En cette période difficile pour les sinistrés, sachez que notre association est à vos côtés pour permettre de trouver des solutions pour que jamais de telles inondations
Depuis des années nous répondons aux enquêtes publiques et attirons l’attention des élus et de l’Etat sur les risques croissants d’inondations sur Claye-Souilly, sans jamais être entendus.
En 2012 à grand renfort de média on nous annonçait que l’Agence de l’eau, la région et le département investissaient 90 M€ sur cinq ans pour
Comment ont été utilisés ces
90 millions d’euros
nous n’en savons rien
les syndicats de rivières chargés de gérer ce dossier
n’ont pas souhaité informer ni les populations
ni les associations environ
Ce que les populations ont constaté lors des inondations de la semai
Nous avons constaté également que la préfecture a déclassé en 2017 plusieurs rus sur le bassin versant Beuvronne, contre l’avis de notre association qui s’y était vivement opposée, dont un affluent du ru Botteret, situé en amont de Claye-Souilly, au dessus du lotissement des Arzillières et le ru de Louche à An
Une aubaine pour le syndicat de la basse Beuvron
Pour tous renseignements complémentaires
nous vous conseillons de vous rapprocher
des 2 présidents des syndicats de rivières
Pour la Basse Beuvron
Yves Albarello
Maire de Claye-Souilly
Pour la Haute Beuvron
Jean-Pierre Dormeau
Adjoint au maire de Gressy
fausti
L’artillerie est sortie pour améliorer la qualité de l’eau de la Beuvronne , ce cours d’eau de 25 km de long qui, de Cuisy à Anne t-sur-Marne , traverse quinze commune s des cantons de Dammartin et de Mitry et se déverse dans la Marne , à côté de la station de pompage d’eau potable.
Son affluent principal, la Biberon
L’Agence de l’eau, la région et le département investissent 90 M€ sur cinq ans. Vingt-
Les eaux de la Beuvron
Un meilleur réseau d’assainissement. Nombreux sont les réseaux vieillissants qui présentent des fuites qui se déversent dans la rivière. Il s’agit donc de les refaire, ce qui est coûteux, en séparant les eaux pluviales du réseau d’eau usées, notamment à Mitry-Mory et Villeparisis. « Nous avons déjà commencé, précise la mairie de Mitry-Mory. Ce sera long, nous avons 50 km de voirie. » Il faudra aussi réhabiliter les stations d’épuration, voire en construire.
Créer des bassins d’orage. Une grande partie de l’amélioration réside dans la collecte des eaux pluviales. Elle permettra aussi de lutter contre les inondations qui perturbent le secteur, comme à Villeparisis où un bassin doit récupérer les eaux et celles de la Francilienne. Il sera équipé de roseaux pour filtrer les molécules toxiques.
Protéger les sols. Les communes ont cinq ans pour peu à peu diminuer leur consommation de produits phytosanitaires et utiliser, par exemple, des brûleurs thermiques pour désherber. « Nous devons aussi convaincre de l’intérêt de faire des parkings végétalisés, qui permettent l’écoulement des eaux, et non en bitume », insiste la chargée de mission du projet.
Préserver les zones humides. Toutes ces actions permettront à l’écosystème des cours d’eau de ne pas disparaître. En plus, des aménagements spécifiques seront réalisés comme la création de mares, de noues ou de passes à poissons. « Nous sommes forcément contents que l’on veuille remédier aux pollutions, concède Jane Buisson de Nature Environnement 77. Mais nous voudrions que l’on s’attaque à elles à la source. »