse du journal «  Capital » a attiré notre attention, ce journal a retenu certains critères pour classer les députés,  classement dans lequel Rodrigue Kokouendo (LREM) se trouve parmi les derniers de la classe : 471ème sur 572. (1)

 

 

Il faut bien que vous compreniez que votre député est très pris, entre les inaugurations des marchés de Noël  et des diverses manifestations...,certains disent même que c’est un cumulard.

 

 Il a accepté la vice présidente  de 17 groupes d’amitié de la France avec l’Angola, le Congo, la Gambie, le Ghana, la Guinée Equatoriale, Haïti, Mali, l’Ile Maurice, la Moldavie, le Niger, le Nigéria, l’Oman, le Qatar, les Seichelles, le Soudan du Sud, la Thaïlande, le Venezuela (2)

 

Ce qui augure beaucoup de voyages en perspective, et puis il est vrai que les voyages c’est bien plus gai que d'aller à la rencontre des riverains angoissés vivant

au bord des sites pollués ou dangereux de sa circonscription, de l'ancien site du CEA fort de Courtry/Vaujours,  de la décharge de déchets dangereux de Villeparisis, des décharges de Claye-Souilly, Annet sur Marne, Villeneuve sous Dammartin, Fresnes sur Marne… et de la plus importante zone industrielle d’Ile de France Mitry-Compans, qui compte 6 sites Seveso.

 

 

Et puis rencontrer des associations comme Adenca qui voudrait réduire les pollutions, protéger les riverains des installations polluantes, c’est vraiment déprimant, un voyage au soleil, aux Seichelles, à l’Ile Maurice ou au Qatar, ce sera beaucoup plus reposant pour Rodrigue Kokouendo.

 

 

Et ses attachés parlementaires que font-ils, nous direz-vous, vous n’arrivez pas à les joindre par téléphone à l’assemblée nationale, vos courriers restent sans réponse, vos demandes de rendez-vous aussi. .. ?

 

 

Un voyage à l’étranger  cela prend du temps pour le préparer et puis peut-être que plusieurs d’entre eux accompagneront le député  à chacune de ses visites à l’étranger ?

 

 

(2) http://www2.assemblee-nationale.fr/deputes/fiche/OMC_PA721644

https://www.nosdeputes.fr/rodrigue-kokouendo

 

 

(1)Paru sur le site CAPITAL :

 

LES DÉPUTÉS D'EN MARCHE, CANCRES DE L’ASSEMBLÉE… NOTRE CLASSEMENT

PUBLIÉ LE 21/12/2017 À 14H29  MIS À JOUR LE 26/12/2017 À 8H15

Six mois après les élections législatives, quel bilan peut-on tirer de l’activité des nouveaux députés ? Capital fait le point sur la productivité de chacun des 572 locataires du palais Bourbon. Les résultats sont surprenants...

https://www.capital.fr/economie-politique/les-deputes-en-marche-cancres-de-lassemblee-notre-classement-1262133

 

 

 

Paru sur le site Jeune Afrique :

France-Afrique : Rodrigue Kokouendo, le député cumulard

Député de La République en marche (LREM) de Seine-et-Marne depuis juin, Rodrigue Kokouendo a littéralement fait main basse sur les groupes d’amitié de l’Assemblée nationale.

Le cadre de BNP-Paribas Securities Services, d’origine centrafricaine et membre dela commission des Affaires étrangères, a postulé partout.

Le 3 novembre, il est devenu vice-président de… 16 groupes d’amitié (Angola, Congo, Équateur, Ghana, Guinée équatoriale, Mali, Maurice, Moldavie, Niger, Nigeria, Oman, Qatar, Seychelles, Soudan du Sud, Thaïlande, Venezuela).

Il n’a peut-être pas décroché un poste de président, mais il va beaucoup voyager !

 

 

Partager cet article
Repost0
10 janvier 2018 3 10 /01 /janvier /2018 20:34

 

 C'est à proximité des lotissements de Maupertuis de la Closerie, non loin du lotissement de Bois Fleuri et de la promenade de la Dhuis que sera organisée cette chasse.

 

 

Partie entourée en rouge sur la carte qui suit :

Claye-Souilly attention danger: chasse autorisée dans la forêt régionale le jeudi 11 janvier 2018

 

 

C'est le Conseil Régional IDF, au travers de son agence l'AEV, qui gère cette forêt pour vous, et y autorise certains jours la chasse.

 

Le lobby des chasseurs est bien représenté au sein du Conseil Régional pour le département de Seine et Marne, en la personne de Benoît Chevron, conseiller régional, administrateur de l'AEV et président de la fédération de chasse de Seine et Marne.

 

C'est Hervé Proffit qui est chargé de notre secteur au sein de la fédération des chasseurs du 77.

 

 

Pourquoi l'AEV

ne fournit pas à Adenca

la copie de la convention signée

entre elle et

la sté de chasse ?

 

Que nous cache-t-on ?

 

 

Pour tous renseignements complémentaires

nous vous conseillons de contacter

 

Julien Proffit

conseil municipal de Claye-Souilly

et

conseiller régional d'Ile de France

Partager cet article
Repost0
10 janvier 2018 3 10 /01 /janvier /2018 16:20
Partager cet article
Repost0
10 janvier 2018 3 10 /01 /janvier /2018 14:46

 

Un article paru dans le Canard enchaîné de ce jour :

 

Trois millions d'euros pour consoler le pollueur en série

Sommé de cesser son activité fin mai, il réclame une indemnisation colossale au préfet...

 

En redressement judiciaire depuis août 2009, Wipelec multiplie les exploits en Ile de France.....

 

 

Lire la suite dans le Canard Enchaîné de ce jour.

Partager cet article
Repost0

Recherche